53 research outputs found

    Antiretroviral-naive and -treated HIV-1 patients can harbour more resistant viruses in CSF than in plasma

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    Objectives The neurological disorders in HIV-1-infected patients remain prevalent. The HIV-1 resistance in plasma and CSF was compared in patients with neurological disorders in a multicentre study. Methods Blood and CSF samples were collected at time of neurological disorders for 244 patients. The viral loads were >50 copies/mL in both compartments and bulk genotypic tests were realized. Results On 244 patients, 89 and 155 were antiretroviral (ARV) naive and ARV treated, respectively. In ARV-naive patients, detection of mutations in CSF and not in plasma were reported for the reverse transcriptase (RT) gene in 2/89 patients (2.2%) and for the protease gene in 1/89 patients (1.1%). In ARV-treated patients, 19/152 (12.5%) patients had HIV-1 mutations only in the CSF for the RT gene and 30/151 (19.8%) for the protease gene. Two mutations appeared statistically more prevalent in the CSF than in plasma: M41L (P = 0.0455) and T215Y (P = 0.0455). Conclusions In most cases, resistance mutations were present and similar in both studied compartments. However, in 3.4% of ARV-naive and 8.8% of ARV-treated patients, the virus was more resistant in CSF than in plasma. These results support the need for genotypic resistance testing when lumbar puncture is performe

    Extracorporeal Membrane Oxygenation for Severe Acute Respiratory Distress Syndrome associated with COVID-19: An Emulated Target Trial Analysis.

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    RATIONALE: Whether COVID patients may benefit from extracorporeal membrane oxygenation (ECMO) compared with conventional invasive mechanical ventilation (IMV) remains unknown. OBJECTIVES: To estimate the effect of ECMO on 90-Day mortality vs IMV only Methods: Among 4,244 critically ill adult patients with COVID-19 included in a multicenter cohort study, we emulated a target trial comparing the treatment strategies of initiating ECMO vs. no ECMO within 7 days of IMV in patients with severe acute respiratory distress syndrome (PaO2/FiO2 <80 or PaCO2 ≥60 mmHg). We controlled for confounding using a multivariable Cox model based on predefined variables. MAIN RESULTS: 1,235 patients met the full eligibility criteria for the emulated trial, among whom 164 patients initiated ECMO. The ECMO strategy had a higher survival probability at Day-7 from the onset of eligibility criteria (87% vs 83%, risk difference: 4%, 95% CI 0;9%) which decreased during follow-up (survival at Day-90: 63% vs 65%, risk difference: -2%, 95% CI -10;5%). However, ECMO was associated with higher survival when performed in high-volume ECMO centers or in regions where a specific ECMO network organization was set up to handle high demand, and when initiated within the first 4 days of MV and in profoundly hypoxemic patients. CONCLUSIONS: In an emulated trial based on a nationwide COVID-19 cohort, we found differential survival over time of an ECMO compared with a no-ECMO strategy. However, ECMO was consistently associated with better outcomes when performed in high-volume centers and in regions with ECMO capacities specifically organized to handle high demand. This article is open access and distributed under the terms of the Creative Commons Attribution Non-Commercial No Derivatives License 4.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/)

    L'hépatite C, pathologie et thérapeutique (approche bibliographique)

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    Dans le monde, la prévalence de l'hépatite C est actuellement d environ 150 millions de personnes, et l'incidence d environ 3 à 4 millions. En France, la prévalence de l'hépatite C chronique est de 230,000 personnes. La transmission se fait très majoritairement par voie parentérale, et principalement chez les utilisateurs de drogues IV. L'infection aigüe évolue dans 80 % des cas vers la chronicité, avec des conséquences potentiellement mortelles : chaque année environ 350,000 personnes décèdent d'une pathologie liée à l'infection à VHC (cirrhose, CHC). En l'attente de vaccin, la prise en charge a considérablement évolué les 20 dernières années, avec un changement de paradigme en 2011 et l'arrivée de la trithérapie associant au standard de traitement peginterféron alfa/ribavirine un DAA permettant d'obtenir une augmentation spectaculaire de la RVP chez les patients infectés par le génotype 1 du VHC. La recherche prophylactique (vaccin) et thérapeutique (vaccin, cocktail oraux) progresse à pas de géant.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Distribution des sous-types du VIH-1 d'une cohorte de patients nantais (analyse du polymorphisme, impact sur la résistance)

