14 research outputs found

    Dossier spécial “Acteur/Machines”

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    International audienceBilingual issue French/EnglishAlone on stage, playing with an actor or evenhybridising themselves with the performers’bodies, machines—automatons, robots, computersor simple mechanisms—perform onstage. They become multiform and partakein all creative levels. F rom acting-machinesto the machine-actor, from machine plays tomachine code, from flying machines to therise of the machines, a whole section of theperforming arts is now enjoying, with the adventof digital technology, of artificial intelligenceprogrammes and of remote controlling,a spectacular revival.With Louis-Phillipe Demers, Bill Vorn, Heiner Goebbels, Kris Verdonck, Antoine Schmidt, TransquinquennalÉdition bilingue français / anglaisSeules en scène, donnant la réplique, ou encores’hybridant avec les corps des interprètes, lesmachines – qu’elles soient automates, robots,ordinateurs ou simples mécanismes – jouent authéâtre. La machine se conjugue au pluriel et sedéplace sur tous les plans de la création. D esmachines actricesà l’acteur machine, des piècesà machine au langage machine, des machines àvoler à la révolte des machines, c’est tout un pandes arts de la scène qui, à l’heure du numérique,des programmes d’intelligence artificielle et dela commande à distance, trouve un renouveauspectaculaire.Avec Louis-Phillipe Demers, Bill Vorn, Heiner Goebbels, Kris Verdonck, Antoine Schmidt, Transquinquenna

    Les espaces infochorégraphiques d'une danse sans corps

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    La prémisse sur laquelle s'appuie ma recherche-création doctorale est que les technologies de capture du mouvement ont permis l'émergence d'une nouvelle forme de danse : la « danse sans corps ». Dès le départ, cet énoncé, qui apparaît contenir un paradoxe ou même une aberration, soulève de multiples questions que j'aborde tout au long de cette thèse de façon empirique, m'attachant à relever dans ma pratique créatrice les éléments qui pourraient apporter des bases de réponses ou une contribution utile à ceux, chorégraphes, enseignants, chercheurs, danseurs, analystes du mouvement, notateurs et autres, qui questionnent ou simplement s'intéressent à la danse dans son rapport aux technologies. Ma démarche artistique repose sur cette hypothèse qu'il existe des espaces infochorégraphiques pour une « danse sans corps ».C'est par l'observation critique du parcours de création que j'ai vécu pendant ces nombreuses années, par un aller-retour constant entre théories et pratiques que je situerai mon propre travail d'artiste et que j'établirai la validité de cette assertion. Les technologies de capture du mouvement sont au cœur de cette thèse. Comment elles constituent aujourd'hui un outil privilégié de médiation de la danse ouvre un questionnement sur la place qu'elles pourraient occuper dans le champ de la création chorégraphique actuelle. Les technologies numériques de l'information et de la communication en général, et celles de capture du mouvement en particulier, ont en effet connu durant la dernière décennie du XXe siècle et depuis l'entrée dans le XXIe, une progression remarquable. Les prouesses techniques qu'elles proposent aujourd'hui en matière d'enregistrement, de montage et d'effets spéciaux, assorties d'une miniaturisation qui les a considérablement coupées de leur lourdeur tant matérielle que d'opération, sont à ce point attirantes et accessibles que leur usage a connu une croissance phénoménale jusque dans le grand public. Chez les artistes, dans les faits, les NTIC se sont mutées en technologies médiatiques qui pourraient être qualifiées de Nouvelles Technologies de l'Imaginaire et de la Création. Dans ces expressions artistiques inédites que ces technologies permettent de faire naître dans le cyberespace, la danse a elle aussi trouvé un créneau. Elle s'y frotte à des techniques, des pratiques et des processus inusités, mais désormais inévitables. La création, en effet, s'y fait de façon partagée, collaborative, entre divers acteurs artistes, scientifiques, ingénieurs, techniciens, dont chacun, possédant une partie intrinsèque du processus de production, se révèle indispensable à la concrétisation de l'œuvre. Au-delà d'un changement de paradigme dans l'écriture chorégraphique, la « danse sans corps » tient également d'un changement de paradigme dans sa production. Cette thèse permettra de faire connaissance avec quelques-uns des principaux artistes qui procèdent d'une hybridation de la danse et des NTIC. Mais avant tout, elle a pour objet d'investiguer les concepts artistiques, les notions théoriques, pratiques et les technologies que la mise en œuvre de mes créations soulève et leurs liens respectifs afin d'en retirer des informations, sinon des enseignements, qui contribueront à permettre de répondre aux questions soulevées et ce faisant, de favoriser l'identification et la compréhension des multiples enjeux d'une telle pratique interdisciplinaire. Je décrirai dans un ordre chronologique les diverses œuvres que j'ai réalisées au cours des quarante années où j'ai cherché à définir de nouveaux territoires et d'autres expressions pour ma danse d'écran. Je m'attarderai sur celles qui constituent la partie création de ma recherche doctorale : Tabula rasa : la suite, NoBody danse : le prototype et NoBody danse : les photos, et tout particulièrement les deux premières. Je ferai ainsi part des découvertes que cette activité créatrice de longue haleine m'a permis de faire et de définir, m'attardant sur celles, les plus significatives, qui en sont l'aboutissement actuel : la signature kinésique des danseurs et, bien sûr, la danse sans corps. Je terminerai enfin en traitant de la chaîne de liens théorie-pratique qui s'est établie à travers ces divers moments d'engagement dans la création.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : danse, corps, danse sans corps, capture du mouvement, animation 3D, infochorégraphie, particules, technochorégraphie, danse numérique, écriture chorégraphique, traitement de geste

