3 research outputs found

    Defining the structural requirements for ribose 5-phosphate-binding and intersubunit cross-talk of the malarial pyridoxal 5-phosphate synthase

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    Most organisms synthesise the B(6) vitamer pyridoxal 5-phosphate (PLP) via the glutamine amidotransferase PLP synthase, a large enzyme complex of 12 Pdx1 synthase subunits with up to 12 Pdx2 glutaminase subunits attached. Deletion analysis revealed that the C-terminus has four distinct functionalities: assembly of the Pdx1 monomers, binding of the pentose substrate (ribose 5-phosphate), formation of the reaction intermediate I(320), and finally PLP synthesis. Deletions of distinct C-terminal regions distinguish between these individual functions. PLP formation is the only function that is conferred to the enzyme by the C-terminus acting in trans, explaining the cooperative nature of the complex

    Assembly of the eukaryotic PLP-synthase complex from plasmodium and activation of the Pdx1 enzyme

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    Biosynthesis of vitamins is fundamental to malaria parasites. Plasmodia synthesize the active form of vitamin B6 (pyridoxal 5-phosphate, PLP) using a PLP synthase complex. The EM analysis shown here reveals a random association pattern of up to 12 Pdx2 glutaminase subunits to the dodecameric Pdx1 core complex. Interestingly, Plasmodium falciparum PLP synthase organizes in fibers. The crystal structure shows differences in complex formation to bacterial orthologs as interface variations. Alternative positioning of an a helix distinguishes an open conformation from a closed state when the enzyme binds substrate. The pentose substrate is covalently attached through its C1 and forms a Schiff base with Lys84. Ammonia transfer between Pdx2 glutaminase and Pdx1 active sites is regulated by a transient tunnel. The mutagenesis analysis allows defining the requirement for conservation of critical methionines, whereas there is also plasticity in ammonia tunnel construction as seen from comparison across different species.<br/

    Esthétiques

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    Si nous avons l’habitude d’envisager le champ de l’esthétique à la lumière de notre sensibilité et de nos goûts personnels, nous constatons qu’en d’autres temps et en d’autres lieux, il est surtout affaire de conformité, et que l’éventuelle originalité d’un artiste, d’un artisan ou d’un musicien n’y est jugée pertinente que dans la mesure où elle s’inscrit dans les limites assignées par la tradition à la créativité individuelle. Dans le contexte de nombreuses civilisations, de la même façon qu’en Europe au Moyen Age, le terme d’art définit essentiellement un savoir-faire ; la raison d’être des formes qu’il met en œuvre, notamment des formes musicales, procède avant tout de leur efficacité reconnue, tant sur le plan de leur valeur symbolique et de l’usage rituel qui en découle, qu’au niveau des vertus que sa pratique engendre et, accessoirement, à celui des émotions et des réactions qu’elle suscite chez ses destinataires. L’esthétique peut être définie comme la « science du beau culturellement déterminé », et en même temps comme le « pouvoir attractif de la beauté » ; elle se réfère ainsi aux domaines de la métaphysique (dont elle tire ses modèles), de la philosophie (qui en définit les principes), de l’anthropologie culturelle (qui en analyse les champs d’application collectif) et de la psychologie (qui en mesure les effets individuels). La richesse et la diversité des conceptions musicales de l’humanité démontrent que, si la notion d’esthétique est toujours liée à celle d’harmonie, les solutions pour tendre vers cet idéal diffèrent considérablement d’une culture à l’autre. En passant des grands courants de civilisation d’Orient et d’Occident aux expressions populaires du XXe siècle que sont par exemple le blues et le flamenco, sans ignorer certaines cultures encore relativement méconnues d’Afrique, ce volume apporte une nouvelle contribution à la réflexion sur le rôle et la signification de la musique dans la société
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