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    Le virus de l'immunodéficience humaine de type 1 est caractérisé par une grande variabilité génétique liée à l'absence d'activité corrective de sa transcriptase inverse ainsi qu'à sa capacité de recombinaison entre souches de différents sous-types. De ce fait, on observe une évolution continuelle de la distribution des sous-types du VIH 1 dans le monde et notamment dans les pays occidentaux. Une étude épidémiologique rétrospective réalisée sur 603 patients nantais, montre que depuis quelques années, la prévalence des souches virales de type non B ne cesse d'augmenter : en 2004, elle atteint 46% des patients nouvellement infectés. L'analyse génomique des souches virales de type non B de 53 patients naïfs, montre qu'il existe un polymorphisme naturel sur le gène de la protéase à des positions impliquées dans la résistance des souches de type B. Les mutations 20, 36, 41 et 69 sont fortement représentées dans le groupe non B à l'inverse des mutations 63 et 77 retrouvées plus fréquemment dans le groupe B. Selon l'algorithme d'interprétation des résistances de l'ANRS de juillet 2005, le pourcentage de patients présentant une résistance ou une résistance possible à au moins une molécule de la famille des IP, des INTI et des INNTI est respectivement de 3%, 7,1% et 5,4% pour les sous-types B et de 7,5%, 2,6% et 2,6% pour les sous-types non B. L'existence de souches de sensibilité diminuée aux antirétroviraux chez des patients nouvellement infectés motive la réalisation d'un génotype avant l'initiation d'un traitement.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Recommandations de prise en charge du virus de l'immunodéficience humaine dans les hémisphères Nord et Sud (expérience partagée France - Bénin )

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    Des millions de personnes infectées par le virus de l'immunodéficience humaine sont encore en vie grâce aux investissements réalisés ces dernières années. Mais l'Organisation Mondiale de la Santé préconise de nouvelles lignes directrices, avec notamment l'instauration du traitement antirétroviral à un stade plus précoce de la maladie. Un vaste chantier s'ouvre, car seulement un tiers des patients qui en ont besoin a accès à un traitement dans le monde. Faute d'un accès suffisant, de nombreuses personnes meurent encore chaque jour. Bien que l'amplification de l'accès aux antirétroviraux devienne une urgence pour le Sud, on aborde déjà de nouvelles approches de prévention au Nord. En France par exemple, il n'existe aujourd'hui aucun doute sur le fait que le traitement contribue à réduire le risque de transmission. Cette thèse étudie donc à la fois les recommandations des Nations Unies et celles de la France, tout en développant mes expériences de terrain béninoises et françaises, pour élargir ensuite mon analyse vers la confrontation aux recommandations de prise en charge des patients infectés. Il faudra obligatoirement franchir certains obstacles pour amplifier définitivement l'accès au traitement sur tout le globe ces prochaines années.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Vaccination contre les papillomavirus humains (enquête sur le niveau de connaissance de la population nantaise à l'officine)

