21 research outputs found

    <i>GRIN2A</i>-related disorders:genotype and functional consequence predict phenotype

    Get PDF
    Alterations of the N-methyl-d-aspartate receptor (NMDAR) subunit GluN2A, encoded by GRIN2A, have been associated with a spectrum of neurodevelopmental disorders with prominent speech-related features, and epilepsy. We performed a comprehensive assessment of phenotypes with a standardized questionnaire in 92 previously unreported individuals with GRIN2A-related disorders. Applying the criteria of the American College of Medical Genetics and Genomics to all published variants yielded 156 additional cases with pathogenic or likely pathogenic variants in GRIN2A, resulting in a total of 248 individuals. The phenotypic spectrum ranged from normal or near-normal development with mild epilepsy and speech delay/apraxia to severe developmental and epileptic encephalopathy, often within the epilepsy-aphasia spectrum. We found that pathogenic missense variants in transmembrane and linker domains (misTMD+Linker) were associated with severe developmental phenotypes, whereas missense variants within amino terminal or ligand-binding domains (misATD+LBD) and null variants led to less severe developmental phenotypes, which we confirmed in a discovery (P = 10-6) as well as validation cohort (P = 0.0003). Other phenotypes such as MRI abnormalities and epilepsy types were also significantly different between the two groups. Notably, this was paralleled by electrophysiology data, where misTMD+Linker predominantly led to NMDAR gain-of-function, while misATD+LBD exclusively caused NMDAR loss-of-function. With respect to null variants, we show that Grin2a+/- cortical rat neurons also had reduced NMDAR function and there was no evidence of previously postulated compensatory overexpression of GluN2B. We demonstrate that null variants and misATD+LBD of GRIN2A do not only share the same clinical spectrum (i.e. milder phenotypes), but also result in similar electrophysiological consequences (loss-of-function) opposing those of misTMD+Linker (severe phenotypes; predominantly gain-of-function). This new pathomechanistic model may ultimately help in predicting phenotype severity as well as eligibility for potential precision medicine approaches in GRIN2A-related disorders

    TRANSFERT DU GENE INTRA - RENAL CHEZ LE CHIEN PAR VECTEUR ADENOVIRAL (EFFICACITE ET EVALUATION DE L'INNOCUITE A COURT TERME)

    No full text
    L'utilisation du transfert de gÚne codant pour une molécule biologiquement active est une alternative intéressante au traitement classique des maladies rénales. L'objectif de cette étude est d'évaluer l'efficacité et l'innocuité à court terme du transfert de gÚne par vecteur adénoviral chez le chien. Le vecteur adénoviral porteur du gÚne relevant beta-Gal a été injecté par trois voies : intra-urétérale (IU), intra-artérielle avec clampage de la veine rénale pendant 15 mn (IAC) et intra-artérielle seule. Tous les paramÚtres physiologiques rénaux (Débit de filtration glomérulaire, débit sanguin efficace, fractions excrétées en électrolytes) sont restés stables. Aucune lésion histologique n'a été détectée. Le transfert de gÚne par voie IAC permet l'expression du transgÚne dans la corticale rénale, plus spécifiquement dans les cellules interstitielles. L'expression du transgÚne par voie IU est localisée dans les cellules épithéliales des tubules distaux. Cette étude démontre l'efficacité et l'innocuité à court terme du transfert de gÚne par vecteur adénoviral chez le chien.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Analyse de 645 urocultures réalisées dans l'espÚce Féline entre 2004 et 2008 à l'ENVA (Etude épidémiologique, clinique et microbiologique)

