58 research outputs found
Karnak â Sanctuaires osiriens (2022)
DonnĂ©es scientifiques produites :https://www.ifao.egnet.net/archeologie/karnak/. Dans le cadre de lâopĂ©ration archĂ©ologique et Ă©pigraphique dirigĂ©e par Laurent Coulon et Cyril Giorgi, sont fouillĂ©es trois chapelles (XXVe-XXVIe dynasties) situĂ©es au nord-ouest du grand temple dâAmon de Karnak, entre la grande salle hypostyle et le temple de Ptah, respectivement consacrĂ©es Ă Osiris Neb-Ăąnkh, Osiris Ounnefer Neb-djefaou et Osiris Ounnefer. I. Ătudes archĂ©ologiques, fouilles et travaux de restaur..
Tanis
LâannĂ©e 2019 a Ă©tĂ© particuliĂšrement riche en activitĂ©s diverses pour la Mission française des fouilles de Tanis (MFFT). La campagne de recherches proprement dite (fouilles, Ă©pigraphie, architecture) menĂ©e au printemps sâest en effet prolongĂ©e en sâarticulant progressivement avec le projet de mise en valeur du site archĂ©ologique, faisant suite aux travaux initiĂ©s par la mission elle-mĂȘme depuis quelques annĂ©es, dĂ©sormais portĂ©s, avec le concours Ă©troit de celle-ci, par lâIfao conjointement ave..
AprĂšs lâEmpire : monuments de Karnak de la TroisiĂšme PĂ©riode intermĂ©diaire
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Administration, société et pouvoir à ThÚbes sous la XXIIe dynastie bubastite
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Administration, société et pouvoir à ThÚbes sous la XXIIe dynastie bubastite
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La monarchie pharaonique Ă lâĂ©preuve des guerres dynastiques
International audienceLa question de lâexistence des guerres dynastiques en Ăgypte ancienne pose tout dâabord divers problĂšmes de dĂ©finitions et de sources. La dynastie Ă©gyptienne nâest en effet pas exactement synonyme des dynasties occidentales, mĂ©diĂ©vales ou modernes. HĂ©ritĂ© de lâhistorien grĂ©co-Ă©gyptien ManĂ©thon, qui vivait probablement sous les premiers PtolĂ©mĂ©es, le terme de dynastie dĂ©signe en effet une suite de rois issus dâun mĂȘme centre de pouvoir, sous la protection dâun mĂȘme patronage divin, et non forcĂ©ment apparentĂ©s par le sang. La succession royale Ă©gyptienne, qui sâĂ©tend sur 3 000 ans, a Ă©videmment connu des crises menant parfois Ă des conflits extrĂȘmement variĂ©s dans leurs causes comme dans leur dĂ©roulement. Cette note a pour objectif dâen donner un bref aperçu. Lâanalyse dâun tel phĂ©nomĂšne se heurte Ă©videmment au problĂšme des sources. La documentation Ă©gyptienne nous renvoie en effet essentiellement le message de lâĂ©lite dirigeante, et donc du vainqueur, sous forme de propagande royale. Malheur donc aux vaincus qui tombent souvent dans les oubliettes de lâHistoire, car les inscriptions officielles sont promptes Ă faire passer les vainqueurs pour lĂ©gitimes alors quâils Ă©taient Ă lâorigine les usurpateurs. Aux pĂ©riodes mieux documentĂ©es du Nouvel Empire et des Ă©poques tardives, la documentation privĂ©e vient pallier ce dĂ©faut originel et permet parfois dâĂ©clairer ces temps, par essence troublĂ©s, que sont les guerres civiles, notamment dynastiques
Les obscurs dĂ©buts de la domination soudanaise en Ăgypte (deuxiĂšme moitiĂ© du VIIIe s. av . J.-C.)
Payraudeau FrĂ©dĂ©ric. Les obscurs dĂ©buts de la domination soudanaise en Ăgypte (deuxiĂšme moitiĂ© du VIIIe s. av . J.-C.). In: Comptes rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Inscriptions et Belles-Lettres, 158e annĂ©e, N. 4, 2014. pp. 1597-1611
"Généalogie et mémoire familiale à la TroisiÚme Période intermédiaire. Le cas de la statue Caire JE 37880"
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