26 research outputs found

    Hommage à Claude D'Aoust, 1939-1993

    Get PDF
    En considérant la seule offre de travail des hommes de la tranche d'âge 55-64 ans pour éliminer les effets de génération, les auteurs étudient sur une base économétrique les déterminants de la baisse du taux d'activité des travailleurs âgés au cours de la période 1967-1987. L'approche est réalisée en coupe et en série chronologiques et porte sur l'Allemagne, le Canada, la France, le Royaume- Uni et la Suède, cinq pays à niveaux de développement économique et social comparables.This study analyses a practically unnoticed event that characterized the evolution of almost every labour markets in the industrialized countries: the fact that the participation rates of the 55 to 64 years old maie workers decreased sharply over the last 25 years or so. A decrease standing between 14 and 28 percentage points in our sample.Four types of variables are put forward in order to explain such a fall in participation rates, for five countries (Germany, France, Canada, United Kingdom and Sweden) which experienced somewhat different economie environment and policy changes over the period 1967 to 1987. These variables are the unemployment rate (reverse of employment opportunities), wage growth differentials, social security allowances and specifie mandatory or facultative retirement adjustment measures (income or wealth effects).The paper contains two different models. On the one hand, the first model looks into the general determinants of labour force participation for this age-sex group using pooled annual time series and cross section data (source = OECD) for the five countries already mentioned over the period 1967-1987, and for a strictly common set of explanatory variables. It is found that a large part of both the international an intertemporal variance in the participation rates of the 55 to 64 years old maie workers responds (negatively) to unemployment rates, labour income per worker, social security allowances, and the varying age of mandatory or facultative retirement. On the other hand, the second model follows a comparative estimate method (one separate regression for each country) emphasizing the role of each country's own specificities. In that respect, the paper briefly describes the content of important institutional measures that were developed in the past and assesses their relative contribution to the explanation of the participation rates decline by country. These measures range from changes in the age of mandatory retirement (France and Germany), access to preretirement with actuarial penalties (Canada and Sweden), pre-retirement for job losses, to conditional or unconditional pre-retirement for voluntary dismissals. Pre-retirement for job losses occurs where specifie groups of workers both loose their job and qualify under a minimal age condition (France). Pre-retirement for voluntary dismissal also requires a minimum age condition (Germany) but may also be contingent (France and United Kingdom) upon a replacement condition (one worker out, one worker in).The econometric tools combine corrections for both time and space types of residuals autocorrelation and interacting explanatory variables with country dummies (first model). The robustness of the results is also tested against ordinary least squares, generalized least squares and two units of exchange rates definition for the data on wages.Given the robustness of the results, we do ask whether the reversai of some measures (e.g. raising the age of mandatory retirement) would have a symmetric effect. Given the high dependency of the participation rates of this age-sex group upon unemployment rates and wage growth, this may be the case, but much so in an environment of low unemployment and slow wage growth as experienced mainly in S weden (at least, up to the end of our period of observation). Thus, social security expenditures and specifie ad hoc measures addressed at workers between the age of 55 to 64 may help regulate labour market transitions in the future but with varying success depending upon the economie environment in which they take place