    No full text
    Il s'agit d'une étude rétrospective conduite à l'ENVA entre décembre 2004 et juin 2008 répertoriant les urocultures réalisées chez le chat et plus particuliérement celles révélant une infection du tractus urinaire (positives). Sur la période d'étude, ont été recensées 645 urocultures et la prévalence des infections du tractus chez le chat est de 240 urocultures positves, soit 37%. L'atteinte du bas appareil prédomine trÚs largement. Bien que les infections cliniquement silencieuses soient fréquentes, une hématurie est présente dans 94% des cas. Densité et pH pourraient aider à l'identification de l'espÚce bactérienne responsable. Les infections urinaires sont majoritairement secondaires à un sondage urinaire à demeure ou une urétrostomie. Enterococcus, Escherichia coli, Staphylococcus et Streptococcus représentent prÚs de 80% des uropathogÚnes. Leur prévalence respective demeure stable sur les 3,5 années de l'étude. Plus de la moitié des souches sont multi-résistantes et notamment les souches d'Enterococus résistantes à plus de 3 antibiotiques testés (MDR) sont fréquentes : 90%. L'urétrostomie semble constituer un facteur de prédisposition à l'isolement d'une souche MDR. La résistance aux agents antibiotiques est en diminution ou stable sur 3 ans. Poly-microbisme, souche MDR et sondage urinaire à demeure sont révélateurs de la présence d'infection nosocomiale à l'ENVA.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Evaluation par scintigraphie de l'efficacité du Bénazépril chez des chats insuffisants rénaux chroniques de stade 2 de la classification IRIS

    No full text
    L objectif de l étude était d estimer l efficacité du bénazépril dans le traitement de l insuffisance rénale chronique féline spontanée. Huit chats atteints d insuffisance rénale chronique (de stade 2 de la classification IRIS sans protéinurie ni hypertension) ont été inclus dans l étude. Le protocole comprend deux évaluations similaires (paramÚtres biochimiques plasmatiques et urinaires, paramÚtres hématologiques, pression artérielle et scintigraphie rénale au MAG 3) séparées de six semaines durant lesquelles les chats reçoivent 0,5 mg/kg de bénazépril par jour. Une augmentation significative de la pente de captation et de l AUCcaptation est rapportée. Une aggravation significative de l anémie est observée. Les autres paramÚtres ne sont pas modifiés par le traitement. Un effet bénéfique du bénazépril sur les résistances vasculaires rénales entraßnant une amélioration de la fonction de captation est constaté.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Utilisation d'un nouvel outil pédagogique pour le cours d'urologie, création d'une banque de cas cliniques interactifs sur le réseau intranet de l'ENVA

    No full text
    Par l intermĂ©diaire du logiciel Question Mark PerceptionÂź , nous avons crĂ©Ă© une banque de 3 cas cliniques interactifs en urologie disponibles sur le rĂ©seau intranet de l ENVA. Cette nouvelle mĂ©thode d apprentissage active et assistĂ©e par ordinateur vient complĂ©ter l enseignement d urologie. Par ces trois cas nous traitons de nombreux points abordĂ©s pendant les cours magistraux ce qui permet aux Ă©tudiants d approfondir leurs connaissances, de travailler leur dĂ©marche clinique et de suivre un cas dans son intĂ©gralitĂ©. AprĂšs avoir montrĂ© tout l intĂ©rĂȘt et les possibilitĂ©s de ce logiciel, nous en avons ensuite expliquĂ© le fonctionnement pour la crĂ©ation d un cas. La derniĂšre partie dĂ©taille chacun des 3 cas. Le premier cas expose une urolithiase Ă  oxalate de calcium, le deuxiĂšme cas illustre une infection urinaire rĂ©cidivante et le troisiĂšme cas aborde les affections prostatiques et tout particuliĂšrement les prostatites.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Les lithiases du haut appareil urinaire chez le chien et le chat