    La choréogénétique, ou, L'art de faire danser l'ADN

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    Ce projet de recherche-création tient du postulat qu'il est possible de composer des chorégraphies en l'absence du chorégraphe. Plus précisément, je propose dans ma thèse de simuler le processus de composition chorégraphique en évacuant tout choix subjectif de la part du chorégraphe. La choréogénétique, c'est l'approche expérimentale qui me permet de répondre à cet objectif théorique. L'ADN, c'est le substrat moléculaire qui me permet pratiquement de remplacer la partition chorégraphique. Deux questions principales motivent mes travaux de recherche doctorale : comment faire danser l'ADN et pourquoi faire danser l'ADN. La première question fait référence à l'aspect scientifique de ma démarche, tandis que la seconde fait appel à des considérations d'ordre artistique. L'ensemble de ma thèse s'inscrit au sein de ce dualisme philosophique : le comment du pourquoi, l'objectif et le subjectif, le quantitatif et le qualitatif. À l'interface des paradigmes de l'art et de la science, ma pratique hybride participe de la rencontre entre ces deux champs de la connaissance. Le chorégraphe est un mutagène sélectif. Ma démarche artistique repose sur cette définition toute simple qui fait office d'hypothèse et de prédiction à la fois. Pour être à même de mettre à l'épreuve la validité de cette hypothèse, j'adopte dans le cadre de ma thèse une approche exploratoire; un aller-retour perpétuel entre la théorie et la pratique. Par l'entremise de la méthode expérimentale, j'évalue mon hypothèse selon différents critères de composition chorégraphique et sous différentes conditions de représentation. Je présente les résultats de six expérimentations chorégraphiques réalisées dans le contexte précis de ma thèse création. Pour certaines œuvres, le chorégraphe est remplacé par un algorithme génétique qui simule in silico des séquences de mouvements. Pour d'autres, c'est la molécule d'ADN que j'utilise in vitro pour générer des partitions chorégraphiques. Dans tous les cas, l'œuvre choréogénétique découle des mutations de séquences de mouvements soumises à la sélection naturelle. Dans tous les cas, c'est un mutagène sélectif distinct qui préside à la composition. J'analyse les différences et les similitudes entre ces expérimentations sur la base de critères quantitatifs et qualitatifs. En prenant forme dans l'espace public, mes performances convoquent différents rapports du corps dansant avec l'espace-temps. Divers types de relation au lieu modulent les conditions de représentation de l'œuvre, tandis que la durée des performances affecte tout autant le danseur que le spectateur. J'aborde également les rapports au corps du danseur dans une perspective génétique et phénoménologique. Finalement, le rapport au public s'inscrit dans le cadre de l'esthétique relationnelle. J'accorde une importance toute particulière à la fonction pédagogique de ma pratique et je discute du rôle du médiateur qui incite à la rencontre du spectateur. J'analyse mes différentes expérimentations en fonction de plusieurs critères d'évaluation de l'art. Je me demande si l'expérimentation choréogénétique est une œuvre d'art, une expérience scientifique ou les deux. À l'aide des notions générique, génétique, intentionnelle, attentionnelle et institutionnelle de l'œuvre d'art, je pose un regard critique sur mon travail. Face aux critiques épistémologiques de ma démarche, j'offre une réponse qui tient d'une sociologie de la transgression en art contemporain. Dans quelles conditions l'art et la science peuvent-elles cohabiter? Cette question fondamentale tisse la trame de fond de ma recherche-création. À la recherche d'un langage commun, l'expérimentation présente une solution méthodologique à la rencontre de ces deux solitudes. De l'interdisciplinarité à la transdisciplinarité et à la paradisciplinarité, je revendique néanmoins le droit de pratiquer l'art et la science en parallèle : ni l'un, ni l'autre, mais les deux. À l'interface de la danse et de la génétique, ma recherche parle également d'art combinatoire, d'art biotechnologique, d'art génératif, d'art corporel, d'art contextuel, d'art relationnel, d'art conceptuel et de performance. Où me classer? Mon travail polymorphe s'apparente au corps protéiforme de l'amibe, en constante transformation, en mutation pour s'adapter à son environnement. Mon travail participe, tant dans le fond que dans la forme, de cette évolution créatrice. Pour terminer, je fais un retour sur l'hypothèse qui m'a permis de réaliser cette recherche-création. J'offre en guise de conclusion une nouvelle hypothèse qui généralise le mutagène sélectif à l'ensemble des pratiques artistiques.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art combinatoire, Art contextuel, Art corporel, Art génératif, Art génétique, Bioart, Danse, Performance, Scienc

