2,019 research outputs found
Aitamaginarrebak
Dans son article intitulĂ© “Sobre los nombres de parentesco en vasco” et publiĂ©d'abord dans le volume hommage Ă D. JoaquĂn Mendizábal Gortázar (Saint-SĂ©bastien, 1956) et repris dans Estudios vascos VII. Baile, familia, trabajo (Txertoa,Saint-SĂ©bastien, 1976), Julio Caro Baroja Ă©tudie minutieusement la famille basque ettous les liens de parentĂ© possibles dans leur expression en euskara
Aitamaginarrebak
Dans son article intitulĂ© « Sobre los nombres de parentesco en vasco » et publiĂ© d’abord dans le volume hommage Ă D. JoaquĂn Mendizábal Gortázar (Saint-SĂ©bastien, 1956) et repris dans Estudios vascos VII. Baile, familia, trabajo (Txertoa, Saint-SĂ©bastien, 1976), Julio Caro Baroja Ă©tudie minutieusement la famille basque et tous les liens de parentĂ© possibles dans leur expression en euskara. Il s’occupe d’abord de la famille proche, composĂ©e des parents, des enfants et de leurs noms tels qu’ils..
Les paradoxes temporels d’un tableau détruit de Francisco Pacheco
En 1936, durant les premiers mois de la guerre civile d’Espagne, une bombe s’abattit sur l’hôpital Saint-Sébastien de la commune d’Alcalà de Guadaira, non loin de Séville, détruisant pas la même occasion un tableau de Francisco Pacheco, spécialement peint pour l’hôpital en 1616 et qui n’en avait pas bougé depuis. Il s’agissait une huile sur toile de grande dimension, de près de trois mètres sur deux, représentant saint Sébastien soigné par sainte Irène, sujet approprié dans ce cadre sanitaire..
Nancy – Église Saint-Sébastien
Identifiant de l'opération archéologique : F1354200100037 Date de l'opération : 2001 (EV) En décembre 2001, l'église Saint-Sébastien de Nancy a bénéficié d'une campagne de restauration de la façade et de l'installation du chauffage. Afin d'aménager les conduites qui amènent l'air chaud aux grilles, une tranchée de 25 m de long, de 2,70 m de large et de 1,80 m de haut a été réalisée. S'y ajoutent deux tranchées transversales de 8,50 m de long et de 2,70 m de large. C'est lors de leur creusemen..
On older Northern Basque exclamatives in "ala"
Xabier ARTIAGOITIA & Joseba A. LAKARRA (eds.), "Gramatika Jaietan. Patxi Goenagaren omenez"(Donostia–Saint-SĂ©bastien & Bilbao–Bilbao : Gipuzkoako Foru Aldundia-EHU—DiputaciĂłn Foral deGipĂşzcoa & Universidad del PaĂs Vasco, Supplements of ASJU 51, 2008.International audienceMost recent studies devoted to exclamatory sentences concentrate on those that display([+wh] element. But Older Northern Basque had a special type of exclamative sentences in which theoperator ala, which sat in the left periphery of the sentence, took usually one, but sometimes several,implicitely quantified item(s) in its scope
Pêcheur-côtier de Sant-Sébastien (Pays Basque), ouvrier chef de métier dans le systeme du travail sans engagements, d' aprés les renseignements recueillis sur les lieux en 1856
Describe la situación de los miembros de una familia en Donostia-San Sebastián, la organización industrial, el lugar, la religión y la moral, las costumbres, la organización social.This text describes the situation of the members of a family in Donostia - San Sebastián, the industrial organization, the place, religion and morals, the mores and the social organization
Kulturan Donostiatik Baionara aspaldiko eurohiria = Communauté de culture dans l'Eurocité Bayonne-Saint-Sébastien
