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    The political purpose of the ‘mixed legal system’ conception in the law of Scotland

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    L'enjeu de la mixité dans un autre mouvement de jeunesse catholique : JOC et JOCF. Une approche historique.

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    Soirée d'étude organisé par les Scouts et Guides de France au Conseil Economique Social et Environnemental dans le cadre de la présentation de leur nouveau projet éducatif et une réflexion nationale sur l'enjeu de la mixité dans l'éducation.Réflexions historiques autour du surgissement de la mixité dans un mouvement de jeunesse d'action catholique spécialisée (JOC-F)

    Public, privé et éducation prioritaire : une analyse de la mixité sociale selon le secteur du collÚge

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    URL des Documents de travail : http://ces.univ-paris1.fr/cesdp/cesdp2016.htmlDocuments de travail du Centre d'Economie de la Sorbonne 2016.48 - ISSN : 1955-611XIn this article, based on social segregation indices (both entropy and exposure indices) for the period 2004-2014, we compare the level of social diversity at the middle school level between private schools, public schools (excluding priority education) and public schools in priority education zones. For a given level of social diversity, we also look at the way advantaged social background pupils might concentrate in some schools. Our results show that private schools are slightly over-represented among schools located at the extremes of the distribution of entropy levels, that is to say, both among the most "mixed" and the most "segregated" schools. However, the nature of social diversity varies between public, private and priority education schools. At given level of entropy, private schools receive relatively less disadvantaged social backgrounds pupils. Focusing on the most "segregated" schools, the complementary use of the standardized exposure index shows that there is a tendency to separate students with advantaged social background and other students in private schools, as well as in public schools (excluding priority education). On the contrary, schools in priority education zones are more homogeneous with a large proportion of disadvantaged social group's pupils.Dans cet article, sur la base d'indices statistiques de sĂ©grĂ©gation (indices d'entropie et d'exposition) portant sur la pĂ©riode 2004-2014, nous analysons et comparons le degrĂ© de mixitĂ© sociale des Ă©tablissements appartenant au secteur privĂ©, au secteur public hors Ă©ducation prioritaire et au secteur public relevant de l'Ă©ducation prioritaire. Nous regardons Ă©galement Ă  niveau de mixitĂ© sociale donnĂ© si les Ă©lĂšves trĂšs favorisĂ©s restent fortement concentrĂ©s dans certains Ă©tablissements ou non. Nos rĂ©sultats montrent que le secteur privĂ© est lĂ©gĂšrement surreprĂ©sentĂ© parmi les Ă©tablissements situĂ©s aux extrĂȘmes de la distribution des niveaux entropie, c'est-Ă -dire Ă  la fois parmi les plus « mixtes » et parmi les plus « sĂ©grĂ©gĂ©s ». Cependant, la nature de cette mixitĂ© varie selon le secteur. A niveau donnĂ© de mixitĂ© sociale, le secteur privĂ© accueille relativement moins d'Ă©lĂšves d'origines sociales dĂ©favorisĂ©es. En se concentrant sur les Ă©tablissements les plus « sĂ©grĂ©gĂ©s », l'utilisation complĂ©mentaire de l'indice d'exposition normalisĂ© montre qu'il existe dans le secteur privĂ© et public hors Ă©ducation prioritaire, une tendance Ă  la sĂ©paration des Ă©lĂšves « trĂšs favorisĂ©s » et des autres groupes. Au contraire, le secteur de l'Ă©ducation prioritaire est homogĂšne et concentre en grande majoritĂ© des groupes sociaux dĂ©favorisĂ©s

    Mixité dans les activités de loisir: la question du genre dans le champ de l'animation. Introduction