    Une bibliographie commentée en temps réel : l'art de la performance au Québec et au Canada = An Annotated Bibliography in Real Time : Performance Art in Quebec and Canada

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    An Annotated Bibliography in Real Time: Performance Art in Quebec and Canada offers a bibliographic survey of writings, publications and printed matter on Quebec and Canadian performance art from the early 20th century to today. This university based research project, not only gathers and annotates but also questions how categories can be cross-read, revisited, and thought of in new ways. A key objective of the bibliography is to enable its future users to consider the various roles and complex networks that continue to shape the medium and practice of performance. This publication is a continuously growing resource that presents both the work of the artists and the history of the works’ reception in the past as well as the present, investigating the correlative relationship between the performer, the spectator and their given time(s). An Annotated Bibliography in Real Time offers a hybrid and discursive perspective on the historization of performance art and sheds light on performance’s many circumstances and modes of production, experience, and reception over time. -- p.

    Archives et création : nouvelles perspectives sur l’archivistique. Cahier 2

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    Ce cahier de recherche fait état des travaux menés au cours de la deuxième étape (2014-2015) du projet « Archives et création : nouvelles perspectives sur l’archivistique ». Les textes sont les suivants : Yvon Lemay et Anne Klein, « Préface », p. 4-5; Yvon Lemay, « Deuxième cahier de recherche : présentation », p. 6-26; Érika Nimis, « Combler les silences de l’histoire africaine. Ou comment des artistes visuels s’approprient des archives photographiques pour éclairer le passé à la lumière du présent », p. 27-42; Hélène Brousseau, « L'utilisation d’archives dans les arts visuels : dialogue entre une artiste et une archiviste », p. 43-58; Simon Côté-Lapointe, « Créer à partir d’archives : bilan, démarches et techniques d’un projet exploratoire », p. 59-95; Annaëlle Winand, « Le concept d’archive(s) et les films de réemploi », p. 96-111; Nicolas Bednarz et Céline Widmer, « Archives au pluriel : le Montréal de 1914-1918. L’expérience d’une création collaborative et multidisciplinaire », p. 112-142; Mattia Scarpulla, « La mémoire performative. Considérations sur les traces de la danse et les dispositifs de capture des mouvements », p. 143-173; Yvon Lemay et Anne Klein, « Quartiers disparus : l’envers du décor », p. 174-190. De plus, le cahier comprend une « Bibliographie » des travaux effectués sur les archives et la création depuis 2007, p. 191-196, et des informations sur « Les auteurs », p. 197.Le projet de recherche est financé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (Programme Savoir, 2013-2016)

    Panorama d'une compagnie de ballet (Les Grands Ballets Canadiens, 1957-1977) : la concrétisation d'une vision

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    Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

    La musique populaire coréenne et son industrialisation : entre idoles scintillantes et rigueur néo-productiviste

