32 research outputs found

    Les Juilléras (Mondragon, Vaucluse) site d'habitat et funéraire du Néolithique récent, Néolithique final, Campaniforme - Bronze ancien et Bronze final 2b : Premiers résultats

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    Le site des Juilléras a fait l'objet d'une fouille de sauvetage sur le tracé du TGV Méditerranée. Plusieurs occupations successives ont pu être mises en évidence. Un ensemble mégalithique à vocation funéraire est mis en place au Néolithique récent. Deux fosses indiquent une occupation au Néolithique final. Le site est ensuite occupé au Campaniforme-Bronze ancien et livre une petite nécropole en marge d'une aire d'occupation domestique. Il est réutilisé une dernière fois au Bronze final 2b par l'implantation d'un four à galets chauffés indiquant la présence d'une aire d'activité particulière

    Multicenter trial of one HLA-DR–matched or mismatched blood transfusion prior to cadaveric renal transplantation

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    Multicenter trial of one HLA-DR–matched or mismatched blood transfusion prior to cadaveric renal transplantation.BackgroundThe beneficial effect of blood transfusions before cadaveric renal transplantation on allograft survival, although previously well documented, has become controversial in light of their adverse effects. Recently, it has been suggested that their clinical benefits are due to HLA-DR sharing between the blood donor and recipient.MethodsIn this prospective study, 144 naive patients were randomly assigned to receive one unit of blood matched for one-HLA-DR antigen (N = 49), or one unit of mismatched blood (N = 48), or to remain untransfused (N = 47). Graft survival and acute rejection rate were analyzed in 106 cadaveric renal allograft recipients receiving the same immunosuppressive protocol.ResultsGraft survival was similar in the three groups at one and five years: 91.7 and 80% in untransfused patients, 90.3 and 79.3% in patients transfused with one DR-antigen–matched unit, and 92.3 and 83.7% in patients transfused with HLA-mismatched blood. The difference in the incidence of six-month post-transplant acute rejections was not statistically significant in the three groups: 12 out of 36, 33.3% in nontransfused patients; 6 out of 31, 19.4% in patients transfused with one DR-matched blood; and 13 out of 39, 33.3% in patients transfused with mismatched blood.ConclusionThe results of our prospective randomized trial showed that in a population of naive patients, one transfusion mismatched or matched for one HLA-DR antigen given prior to renal transplantation had no significant effect on the incidence and severity of acute rejection, and did not influence overall long-term graft outcome. Considering the potentially deleterious adverse effects of blood transfusions, the costs, and the considerable logistical efforts required to select and type blood donors, such a procedure cannot be recommended in a routine practice for patients awaiting cadaveric kidney transplantation

    Le site néolithique final de La Fare (Forcalquier, Alpes-de-Haute-Provence). Résultats 1995-1999 et révision chronoculturelle

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    Publié initialement : LEMERCIER O., CAULIEZ J., FURESTIER R., MULLER A., BOUVILLE C., CONVERTINI F., GILABERT C., JORDA M., KHEDHAIER R., LAZARD N., LOIRAT D., PELLISSIER M., PROVENZANO N., VERDIN P. (2004) – Le site Néolithique final de La Fare (Forcalquier, Alpes-de-Haute-Provence) résultats 1995-1999 et révision chronoculturelle, in : DARTEVELLE H. (Dir.) : Rencontres Méridionales de Préhistoire Récente, 5e session, Clermont-Ferrand, 2002, Archéologie du sud-ouest, 2004, p. 445-455.Le site de La Fare est un établissement perché sur un grand éperon de la région de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence). Occupé de la fin de la Préhistoire jusqu'à l'époque contemporaine, il a livré les vestiges de deux occupations du Néolithique final datables du troisième millénaire avant notre ère. La première occupation, attribuée à la charnière quatrième/troisième millénaire (groupes Couronnien, Fraischamp, Ferrières), présente un système d'enceintes complexe et plusieurs grandes structures. La seconde occupation, rattachée au groupe Rhône-Ouvèze montre un habitat ouvert et la présence d'une sépulture individuelle à mobilier campaniforme. Elle peut être datée du milieu du troisième millénaire. Après une première note d'actualité sur les campagnes 1991-1993, présentée lors des premières Rencontres Méridionales de Préhistoire Récente (Valence, 1994), cet article propose une révision chronoculturelle du site alimentée par les résultats des campagnes de fouilles 1995-1999 et les premières études réalisées sur le mobilier

    L'Aspre del Paradis à Corneilla-del-Vercol (Pyrénées-Orientales) : contribution à l'étude du Néolithique ancien et final roussillonnais

