38 research outputs found

    Optogenetic acidification of synaptic vesicles and lysosomes

    Get PDF
    Acidification is required for the function of many intracellular organelles, but methods to acutely manipulate their intraluminal pH have not been available. Here we present a targeting strategy to selectively express the light-driven proton pump Arch3 on synaptic vesicles. Our new tool, pHoenix, can functionally replace endogenous proton pumps, enabling optogenetic control of vesicular acidification and neurotransmitter accumulation. Under physiological conditions, glutamatergic vesicles are nearly full, as additional vesicle acidification with pHoenix only slightly increased the quantal size. By contrast, we found that incompletely filled vesicles exhibited a lower release probability than full vesicles, suggesting preferential exocytosis of vesicles with high transmitter content. Our subcellular targeting approach can be transferred to other organelles, as demonstrated for a pHoenix variant that allows light-activated acidification of lysosomes

    V-ATPase is a pH sensor controlling vesicular membrane fusion

    No full text
    International audienc

    The molecular basis of p21-activated kinase-associated neurodevelopmental disorders: From genotype to phenotype

    No full text
    International audienceAlthough the identification of numerous genes involved in neurodevelopmental disorders (NDDs) has reshaped our understanding of their etiology, there are still major obstacles in the way of developing therapeutic solutions for intellectual disability (ID) and other NDDs. These include extensive clinical and genetic heterogeneity, rarity of recurrent pathogenic variants, and comorbidity with other psychiatric traits. Moreover, a large intragenic mutational landscape is at play in some NDDs, leading to a broad range of clinical symptoms. Such diversity of symptoms is due to the different effects DNA variations have on protein functions and their impacts on downstream biological processes. The type of functional alterations, such as loss or gain of function, and interference with signaling pathways, has yet to be correlated with clinical symptoms for most genes. This review aims at discussing our current understanding of how the molecular changes of group I p21-activated kinases (PAK1, 2 and 3), which are essential actors of brain development and function; contribute to a broad clinical spectrum of NDDs. Identifying differences in PAK structure, regulation and spatio-temporal expression may help understanding the specific functions of each group I PAK. Deciphering how each variation type affects these parameters will help uncover the mechanisms underlying mutation pathogenicity. This is a prerequisite for the development of personalized therapeutic approache

    A new life for an old pump: V-ATPase and neurotransmitter release.

    Get PDF
    Neurons fire by releasing neurotransmitters via fusion of synaptic vesicles with the plasma membrane. Fusion can be evoked by an incoming signal from a preceding neuron or can occur spontaneously. Synaptic vesicle fusion requires the formation of trans complexes between SNAREs as well as Ca(2+) ions. Wang et al. (2014. J. Cell Biol. http://dx.doi.org/jcb.201312109) now find that the Ca(2+)-binding protein Calmodulin promotes spontaneous release and SNARE complex formation via its interaction with the V0 sector of the V-ATPase

    Description clinique et analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype dans une cohorte de patients atteints d’une dĂ©ficience intellectuelle liĂ©e Ă  des mutations du gĂšne PAK3

    No full text
    International audienceLa prĂ©valence de la dĂ©ficience intellectuelle (DI) est estimĂ©e entre 2 Ă  3% de la population gĂ©nĂ©rale. Chez les individus de sexe masculin 5 Ă  10% des DI seraient liĂ©es Ă  l’X. On connait actuellement 146 gĂšnes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogĂšne retrouvĂ© dans le gĂšne PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifiĂ© par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liĂ©e Ă  l’X. Les patients, dĂ©crits comme peu dysmorphiques, avaient une microcĂ©phalie et des troubles du comportement, hyperactivitĂ© dans l’enfance et hĂ©tĂ©roagressivitĂ© Ă  l’ñge adulte. Notre Ă©tude multicentrique rĂ©trospective avait pour objectif de dĂ©crire les caractĂ©ristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gĂšne PAK3 puis de faire une analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype. Elle a portĂ© sur dix patients recrutĂ©s en France et quarante-cinq patients de la littĂ©rature. Nous avons retrouvĂ© une DI non spĂ©cifique associĂ©e Ă  une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcĂ©phalie dans 46% et des rĂ©flexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement prĂ©sents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hĂ©tĂ©roagressivitĂ© dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractĂšres spĂ©cifiques, mais des oreilles longues sont retrouvĂ©es chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agĂ©nĂ©sie du corps calleux est retrouvĂ©e dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cĂ©rĂ©brale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en Ă©vidence de corrĂ©lation gĂ©notype-phĂ©notype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sĂ©vĂšre que les autres. Une nouvelle Ă©tude avec un plus grand nombre de patients et davantage de donnĂ©es d’imagerie cĂ©rĂ©brale serait intĂ©ressante pour Ă©valuer la frĂ©quence de l’agĂ©nĂ©sie du corps calleux et dĂ©finir si elle est liĂ©e Ă  certains types de mutations

