Targeting Lysophosphatidic Acid Signaling Retards Culture-Associated Senescence of Human Marrow Stromal Cells

Marrow stromal cells (MSCs) isolated from mesenchymal tissues can propagate in vitro to some extent and differentiate into various tissue lineages to be used for cell-based therapies. Cellular senescence, which occurs readily in continual MSC culture, leads to loss of these characteristic properties, representing one of the major limitations to achieving the potential of MSCs. In this study, we investigated the effect of lysophosphatidic acid (LPA), a ubiquitous metabolite in membrane phospholipid synthesis, on the senescence program of human MSCs. We show that MSCs preferentially express the LPA receptor subtype 1, and an abrogation of the receptor engagement with the antagonistic compound Ki16425 attenuates senescence induction in continually propagated human MSCs. This anti-aging effect of Ki16425 results in extended rounds of cellular proliferation, increased clonogenic potential, and retained plasticity for osteogenic and adipogenic differentiation. Expressions of p16Ink4a, Rb, p53, and p21Cip1, which have been associated with cellular senescence, were all reduced in human MSCs by the pharmacological inhibition of LPA signaling. Disruption of this signaling pathway was accompanied by morphological changes such as cell thinning and elongation as well as actin filament deformation through decreased phosphorylation of focal adhesion kinase. Prevention of LPA receptor engagement also promoted ubiquitination-mediated c-Myc elimination in MSCs, and consequently the entry into a quiescent state, G0 phase, of the cell cycle. Collectively, these results highlight the potential of pharmacological intervention against LPA signaling for blunting senescence-associated loss of function characteristic of human MSCs

Caeruloplasmin in der Diagnostik gynäkologischer Tumoren

Peer Reviewe

Contribution à l’Amélioration du Rendement du Soja (Glycine Max (L.) Merr.) dans un Contexte de Variabilité Climatique : Cas de la Commune de Banikoara (Nord Benin)

Le soja (Glycine max (L.) Merr.) est une plante moins exigeante en eau mais sensible au stress hydrique. Malgré l’engagement et la volonté des paysans à en produire beaucoup plus, la filière peine à décoller, son rendement moyen tourne autour de 500 kg/ha largement inférieur au rendement potentiel estimé à 3 t/ha. L’objectif général de l’étude est de contribuer à l’amélioration du rendement du soja à travers le choix approprié de dates de semis dans le contexte actuel de variabilité climatique.  La méthodologie adoptée est axée sur l’analyse des données pluviométriques et de l’Evapotranspiration potentielle (ETP) sur la période de 1981 à 2015. L’analyse de la variabilité interannuelle du régime pluviométrique est basée sur l’Indice Pluviométrique Standardisé du cumul annuel. La détermination du début et de la fin de la saison des pluies a été effectuée à l’aide du logiciel Instat + à partir de la méthode de SIVAKUMAR. Les approches du bilan hydrique ont permis de déterminer les périodes favorables à la culture du soja. Dans le but de proposer une date de semis pour le soja dans cette Commune, une expérimentation a été réalisée à travers un dispositif comportant quatre (4) dates de semis (1er juillet, 15 juillet, 1er Août et 15 Août) répété chacun quatre fois d’où quatre traitements par bloc. Sur le site expérimental les paramètres de rendement du soja ont été évalués. De plus, la comparaison de l’ETM (calculée par stade de développement du soja) et de la pluviométrie (moyenne obtenu par stade de développement) a été également faite. Les résultats ont révélé que la commune de Banikoara est caractérisée par une variabilité climatique sous la forme d’une alternance d’années déficitaires et excédentaires et présente une tendance à la hausse avec une moyenne pluviométrique de 1136 mm sur la période d’étude. L’ETP moyenne sur la période est 1710mm. La variabilité pluviométrique a induit un raccourcissement drastique (de 159 à 129 Jours) sur la durée de la saison pluvieuse dans la commune. Le bilan climatique a permis de déceler les périodes de mi-Mai à Octobre comme périodes favorables à la culture du soja. L’expérimentation a montré que les dates de semis ont en générale une  influence fortement significative sur la production du soja (p<0,05) et que les semis du 15 juillet ont donné un bon rendement suggérant ainsi la période du 1er et 15 Juillet comme propice pour le semis du soja dans la commune