Tal y como se explica en el presente artĂculo, las migraciones laborales y los movimientos de refugiados polĂticos (carlistas, nacionalistas) que han sobrevenido en la historia unieron la poblaciĂłn de Bayona y San Sebastián en cultura e idioma (euskara, gascĂłn, castellano); más recientemente se han organizado entidades transfronterizas en el dominio cultural (Eusko Ikaskuntza, Euskaltzaindia) y diversas sociedades (AEK, Ikastolas, Asociaciones de Escritores Vascos), radios y televisiĂłn transfronterizos; en el dominio econĂłmico, las relaciones entre las Cámaras de Comercio y los acuerdos entre GuipĂşzcoa y el distrito de Bayona. Desde el punto de vista geográfico, de facto las dos ciudades se están convirtiendo en una Ăşnica ciudad.Artikulu horretan, historian zehar zer lan migraketek eta politika errefuxiatu mugimenduek (karlistek, nazionalistek) Baiona eta Donostiaren arteko jendetza kulturaz eta hizkuntzaz (euskara, gaskoia, gaztelania) bat egin duten; geroago ere mugazgaindi antolatu erakundeak sortu: kulturan (Eusko Ikaskuntza, Eus-kaltzaindia) eta elkarteak (AEK, Ikastolak, Euskal Idazleen Elkarteak), mugaz gaindiko irratiak eta telebista; ekonomian Komertzio Ganbaren arteko harremanak eta Gipuzkoak Baionako distritoarekin egin itunak. Bi hiriak geografiaz ere hiri bakar bat bilakatzen ari dira.Comme on l'explique dans cet article, les migrations du travail et les mouvements de rĂ©fugiĂ©s politiques (carlistes, nationalistes) qui sont survenus au cours de l'histoire unirent les population de Bayonneet Saint-SĂ©bastien dans la culture et dans la langue (euskara, gascon, castillan); plus rĂ©cemment furent organisĂ©es des collectivitĂ©s transfrontalières dans le domaine culturel (Eusko Ikaskuntza, Euskaltzaindia) et divers sociĂ©tĂ©s (AEK, Ikastolas, Associations d'Ecrivains Basques), radios et tĂ©lĂ©vision transfrontalières; dans le domaine Ă©conomique, les relations entre les Chambres de Commerce et les accords entre Guipuzcoa et le district de Bayonne. Du point de vue gĂ©ographique, les deux villes deviennent une seule et mĂŞme ville.Such as has been explained in the present article, migrations of labour and movements of political refugees (Carlists, Nationalists) that have taken place throughout history joined the population of Bayonne and San Sebastian in culture and language (Basque, Gascon, Castilian Spanish). More recently, transborder entities have been organised in the cultural field (Eusko Ikaskuntza, Euskaltzaindia) and various societies (AEK, the Ikastolas, Basque Writer Associations), radios and transborder television, have been set up. In the economic field, there are the relations between Trade Chambers and the agreements between GuipĂşzcoa and the district of Bayonne. From a geographical point of view, in reality, the two towns are becoming a single city
Atossa’s Dream Yoking Music and Dance, Antiquity and Modernity in Maurice Emmanuel’s Salamine (1929)
This essay explores the conflicting trends of tradition and
modernism, unity and independence in Parisian musical and
dance culture in the late 1920s through an analysis of Maurice
Emmanuel’s (1863-1938) aesthetics of contemporary and
ancient Greek music and dance. It begins by outlining and
critiquing Emmanuel’s relevant scholarly contributions to
ancient Greek dance history and music history before
demonstrating how these tensions manifested in the 1929
production of Emmanuel’s opera Salamine based on
Aeschylus’s The Persians. Exploring Emmanuel’s aesthetics of
music and dance (ancient and modern) affords a unique
opportunity to see how these creative media were theorized
and practiced in the tumultuous years after the Ballets russes,
while illustrating some of the conflicts between what LĂ©andre
Vaillat termed “the academic and the eurhythmic” in dance
and music
Sur quelques similitudes toponymiques galaïco-basques et le problème que posent certaines d'entre elles
The subject of our article is centred on a better knowledge of the similitudes between Galician and Basque historical onomastics (anthroponymy, toponymy, hydronymy and oronymy) in a region of Europe where linguistic contacts in the course of the Antiquity are badly knowLe sujet de l'article est centré sur une meilleure connaissance des similitudes entre les noms de lieux historiques attestés en Galice et dans les Pyrénées, c'est-à -dire dans une région d'Europe où les contacts linguistiques au cours de l'Antiquité sont encore méconnus et surtout mal connu
