21 research outputs found

    Obtention de plantes dihaploïdes de rosier (Rosa x hybrida, cv « Sonia ») après parthénogenèse induite par l’emploi de pollen irradié et culture in vitro de graines immatures

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    International audience’Sonia’ var rose ovules produced plants through in vitro culture after being pollinated with irradiated (gamma rays) pollen. A 500-Gy minimum dose was sufficient to inactivate pollen and induce in situ parthenogenesis; in vitro culture was necessary for embryo rescue. The dihaploid plants originated from small embryos which occupied only a part of the carpel cavity; they were clearly distinguished from tetraploid plants by miniaturization of all organs. The dihaploid plants were observed under glass-house conditions until flowering presented a normal gynoecium. They produced a small amount of pollen of reduced but regular size; growth and development were faster than the tetraploid controls in summer.Des ovules de rosier, variété « Sonia », cultivés in vitro après pollinisation avec du pollen irradié aux rayons gamma ont évolué en plantes entières. Le pollen inactivé efficace pour induire une parthénogenèse in situ doit subir une dose minimale de 500 Gy et la culture in vitro paraît indispensable pour assurer la survie des embryons. Les plantes dihaploïdes proviennent de petits embryons n’occupant qu’une partie de la cavité carpellaire, elles se distinguent nettement des tétraploïdes par une miniaturisation de tous les organes. Les plantes dihaploïdes observées en serre jusqu’à leur floraison présentent un gynécée normal, elles ne produisent que très peu de pollen d’un diamètre réduit mais régulier. La croissance et le développement de ces plantes sont plus rapides en été que ceux de plantes tétraploïdes témoins

    Dihaploid plants of roses (Rosa x hybrida, cv 'Sonia') obtained by parthenogenesis induced using irradiated pollen and in vitro culture of immature seeds

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    'Sonia' var rose ovules produced plants through in vitro culture after being pollinated with irradiated (gamma rays) pollen. A 500-Gy minimum dose was sufficient to inactivate pollen and induce in situ parthenogenesis; in vitro culture was necessary for embryo rescue. The dihaploid plants originated from small embryos which occupied only a part of the carpel cavity; they were clearly distinguished from tetraploid plants by miniaturization of all organs. The dihaploid plants were observed under glass-house conditions until flowering presented a normal gynoecium. They produced a small amount of pollen of reduced but regular size; growth and development were faster than the tetraploid controls in summer.Obtention de plantes dihaploïdes de rosier (Rosa x hybrida, cv « Sonia ») après parthénogenèse induite par l'emploi de pollen irradié et culture in vitro de graines immatures. Des ovules de rosier, variété « Sonia », cultivés in vitro après pollinisation avec du pollen irradié aux rayons gamma ont évolué en plantes entières. Le pollen inactivé efficace pour induire une parthénogenèse in situ doit subir une dose minimale de 500 Gy et la culture in vitro paraît indispensable pour assurer la survie des embryons. Les plantes dihaploïdes proviennent de petits embryons n'occupant qu'une partie de la cavité carpellaire, elles se distinguent nettement des tétraploïdes par une miniaturisation de tous les organes. Les plantes dihaploïdes observées en serre jusqu'à leur floraison présentent un gynécée normal, elles ne produisent que très peu de pollen d'un diamètre réduit mais régulier. La croissance et le développement de ces plantes sont plus rapides en été que ceux de plantes tétraploïdes témoins

    Dihaploid plants of roses (Rosa x hybrida, cv Sonia) obtained by parthenogenesis induced using irradiated pollen and in vitro culture of immature seeds

