6 research outputs found

    Nonpoint source pollution: An experimental investigation of the Average Pigouvian Tax

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    The “Average Pigouvian Tax” (APT) was proposed by Suter et al. (2008) to reduce the financial burden of the standard ambient tax. This instrument consists in a standard ambient tax divided by the number of firms, which requires polluters to cooperate in order to achieve the social optimum. To enable polluters to cooperate, communication is allowed. We introduce different types of communication: cheap talk, exogenous costly communication (communication is imposed), and endogenous costly communication (conducted on a voluntary basis after a vote). Our experiment confirms that the instrument induces polluters to reduce their emissions under cheap talk. However, we find that group emissions are less reduced when communication is costly. This result still holds even when we endogenize communication by introducing a voting phase

    Efficiency and acceptability in the regulation of non-point source pollution : experiments on cooperative ambient-based instruments.

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    L’objectif du travail de thèse a été de tester en laboratoire l’efficacité de deux variantes de taxe ambiante (Taxe Pigouvienne Moyenne et Taxe Ambiante Plafonnée) qui présentent l’avantage de réduire les charges en cas de taxation mais dont l’efficacité nécessite que les pollueurs coordonnent leurs efforts. Pour permettre cette coordination, trois formes de communication (communication gratuite ou « cheap talk », communication coûteuse endogène et exogène) ont été testées. Les résultats montrent que le sucker’s payoff et la taille des groupes sont déterminants dans le potentiel du cheap talk à induire de la coopération. Lorsque la communication est coûteuse et exogène, l’impact positif de la communication est limité dans le temps. Cependant lorsque la décision de communiquer moyennant un coût revient aux joueurs, ceux-ci choisissent de ne pas communiquer. Nous avons aussi montré que le cheap talk facilite la coordination vers l’équilibre Pareto-dominant et rend ainsi la Taxe Ambiante Plafonnée efficace.The purpose of this thesis was to test in laboratory the efficiency of two variants of the ambient tax (Average Pigovian Tax and Capped Ambient Tax) that present the advantage of reducing the financial burden imposed through taxation but whose efficiency requires that polluters coordinate their efforts. To enable this coordination, three types of communication (“cheap talk” or costless communication, exogenous costly communication and endogenous costly communication) are tested.The results show that the sucker’s payoff and the size of the groups are crucial in the potential of cheap talk to induce cooperation. When the communication is costly and exogenous, cooperation is limited in time. However when the decision to communicate for a price is up to the players, they decide not to communicate. We’ve also shown that cheap talk facilitates coordination towards the Pareto-dominant equilibrium and makes the Capped Ambient Tax efficient

    Efficiency and acceptability in the regulation of non-point source pollution : experiments on cooperative ambient-based instruments.

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    L’objectif du travail de thèse a été de tester en laboratoire l’efficacité de deux variantes de taxe ambiante (Taxe Pigouvienne Moyenne et Taxe Ambiante Plafonnée) qui présentent l’avantage de réduire les charges en cas de taxation mais dont l’efficacité nécessite que les pollueurs coordonnent leurs efforts. Pour permettre cette coordination, trois formes de communication (communication gratuite ou « cheap talk », communication coûteuse endogène et exogène) ont été testées. Les résultats montrent que le sucker’s payoff et la taille des groupes sont déterminants dans le potentiel du cheap talk à induire de la coopération. Lorsque la communication est coûteuse et exogène, l’impact positif de la communication est limité dans le temps. Cependant lorsque la décision de communiquer moyennant un coût revient aux joueurs, ceux-ci choisissent de ne pas communiquer. Nous avons aussi montré que le cheap talk facilite la coordination vers l’équilibre Pareto-dominant et rend ainsi la Taxe Ambiante Plafonnée efficace.The purpose of this thesis was to test in laboratory the efficiency of two variants of the ambient tax (Average Pigovian Tax and Capped Ambient Tax) that present the advantage of reducing the financial burden imposed through taxation but whose efficiency requires that polluters coordinate their efforts. To enable this coordination, three types of communication (“cheap talk” or costless communication, exogenous costly communication and endogenous costly communication) are tested.The results show that the sucker’s payoff and the size of the groups are crucial in the potential of cheap talk to induce cooperation. When the communication is costly and exogenous, cooperation is limited in time. However when the decision to communicate for a price is up to the players, they decide not to communicate. We’ve also shown that cheap talk facilitates coordination towards the Pareto-dominant equilibrium and makes the Capped Ambient Tax efficient