    Le monopole nord-américain de représentation syndicale à la croisée des chemins

    Get PDF
    Plusieurs spécialistes notent l'affaiblissement de la recherche en relations industrielles en Amérique du Nord. Un aspect important fut le déplacement de l'intérêt envers les institutions et les processus vers l'étude des individus. Des disciplines telles le comportement organisationnel et l'économique du travail ont progressé. Un autre développement fut la croissance de la gestion des ressources humaines (GRH) qui a défié l'approche traditionnelle, axée sur l'étude du syndicalisme et de la négociation collective.Cet article présente une situation différente en Grande-Bretagne. Il s'agit d'un essai interprétatif et sélectif basé sur le développement de la recherche. Il ne s'agit pas ici d'examiner des questions théoriques plus larges. Une vue théorique est cependant implicite : la recherche a avancé par un programme progressif d'analyse et cela a produit de nouvelles connaissances. On peut de loin être plus optimiste quant à l'état de la discipline que ne le suggèrent certaines évaluations récentes de la théorie. La force de la recherche britannique reflète plusieurs développements. D'abord, les chercheurs institutionnalistes et pluralistes britanniques ont été plus flexibles dans la définition de leur sujet que ne l'ont été leurs collègues américains. Cela leur a permis d'aborder les sujets associés à la nature de la relation d'emploi, plus particulièrement la négociation continue des dispositions du contrat de travail. Ensuite, l'absence d'obligation légale d'appliquer les conventions a laissé beaucoup de sujets à être réglés au niveau de l'atelier. Cela signifie que les relations de négociation sont demeurées centrales. Finalement, le résultat fut que la tradition d'études de cas est demeurée plus significative qu'en Amérique du Nord.Cette orientation de la recherche a permis aux relations industrielles de contrer le double défi de la croissance de la GRH et du changement dans les politiques publiques, lesquels mettaient en cause les conceptions traditionnelles quant à la valeur de la négociation collective. La conception même de notre champ de recherche a évolué vers la relation d'emploi plutôt que le fonctionnement de la négociation collective. De là, les chercheurs étaient bien placés pour examiner ce que la GRH signifiait en pratique et comment on expérimentait de nouvelles initiatives sur les lieux de travail.Cette approche est illustrée en considérant l'évolution de la méthode d'études de cas et l'éclairage particulier que la recherche en relations industrielles a jeté sur la nature du management. Les études de cas ont de plus en plus fait le lien entre le détail du site à l'étude et des questions plus larges sur la gestion des entreprises et les généralisations pouvant en être tirées. La méthode s'est aussi développée par l'étude comparative et par une plus grande utilisation de techniques d'entrevues structurées.Sur le management, l'emphase que mettent les chercheurs en relations industrielles sur la négociation et le conflit favorise une analyse différente des politiques de gestion. Cela inclut la conceptualisation du processus de gestion et des études empiriques sur les pratiques des gestionnaires. Ces travaux empiriques ont appuyé une analyse critique de la GRH reliant celle-ci a ses contextes et explorant son rôle symbolique.Les chercheurs britanniques se penchent de plus en plus sur des sujets européens et comparatifs. Les bénéfices de la tradition d'études de cas sont ici substantiels puisqu'elle permet d'explorer la dynamique de différents systèmes de régulation du travail. Cependant, la recherche doit rencontrer de nouveaux défis. Peut-on solutionner les difficultés théoriques et pratiques associées aux études transnationales ? De façon plus générale, à mesure que les relations industrielles ouvrent leur champ d'intérêt au management et aux questions internationales, de nouvelles questions de recherche seront soulevées. Évoluer dans cette voie, tout en conservant les forces traditionnelles de la discipline, représente un défi significatif.In contrast to gloomy diagnoses of the state of industrial relations in the United States, the situation in Britain is comparatively healthy. Reasons include the way in which the HRM challenge was met and the intellectual development of the subject from "old" industrial relations towards a deeper analysis of the employment relationship. These reasons are closely connected to the continuation of a case study tradition of research. Examples of such work illustrating this analysis, particularly those exploring management and the nature of HRM, are discussed. A future research agenda comparing national régimes of labour regulation is sketched

    A multi-site review of policies affecting opportunities for children with developmental disabilities to become bilingual

    Get PDF
    This review of special education and language-in-education policies at six sites in four countries (Canada, United States, United Kingdom, and Netherlands) aimed to determine the opportunities for bilingualism provided at school for children with developmental disabilities (DD). While research has demonstrated that children with DD are capable of learning more than one language (see Kay Raining Bird, Genesee, & Verhoeven, this issue), it was not clear whether recent policies reflect these findings. The review, conducted using the same protocol across sites, showed that special education policies rarely addressed second language learning explicitly. However, at all sites, the policies favoured inclusion and educational planning based on individual needs, and thus implied that students with DD would have opportunities for second language learning. The language-in-education policies occasionally specified the support individuals with special needs would receive. At some sites, policies and educational options provided little support for minority languages, a factor that could contribute to subtractive bilingualism. At others, we found stronger support for minority languages and optional majority languages: conditions that could be more conducive to additive bilingualism

    Perspectives in Diabetes. Neonatal beta-Cell Apoptosis. A Trigger for Autoimmune Diabetes?

    No full text
    W niniejszym artykule rozważamy role procesu apoptozy komórek b u noworodków w wyzwalaniu cukrzycy autoimmunologicznej. Wcześniej już wykazaliśmy, że nasilenie apoptozy komórek b występuje u zdrowych szczurów [13]. Podobne nasilenie apoptozy obserwuje się u myszy NOD oraz u szczurów BB, ze szczytem około 13. dnia życia (ryc. 2 i 3). Zapoczątkowanie procesu zapalenia wysp (insulitis) w modelu przyspieszonej cukrzycy autoimmunologicznej u myszy występuje zawsze około 15. dnia życia, bezpośrednio po znaczącym nasileniu procesu apoptozy komórek b [18–20]. Mimo ze apoptoza była uważana za proces nieaktywujący reakcji zapalnych, obecnie jest wiele prac dowodzących niezbicie, że apoptoza może wyzwalać gwałtowne reakcje układu odpornościowego [25–33, 35]. Wszystkie te dane sugerują, że fala apoptozy komórek b u noworodków może być źródłem antygenów niezbędnych do rozpoczęcia autoagresji

    Prediction of spontaneous autoimmune diabetes in NOD mice by quantification of autoreactive T cells in peripheral blood

    No full text
    Autoimmune (type 1) diabetes mellitus results from the destruction of insulin-producing pancreatic β cells by T lymphocytes. Prediction of cell-mediated autoimmune diseases by direct detection of autoreactive T cells in peripheral blood has proved elusive, in part because of their low frequency and reduced avidity for peptide MHC ligands
    corecore