47 research outputs found

    Coffee and its waste repel gravid Aedes albopictus females and inhibit the development of their embryos

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    EVALUATION OF SUBLETHAL EFFECTS OF Ipomoea cairica LINN. EXTRACT ON LIFE HISTORY TRAITS OF DENGUE VECTORS

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    Plant derived insecticides have considerable potential for mosquito control because these products are safer than conventional insecticides. This study aimed to investigate sublethal activities of Ipomoea carica or railway creeper crude acethonilic extract against life history trait of dengue vectors, Aedes albopictus and Aedes aegypti. The late third instar larvae of Ae. albopictus and Ae. aegypti were exposed to a sublethal dose at LC50 and larvae that survived were further cultured. Overall, Ipomea cairica crude extracts affected the whole life history of both Aedes species. The study demonstrated significantly lower egg production (fecundity) and eggs hatchability (fertility) in Ae. albopictus. The sublethal dose of crude extracts reduced significantly the width of larval head capsule and the wing length of both sexes in both Aedes species. The significance of sublethal effects of I. cairica against Aedes mosquitoes was an additional hallmark to demonstrate further activity of this plant despite its direct toxicity to the larvae. The reduced reproductive capacity as well as morphological and physiological anomalies are some of the effects that make I. cairica a potential candidate to be used as a new plant-based insecticide to control dengue vectors

    Cancers in Africa: a journal to participate in the fight

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    C113: Exérèse large sous anesthésie locale des tumeurs suspectes du sein : une technique pour sécuriser les marges

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    INTRODUCTION : La discordance clinique dans le diagnostic des masses mammaires impose une approche chirurgicale à minima respectant des principes carcinologiques. Nous rapportons une technique d’exérèse large des nodules mammaires sous anesthésie locale. MATERIELS ET METHODES : Nous utilisons 15 cc de xylocaine à 1% diluée dans une cupule avec 20 cc de sérum physiologique. L’infiltration se fait sur les points cardinaux puis sous la lésion. Puis, nous infiltrons sous la ligne d’incision cinq cc de xylocaine non diluée. L’incision est faite en quartier d’orange et l’exérèse est faite grâce à une traction au zénith de la lésion suivie d’une dissection circulaire. RESULTATS : Dix patientes ont été opérées. Les lésions étaient toutes à distance de l’aréole. La taille maximale était de quatre cm. Il n’y avait pas d’incident ni d’accident. Les suites opératoires étaient simples et toutes les marges était saines à l’histopathologie. CONCLUSION : L’exérèse sous anesthésie locale de tumeurs du sein dans le cadre de l’exploration d’un trépied discordant utilisant la traction au zénith est une technique simple et sure pour garantir la sécurité des marges.</jats:p

    Vulva and lower limb cancer: Results of inguinal lymph node staging on 81 cases

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    Background: The objective of this work completed at the Cancer Institute in Dakar is to report the results of inguinal lymph node dissection in cancers of the lower limb and of the lower genital tract. Methods: This is a retrospective study over a 10-year period. The parameters being studied are histological type, lymph node involvement, postoperative morbidity, recurrence, and survival. Results: 81 patients received surgery over a period of 7 years. The average age of our patients was 61. The sex ratio is 0.74 with 34 men and 47 women. There were 70 cases of cancer of the lower limbs (86%) and 11 cases of cancer of the vulva (14%). The most common histological type was squamous cell carcinoma (SCC) with 41 cases (51%). Clinical inguinal involvement was noted in 58 patients (72.5%) with palpable lymph nodes. All vulvar cancer patients developed histologically positive nodes. Melanoma patients were more susceptible to developing positive nodes. In sarcoma there were more matches between clinical and histological positive nodes. No vascular and nerve damage was reported. The average length of hospitalization was 5 days, with 3 days being the shortest stay, and 40 days the longest stay. Local complications consisted of suture releases in 9 cases, and 6 surgical necrosis of the wound. A seroma was found with an average duration of 35 days in 69 patients (85%). Postoperative deaths occurred in 5 cases (6%), 1 after a renal failure, 1 due to thromboembolic disease, 1 due to sepsis, and 2 deaths occurred after patients experienced respiratory distress. Conclusion: After five years of follow-up care, no patient presented chronic sequelae after inguinal dissection, 7 patients (8.75%) had local recurrence, and 4 patients (7.7%) had lymph node metastases. We recorded 33 cancer-related deaths (41%). Chronic complications, including lymphedema are underestimated and require better assessment methods for prevention and treatment.</jats:p

