10 research outputs found
Down my the station early in the morning, [first line of chorus]
Performers: Tommy DorseyPiano, Voice and Chord
Archéologie du bâti en Auvergne Rhône-Alpes
Ce volume est le fruit d’un long travail initié il y a une dizaine d’années par un collectif d’archéologues d’Auvergne-Rhône-Alpes, toutes institutions réunies, impliqués dans l’archéologie des édifices conservés en élévation. Exerçant l’archéologie du bâti dans une région française réputée pionnière en la matière, notamment dans le centre ancien de Lyon dès les années 1980, les participants souhaitaient établir un bilan scientifique régional et s’interroger sur l’état de cette spécialité près de quarante ans après ces premières opérations. La publication s’attache donc à promouvoir un champ de la recherche archéologique parfois mal compris, voire controversé, et à en valoriser les résultats de manière très concrète. Au-delà de la communauté scientifique, les auteurs ont cherché à toucher un auditoire élargi, amateurs d’architecture ou acteurs de la protection et de la restauration du patrimoine, en accueillant les exposés de divers protagonistes, architectes, conservateurs, restaurateurs, amenés à fréquenter les archéologues au cours des chantiers. L’Atlas, placé en première partie de l’ouvrage, réunit plus de quatre-vingt notices monographiques d’édifices médiévaux et modernes pour lesquels l’archéologie du bâti constitue la source prioritaire d’information. Ils se répartissent essentiellement dans la Drôme, la Loire, la Haute-Loire, le Puy-de-Dôme et le Rhône et, dans une moindre mesure, dans l’Ain et la Haute-Savoie. Suit, organisé en trois chapitres, une forme de manuel et de traité des idées établis à partir de la somme des observations, expériences et réflexions des chercheurs : méthodes d’analyse, références régionales, cadre pratique de l’archéologie du bâti. Index, glossaires et autre dispositif de renvoi entre l’atlas et les chapitres guident le lecteur à travers une abondante documentation écrite et graphique. Ce copieux volume, très attendu, contribuera de manière éminente à la diffusion des résultats de l’archéologie du bâti dans cette vaste région
Participant Profiling and Pattern of Crop-Foraging in Chacma Baboons (Papio hamadryas ursinus) in Zimbabwe: Why Does Investigating Age–Sex Classes Matter?
International audienceTransformation and loss of natural habitat to urbanization and agriculture provide new opportunities for primates to feed on anthropogenic food sources. Currently, mitigation strategies fail to target the individuals responsible for initiating and maintaining this behavior. As primates mainly forage on crops in groups, we investigate the crop-foraging behavior of a group of 40 chacma baboons in Zimbabwe from the perspective of collective movements, i.e., when a group of animals move together in the same direction, thus resulting in a change of location. We collected data on 110 crop-foraging events during 35 days in March–April 2014. We recorded baboon movement and behavior with a camcorder and obtained further information through video analysis. Most crop-foraging events involved less than 20% of the troop and lasted less than 3 min. Although crop-foraging parties were composed of all age–sex classes, adult females and particularly adult males initiated most crop-foraging events and made direct movements (without stopping on the road) more often than nonadult participants. Baboons made up to five successive attempts to crop forage in a single crop-foraging event. Neither the number of participants nor the success of the crop-foraging events increased over the successive attempts. Finally, crop-foraging events were more successful and more frequent in unguarded areas than in guarded areas. These results suggest that group members are highly synchronized and that crop-foraging is based on a collective decision such as classical foraging movements. In addition, the short duration of the crop-foraging events might prevent detection of baboons by farmers. The more frequent initiation of crop-foraging by adults compared to nonadults might be explained by greater energetic needs or a greater tendency of adults to take risks. These preliminary data can help inform long-term strategies for farmers to reduce crop losses to baboons, as guarding helps reduce damage but does not prevent it