9 research outputs found

    Museum Moving to Inpatients: Le Louvre à l’Hôpital

    No full text
    Anxiety and depressive symptoms are common in hospitalized patients. Arts and cultural programs were reported to enhance their quality of life. The Le Louvre à l’hôpital study presents a new approach in which the museum moves to the hospital by displaying and discussing artworks with patients interactively. Over one year, four large statues were disposed in the hospital gardens, 30 reprints of large painting were exhibited in the hospital hall, dining rooms, and circulations areas. A total of 83 small-group guided art discussions (90 min) were organized, which 451 patients attended. The 200 small-size reproductions of paintings placed in the patients’ rooms were chosen based on their individual preferences. Decreased anxiety after the art sessions was reported by 160 of 201 patients (79.6%). Out of 451 patients, 406 (90%) said the art program had met their expectations, and 372 (82.4%) wished to continue the experience with caregivers (162 paramedics trained for art activity during 66 workshops). In conclusion, moving the museum to the hospital constitutes a valuable way to provide art activities for inpatients in large numbers, which may reduce hospital-related anxiety in many instances

    Barriers and levers in screening and care for alcohol use disorders among French general practitioners: results from a computer-assisted telephone interview-based survey

    No full text
    International audienceAlcohol use disorders (AUD) is a major public health concern. General practitioners (GP) must play a key role in identifying this disorder and offering appropriate interventions. The authors conducted a survey among French GP in the Provence – Alpes – Côte-d’Azur (PACA) region to better understand their practices regarding AUD. Random sampling was used to enrol 101 GP in a 15-minute survey. A Computer-Assisted Telephone Interview exploring demographic and professional characteristics was conducted using a questionnaire. One third (31.7%) of the participants systematically addressed alcohol use with their patients whereas six (5.9%) never addressed it. Logistic regression analyses showed that after adjustment for the number of AUD patients followed up (odds ratio [OR] = 1.92; 95% confidence interval [CI] [1.19, 3.08]) and GP interest in addiction medicine (5.41 [2.17, 13.40]), GP who systematically screened patients for AUD were more likely to accept controlled drinking as a therapeutic goal (5.41 [2.17, 13.33]), and to perceive patient denial of AUD as a major barrier to care (1.39 [0.60, 3.22]). GP providing care for AUD were more likely to monitor tobacco cessation (9.08 [2.60, 31.64]) and to prescribe opioid maintenance treatment (7.35 [2.52, 21.41]). Alcohol screening is insufficient in general practice in France. Providing updated guidelines is essential to foster experience in this field among GP

    Réduction des risques infectieux chez les usagers de drogues

    No full text
    [Table des matières] 1. Concept de la réduction des risques. 2. Stratégie de réduction des risques en France. 3. Usage des drogues en France et principaux dommages associés. 4. Comorbidités psychiatriques chez les usagers de drogues. 5. Risques infectieux chez les usagers de drogues. 6. Evolution de l'incidence du VHC chez les usagers de drogues en France. 7. Pratiques à risque chez les fumeurs de crack. 8. Prévention de l'initiation à l'injection et transitions vers d'autres modes d'administration. 9. Traitements de substitution aux opiacés. 10. Autres traitements de la dépendance. 11. Programmes d'échange de seringues. 12. Centres d'injection supervisés. 13. Parcours de soins des usagers de drogues. 14. Rapport coût-efficacité des dispositifs de réduction des risques. 15. Dispositifs de réduction des risques en France. 16. Accessibilité et acceptabilité des actions de réduction des risques. 17. Réduction des risques adaptée aux femmes. 18. Réduction des risques en milieu pénitentiaire. Synthèse et recommandations. Communications. Usage de drogue et réduction des risques en Europe. Eléments d'histoire sur la politique de réduction des risques en France. Situation de la politique de réduction des risques en France. Approche judiciaire française. Rôle des associations dans la politique de réduction des risques en France. Prévention de la délinquance et réduction des risques et dommages sociaux au Canada. Complications liées à l'auto-injection des traitements de substitution aux opiacés. Contributions des intervenants et associations. Annexes

    Réduction des dommages associés à la consommation d'alcool

    No full text
    Inserm (dir.). Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool. Collection Expertise collective. Montrouge : EDP Sciences, 2021.Les niveaux de consommation d’alcool dans la population française, avec 43 millions de consommateurs, demeurent élevés. Il en résulte d’importantes conséquences sanitaires, sociales et financières qui constituent un « fardeau » pour la société. Récemment, de nouvelles études ont démontré des risques et des dommages sanitaires même à des niveaux de consommation les plus faibles, et les autorités de santé ont revu à la baisse les repères de consommation. Dans ce contexte, réduire les risques et les dommages sur la santé liés à la consommation d’alcool reste une nécessité.Cette expertise collective Inserm, sollicitée par la Mildeca et le ministère en charge de la Santé, a pour objectif de répondre à cette question. Un groupe pluridisciplinaire de 12 experts spécialistes dans les domaines de l’épidémiologie, la psychologie sociale, l’économie, du marketing social, des politiques publiques, la physiologie, l’alcoologie, l’addictologie et la psychiatrie, a été constitué. Ce groupe a réalisé un bilan et une analyse des connaissances scientifiques les plus récentes. De nombreux aspects ont été traités : les consommations d’alcool (profils et niveaux, dommages sanitaires et socioéconomiques y compris pendant la période périnatale, facteurs de risque et de protection, marketing, lobbying) et les actions de prévention (de la prévention primaire jusqu’à la prise en charge des personnes présentant une dépendance à l’alcool). À l’issue de cette analyse, le groupe d’experts propose des recommandations d’actions et de recherches

