11 research outputs found

    V-ATPase is a pH sensor controlling vesicular membrane fusion

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    International audienc

    The molecular basis of p21-activated kinase-associated neurodevelopmental disorders: From genotype to phenotype

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    International audienceAlthough the identification of numerous genes involved in neurodevelopmental disorders (NDDs) has reshaped our understanding of their etiology, there are still major obstacles in the way of developing therapeutic solutions for intellectual disability (ID) and other NDDs. These include extensive clinical and genetic heterogeneity, rarity of recurrent pathogenic variants, and comorbidity with other psychiatric traits. Moreover, a large intragenic mutational landscape is at play in some NDDs, leading to a broad range of clinical symptoms. Such diversity of symptoms is due to the different effects DNA variations have on protein functions and their impacts on downstream biological processes. The type of functional alterations, such as loss or gain of function, and interference with signaling pathways, has yet to be correlated with clinical symptoms for most genes. This review aims at discussing our current understanding of how the molecular changes of group I p21-activated kinases (PAK1, 2 and 3), which are essential actors of brain development and function; contribute to a broad clinical spectrum of NDDs. Identifying differences in PAK structure, regulation and spatio-temporal expression may help understanding the specific functions of each group I PAK. Deciphering how each variation type affects these parameters will help uncover the mechanisms underlying mutation pathogenicity. This is a prerequisite for the development of personalized therapeutic approache

    Description clinique et analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype dans une cohorte de patients atteints d’une dĂ©ficience intellectuelle liĂ©e Ă  des mutations du gĂšne PAK3

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    International audienceLa prĂ©valence de la dĂ©ficience intellectuelle (DI) est estimĂ©e entre 2 Ă  3% de la population gĂ©nĂ©rale. Chez les individus de sexe masculin 5 Ă  10% des DI seraient liĂ©es Ă  l’X. On connait actuellement 146 gĂšnes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogĂšne retrouvĂ© dans le gĂšne PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifiĂ© par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liĂ©e Ă  l’X. Les patients, dĂ©crits comme peu dysmorphiques, avaient une microcĂ©phalie et des troubles du comportement, hyperactivitĂ© dans l’enfance et hĂ©tĂ©roagressivitĂ© Ă  l’ñge adulte. Notre Ă©tude multicentrique rĂ©trospective avait pour objectif de dĂ©crire les caractĂ©ristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gĂšne PAK3 puis de faire une analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype. Elle a portĂ© sur dix patients recrutĂ©s en France et quarante-cinq patients de la littĂ©rature. Nous avons retrouvĂ© une DI non spĂ©cifique associĂ©e Ă  une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcĂ©phalie dans 46% et des rĂ©flexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement prĂ©sents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hĂ©tĂ©roagressivitĂ© dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractĂšres spĂ©cifiques, mais des oreilles longues sont retrouvĂ©es chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agĂ©nĂ©sie du corps calleux est retrouvĂ©e dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cĂ©rĂ©brale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en Ă©vidence de corrĂ©lation gĂ©notype-phĂ©notype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sĂ©vĂšre que les autres. Une nouvelle Ă©tude avec un plus grand nombre de patients et davantage de donnĂ©es d’imagerie cĂ©rĂ©brale serait intĂ©ressante pour Ă©valuer la frĂ©quence de l’agĂ©nĂ©sie du corps calleux et dĂ©finir si elle est liĂ©e Ă  certains types de mutations

    Description clinique et analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype dans une cohorte de patients atteints d’une dĂ©ficience intellectuelle liĂ©e Ă  des mutations du gĂšne PAK3

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    International audienceLa prĂ©valence de la dĂ©ficience intellectuelle (DI) est estimĂ©e entre 2 Ă  3% de la population gĂ©nĂ©rale. Chez les individus de sexe masculin 5 Ă  10% des DI seraient liĂ©es Ă  l’X. On connait actuellement 146 gĂšnes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogĂšne retrouvĂ© dans le gĂšne PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifiĂ© par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liĂ©e Ă  l’X. Les patients, dĂ©crits comme peu dysmorphiques, avaient une microcĂ©phalie et des troubles du comportement, hyperactivitĂ© dans l’enfance et hĂ©tĂ©roagressivitĂ© Ă  l’ñge adulte. Notre Ă©tude multicentrique rĂ©trospective avait pour objectif de dĂ©crire les caractĂ©ristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gĂšne PAK3 puis de faire une analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype. Elle a portĂ© sur dix patients recrutĂ©s en France et quarante-cinq patients de la littĂ©rature. Nous avons retrouvĂ© une DI non spĂ©cifique associĂ©e Ă  une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcĂ©phalie dans 46% et des rĂ©flexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement prĂ©sents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hĂ©tĂ©roagressivitĂ© dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractĂšres spĂ©cifiques, mais des oreilles longues sont retrouvĂ©es chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agĂ©nĂ©sie du corps calleux est retrouvĂ©e dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cĂ©rĂ©brale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en Ă©vidence de corrĂ©lation gĂ©notype-phĂ©notype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sĂ©vĂšre que les autres. Une nouvelle Ă©tude avec un plus grand nombre de patients et davantage de donnĂ©es d’imagerie cĂ©rĂ©brale serait intĂ©ressante pour Ă©valuer la frĂ©quence de l’agĂ©nĂ©sie du corps calleux et dĂ©finir si elle est liĂ©e Ă  certains types de mutations