    Ocular and generalized myasthenia gravis induced by human acetylcholine receptor Îł subunit immunization

    No full text
    Introduction: HLA-DQ8 transgenic mice develop ocular myasthenia gravis (oMG), which then progresses to generalized MG (gMG) when immunized with the human acetylcholine receptor (H-AChR) a subunit. Because the fetal AChR ? subunit is expressed in adult extraocular muscles, we anticipated that ? subunit immunization would generate an immune response to mouse AChR and induce MG in mice. Results: H-AChR ? subunit immunization in HLA-DQ8 mice induced an autoimmune response to mouse AChR and led to the destruction of AChR in the neuromuscular junction (NMJ) by anti-AChR antibody and complement activation, and it triggered upregulation of AChR gene transcription. Conclusion: Our findings indicate that oMG may be induced by immunity to the AChR ? subunit. Muscle Nerve, 201

    Description clinique et analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype dans une cohorte de patients atteints d’une dĂ©ficience intellectuelle liĂ©e Ă  des mutations du gĂšne PAK3

    No full text
    International audienceLa prĂ©valence de la dĂ©ficience intellectuelle (DI) est estimĂ©e entre 2 Ă  3% de la population gĂ©nĂ©rale. Chez les individus de sexe masculin 5 Ă  10% des DI seraient liĂ©es Ă  l’X. On connait actuellement 146 gĂšnes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogĂšne retrouvĂ© dans le gĂšne PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifiĂ© par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liĂ©e Ă  l’X. Les patients, dĂ©crits comme peu dysmorphiques, avaient une microcĂ©phalie et des troubles du comportement, hyperactivitĂ© dans l’enfance et hĂ©tĂ©roagressivitĂ© Ă  l’ñge adulte. Notre Ă©tude multicentrique rĂ©trospective avait pour objectif de dĂ©crire les caractĂ©ristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gĂšne PAK3 puis de faire une analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype. Elle a portĂ© sur dix patients recrutĂ©s en France et quarante-cinq patients de la littĂ©rature. Nous avons retrouvĂ© une DI non spĂ©cifique associĂ©e Ă  une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcĂ©phalie dans 46% et des rĂ©flexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement prĂ©sents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hĂ©tĂ©roagressivitĂ© dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractĂšres spĂ©cifiques, mais des oreilles longues sont retrouvĂ©es chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agĂ©nĂ©sie du corps calleux est retrouvĂ©e dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cĂ©rĂ©brale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en Ă©vidence de corrĂ©lation gĂ©notype-phĂ©notype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sĂ©vĂšre que les autres. Une nouvelle Ă©tude avec un plus grand nombre de patients et davantage de donnĂ©es d’imagerie cĂ©rĂ©brale serait intĂ©ressante pour Ă©valuer la frĂ©quence de l’agĂ©nĂ©sie du corps calleux et dĂ©finir si elle est liĂ©e Ă  certains types de mutations

    Description clinique et analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype dans une cohorte de patients atteints d’une dĂ©ficience intellectuelle liĂ©e Ă  des mutations du gĂšne PAK3

    No full text
    International audienceLa prĂ©valence de la dĂ©ficience intellectuelle (DI) est estimĂ©e entre 2 Ă  3% de la population gĂ©nĂ©rale. Chez les individus de sexe masculin 5 Ă  10% des DI seraient liĂ©es Ă  l’X. On connait actuellement 146 gĂšnes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogĂšne retrouvĂ© dans le gĂšne PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifiĂ© par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liĂ©e Ă  l’X. Les patients, dĂ©crits comme peu dysmorphiques, avaient une microcĂ©phalie et des troubles du comportement, hyperactivitĂ© dans l’enfance et hĂ©tĂ©roagressivitĂ© Ă  l’ñge adulte. Notre Ă©tude multicentrique rĂ©trospective avait pour objectif de dĂ©crire les caractĂ©ristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gĂšne PAK3 puis de faire une analyse de corrĂ©lation phĂ©notype/gĂ©notype. Elle a portĂ© sur dix patients recrutĂ©s en France et quarante-cinq patients de la littĂ©rature. Nous avons retrouvĂ© une DI non spĂ©cifique associĂ©e Ă  une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcĂ©phalie dans 46% et des rĂ©flexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement prĂ©sents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hĂ©tĂ©roagressivitĂ© dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractĂšres spĂ©cifiques, mais des oreilles longues sont retrouvĂ©es chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agĂ©nĂ©sie du corps calleux est retrouvĂ©e dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cĂ©rĂ©brale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en Ă©vidence de corrĂ©lation gĂ©notype-phĂ©notype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sĂ©vĂšre que les autres. Une nouvelle Ă©tude avec un plus grand nombre de patients et davantage de donnĂ©es d’imagerie cĂ©rĂ©brale serait intĂ©ressante pour Ă©valuer la frĂ©quence de l’agĂ©nĂ©sie du corps calleux et dĂ©finir si elle est liĂ©e Ă  certains types de mutations
    corecore