    Réduction des dommages associés à la consommation d'alcool

    No full text
    Inserm (dir.). Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool. Collection Expertise collective. Montrouge : EDP Sciences, 2021.Les niveaux de consommation d’alcool dans la population française, avec 43 millions de consommateurs, demeurent élevés. Il en résulte d’importantes conséquences sanitaires, sociales et financières qui constituent un « fardeau » pour la société. Récemment, de nouvelles études ont démontré des risques et des dommages sanitaires même à des niveaux de consommation les plus faibles, et les autorités de santé ont revu à la baisse les repères de consommation. Dans ce contexte, réduire les risques et les dommages sur la santé liés à la consommation d’alcool reste une nécessité.Cette expertise collective Inserm, sollicitée par la Mildeca et le ministère en charge de la Santé, a pour objectif de répondre à cette question. Un groupe pluridisciplinaire de 12 experts spécialistes dans les domaines de l’épidémiologie, la psychologie sociale, l’économie, du marketing social, des politiques publiques, la physiologie, l’alcoologie, l’addictologie et la psychiatrie, a été constitué. Ce groupe a réalisé un bilan et une analyse des connaissances scientifiques les plus récentes. De nombreux aspects ont été traités : les consommations d’alcool (profils et niveaux, dommages sanitaires et socioéconomiques y compris pendant la période périnatale, facteurs de risque et de protection, marketing, lobbying) et les actions de prévention (de la prévention primaire jusqu’à la prise en charge des personnes présentant une dépendance à l’alcool). À l’issue de cette analyse, le groupe d’experts propose des recommandations d’actions et de recherches

    Access to care for people with alcohol use disorder in France: a mixed-method cross-sectional study protocol (ASIA)

    Get PDF
    International audienceIntroduction Alcohol use disorder (AUD) is a major public health concern worldwide. In France, only 10% of people with AUD (PWAUD) receive medical care. General practitioners (GP) are one of the main entry points for AUD care. The present ongoing study, entitled ASIA (Access to Care and Indifference toward Alcohol, Acces aux Soins et Indifference a l'Alcool in French), aims to improve knowledge about factors associated with access to care for AUD by exploring related GP and PWAUD practices, experiences and perceptions. Methods and analysis The ASIA project is an ongoing cross-sectional multisite study based on a complementary mixed-method approach (quantitative and qualitative) using a convergent parallel design. The double-perspective design of the study will enable us to collect and compare data regarding both PWAUD and GP points of view. For the PWAUD quantitative study, 260 PWAUD will be interviewed using a telephone-based questionnaire. For the qualitative study, 36 PWAUD have already been interviewed. The GP quantitative study will include 100 GP in a 15min survey. Fifteen GP have already participated in semistructured interviews for the qualitative study. Logistic regression will be used to identify predictors for access to care. With respect to data analyses, qualitative interviews will be analysed using semantic analysis while quantitative logistic regression will be used for quantitative interviews. Ethics and dissemination This study was approved by the CNIL (French National Commission on Informatics and Liberties) (approval reference number: C16-10, date of approval: 17 July 2017), the CCTIRS (Advisory Committee on Information Processing in Material Research in the Field of Health) and the CEEI (Evaluation and Ethics Committee) (approval reference number: 16-312, date of approval: 8 July 2016) of INSERM (French National Institute of Health and Medical Research). Results from ASIA will be disseminated in peer-reviewed publications, conference presentations, reports and in a PhD thesis

    Factors associated with lamotrigine concentration/dose ratio in individuals with bipolar disorders

    No full text
    International audienceMonitoring of lamotrigine levels is recommended in epilepsy. However, in bipolar disorders (BD), no study has described the therapeutic range in daily practice and factors being associated to it. We used retrospective data of individuals with BD, treated with lamotrigine, and included in the FondaMental Advanced Centers of Expertise for Bipolar Disorders cohort. We extracted clinical and biological data and explored associations between these variables and lamotrigine concentration/dose (C/D) ratio. The database included 675 individuals who received lamotrigine at inclusion, whose main characteristics were female sex (68.3%) and BD type 2 (52.1%). Data about lamotrigine C/D ratio were available for 205 individuals. Lamotrigine C/D ratio was significantly associated with: Body Mass Index (BMI) (r=-0.159), estimated GFR (glomerular filtration rate) (r=-0.228), total bilirubin (r = 0.241) and at a trend level, antidepressant co-prescription (U = 3169). The model obtained was: lamotrigine C/D ratio = 1.736 - 0.013*BMI + 0.095*total bilirubin (UI/L) - 0.007*eGFR (ml/min) + 0.210*AST/ALT – 0.004*GGT (UI/L) + 0.014*age (year) + 0.303*currently smoking (yes or no) – 0.588*antidepressant co-prescription (yes or no) – 0.357*gender (F = 1.899, p = 0.057, adjusted R2 = 0.11) Information about plasma lamotrigine C/D ratio were available for only 205 out of the 675 individuals in the database and has been obtained from different laboratories. The representativeness of the included sample may be questionable. This is the first study providing information on a large sample of individuals with BD regarding factors associated with lamotrigine C/D ratio. This study allows to propose a model of lamotrigine C/D ratio that would deserve further replication
    corecore