    C51: Cancers épithéliaux de l'ovaire : Etude rétrospective à propos de 36 cas colligés à l'Institut Joliot Curie de l'HALD

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    INTRODUCTION : Les cancers épithéliaux de l’ovaire sont des processus prolifératifs malins développés aux dépens du revêtement de surface des ovaires. Ils représentent environ 85% des cancers de l’ovaire et sont dominés par les cystadénocarcinomes séreux. La moitié des cancers de l’ovaire surviennent après 65 ans. La présence d’un antécédent de premier ou de second degré de cancer de l’ovaire multiplie le risque de survenue de cancer de l’ovaire par trois à cinq. Le diagnostic de certitude est anatomopathologique. Le traitement actuel est basé sur une résection chirurgicale la plus complète possible suivie d’une chimiothérapie adjuvante. Le but de notre étude est de décrire les aspects épidémiologiques et diagnostiques et d’évaluer leur prise en charge par rapport aux données actuelles de la littérature. MATERIELS ET METHODES : Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive avec 85 patientes dont 36 étaient porteuses d’une tumeur épithéliale maligne de l’ovaire confirmée. L’étude couvre la période allant du 1er Janvier 2010 au 31 Décembre 2011 soit une période de deux ans. Il s’agit de patientes présentant une tumeur épithéliale maligne de l’ovaire évoquée devant des signes cliniques et paracliniques. L’examen anatomopathologique a permis dans 36 cas de confirmer le diagnostic de tumeur épithéliale maligne. Les variables étudiées étaient d’ordre épidémiologiques (âge, statut hormonal, contraception, parité, tare), diagnostiques (délai, signes d’appel, imagerie et anatomie pathologique), thérapeutiques et pronostiques. L’analyse des données a été réalisée à l’aide du logiciel SPSS© 21.0. RESULTATS : Trente-et-six dossiers de patientes ont été colligés. L’âge moyen était de 52,97 ans et des extrêmes de 37 et 70 ans. La majorité des femmes étaient des paucipares soit 47,2% des cas. La ménopause était rapportée chez 69,4% des patientes. Les motifs de consultation étaient représentés par une ascite dans 75% des cas, une masse abdominale dans 41,7% des cas, des douleurs abdominales dans 27,8% des cas. Le diagnostic reposait sur la cytologie du liquide d’ascite qui était suspecte de malignité dans 13,9% des cas. Les images échographiques étaient suspectes dans 100% des cas et les images scannographiques l’étaient dans 96,1% des cas. Le dosage du CA-125 a été réalisé dans 100% des cas et son taux au moment du diagnostic était supérieur à 35 UI/ml dans 100% des cas. Les patientes étaient classées stade I dans deux cas, stade II dans deux cas (soit 5,6%), stade III dans 13 cas (soit 36,1%) et stade IV dans sept patientes (soit 19,4%). Le type histologique le plus fréquent était le cystadénocarcinome séreux qui représentait 47,2% des cas. Le traitement de choix était la chirurgie dite de réduction tumorale. Elle était initiale dans 88,9% des cas et d’intervalle dans 11,1% des cas. Le traitement adjuvant était basé sur la chimiothérapie qui était utilisée dans 66,7% des cas. Il s’agissait d’une chimiothérapie néoadjuvante dans 5,6% des cas, d’une chimiothérapie adjuvante dans 55,6% des cas Le suivi moyen des patientes était de 239,69 jours avec des extrêmes de zéro et 649 jours. Au terme de l’étude, 24 patientes étaient vivantes (soit 28,2%), 56 étaient perdues de vue (soit 65,9%) et cinq étaient décédées (soit 5,9 %). La survie globale n’a pas pu être évaluée au terme de cette étude. CONCLUSION : Le cancer de l’ovaire survient le plus souvent chez les paucipare et ménopausées. La circonstance de découverte la plus souvent une augmentation du volume de l’abdomen. Le cysadénocarcinome séreux est le type histologique le plus fréquent. La chirurgie joue un rôle dans le traitement et la stadification. Le pronostic des cancers épithéliaux reste péjoratif, d’où l’intérêt de faire un diagnostic précoce suivi d’une prise en charge adéquate.</jats:p

    Become stronger through diversity

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