8 research outputs found
Charcot Spine and Parkinson’s Disease
Charcot spine is rare condition whose association with Parkinson’s disease (PD) has not been reported yet. The authors reported the cases of two patients with PD who developed Charcot spine. Both patients presented with a history of back pain and bilateral radicular leg pain. They had complete clinical and radiological assessment. Lumbar spine was involved in both patients. Clinical features and response to treatment were described. In the first case, circumferential fusion and stabilization were performed on the dislocated vertebral levels. A solid and stable fusion of the spine was obtained with satisfactory clinical outcome. Surgical treatment has been recommended to the other patient. In both cases, no other neurological etiology was found to account for Charcot spine. In conclusion, Charcot spine is associated with several neurological affections but has not previously been reported in association with Parkinson’s disease
Spontaneous Knee Ankylosis through Heterotopic Ossification after Total Knee Arthroplasty
This paper reports on a case of total ankylosis of the knee after a cruciate-sacrificing cemented total knee arthroplasty (TKA). An 82-year-old female patient previously underwent primary TKA for osteoarthritis twenty years ago in our institution. She had recovered uneventfully and returned to her regular activities. There was no history of postsurgical trauma; however, she progressively lost knee range of motion. Radiographs revealed severe bridging heterotopic ossification
Charcot Spine and Parkinson’s Disease
Charcot spine is rare condition whose association with Parkinson’s disease (PD) has not been reported yet. The authors reported the cases of two patients with PD who developed Charcot spine. Both patients presented with a history of back pain and bilateral radicular leg pain. They had complete clinical and radiological assessment. Lumbar spine was involved in both patients. Clinical features and response to treatment were described. In the first case, circumferential fusion and stabilization were performed on the dislocated vertebral levels. A solid and stable fusion of the spine was obtained with satisfactory clinical outcome. Surgical treatment has been recommended to the other patient. In both cases, no other neurological etiology was found to account for Charcot spine. In conclusion, Charcot spine is associated with several neurological affections but has not previously been reported in association with Parkinson’s disease
L’IRM chez les patients souffrant de pubalgie chronique : est-ce un outil utile pour le chirurgien ? Étude cas-témoin
Contexte : Des études récentes ont montré que l’IRM était performante dans l’évaluation des différentes composantes de la pubalgie du sportif (PS). Cependant, et à notre connaissance, aucune étude n’a évalué la corrélation systématique entre une description précise des lésions tendineuses ou pariétales en IRM, les constatations chirurgicales et l’analyse histologique. De fait, nous avons réalisé une étude cas-témoin afin de déterminer si l’IRM pouvait évaluer précisément une tendinopathie du long adducteur (LA), les lésions pariétales, en comparaison à la chirurgie ainsi qu’à l’analyse histologique. Hypothèse : Dans la PS, l’IRM peut différencier une étiologie symphysaire, musculotendineuse ou d’origine pariétale inguinale. Matériel et méthodes : Dix-huit patients furent consécutivement inclus dans notre étude entre novembre 2011 et avril 2013 pour PS. Pour constituer un groupe témoin, nous avons également inclus 18 sujets masculins. Toutes les IRM ont été lues en consensus par 2 radiologues ostéo-articulaires à la recherche de symphysite pubienne et pour évaluation musculotendineuse ainsi que pariétale abdominale, puis comparées à la chirurgie et à l’analyse histologique. Résultats : Concernant la symphysite pubienne, nous avons mis en évidence 4 œdèmes médullaires en miroir (14 %), 2 fentes secondaires (7 %) et 2 lésions du ligament pubien supérieur (7 %). Pour les lésions du LA, nous avons essentiellement rencontré 13 œdèmes médullaires asymétriques (46 %), 15 hyperémies (54 %). Et en ce qui concerne la paroi abdominale, le calibre de l’orifice inguinal profond dans le groupe symptomatique et dans le groupe témoin était respectivement 27,3 ± 6,4 mm et 23,8 ± 6,3 mm. La corrélation entre l’évaluation IRM, et chirurgie/histologie était faible : 20 % pour le tendon LA et 9 % pour la paroi abdominale. Si nous avions choisi le critère de jugement « atteint contre non atteint », cette corrélation aurait été plus forte : 100 % pour le tendon LA et 73 % pour la paroi abdominale. Conclusion : L’évaluation IRM de la pubalgie chronique du sportif concerne préférentiellement la tendinopathie du LA et la déhiscence de l’orifice inguinal profond avec une corrélation importante au couple chirurgie/histologie., si l’on considère uniquement l’item « atteint contre non atteint », et malgré une faible corrélation si l’on essaye de classifier précisément ces lésions. Niveau de preuves : III. Étude cas-témoin