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    Depuis le colloque de 2006 intitulĂ© " MixitĂ©, paritĂ©, genre : quels enjeux pour l'animation ? " et la publication de l'ouvrage collectif qui en est issu (Gillet, Raibaud, 2006), des coopĂ©rations scientifiques se sont dĂ©veloppĂ©es. L'une d'entre elles a donnĂ© lieu Ă  la tenue de la journĂ©e d'Ă©tude interdisciplinaire " Genre et animation : des pratiques professionnelles sexuĂ©es en animation " qui est Ă  l'origine du prĂ©sent dossier publiĂ© par Agora dĂ©bats/jeunesses. Nous avons sĂ©lectionnĂ© quatre articles dont le fil conducteur rĂ©side dans les effets, les enjeux et les modalitĂ©s de gestion de la mixitĂ© en termes d'Ă©galitĂ© des sexes et/ou de reproduction des stĂ©rĂ©otypes sexuĂ©s. Ils s'intĂ©ressent aux pratiques sexuĂ©es dans l'animation, qu'elles Ă©manent des enfants et des jeunes participant Ă  des activitĂ©s de loisirs, des encadrant(e)s de ces activitĂ©s sportives, culturelles et artistiques, des Ă©lu(e) s ou des responsables de service municipaux des secteurs de l'enfance, de l'Ă©ducation et/ou de la jeunesse. La mixitĂ© est abordĂ©e comme un processus dĂ©signant " la mise en coexistence des deux sexes dans un mĂȘme espace social " (Fortino, 2002, p. 10). Mettre ensemble ou sĂ©parer les filles et les garçons ou les femmes et les hommes n'est jamais un choix neutre, dans la mesure oĂč ce sont les valeurs, les normes sociales, la morale ou encore l'idĂ©ologie qui dĂ©terminent ce choix (ibid.). Dans notre sociĂ©tĂ©, c'est parce que la mixitĂ© repose sur une conception diffĂ©renciĂ©e des sexes qu'elle apparaĂźt comme un moyen insuffisant pour atteindre l'Ă©galitĂ© des sexes

    Ce que la mixité fait aux élÚves

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    L’article prĂ©sente une synthĂšse de ce que dĂ©voile la recherche en Ă©ducation sur le fonctionnement des classes mixtes, et sur ce que ce mode de fonctionnement doit Ă  la mixitĂ© en tant que telle. Il mobilise les travaux centrĂ©s sur les interactions entre enseignants et Ă©lĂšves, entre Ă©lĂšves, ainsi que ceux, plus rares, qui comparent le fonctionnement des classes mixtes et non mixtes. Il en interroge ensuite les incidences sur les attitudes et les comportements des garçons et des filles, en mobilisant les interprĂ©tations de la psychologie sociale : de fait, la confrontation Ă  l’autre durcit les stĂ©rĂ©otypes du masculin et du fĂ©minin, avec des consĂ©quences concernant notamment la confiance en soi. Dans une derniĂšre partie, le texte engage un dĂ©bat plus normatif sur les politiques Ă©ducatives en matiĂšre de mixitĂ© scolaire, dĂšs lors que, malgrĂ© son Ă©vidence, cette mixitĂ© apparaĂźt porteuse d’effets ambivalents et semble nourrir une discrimination performative. Le dĂ©bat, qui conduit Ă  poser la question de l’opportunitĂ© d’un retour, mĂȘme partiel et temporaire Ă  la non-mixitĂ©, reste trĂšs ouvert car il engage in fine des conceptions du masculin et du fĂ©minin et de la notion mĂȘme d’égalitĂ© qui sont loin d’ĂȘtre consensuelles.The paper provides a synthesis of educational research devoted to the operating of co-educational classes, and assessing the impact of co-education itself. It relies on studies focussed on the interactions between teachers and pupils and between pupils themselves, and also those, less numerous, which compare single-sex and coeducational classes. It questions the impact of that way of operating upon pupils, with respect to the interpretations of social psychologists: actually, it proves that facing the “other” increases the strength of the gender stereotypes, especially regarding self-confidence. In a last part, the text introduces a more normative debate upon the educational policies concerning co-education, since the latter does result, in spite of its obvious aspect, in ambivalent effects and seems to generate what would be a performative discrimination. The debate, which leads to discuss the question of coming back to single-sex classes – even in a limited manner – keeps quite open; that is because it relies in fine on conceptions of masculinity and femininity and on what equality means, which remains to day far from a consensual issue

    La mixitĂ© sociale programmĂ©e en milieu rĂ©sidentiel Ă  l’épreuve des discours critiques internationaux : le cas de Hochelaga Ă  MontrĂ©al

