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    Use of a Remote Car Starter in Relation to Smog and Climate Change Perceptions: A Population Survey in Québec (Canada)

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    Remote car starters encourage motorists to warm up their vehicles by idling the motor – thus increasing atmospheric pollutants, including several greenhouse gas (GHG) with impacts on public health. This study about climate change (CC) adaptation and mitigation actions examined perceptions on air pollution and climate change and individual characteristics associated with the use of a remote car starter. A telephone survey (n = 2,570; response rate: 70%) of adults living in Québec (Canada) measured the respondents’ beliefs and current behaviours regarding CC. Approximately 32.9% (daily car users) and 27.4% (occasional users) reported using a remote car starter during winter. The odds of the use of a remote car starter was higher in the less densely populated central (OR: 1.5) and peripheral regions (OR: 2.7) compared to the urban centers (ex. Montreal). The odds was also higher in population with a mother tongue other than English or French (OR: 2.6) and francophones than anglophones (OR: 2.1), women than men (OR: 1.5), daily drivers than occasional ones (OR: 1.2), and respondents who at least sometimes consulted temperature/humidity reports than those who consulted them less often (OR: 1.5). In multivariate analysis, the perception of living in a region susceptible to winter smog, being aware of smog warnings, or the belief in the human contribution to CC did not significantly influence the use of a remote car starter. The use of remote car starters encourages idling which produces increased atmospheric pollution and GHG production and it should be more efficiently and vigorously managed by various activities. A five-minute daily reduction in idling is equivalent to reducing the total car emissions by 1.8%. This would constitute a “no-regrets” approach to CC as it can simultaneously reduce GHG, air pollution and their health impacts

    Plus de la moitié de la population a changé au moins une fois de commune en vingt ans

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    [fre] Certains individus bougent plus que d'autres : qui a changé de région entre 1968 et 1975 a cinq fois plus de chances de le faire encore entre 1975 et 1982 qu'une personne qui est restée dans la même région. Les cadres de la Fonction publique bougent beaucoup, et surtout loin. . Un grand nombre de migrations s'effectuent entre communes voisines : ainsi 50% des mouvements de la période 1962-1982 sont inférieurs à 30 kilomètres. 1 6 % des individus recensés en métropole en 1962 et 1982 résident dans des régions différentes à ces deux dates. . Enfin, on retrouve ici les grandes tendances établies par ailleurs : l'Île-de-France est la région d'où l'on part le plus, le Sud et l'Ouest sont des pôles d'attraction. [spa] Más de la mitad de la población cambió de municipio por lo menos una vez en 20 años - Algunos individuos tienen mayor movilidad que otros : la persona que cambió de region entre 1968 y 1975 tiene, en promedio, el quintuplo de oportunidades de volver a hacerlo entre 1975 y 1982 con respecto a alguien que permaneció siempre en la misma region. Los funcionarios de la Administración Pública se desplazan mucho y lejos. . Un número importante de migraciones se efectúan entre municipios vecinos : es asi como el 50 % de los movimientos registrados en el periodo 1962-1982 tuvieron lugar dentro de un sárea no superior a los 30 km. Un 16 % de los individuos censados en la metrópoli en 1962 y en 1982 residian en regiones diferentes en ambas fechas. . Por último, se pueden observar aqul las grandes tendencias ya establecidas de antemano : la gente deja con major frecuencia la región Ile-de-France mientras que el Sud y el Oeste siguen constituyendo los mayores polos de atracción. [eng] Nearly half of the population moved from one district to another at least once during a 20 years period - Certain individuals move more than others: those who moved from one region to another between 1968 and 1975 were five times more likely to do it again between 1975 anbd 1982 than someone who had not changed his residence in the first period. Civil Service executives moved a lot, and characteristically a great distance. . A large number of the migrations were between neighboring districts: thus, 50% of the moves during the 1962-1982 period did not exceed 30 km. 16% of the individuals registered as inhabitants of metropolitan France by both the 1962 and 1982 censuses, lived in different regions at the two dates. . The two tendencies that have been established by other data can also be found here: Ile de France was the region people left the most, and the South and The West were poles of attraction.

    Évolution des disparités géographiques de fécondité de 1954 à 1982

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    Evolution of fertility regional disparities from 1954 to 1982. Since 1954, a geographical homogénéisation process characterizes fertility in France : reduction in the relative dispersion of regions and «départements» fertility indicators; convergence of fertility in rural communes (traditionary the most fertile) and big agglomerations to the national average; slight diminution of regional differences in the proportion of illegitimate births.Depuis 1954, un processus d'homogénéisation géographique caractérise la fécondité française : réduction des disparités relatives des niveaux de fécondité régionaux et départementaux; alignement sur la moyenne nationale des communes rurales d'une part (traditionnellement les plus fécondes), et des grandes agglomérations d'autre part; légère diminution des différences régionales dans les proportions de naissances hors mariage.Sautory Olivier. Évolution des disparités géographiques de fécondité de 1954 à 1982. In: Espace, populations, sociétés, 1986-2. Visages de la population de la France - Faces of french population [Changements démographiques et géographiques de la population de la France. Poitiers novembre 1985.] pp. 37-46

    De l'organisation des journées à l'organisation de la semaine : des rythmes de travail socialement différenciés

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    Les rythmes et modes d’organisation du travail ont beaucoup évolué au cours de ces dernières décennies : augmentation du travail le week‑end, accroissement des horaires irréguliers et imprévisibles, réduction du temps de travail. La dernière enquête Emploi du temps permet de dresser un état des lieux des horaires de travail en 2010. La description fine des heures travaillées au cours d’une semaine permet de distinguer huit types de journées (standard, longues, demi‑journées, décalées matin, après‑midi soirée, ou nuit, fragmentées, courtes) et neuf types de semaines de travail – les huit premières dominées chacune par l’un des types de journées identifiés, la dernière caractérisée par de nombreux jours de repos. La semaine standard reste la plus fréquente et concerne en grande partie les professions intermédiaires. La semaine longue touche davantage les non‑salariés et les cadres ayant une lourde charge de travail et des horaires peu prévisibles mais qu’ils maîtrisent davantage que d’autres salariés. Les semaines décalées sont plus fréquentes dans les grands établissements et résultent du mode d’organisation particulier qu’est l’alternance des horaires de travail, observée le plus souvent chez les ouvriers de l’industrie et les professions intermédiaires de la santé. Les semaines atypiques s’observent dans des secteurs et des professions variés, mais surtout chez les employés non qualifiés. Les salariés concernés cumulent plus de contraintes horaires et déclarent plus souvent chercher un autre emploi. En lien avec la réduction du temps de travail, les semaines normales de travail – sans congés, ni jours de RTT – sont moins fréquentes en 2010 qu’en 1998. Les semaines longues semblent également moins nombreuses. Sur la période, d’autres facteurs ont pu affecter l’emploi du temps des actifs (législatifs, conjoncturels, structure de la main d’oeuvre, changements organisationnels) et conduire à des évolutions différenciées selon les catégories socioprofessionnelles.Sautory Olivier, Zilloniz Sandra. De l'organisation des journées à l'organisation de la semaine : des rythmes de travail socialement différenciés. In: Economie et statistique, n°478-480, 2015. pp. 155-188
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