9 research outputs found

    Rapport IV.13 Méthodes de modélisation du transport et de la dispersion de polluants rejetés en mer

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    Methods for modelling pollutant transport and dispersion from sea outfalls. The concentration field around a pollutant outfall in coastal marine waters is relatively complex to assess if all hydraulic mechanisms are to be taken into account with precision. It is often essential to make use of a mathematical model. However, for rapid approximations or when certain simplifications can be made to the velocity field or to turbulent diffusion assessment, analytical solutions to the diffusion equation can be used. These two contrasting methods are described here : one is based on the ARGOS mathematical model, the other on simple calculation diagrams.L'évaluation du champ de concentration résultant d'un rejet polluant dans les eaux marines littorales est assez complexe si l'on veut tenir compte avec précision de tous les mécanismes hydrauliques. Le recours aux modèles mathématiques est souvent indispensable. Cependant, pour des approches rapides ou lorsque l'on peut faire certaines hypothèses simplificatrices sur le champ des vitesses, ou l'évaluation de la diffusion turbulente, on peut mettre en œuvre des solutions analytiques de l'équation de la diffusion. On présente ici ces deux solutions extrêmes, l'une développée au moyen du modèle mathématique ARGOS, l'autre à partir de simples abaques.Quetin Bernard, Usseglio Polatera Jean-Marc. Rapport IV.13 Méthodes de modélisation du transport et de la dispersion de polluants rejetés en mer. In: L'hydraulique et la maitrise du littoral. Problèmes côtiers posés par le mouvement des sédiments et la pollution. Dix-huitièmes journées de l'hydraulique. Marseille, 11-13 septembre 1984. Tome 4, 1984

    Rapport III.12. DEDALE, un système de modélisation pour la gestion des aquifères côtiers

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    Usseglio Polatera Jean-Marc, Jardin Paul, Molinaro Paolo. Rapport III.12. DEDALE, un système de modélisation pour la gestion des aquifères côtiers. In: Les eaux souterraines et la gestion des eaux. Progrès - qualité - quantité. Vingt et unièmes journées de l'hydraulique. Sophia-Antipolis, 29-31 janvier1991. Tome 3, 1991

    Synergistic impacts of sediment contamination and dam presence on river functioning

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    International audience1. Dam presence is commonly associated with strong accumulation of polluted sediments. In spite of this context of multiple stressors, physical effects are often solely considered in the ecological assessment of the dam impacts. 2. We studied four reservoir/downstream reach systems differing in levels of sediment contamination in reservoirs. Using assemblages and biotrait (i.e. ecological or biological attribute) responses of macroinvertebrate communities and leaf litter breakdown, we examined the individual effects and potential interactions between sediment contamination and dam presence along the gradient of ecotoxic pressure. 3. Leaf breakdown rates ranged from 0.0044 degrees per day in the most contaminated reservoir to 0.0120 degrees per day in the reference reservoir. Comparisons of community trait profiles among reservoirs highlighted a gradient of trait responses to sediment contamination. 4. In the absence of toxic contamination, the dam-induced modifications in biotraits of invertebrate assemblages were not related to a reduction of leaf litter breakdown. Conversely, contaminated sediment in reservoir induced strong functional disturbances (i.e. bioecological shifts and reduction of leaf litter breakdown) downstream of dams. 5. Key biotrait categories positively related to leaf litter breakdown rate have been identified. They corresponded mainly to shredders and/or small-sized (4 cm) species, having several generations per year (polyvoltin), using asexual reproduction and/or disseminating by drift (aquatic, passive). 6. In the current context of ecological continuity restoration, this study has identified the risks associated with the presence of historical contamination in the run-of-river reservoirs for downstream ecosystem health

    Impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Séminaire de travail en région (Nantes)

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    National audienceLe stockage de l'eau a considérablement augmenté dans le monde depuis les années 1950. Les retenues collectent et stockent l'eau, pour l'alimentation des villes en eau potable, à des fins agricoles, industrielles, piscicoles, de loisir ou de soutien d'étiage. En France, les retenues de petites tailles se sont multipliées à la fin du 20ième siècle. Au début des années 2000, on en comptait environ 125 000. La création de nouveaux ouvrages de stockage se poursuit, parallèlement à une recherche de réduction des usages de l'eau. Ces créations soulèvent de nombreuses questions environnementales, notamment en termes d'impact sur le milieu aquatique, en particulier dans les zones déjà très équipées et où les ressources en eau sont d'ores et déjà très mobilisées. La construction d'une nouvelle retenue nécessite réglementairement une déclaration ou la sollicitation d'une autorisation auprès des services de l'Etat, impliquant de réaliser une étude d'impact environnemental du projet. Une telle étude doit dorénavant évaluer les effets cumulés avec d'autres projets équivalents. Cette dimension « cumulée » de l'impact d'ouvrages de stockage d'eau sur un même bassin versant est souvent mal appréhendée, les connaissances et les méthodologies étant peu développées sur cet aspect. Bureaux d'étude et services de l'Etat font ainsi face à un manque d'outils opérationnels leur permettant d'instruire les projets de nouvelles retenues. Ces difficultés en entrainent d'autres au niveau de la planification de la gestion de l'eau et de l'encadrement à la création de telles retenues. Dans ce contexte, le Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer (MEEM), avec l'appui de l'Onema, a sollicité une expertise scientifique collective (ESCo) auprès d'Irstea, en partenariat avec l'Inra, sur l'impact cumulé des retenues d'eau sur le milieu aquatique. Cette ESCo a mobilisé une quinzaine d'experts de différents organismes de recherche et de disciplines variées. Cette ESCo s'est fondée sur l'analyse d'un millier d'articles scientifiques et de rapports internationau

    Impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Expertise scientifique collective. Rapport complet

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    Le stockage de l’eau a considérablement augmenté dans le monde depuis les années 1950. Les retenues collectent et stockent l’eau, pour l’alimentation des villes en eau potable, à des fins agricoles, industrielles, piscicoles, de loisir ou de soutien d’étiage. En France, les retenues de petites tailles se sont multipliées à la fin du 20ième siècle. Au début des années 2000, on en comptait environ 125 000. La création de nouveaux ouvrages de stockage se poursuit, parallèlement à une recherche de réduction des usages de l’eau. Ces créations soulèvent de nombreuses questions environnementales, notamment en termes d’impact sur le milieu aquatique, en particulier dans les zones déjà très équipées et où les ressources en eau sont d’ores et déjà très mobilisées. La construction d’une nouvelle retenue nécessite réglementairement une déclaration ou la sollicitation d’une autorisation auprès des services de l’Etat, impliquant de réaliser une étude d’impact environnemental du projet. Une telle étude doit dorénavant évaluer les effets cumulés avec d’autres projets équivalents. Cette dimension « cumulée » de l’impact d’ouvrages de stockage d’eau sur un même bassin versant est souvent mal appréhendée, les connaissances et les méthodologies étant peu développées sur cet aspect. Bureaux d’étude et services de l’Etat font ainsi face à un manque d’outils opérationnels leur permettant d’instruire les projets de nouvelles retenues. Ces difficultés en entrainent d’autres au niveau de la planification de la gestion de l’eau et de l’encadrement à la création de telles retenues. Dans ce contexte, le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer (MEEM), avec l’appui de l’Onema, a sollicité une expertise scientifique collective (ESCo) auprès d’Irstea, en partenariat avec l’Inra, sur l’impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Cette ESCo a mobilisé une quinzaine d’experts de différents organismes de recherche et de disciplines variées. Cette ESCo s’est fondée sur l’analyse d’un millier d’articles scientifiques et de rapports internationaux

    Impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Expertise scientifique collective. Rapport complet

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    Le stockage de l’eau a considérablement augmenté dans le monde depuis les années 1950. Les retenues collectent et stockent l’eau, pour l’alimentation des villes en eau potable, à des fins agricoles, industrielles, piscicoles, de loisir ou de soutien d’étiage. En France, les retenues de petites tailles se sont multipliées à la fin du 20ième siècle. Au début des années 2000, on en comptait environ 125 000. La création de nouveaux ouvrages de stockage se poursuit, parallèlement à une recherche de réduction des usages de l’eau. Ces créations soulèvent de nombreuses questions environnementales, notamment en termes d’impact sur le milieu aquatique, en particulier dans les zones déjà très équipées et où les ressources en eau sont d’ores et déjà très mobilisées. La construction d’une nouvelle retenue nécessite réglementairement une déclaration ou la sollicitation d’une autorisation auprès des services de l’Etat, impliquant de réaliser une étude d’impact environnemental du projet. Une telle étude doit dorénavant évaluer les effets cumulés avec d’autres projets équivalents. Cette dimension « cumulée » de l’impact d’ouvrages de stockage d’eau sur un même bassin versant est souvent mal appréhendée, les connaissances et les méthodologies étant peu développées sur cet aspect. Bureaux d’étude et services de l’Etat font ainsi face à un manque d’outils opérationnels leur permettant d’instruire les projets de nouvelles retenues. Ces difficultés en entrainent d’autres au niveau de la planification de la gestion de l’eau et de l’encadrement à la création de telles retenues. Dans ce contexte, le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer (MEEM), avec l’appui de l’Onema, a sollicité une expertise scientifique collective (ESCo) auprès d’Irstea, en partenariat avec l’Inra, sur l’impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Cette ESCo a mobilisé une quinzaine d’experts de différents organismes de recherche et de disciplines variées. Cette ESCo s’est fondée sur l’analyse d’un millier d’articles scientifiques et de rapports internationaux

    Impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Expertise scientifique collective. Rapport complet