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    International audienceThe Aspre del Paradis site, located on Corneilla-del-Vercol, Pyrénées-Orientales, has provided several Neolithic structures revealed by the excavation of a Late Antiquity occupation. Two of these structures (n° 5 et 6), comparable to storage pits, have been secondarily filled on with various artefacts. The third (n° 15) and last, is almost sterile. The study of artefacts (ceramics, fauna, etc.) reveals two distinct occupation periods during the Neolithic. The artefact provided by each storage pits are described and replaced in their regional chrono-cultural context. The first period is related to the Early Neolithic, at the turning points of the fifteen and sixteen millenaries before Christ (Late Cardial, Early Epicardial). Because of the scarcity of open-air sites, during this period, this discovery is remarkable. The second period is characteristic of the Late Neolithic. Especially because of the abundance of cob, it offers the evidence of a well established habitatLe site de l'Aspre del Paradis, localisée sur la commune de Corneilla-del-Vercol dans les Pyrénées-Orientales, présente plusieurs structures néolithiques révélées par la fouille d'une occupation de l'Antiquité tardive. Deux de ces structures (n° 5 et 6), assimilables à des fosses - silos, contiennent, en comblement secondaire, des restes de nature très variée. La troisième (n° 15) et dernière, est en revanche quasiment stérile. L'étude des restes archéologiques (céramique, faune, etc.) montre que le site a été occupé pendant deux périodes néolithiques bien distinctes. Les artefacts de chacune des fosses - silos sont décrits et replacés dans le contexte chrono-culturel régional. La première phase se rapporte à une occupation du Néolithique ancien, située à la charnière des 5ème et 6ème millénaires avant notre ère (Cardial récent, Epicardial ancien). En raison de la rareté des sites de plein air de cette époque, cette découverte, bien que ponctuelle, est remarquable. La seconde phase est illustrée par une occupation du Néolithique récent-final. Elle offre, notamment en raison de l'abondance des restes de torchis, le témoignage d'un habitat bien établi. Le document est accessible sur Persée : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_2001_num_98_3_1253

    Un premier sanctuaire celtique en Aquitaine.: Résultats des fouilles menées en 2020 sur l’agglomération ouverte de La Peyrouse (Saint-Félix-de-Villadeix, Dordogne)

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    International audienceThe site of La Peyrouse (Saint-Félix-de-Villadeix, Dordogne) was discovered in 2014 by C. Chevillot. The archaeological operations carried out since then confirm the existence of a vast open agglomeration with an artisanal and commercial vocation and occupied from the 3rd centu-ry BC to the 2nd century AD. The settlement of La Peyrouse probably owes its location and economic development to two main factors: on the one hand, the existence of a major long-distance land road (Périgueux to Agen) which borders the site and, on the other hand, to the significant iron mining resources in the vicinity.In order to gain a more precise understanding of the extent, organization and environ-ment of the site, geophysical surveys were carried out from 2019 onwards as part of the RAP-SODIE project. These have improved our understanding of the site. They confirmed the exist-ence of a dense occupation, extending over several hectares. They also revealed, at the summit of the site, a large quadrangular building with sides measuring c. 25 m. The excavation campaign of 2020, which targeted the eastern part of this structure, confirms the religious function of the building.From pedestrian to geophysical surveys, this article provides an overview of the ongoing research. More specifically, it presents a synthesis of the results of the first excavation campaign on the sanctuary of La Peyrouse, the first documented to date in Aquitaine.Le site de La Peyrouse (Saint-Félix-de-Villadeix, Dordogne) a été découvert en 2014 par C. Chevillot. Les opérations archéologiques menées depuis confirment l’existence d’une vaste agglomération ouverte à vocation artisanale et commerciale et occupée du IIIe s. a.C. au IIe s. p.C. L'agglomération de La Peyrouse doit probablement son implantation et son développe-ment économique à deux principaux facteurs : d'une part l'existence d'une voie terrestre majeure de long parcours (Périgueux à Agen) qui borde le site et, d'autre part, aux importantes ressources minières de fer environnantes.Afin d’appréhender plus précisément l’étendue, l’organisation et l’environnement du site, des prospections géophysiques ont été menées à partir de 2019 dans le cadre du projet Région Nouvelle-Aquitaine RAPSODIE. Celles-ci ont permis d’améliorer notre compréhension du site. Elles confirment l’existence d’une occupation dense, s’étendant sur plusieurs hectares. Elles ont également mis en évidence, sur le point sommital du site, un grand édifice quadrangulaire dont les côtés mesurent c. 25 m. La campagne de fouilles programmées de 2020, qui a ciblé la partie orientale de ce bâtiment, confirme la vocation cultuelle du bâtiment.Des prospections pédestres aux prospections géophysiques, cet article livre un état des re-cherches en cours. Plus particulièrement, il propose une synthèse des résultats issus de la pre-mière campagne de fouilles sur le sanctuaire de La Peyrouse, le premier documenté à ce jour en Aquitaine
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