    Efficacité et acceptabilité de la régulation de la pollution diffuse : expériences sur des variantes coopératives de type « taxe ambiante »

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    The purpose of this thesis was to test in laboratory the efficiency of two variants of the ambient tax (Average Pigovian Tax and Capped Ambient Tax) that present the advantage of reducing the financial burden imposed through taxation but whose efficiency requires that polluters coordinate their efforts. To enable this coordination, three types of communication (“cheap talk” or costless communication, exogenous costly communication and endogenous costly communication) are tested.The results show that the sucker’s payoff and the size of the groups are crucial in the potential of cheap talk to induce cooperation. When the communication is costly and exogenous, cooperation is limited in time. However when the decision to communicate for a price is up to the players, they decide not to communicate. We’ve also shown that cheap talk facilitates coordination towards the Pareto-dominant equilibrium and makes the Capped Ambient Tax efficient.L’objectif du travail de thèse a été de tester en laboratoire l’efficacité de deux variantes de taxe ambiante (Taxe Pigouvienne Moyenne et Taxe Ambiante Plafonnée) qui présentent l’avantage de réduire les charges en cas de taxation mais dont l’efficacité nécessite que les pollueurs coordonnent leurs efforts. Pour permettre cette coordination, trois formes de communication (communication gratuite ou « cheap talk », communication coûteuse endogène et exogène) ont été testées. Les résultats montrent que le sucker’s payoff et la taille des groupes sont déterminants dans le potentiel du cheap talk à induire de la coopération. Lorsque la communication est coûteuse et exogène, l’impact positif de la communication est limité dans le temps. Cependant lorsque la décision de communiquer moyennant un coût revient aux joueurs, ceux-ci choisissent de ne pas communiquer. Nous avons aussi montré que le cheap talk facilite la coordination vers l’équilibre Pareto-dominant et rend ainsi la Taxe Ambiante Plafonnée efficace

    Is the “average Pigouvian tax” robust to the size of the group of polluters?

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    We study the “average Pigouvian tax” (APT), an ambient-based policy instrument that requires polluters to cooperate to achieve the social optimum. In this paper, we are interested in the group size variation and its effect of the APT efficiency. Indeed, in the field, the implementation of the instrument will face group sizes that can vary from a few to a large number of farmers.We find that increasing the size of the group reduces cooperation among subjects, thereby reducing the efficiency of the instrument. We also show that when the sucker’s cost is lowered, the instrument can converge towards the social optimum

    Évaluation des services écosystémiques du Banc d'Arguin, Mauritanie : rapport final

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    Cette étude est la première du genre portant sur cette vaste aire protégée, à la fois marine et terrestre. Elle a été réalisée par un consortium de consultants et financée par le FFEM, l’AFD et le BaCoMab pour le Parc national du Banc d’Arguin (PNBA).Selon cette étude, la valeur annuelle des principaux services de régulation et d’approvisionnement est estimée à 8,1 milliards MRU par an soit 198,8 millions €/an. Les deux services les plus importants sont ceux relatifs à la séquestration du carbone fournie par les herbiers (3,3 milliards MRU) et à la contribution du PNBA aux pêcheries de la ZEE de la Mauritanie (3 milliards MRU). Parmi les autres services de support et de régulation évalués, ceux de nurserie et de bioremédiation affichent des valeurs monétaires respectives de 92 et 49 millions MRU/an. Le service de prélèvement par la flotte de pêche artisanale atteint 52 millions MRU/an. La valeur de non usage du PNBA se situe a 1,6 milliard MRU d’après la perception de l’importance accordée aux différents services écosystèmiques par les Mauritaniens.Les services évalués concernent essentiellement la partie maritime du PNBA qui couvre 5400 km2.L’étude met aussi en avant le rôle fondamental du PNBA pour la pêche opérant dans la ZEE de la Mauritanie, pour la séquestration du carbone atmosphérique et dissous, pour les populations d’oiseaux et les services qu’ils apportent et pour l’identité Imraguen. Outre la valeur économique des principaux services rendus par les écosystèmes du Banc d’Arguin, la préservation des milieux naturels et de la faune associée au PNBA est favorable a l’atteinte des objectifs des différentes conventions et traites internationaux dont la Mauritanie est signataire. La part de CO2 séquestre annuellement par les écosystèmes marins du Parc national du Banc d’Arguin atteint 732 057 tCO2eq soit 11 % des émissions de GES du pays
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