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    Le lien réciproque entre musique et mouvement étudié à travers les mouvements induits par la musique

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    Music and movement are inseparable. The movements that are spontaneously procuded when listening to music are thought to be related to the close relationship between the perceptual and motor system in listeners. This particular link is the main topic of this thesis. A first approach was focused on the impact of music-induced movements on music cognition. In two studies, we show that moving along to music neither enhances the retention of new musical pieces (Study 1) nor the retention of the contextual information related to their encoding (Study 2). These results suggest a shallow processing inherent to the expression of musical affordances required for the production of music-induced movements in the motor task. Moreover, they suggest that music is automatically processed in a motoric fashion independantly of the task. Our results also brought forward the importance of the musical groove. A second approach focused on the influence of the perception of musical rhythms on the production of rythmic movements. Our third study tested the hypothesis that different limbs would be differentially influenced depending on the musical tempo. Results show that the tapping taks was the most influenced by the perception of musical rhythms. We argued that this would come from the similar nature of the musical pulse and the timing mecanisms involved in the tapping task and motor resonance phenomena. We also observed different strategies put in place to cope with the task. All these results are discussed in light of the link between perception and action, embodied musical cognition and musical affordances.La musique et le mouvement sont inséparables. Les mouvements produits spontanément lors de l'écoute musicale seraient le reflet d'un lien étroit entre le système perceptif et moteur. Ce lien est l'objet d'étude de cette thèse. Une première approche concernait l'impact des mouvements induits par la musique sur la cognition musicale. Dans deux études, nous montrons que bouger en rythme sur la musique n'améliore ni la rétention de nouveaux morceaux de musique (Etude 1) ni la rétention d'informations contextuelles relatives à leur encodage (Etude 2). Les résultats des ces deux études suggèrent la superficialité du traitement inhérent à l'expression des affordances musicales nécessaire à la production de mouvements induits par la musique dans la tâche motrice ainsi qu'un traitement moteur automatique de la musique indépendamment de la tâche. L'importance du groove musical a également été mise en évidence. Une deuxième approche concernait l'influence de la perception de rythmes musicaux sur la production de mouvements rythmiques. Notre troisième étude testait l'hypothèse selon laquelle les membres du corps seraient influencés de manière différente en fonction du tempo musical. Les résultats montrent que la tâche de tapping était la plus influencée par la perception de rythmes musicaux. Ceci serait dû à la nature similaire de la pulsation musicale et des mécanismes de timing impliqués dans le tapping ainsi qu'à des phénomènes de résonance motrice. Nous avons également observé la mise en place de certaines stratégies face à la tâche. L'ensemble de ces résultats est discuté à la lumière du lien entre perception et action, de la cognition musicale incarnée et des affordances musicales

    Spécification, validation et satisfiabilité [i.e. satisfaisabilité] de contraintes hybrides par réduction à la logique temporelle

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    Depuis quelques années, de nombreux champs de l'informatique ont été transformés par l'introduction d'une nouvelle vision de la conception et de l'utilisation d'un système, appelée approche déclarative. Contrairement à l'approche dite impérative, qui consiste à décrire au moyen d'un langage formelles opérations à effectuer pour obtenir un résultat, l'approche déclarative suggère plutôt de décrire le résultat désiré, sans spécifier comment ce «but» doit être atteint. L'approche déclarative peut être vue comme le prolongement d'une tendance ayant cours depuis les débuts de l'informatique et visant à résoudre des problèmes en manipulant des concepts d'un niveau d'abstraction toujours plus élevé. Le passage à un paradigme déclaratif pose cependant certains problèmes: les outils actuels sont peu appropriés à une utilisation déclarative. On identifie trois questions fondamentales qui doivent être résolues pour souscrire à ce nouveau paradigme: l'expression de contraintes dans un langage formel, la validation de ces contraintes sur une structure, et enfin la construction d'une structure satisfaisant une contrainte donnée. Cette thèse étudie ces trois problèmes selon l'angle de la logique mathématique. On verra qu'en utilisant une logique comme fondement formel d'un langage de « buts », les questions de validation et de construction d'une structure se transposent en deux questions mathématiques, le model checking et la satisfiabilité, qui sont fondamentales et largement étudiées. En utilisant comme motivation deux contextes concrets, la gestion de réseaux et les architectures orientées services, le travail montrera qu'il est possible d'utiliser la logique mathématique pour décrire, vérifier et construire des configurations de réseaux ou des compositions de services web. L'aboutissement de la recherche consiste en le développement de la logique CTLFO+, permettant d'exprimer des contraintes sur les données, sur la séquences des opérations\ud d'un système, ainsi que des contraintes dites «hybrides». Une réduction de CTL-FO+ à la logique temporelle CTL permet de réutiliser de manière efficace des outils de vérification existants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Méthodes formelles, Services web, Réseaux