    No full text
    Les lithiases du haut appareil urinaire, jusqu'ici considĂ©rĂ©es comme rares chez les carnivores domestiques, se rĂ©vĂšlent ĂȘtre de plus en plus frĂ©quentes au regard des donnĂ©es Ă©pidĂ©miologiques actuelles. La constatation a Ă©tĂ© faite que l'augmentation du nombre de cas, observĂ©e principalement chez le chat, est parallĂšle Ă  l'augmentation de l'incidence des lithiases oxalo-calciques remarquĂ©e depuis une vingtaine d'annĂ©e chez le chat et le chien. Le tableau clinique de cette affection est caractĂ©risĂ© par unie symptomatologie trĂšs frustre voir absente chez l'animal et ce type de lithiase est souvent de dĂ©couverte fortuite. Le dĂ©veloppement rĂ©cent des examens d'imagerie en mĂ©decine vĂ©tĂ©rinaire permet cependant un diagnostic prĂ©cis dans la majoritĂ© des cas et une apprĂ©ciation des retentissements de la lithiase sur l'appareil urinaire en particulier, son caractĂšre obstructif ou non. Ce caractĂšre Ă©tant fondamental dans le choix thĂ©rapeutique. Les recommandations thĂ©rapeutiques actuelles concernant les lithiases du haut appareil urinaire sont de privilĂ©gier le traitement mĂ©dical Ă©tant donnĂ© les nombreuses complications associĂ©es aux chirurgies rĂ©nales et urĂ©tĂ©rales. Les traitements non invasifs comme la lithotripsie extracorporelle, largement utilisĂ©e en mĂ©decine humaine, restent d'utilisation trĂšs anecdotique en mĂ©decine vĂ©tĂ©rinaire. Des Ă©tudes cliniques supplĂ©mentaires s'avĂšrent nĂ©cessaires afin d'optimiser les moyens de traitement aujourd'hui disponibles.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Création d'un nouvel outil pédagogique pour le cours de néphrologie, mise en place d'une banque de cas cliniques sur le réseau Intranet de l'ENVA

    No full text
    L enseignement de nĂ©phrologie des carnivores domestiques est dispensĂ© essentiellement sous forme de cours magistraux au cours du deuxiĂšme cycle d Ă©tudes vĂ©tĂ©rinaires. Afin de complĂ©ter cet enseignement thĂ©orique et de prĂ©parer au mieux les Ă©tudiants Ă  affronter les cliniques et travaux dirigĂ©s, un nouvel outil pĂ©dagogique a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©. Il se prĂ©sente sous forme d une base de cas cliniques interactifs disponibles sur le rĂ©seau informatique. Cet outil permet aux Ă©tudiants de confronter leurs connaissances thĂ©oriques Ă  des cas rĂ©els, de les approfondir, et de suivre le cas dans sa totalitĂ©. AprĂšs avoir justifiĂ© l intĂ©rĂȘt d un tel outil pĂ©dagogique, ce manuscrit prĂ©sente les modalitĂ©s de crĂ©ation des cas avant de dĂ©tailler prĂ©cisĂ©ment chacun d entre eux. Trois cas ayant pour thĂšme commun l insuffisance rĂ©nale ont Ă©tĂ© choisis. Ils ont pour objectif commun de prĂ©senter une dĂ©marche gĂ©nĂ©rale Ă  toute insuffisance rĂ©nale. Le premier cas dĂ©crit la dĂ©marche diagnostique et thĂ©rapeutique face Ă  une insuffisance rĂ©nale chronique, le deuxiĂšme cas montre l intĂ©rĂȘt d une dĂ©marche Ă©tiologique face Ă  une insuffisance rĂ©nale chronique, enfin, le troisiĂšme cas illustre une insuffisance rĂ©nale aiguĂ«.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Etude épidémiologique, clinique et microbiologique des infections urinaires canines à l'ENVA de 2002 à 2007, 543 cas