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    ’Sonia’ var rose ovules produced plants through in vitro culture after being pollinated with irradiated (gamma rays) pollen. A 500-Gy minimum dose was sufficient to inactivate pollen and induce in situ parthenogenesis; in vitro culture was necessary for embryo rescue. The dihaploid plants originated from small embryos which occupied only a part of the carpel cavity; they were clearly distinguished from tetraploid plants by miniaturization of all organs. The dihaploid plants were observed under glass-house conditions until flowering presented a normal gynoecium. They produced a small amount of pollen of reduced but regular size; growth and development were faster than the tetraploid controls in summer.Des ovules de rosier, variété « Sonia », cultivés in vitro après pollinisation avec du pollen irradié aux rayons gamma ont évolué en plantes entières. Le pollen inactivé efficace pour induire une parthénogenèse in situ doit subir une dose minimale de 500 Gy et la culture in vitro paraît indispensable pour assurer la survie des embryons. Les plantes dihaploïdes proviennent de petits embryons n’occupant qu’une partie de la cavité carpellaire, elles se distinguent nettement des tétraploïdes par une miniaturisation de tous les organes. Les plantes dihaploïdes observées en serre jusqu’à leur floraison présentent un gynécée normal, elles ne produisent que très peu de pollen d’un diamètre réduit mais régulier. La croissance et le développement de ces plantes sont plus rapides en été que ceux de plantes tétraploïdes témoins

    Analyse des plantes de melon (Cucumis melo L) issues de croisements avec du pollen irradié à différentes doses

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    Chez le melon, les conséquences de l'irradiation y du pollen du génotype Védrantais sur le rendement en embryons et en plantules haploïdes sont évaluées après autopollinisation et après hybridation avec le génotype F1GI. L'utilisation de marqueurs génétiques nucléaires permet de confirmer l'origine parthénogénétique des embryons obtenus. La perturbation du processus de double fécondation semble mieux acceptée par le génotype F1G I (3,4 d'embryons pour 100 graines) que par Védrantais (2 d'embryons pour 100 graines). Quelles que soient les doses d'irradiation comprises entre 0,15 et 2,5 kGy, la réponse parthénogénétique est toujours présente. Pour le génotype Védrantais testé, l'induction d'embryons est plus élevée en été qu'en automne. Au maximum 70% de ces embryons placés sur un milieu de culture spécifique ont évolué en plantes haploïdes. Le niveau de ploïdie des plantules a été déterminé en cytométrie en flux à partir de feuilles. Actuellement, l'utilisation en routine de cette technique permet un tri précoce des plants in vitro et l'élimination rapide des diploïdes issus de fécondations accidentelles. Aucun aneuploïde n'est détecté. Toutes les plantes obtenues présentent les phénotypes normaux attendus.Analysis of musk melon plants (Cucumis melo L) obtained after pollination with γ- irradiated pollen: effect of different doses. In musk melon, the effects of γ-irradiation applied to pollen, on haploid embryos and plantlet production have been evaluated after autopollinization or hybridization. The use of nuclear genetic markers confirmed the parthenogenetic origin of these embryos. The disruption of the double fertilization process seemed to be better accepted by the genotype F1.GI (3.4% of embryos) than by Védrantais (2% of embryos). Whatever the irradiation dose between 0.15 and 2.5 kGy, the parthenogenetical response was always present. For the Védrantais genotype, embryo induction was higher during summer than in autumn. A maximum of 70% of those embryos placed on a specific culture medium developed into haploid plants. Plantlet ploidy was determined from leaves using flow cytometry. Routine use of this method allows an early screened of plantlets and efficient elimination of diploids obtained from accidental fertilization. No aneuploid was detected. All the plants obtained showed the normal expected phenotypes

    Analyse des plantes de melon (Cucumis melo L) issues de croisements avec du pollen irradie a differentes doses