    Description clinique et analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype dans une cohorte de patients atteints d’une dĂ©ficience intellectuelle liĂ©e Ă  des mutations du gĂšne PAK3

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    International audienceLa prĂ©valence de la dĂ©ficience intellectuelle (DI) est estimĂ©e entre 2 Ă  3% de la population gĂ©nĂ©rale. Chez les individus de sexe masculin 5 Ă  10% des DI seraient liĂ©es Ă  l’X. On connait actuellement 146 gĂšnes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogĂšne retrouvĂ© dans le gĂšne PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifiĂ© par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liĂ©e Ă  l’X. Les patients, dĂ©crits comme peu dysmorphiques, avaient une microcĂ©phalie et des troubles du comportement, hyperactivitĂ© dans l’enfance et hĂ©tĂ©roagressivitĂ© Ă  l’ñge adulte. Notre Ă©tude multicentrique rĂ©trospective avait pour objectif de dĂ©crire les caractĂ©ristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gĂšne PAK3 puis de faire une analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype. Elle a portĂ© sur dix patients recrutĂ©s en France et quarante-cinq patients de la littĂ©rature. Nous avons retrouvĂ© une DI non spĂ©cifique associĂ©e Ă  une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcĂ©phalie dans 46% et des rĂ©flexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement prĂ©sents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hĂ©tĂ©roagressivitĂ© dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractĂšres spĂ©cifiques, mais des oreilles longues sont retrouvĂ©es chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agĂ©nĂ©sie du corps calleux est retrouvĂ©e dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cĂ©rĂ©brale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en Ă©vidence de corrĂ©lation gĂ©notype-phĂ©notype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sĂ©vĂšre que les autres. Une nouvelle Ă©tude avec un plus grand nombre de patients et davantage de donnĂ©es d’imagerie cĂ©rĂ©brale serait intĂ©ressante pour Ă©valuer la frĂ©quence de l’agĂ©nĂ©sie du corps calleux et dĂ©finir si elle est liĂ©e Ă  certains types de mutations

    PAK3 is a key signature gene of the glioma proneural subtype and affects its proliferation, differentiation and growth

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    International audiencePurpose Gliomas are the most lethal adult primary brain cancers. Recent advances in their molecular characterization have contributed to a better understanding of their pathophysiology, but there is still a need to identify key genes controlling glioma cell proliferation and differentiation. The p21-activated kinases PAK1 and PAK2 play essential roles in cell division and brain development and are well-known oncogenes. In contrast, the role of PAK3 in cancer is poorly understood. It is known, however that this gene is involved in brain ontogenesis and has been identified as a gene of the proneural subtype signature in glioblastomas. Methods To better understand the role of PAK kinases in the pathophysiology of gliomas, we conducted expression analyses by querying multiple gene expression databases and analyzing primary human glioma samples. We next studied PAK3 expression upon differentiation in patient-derived cell lines (PDCLs) and the effects of PAK3 inhibition by lentiviral-mediated shRNA on glioma cell proliferation, differentiation and tumor growth. Results We show that contrary to PAK1 and PAK2, high PAK3 expression positively correlates with a longer survival of glioma patients. We also found that PAK3 displays differential expression patterns between glioma subgroups with a higher expression in 1p/19q-codeleted oligodendrogliomas, and is highly expressed in tumors and PDCLs of the proneural subtype. In PDCLs, high PAK3 expression negatively correlated with proliferation and positively correlated with neuronal differentiation. Inhibition of PAK3 expression increased PDCL proliferation and glioma tumor growth in nude mice. Conclusions Our results indicate that PAK3 plays a unique role among PAKs in glioma development and may represent a potential therapeutic target
    corecore