    No full text
    Il s agit d une Ă©tude rĂ©trospective conduite Ă  l ENVA entre janvier 2002 et dĂ©cembre 2007 rĂ©pertoriant les cas d infections urinaires chez le chien. Sur la pĂ©riode d Ă©tude, ont Ă©tĂ© recensĂ©s 543 premiers Ă©pisodes (613 isolats) et 139 rĂ©cidives (157 isolats). La prĂ©valence des infections du tractus urinaire et la frĂ©quence de rĂ©cidives aprĂšs un premier Ă©pisode infectieux varient avec les critĂšres Ă©pidĂ©miologiques Ă©tudiĂ©s : les diffĂ©rences entre les deux sexes sont Ă  nuancer avec les catĂ©gories d Ăąge. L atteinte du bas appareil prĂ©domine. Bien que les infections cliniquement silencieuses soient frĂ©quentes, une leucocyturie, une hĂ©maturie ou une nitriturie sont prĂ©sentes dans plus de 90% des cas. DensitĂ© et pH peuvent aider Ă  l identification de l espĂšce bactĂ©rienne responsable. E. coli, Staphylococcus intermedius, Proteus mirabilis et Enterococcus faecalis reprĂ©sentent plus de 75% des uropathogĂšnes. Leur prĂ©valence respective demeure stable sur 6 ans. Proteus mirabilis est plus frĂ©quent chez les femelles et E. coli est plus souvent identifiĂ©e chez les individus ĂągĂ©s de 11 ans et plus. D autre part, le genre Klebsiella est plus frĂ©quent chez les chiens avec une dysendocrinie et chez les chiens sondĂ©s et le genre Staphylococcus plus souvent isolĂ© chez les chiens avec urolithiase. Lors de premier Ă©pisode, plus d un tiers des souches sont multi-rĂ©sistantes, frĂ©quence indĂ©pendante du sexe du chien mais tendant Ă  augmenter avec l Ăąge. Sont MDR moins de 2% des souches de Staphylococcus intermedius, moins de 30% des souches d E. coli, prĂšs de 50% des souches de Proteus mirabilis et prĂšs de 75% des souches d Enterococcus faecalis. Les souches MDR sont plus frĂ©quentes lors de cultures poly-microbiennes et d infections secondaires au sondage. La frĂ©quence des souches d E. coli MDR tend Ă  diminuer et elle reste stable pour les autres espĂšces. La rĂ©sistance Ă  certains agents (notamment ampicilline, amoxicilline-acide clavulanique et marbofloxacine chez E. coli) est Ă©galement en diminution mais la frĂ©quence des souches d Enterococcus faecalis rĂ©sistantes Ă  la marbofloxacine est en augmentation. Poly-microbisme, facteurs favorisants et souche MDR en premier Ă©pisode sont des facteurs de risque de rĂ©cidive. Lors de rĂ©cidives, les souches sont plus frĂ©quemment MDR bien que leur frĂ©quence tende Ă©galement Ă  diminuer sur 6 ans. Elles sont Ă©galement plus souvent rĂ©sistantes Ă  la majoritĂ© des agents d intĂ©rĂȘt lors d ITU.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Development and validation of a novel clinical scoring system for short‐term prediction of death in dogs with acute pancreatitis

    Get PDF
    Background: Acute pancreatitis (AP) is associated with a high death rate in dogs, but accurate predictors of early death are still lacking. Objectives: To develop a scoring system for prediction of short-term case fatality in dogs with AP. Animals: One hundred sixty-nine dogs with AP including 138 dogs in the training cohort and 31 dogs in the validation cohort. Methods: Multicenter, retrospective cohort study. Survival analysis was used to assess the associations with short-term death (within 30 days after admission). Independent predictors of death were identified by a stepwise selection method and used for the score calculation. Results: Death rate within 30 days after admission was 33% in the training cohort. Four independent risk factors for short-term death were identified in the training cohort: presence of systemic inflammatory response syndrome, coagulation disorders, increased creatinine and ionized hypocalcemia. Canine Acute Pancreatitis Severity (CAPS) score was developed to predict shortterm death, integrating these 4 factors in a weighted way. A simplified version of CAPS score (sCAPS) including respiratory rate instead of SIRS was also assessed. The area under the receiver-operating characteristic curve (AUC) of CAPS and sCAPS scores was 0.92 in the training cohort with an optimal cutoff of 11 (sensitivity, 89%; specificity, 90%) and 6 (sensitivity, 96%; specificity, 77%), respectively. CAPS and sCAPS score were validated in the validation cohort with respective AUC of 0.91 and 0.96. Conclusions and Clinical Importance: We propose 2 scoring systems that allow early and accurate prediction of short-term death in dogs with AP
    corecore