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    National audienceIn musk melon, the effects of γ-irradiation applied to pollen, on haploid embryos and plantlet production have been evaluated after autopollinization or hybridization. The use of nuclear genetic markers confirmed the parthenogenetic origin of these embryos. The disruption of the double fertilization process seemed to be better accepted by the genotype . 1FGl (3.4% of embryos) than by Védrantais (2% of embryos). Whatever the irradiation dose between 0.15 and 2.5 kGy, the parthenogenetical response was always present. For the Védrantais genotype, embryo induction was higher during summer than in autumn. A maximum of 70% of those embryos placed on a specific culture medium developed into haploid plants. Plantlet ploidy was determined from leaves using flow cytometry. Routine use of this method allows an early screened of plantlets and efficient elimination of diploids obtained from accidental fertilization. No aneuploid was detected. All the plants obtained showed the normal expected phenotypes.Chez le melon, les conséquences de l’irradiation γ du pollen du génotype Védrantais sur le rendement en embryons et en plantules haploïdes sont évaluées après autopollinisation et après hybridation avec le génotype F1Gl. L’utilisation de marqueurs génétiques nucléaires permet de confirmer l’origine parthénogénétique des embryons obtenus. La perturbation du processus de double fécondation semble mieux acceptée par le génotype F1Gl (3,4 d’embryons pour 100 graines) que par Védrantais (2 d’embryons pour 100 graines). Quelles que soient les doses d’irradiation comprises entre 0,15 et 2,5 kGy, la réponse parthénogénétique est toujours présente. Pour le génotype Védrantais testé, l’induction d’embryons est plus élevée en été qu’en automne. Au maximum 70% de ces embryons placés sur un milieu de culture spécifique ont évolué en plantes haploïdes. Le niveau de ploïdie des plantules a été déterminé en cytométrie en flux à partir de feuilles. Actuellement, l’utilisation en routine de cette technique permet un tri précoce des plants in vitro et l’élimination rapide des diploïdes issus de fécondations accidentelles. Aucun aneuploïde n’est détecté. Toutes les plantes obtenues présentent les phénotypes normaux attendus

    Chitosan-based hydrogels for developing a small-diameter vascular graft: in vitro and in vivo evaluation

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    Aims: Vascular grafts made of synthetic polymers perform poorly in small-diameter applications (cardiac and peripheral bypass). Chitosan is a biocompatible natural polymer that can provide a novel biological scaffold for tissue engineering development. The goal of this study was to demonstrate the biocompatibility of a novel chitosan preparation in vitro and in vivo, and to assess its potential as a scaffold for vascular applications.Methods and results: A series of experiments of increasing complexity, ranging from in vitro biocompatibility and hemocompatibility tests to in vivo studies in small and large animals (rats and sheep), was performed to provide a comprehensive analysis of chitosan hydrogels' biological properties. In vitro studies established that: (i) chitosan supported human endothelial progenitor cells adhesion, proliferation and resistance to physiological shear stress; (ii) chitosan did not activate platelets, the complement system, or the intrinsic coagulation pathway. In vivo results showed: (iii) no resorption of chitosan and no chronic inflammation at 60 days in a rat heterotopic implantation model (magnetic resonance imaging and histology); (iv) no flow obstruction (Doppler ultrasound) and no thrombus formation (histology and scanning electron microscopy) at 2 h after a carotid arteriotomy repair with chitosan patches in sheep. Finally, two chitosan tubes were implanted as carotid interposition grafts for 3 days in sheep showing that chitosan was strong enough to be sutured, to withstand arterial pressure, and no flow obstruction was observed through this short period.Conclusion: Chitosan-based hydrogels displayed promising in vitro biocompatibility and hemocompatibility properties as well as in vivo short-term performance

    Micro-CT analysis of Matrix HA containing different ratios of HA particles, implanted subcutaneously in mice.

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    <p>(A) Representative Micro-CT images of Matrix-HA supplemented with three different amounts of HA (dispersion 1 (D1), dispersion 2 (D2), and dispersion 3 (D3)), before implantation (Time 0), after 2 weeks (W2) and 4 weeks (W4) of subcutaneous implantation. (B) Quantification of the mineralized volume / total volume (MV/TV) after 2 weeks (W2) and 4 weeks (W4) of subcutaneous implantation. Six samples were evaluated for each condition at each time point (2 and 4weeks). Results were expressed as average ± SD. The symbol ** denotes p<0.01.</p

    Effect of the various Matrix-HA doped or not with strontium on MSCs viability.

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    <p>(A) LIVE/DEAD<sup>®</sup> assays after 3 and 7 days of culture of MSCs on the three different matrices (Matrix-HA, Matrix-8Sr-HA and Matrix-50Sr-HA). Scale bars = 50 μm. (B) Alamar Blue assay after 3 and 7 days of culture of MSCs on the three different matrices (Matrix-HA, Matrix-8Sr-HA and Matrix-50Sr-HA). Data were expressed in % of metabolic activity normalized to day 1 (100%) for each condition (average ± SD). The symbol * denotes <i>p</i><0.05 and ns, “non-significant”.</p
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