22 research outputs found

    Salamanca.

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    La rentrée universitaire de Miguel de Unamuno dans la presse salmantine (1900)

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    Outre la valeur symbolique que prend cette date, 1900 en Espagne est marqué par la création d'un ministère spécifique d'instruction publique avec Antonio García Alix comme ministre. L'Etat semble alors s'engager à modifier profondément les fondements mêmes de l'instruction et de la culture, conformément aux aspirations de l'opinion publique après les douloureux événements de 1898. Dans ce contexte de renouveau, s'inscrit donc la rentrée universitaire à Salamanque. Elle fera date : elle est av..

    Mesonero Romanos et le théâtre : refontes, censures et public

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    A Juan Antonio Hormigón et Serge Maurel Dans le Madrid des années 1820-1830 s’instaure un des seuls débats littéraires de l’époque, à propos des « refundiciones » des pièces du théâtre du Siècle d’or. Après une brève évocation du théâtre sous le règne de Ferdinand VII et plus précisément durant la « ominosa década » de 1823-1833, notre propos est d’étudier dans une des rares revues de ces années-là, El Correo Literario y Mercantil, les arguments des détracteurs et des défenseurs des représent..

    Francia 1870 - España 1898. Desde la Débâcle hasta el Desastre

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    Quimera.

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    L'enfant dans la littérature régionale salmantine de la fin du XIXe siècle

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    La fin du XIXème siècle -et plus précisément l'ultime période de la Restauration qui s'étend, selon les historiens, de 1890 à 1902- est marquée par des événements notables : la Rerum Novarum de Léon XIII, les guerres (Melilla Cuba, les Philippines, les Etats-Unis), "la question sociale" et ses répercussions dans a presse (les émeutes de la faim, les grèves, l'essor du mouvement ouvrier, le développement du parti socialiste, la violence anarchiste), la question régionale ou encore les manifest..

    L’Histoire-Bataille

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    Polygraphe sulfureux, animateur de revues et de groupes d’écrivains, intellectuel engagé atypique, Georges Bataille a, tout au long de son œuvre, parcouru les genres et les disciplines, touchant tant à la poésie qu’au roman ou à l’essai, abordant la pornographie et la folie comme la philosophie, l’économie et l’art. Que l’École des chartes lui consacrât une journée d’études n’allait pas de soi, tant son ancien élève peut en sembler éloigné par son œuvre foisonnante et expérimentale. La part que tiennent les sciences sociales et l’érudition dans son parcours littéraire a souvent été éludée au profit de l’érotisme et de la mystique par une certaine critique. Et ses liens avec l’histoire académique ont toujours été ambigus. L’objet de ce recueil n’est pas de redonner une légitimité à Georges Bataille par une ré-appropriation chartiste, mais de s’interroger sur l’« Histoire-Bataille », c’est-à-dire cette écriture relevant de l’expérimentation intellectuelle dont l’histoire constitue une dimension essentielle. Il ne s’agit pas d’une tentative pour faire apparaître l’« érudit » derrière le « penseur » et le « poète ». Plutôt d’observer, dans sa vie et son écriture, comment Bataille a fait œuvre d’historien, et comment la dimension historique de son œuvre s’articule avec son engagement esthétique et spirituel

    Le Sujet lyrique en question

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    Les termes « lyrisme », « lyrique », massivement utilisés dans la critique littéraire, paraissent relever le plus souvent d’un usage pré-critique. Etiquettes indispensables à toute description de la poésie depuis le romantisme, ces notions restent vagues et mal définies, trop souvent confondues avec l’effusion et l’expression spontanée du sentiment. A l’heure où les poètes eux-mêmes débattent pour ou contre le retour du lyrisme, il parait urgent de combler cette lacune et de prendre la mesure de la crise ouverte dans la poésie française à partir des années 1860. Plus que la distinction des genres et que l’évolution des formes, c’est le rapport du sujet à son acte poétique qui est au cœur de la problématique du lyrisme. De l’ironie baudelairienne à la « disparition élocutoire » du poète, de l’« écho sonore » hugolien au « poète invisible » que fait entendre Philippe Jaccottet, c’est bien la question du sujet qui s’est trouvée posée et qui a détermine le devenir de la poésie moderne. Les vingt-et-une études rassemblées dans ce volume sont dues à des critiques reconnus et, pour certaines d’entre elles, à des poètes. Elles proposent des avancées théoriques, des analyses d’œuvres majeures et des propositions poétiques que les recherches ultérieures ne pourront ignorer
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