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    Le stockage de l’eau a considérablement augmenté dans le monde depuis les années 1950. Les retenues collectent et stockent l’eau, pour l’alimentation des villes en eau potable, à des fins agricoles, industrielles, piscicoles, de loisir ou de soutien d’étiage. En France, les retenues de petites tailles se sont multipliées à la fin du 20ième siècle. Au début des années 2000, on en comptait environ 125 000. La création de nouveaux ouvrages de stockage se poursuit, parallèlement à une recherche de réduction des usages de l’eau. Ces créations soulèvent de nombreuses questions environnementales, notamment en termes d’impact sur le milieu aquatique, en particulier dans les zones déjà très équipées et où les ressources en eau sont d’ores et déjà très mobilisées. La construction d’une nouvelle retenue nécessite réglementairement une déclaration ou la sollicitation d’une autorisation auprès des services de l’Etat, impliquant de réaliser une étude d’impact environnemental du projet. Une telle étude doit dorénavant évaluer les effets cumulés avec d’autres projets équivalents. Cette dimension « cumulée » de l’impact d’ouvrages de stockage d’eau sur un même bassin versant est souvent mal appréhendée, les connaissances et les méthodologies étant peu développées sur cet aspect. Bureaux d’étude et services de l’Etat font ainsi face à un manque d’outils opérationnels leur permettant d’instruire les projets de nouvelles retenues. Ces difficultés en entrainent d’autres au niveau de la planification de la gestion de l’eau et de l’encadrement à la création de telles retenues. Dans ce contexte, le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer (MEEM), avec l’appui de l’Onema, a sollicité une expertise scientifique collective (ESCo) auprès d’Irstea, en partenariat avec l’Inra, sur l’impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Cette ESCo a mobilisé une quinzaine d’experts de différents organismes de recherche et de disciplines variées. Cette ESCo s’est fondée sur l’analyse d’un millier d’articles scientifiques et de rapports internationaux

    Impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Expertise scientifique collective. Rapport complet

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    [Departement_IRSTEA]Eaux [TR1_IRSTEA]ARCEAU [TR2_IRSTEA]BELCA [TR2_IRSTEA]QUASARELe stockage de l’eau a considérablement augmenté dans le monde depuis les années 1950. Les retenues collectent et stockent l’eau, pour l’alimentation des villes en eau potable, à des fins agricoles, industrielles, piscicoles, de loisir ou de soutien d’étiage. En France, les retenues de petites tailles se sont multipliées à la fin du 20ième siècle. Au début des années 2000, on en comptait environ 125 000. La création de nouveaux ouvrages de stockage se poursuit, parallèlement à une recherche de réduction des usages de l’eau. Ces créations soulèvent de nombreuses questions environnementales, notamment en termes d’impact sur le milieu aquatique, en particulier dans les zones déjà très équipées et où les ressources en eau sont d’ores et déjà très mobilisées. La construction d’une nouvelle retenue nécessite réglementairement une déclaration ou la sollicitation d’une autorisation auprès des services de l’Etat, impliquant de réaliser une étude d’impact environnemental du projet. Une telle étude doit dorénavant évaluer les effets cumulés avec d’autres projets équivalents. Cette dimension « cumulée » de l’impact d’ouvrages de stockage d’eau sur un même bassin versant est souvent mal appréhendée, les connaissances et les méthodologies étant peu développées sur cet aspect. Bureaux d’étude et services de l’Etat font ainsi face à un manque d’outils opérationnels leur permettant d’instruire les projets de nouvelles retenues. Ces difficultés en entrainent d’autres au niveau de la planification de la gestion de l’eau et de l’encadrement à la création de telles retenues. Dans ce contexte, le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer (MEEM), avec l’appui de l’Onema, a sollicité une expertise scientifique collective (ESCo) auprès d’Irstea, en partenariat avec l’Inra, sur l’impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique. Cette ESCo a mobilisé une quinzaine d’experts de différents organismes de recherche et de disciplines variées. Cette ESCo s’est fondée sur l’analyse d’un millier d’articles scientifiques et de rapports internationaux

    Eutrophisation. Manifestations, causes, conséquences et prédictibilité. Rapport de l'Expertise scientifique collective

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    L’eutrophisation touche de nombreux lacs, réservoirs, rivières et zones côtières, en France et dans le monde. Elle génère des perturbations majeures pour les écosystèmes aquatiques et a des impacts sur les biens et les services associés, sur la santé humaine et sur les activités économiques. Dans certains espaces, elle est devenue une question socialement vive. Les débats sur l’identification des facteurs et des niveaux de risque d’eutrophisation, permettant d’orienter les politiques publiques, ont conduit les ministères en charge de l’environnement et de l’agriculture à confier au CNRS, à l’Ifremer, à l’INRA et à Irstea la réalisation d’une Expertise scientifique collective (ESCo) sur le sujet. Cette ESCo établit un état des lieux critique sur les connaissances scientifiques disponibles au plan international sur les causes, les mécanismes, les conséquences et la prédictibilité des phénomènes d’eutrophisation. Elle identifie les notions considérées comme certaines et celles encore entachées d’incertitudes, les lacunes, les questions faisant l’objet de controverses scientifiques, ainsi que les leviers d’action existants pour endiguer l’eutrophisation
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