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    Le discours sur la mixitĂ© sociale programmĂ©e en milieu rĂ©sidentiel a refait surface, notamment dans les programmes de revitalisation de quartiers anciens Ă  forte concentration de pauvretĂ©. En se basant sur une Ă©tude des discours des divers intervenants ayant contribuĂ© Ă  la rĂ©alisation du projet Lavo dans le quartier Hochelaga Ă  MontrĂ©al, dans le cadre d’une recherche comparative internationale sur les discours sur la mixitĂ© sociale, les multiples significations de la mixitĂ© sociale sont explorĂ©es plus particuliĂšrement Ă  MontrĂ©al. Compromis immobilier pragmatique typique d’un contexte de gouvernance nĂ©olibĂ©rale, reposant de plus en plus sur les acteurs communautaires et privĂ©s, la mixitĂ© sociale induite par une petite dose de gentrification fait partie d’une lutte contre la ghettoĂŻsation mais est rarement prĂ©sentĂ©e, Ă  la diffĂ©rence de ce qui se dit ailleurs, comme une opportunitĂ© pour consolider la cohĂ©sion sociale.The debate on planned social mix in residential areas has surfaced again, notably with respect to programs designed to revitalize old neighbourhoods where there is significant poverty. On the basis of a study of the positions of the various players who were involved in the Lavo project in Montreal’s Hochelaga district, which was part of an international comparative study of views on social mix, the various meanings of this concept are explored with specific reference to Montreal. A typical pragmatic real estate compromise in a context of neoliberal governance, relying to an increasing extent on community-based and private-sector players, the social mix created by a small dose of gentrification is part of the struggle against ghettoization, but in Montreal, unlike other cities, it is rarely touted as an opportunity to strengthen social cohesion

    DĂ©veloppement d’un indice du potentiel TOD pour l’agglomĂ©ration de MontrĂ©al

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    RĂ©sumĂ© : Les amĂ©nagements axĂ©s sur le transport en commun (transit-oriented development ou TOD) reposent sur la crĂ©ation de dĂ©veloppements rĂ©sidentiels Ă  proximitĂ© d’un nƓud de transport existant. Dans le cadre de cet essai, on cherche plutĂŽt Ă  identifier les quartiers existants de MontrĂ©al possĂ©dant dĂ©jĂ  les caractĂ©ristiques propices Ă  l’amĂ©nagement d’un TOD, mais mal desservis par les transports en commun. En s’inspirant d’une Ă©tude menĂ©e aux Pays-Bas, on a eu recours Ă  une analyse spatiale multicritĂšres afin de concevoir un «indice du potentiel TOD», comportant quatre critĂšres jugĂ©s essentiels, soit : la densitĂ© d’habitants, la mixitĂ© des utilisations du sol, la mixitĂ© sociale, ainsi que la distance aux transports. MalgrĂ© la difficultĂ© d’intĂ©grer l’ensemble des critĂšres identifiĂ©s dans la littĂ©rature, les rĂ©sultats rĂ©vĂšlent un fort potentiel TOD sur le Plateau Mont-Royal, dans le Sud-Ouest, Hochelaga-Maisonneuve et plus particuliĂšrement dans Anjou et Saint-Michel. On recommande notamment un secteur situĂ© dans Saint-Michel, dont le potentiel TOD pourrait ĂȘtre enrichi par la crĂ©ation de plus fortes connexions au rĂ©seau de transports en commun.Abstract : Transit-oriented developments (TODs) tend to be conceived of as newly built residential developments within close proximity to a transit node. Instead, this study aims to identify the existing neighbourhoods in Montreal that already portray characteristics of a TOD, but that are inadequately served by public transportation. Thus, a spatial multi-criteria analysis is performed in order to develop a “TOD Potential Index” based on a similar study in the Netherlands, incorporating four essential criteria, namely population density, land-use mix, social mix, and distance to public transit. Despite the difficulty of integrating the entire set of criteria that have been cited throughout the relevant literature, results show that the strongest TOD potential is found in Plateau Mont-Royal, Sud-Ouest and Hochelaga-Maisonneuve, but particularly in Anjou and Saint-Michel. Further, we recommend a specific sector in Saint-Michel to be targeted for increased TOD while being sustained by stronger links to the greater public transportation network
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