    Creating for the Stage and Other Spaces: Questioning Practices and Theories

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    Abstract (ENGLISH)-This volume brings together most of the interventions by artists and scholars of the Third EASTAP Conference (European Association for the Study of Theatre and Performance), which should have been held in Bologna from 27 February to 1 March 2020, scheduled among the events of the VIE Festival 2020 and the activities of the Department of the Arts / DAMSLab. When everything was ready, the Conference, the last part of the Festival and the DAMSLab programme were suddenly canceled due to the first restrictions related to the pandemic. Following those sudden and unexpected events, the need to leave memory of the project arose from many quarters. It was thus decided to propose a publication which, while significantly differentiating from the original structure designed for the Conference, explicitly and directly refers to it, remaining an exceptional and significant testimony of the state of studies on theatre and performance in the pre-Covid era. The Conference plan envisaged two macro-sectors which concerned, one, the practices and theories relating to the composition of the texts; the other, the practices and theories relating to the composition of performative events referable to the methods of scenic writing. The volume takes up this polarity by framing it in a different division of relations, which explains – thanks to the groupings and their titles both the relations between text and text and those between sector and sector. The most consistent chapters are dedicated to performance and post-dramatic textuality: Questioning performance: theories and practices (17 reports) and Creating text for the stage: theories and practices (21 reports). The other chapters then come to place themselves in the force field described by these main groupings. Perfomer's body: the dancer, the actor (6 reports) and Creating for other spaces: landscape, sound, multimedia (7 reports) are ideally framed in the polarity of the performace, where to highlight the centrality of the body and the relational dynamics activated by spaces, sounds, and new technologies. Collective creations and community plays (7 reports), on the other hand, focuses on performance and new textuality. __________ Abstract (ITALIANO)-Il presente volume riunisce la maggior parte degli interventi di artisti e studiosi del III Convegno EASTAP (European Association for the Study of Theatre and Performance), che avrebbe dovuto tenersi a Bologna dal 27 febbraio al 1 marzo 2020, calendarizzato tra gli eventi di VIE Festival 2020 e le attività del Dipartimento delle Arti/DAMSLab. Quando tutto era ormai pronto, il Convegno, l’ultima parte del Festival e il programma DAMSLab sono stati improvvisamente annullati a causa delle prime restrizioni legate alla pandemia. In seguito a quei repentini e inattesi eventi, è nata l’esigenza da più parti avvertita di lasciare memoria del progetto. Si è deciso così di proporre una pubblicazione che, pur differenziandosi sensibilmente dalla struttura originaria pensata per il Convegno, a esso si richiamasse esplicitamente e direttamente, restando eccezionale e significativa testimonianza dello stato degli studi sul teatro e la performance nell’era pre-Covid. Il piano del Convegno prevedeva due macrosettori che riguardavano, l’uno, le pratiche e le teorie relative alla composizione dei testi; l’altro, le pratiche e le teorie relative alla composizione di eventi performativi riferibili alle modalità della scrittura scenica. Il volume riprende questa polarità inquadrandola in una diversa ripartizione delle relazioni, che esplicita – grazie ai raggruppamenti e ai loro titoli – sia le relazioni fra testo e testo che quelle fra settore e settore. Alla performance e alla testualità postdrammatica sono dedicati i capitoli più consistenti: Questioning performance: theories and practices (17 relazioni) e Creating text for the stage: theories and practices (21 relazioni). Gli altri capitoli si vengono quindi a posizionare nel campo di forze descritto da questi raggruppamenti principali. Perfomer’s body: the dancer, the actor (6 relazioni) e Creating for other spaces: landscape, sound, multimedia (7 relazioni) si inquadrano idealmente nella polarità della performace, dove evidenziare la centralità del corpo e le dinamiche relazionali attivate dagli spazi, dai suoni e dalle nuove tecnologie. Collective creations and community plays (7 relazioni) si orienta invece fra performance e nuova testualità
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