« Pouvoir réfléchissant » et « force ascensionnelle » : la dynamique régressive de l’ironie
Il s’agira ici de faire apparaître la régressivité — possibilité perpétuelle d’adjoindre un degré supplémentaire à l’énoncé — comme le principe même de l’ironie, ce qui conduit à la concevoir non comme une grille sémiotique et axiologique, mais comme une dynamique. La réflexion part de la cellule de base qu’est le signe ironique en tant que structure hiérarchisée à deux degrés, selon la conception traditionnelle. Cette dualité est d’abord analysée du point de vue sémantique, dans le cadre tropologique, puis sur les plans axiologique, actantiel et énonciatif, ce qui aboutit à l’hypothèse de l’ironie comme trope métadiscursif, cumulant l’usage (au premier degré) et la mention (au second degré). Dans ce cadre, l’ironie se conçoit comme une représentation de représentation, comme un processus d’auto-duplication agissant par réflexivité critique et comique, et donc capable de se perpétuer virtuellement à l’infini puisque, s’appliquant à lui-même, il peut toujours ajouter un degré au précédent, sans pour autant l’annuler : le signe à deux niveaux ne constitue que la réalisation minimale de l’ironie, dont le second degré peut lui-même être réfléchi par un troisième, etc. Le « pouvoir réfléchissant » de l’ironie fait ainsi sa « force ascensionnelle » régressive, selon deux expressions empruntées à Proust.Interne au signe, ce dynamisme permet aussi, à l’échelle d’une oeuvre, de greffer différentes sortes d’ironie les unes sur les autres : la puissance créatrice du processus régressif conduit à envisager son rôle dans l’oeuvre d’art, en l’occurrence À la recherche du temps perdu, dont le texte multiplie de façon exemplaire et retorse les strates d’ironie. La Recherche, qui aura préalablement servi de support à toutes les analyses, permettra, par l’intermédiaire de Bergotte — écrivain ironiste dont le génie consiste dans le « pouvoir réfléchissant » et l’énergie créatrice dans la « force ascensionnelle » —, de poser la question de l’actualisation de la régressivité ironique dans l’oeuvre littéraire.Regressivity, as the perpetual possibility of adding a further degree to an utterance is the very principle of irony, which is thus conceived not under a semiotic and axiological grid, but as a dynamics.Reflection starts from the ironic sign as the basic cell and as a two tiered hierarchical structure, according to the traditional conception. This duality is first analysed from a semantical point of view, within the tropological framework, then on the axiological, actancial and utterance theoretic levels. This leads us to the hypothesis that irony is a metadiscursive trope, bringing together use (first degree) and mention (second degree). Within this framework, irony is a representation of representation, an auto-duplicative process which acts through critical and comical reflectivity, and which is liable to perpetuate itself indefinitely, since, being auto-applicative, a new degree can always be added to the previous one, without cancelling itself : the two tiered sign being only the minimal realisation of irony, whose second degree can itself be reflected through a third, and so on. The “reflective power” of irony thus produces its “ascending force”.This mechanism internal to the sign allows also, at the level of the work, to plug different kinds of ironies onto each other : the creative power of the regressive process allows us to envisage its role in the work of art, in the case at hand in Remembrance of Things Past, whose text multiplies the various layers of irony. Proust’s work, which is here the basis of all our analyses, allows Bergotte — the ironist writer whose genius consists in the “reflective power” and in the “ascending force” — to raise the question of the actualisation of the ironical regressivity of the literary work
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