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    Le cancer du col de l'utérus est la deuxième cause de cancer chez la femme dans le monde. Même si le risque de cancer cervical est réduit par la pratique du frottis depuis les années 70, celui-ci n'empêche pas le développement des lésions précancéreuses. De plus, le taux de couverture de ce dépistage reste très insuffisant, particulièrement dans les pays en voie de développement, mais également dans les pays développés. Le lien de causalité entre l'infection par certains Papillomavirus Humains (HPV), notamment les types 16 et 18, responsables de 70% des cas de cancers du col a encouragé le développement de vaccins préventifs. Les essais cliniques des vaccins anti-HPV ont montré une prévention de 70 % à 82 % des cas de cancers du col. L'efficacité vaccinale n'est cependant démontrée que chez les jeunes filles jamais exposées aux virus et seulement pour les lésions associées aux types viraux du vaccin. Ces études ont abouti à la mise sur le marché Européen de deux vaccins en 2007. Les autorités françaises ont recommandé la vaccination des jeunes filles de 14 ans et en rattrapage , des jeunes filles et jeunes femmes de 15 à 23 ans n ayant pas eu de rapports sexuels, ou au plus tard dans l'année suivant leur premier rapport. Des interrogations subsistent encore sur plusieurs points comme la population cible à vacciner (femmes adultes, population masculine), la durée de la protection immunologique ou encore la mise en place des futurs protocoles de dépistage. La vaccination anti-HPV et le dépistage des lésions précancéreuses constituent désormais les nouveaux standards de prévention du cancer du col de l'utérus et devraient à l avenir permettre de réduire considérablement l impact de cette maladie. Dans cette optique l accent à été mis sur l'information aussi bien auprès du grand public que du corps médical. Cette thèse dresse un état des lieux des connaissances et perspectives sur l'infection à papillomavirus. Elle rapporte également les résultats d'une enquête sur le niveau de connaissance de la population nantaise à l'officine.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Le rôle des oiseaux dans l'émergence du West Nile virus

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    Le West Nile virus est un arbovirus, qui fait intervenir dans son cycle de transmission les moustiques, en tant que vecteurs et les oiseaux, en tant qu'hôtes principaux. L'homme et le cheval sont des hôtes accidentels. Au cours de ces 20 dernières années, le virus s'est répandu dans de nombreuses régions du monde et son incidence a nettement augmenté, au point d'être considéré comme endémique aux États Unis, et sans doute d'ici peu, dans certains pays d'Europe. Les oiseaux, de part leur mobilité et leur rôle de réservoir, sont en grande partie responsables de ce phénomène. Afin d'étudier leur implication, nous avons tout d'abord fait des rappels sur le virus, puis un état des lieux de la pandémie, et enfin nous avons étudié et comparé deux zones d'émergence que sont les États Unis et l'Europe, en prenant le cas particulier de la France.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Maîtrise de la contamination dans un isolateur de répartition aseptique : expérience menée lors de la qualification initiale d'un nouvel équipement ajouté au sein d'un isolateur de répartition

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    La maîtrise des procédés de fabrication de médicaments stériles doit inclure la parfaite maîtrise de l'environnement de production. Ce dernier doit permettre de réduire au maximum la contamination particulaire et microbiologique que l'on retrouve aussi bien dans l'air extérieur mais aussi et surtout sur l'Homme. Afin de maîtriser au mieux cet environnement, des isolateurs de répartition peuvent être employés. Ces enceintes closes et décontaminables permettent de répartir le produit considéré avec un niveau de sécurité très élevé. Mais ceci à condition de mettre en place des moyens de maîtrise de l'environnement adaptés et un monitoring efficace. Ce sujet a fait l'objet d'un retour d'expérience menée lors d'un stage industriel dans le service chargé des validations. Il permet de mettre en avant l'importance que peut avoir l'environnement lors de la répartition aseptique d'un produit injectable. Ceci par le biais d'une modification apportée au sein d'un isolateur utilisé pour remplir et boucher de manière aseptique des seringues.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    INTERRUPTION THERAPEUTIQUE PROGRAMMEE DES ANTIRETROVIRAUX (SUIVI DE L'EVOLUTION DES RESISTANCES GENOTYPIQUES CELLULAIRES ET PLASMATIQUES DU VIH)

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    ANGERS-BU Médecine-Pharmacie (490072105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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