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    La predicción a partir del día 4: ¿qué sabemos predecir? ¿qué información debemos transmitir?

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    Ponencia presentada en: IV Simposio Nacional de Predicción del Instituto Nacional de Meteorología, celebrado en 1999 en MadridEducados por la teoría noruega, los predictores han querido utilizar la experiencia de la meteorología sinóptica a medio plazo. Desde hace pocos años, los controles objetivos y subjetivos ponen de manifiesto que, a pesar de los progresos de los modelos numéricos, los fenómenos sinópticos quedan mal predichos a partir del día D+4. Por esta razón, el Centro Europeo recomienda una nueva aproximación para la "predicción intermedia a medio plazo" (D+4, D+5, D+6). En Météo-Frunce, esta predicción de los fenómenos a gran escala, que llamamos supra-sinópticos, está en estudio desde la creación de un Grupo de Trabajo a Medio Plazo hace unos años. Si deseamos seguir una aproximación determinista, observamos que la Predicción por Conjuntos sólo trae una información muy pobre, pero al menos en un 25% de los casos propone al predictor un escenario alternativo al del modelo de alta resolución. Por fin, tratamos dejar patente la diferente naturaleza de la información del tiempo a medio plazo, tras dos documentos gráficos, uno técnico y otro mediático, cada uno acompañado de un texto, cuyo estilo también es nuevo

    The role of tropical waves in the genesis of Tropical Cyclone Seroja in the Maritime Continent

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    Tropical cyclone Seroja was one of the first tropical cyclones to significantly impact Indonesian land, and the strongest one in such close proximity to Timor Island. In April 2021 Seroja brought historic flooding to near-equatorial regions of Indonesia and East Timor, as well as impacting Western Australia. Here we show that the unusual near-equatorial cyclogenesis in close proximity to a land mass was due to “perfect storm” conditions associated with multiple wave interactions. Specifically, this was associated with enhanced equatorial convection on the leading edge of a Madden–Julian Oscillation (MJO) event. Within the MJO, the interaction between a convectively coupled equatorial Rossby wave and two convectively coupled Kelvin waves span up the initial vortex and accelerated cyclogenesis. On average, such favorable atmospheric conditions can occur once per year. These results indicate the potential for increased predictability of tropical cyclones over the Maritime Continent

    Situación excepcional de nieve de los días 22 y 23 de enero de 1992 en Cataluña francesa

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    Ponencia presentada en: III Simposio Nacional de Predicción del Instituto Nacional de Meteorología, celebrado en 1996 en MadridEl 22 de enero de 1992, una baja aislada procedente de Europa Central en dirección a España dio lugar a un episodio de fuertes precipitaciones en forma de nieve e11 el Sudoeste de Francia. El estudio sinóptico de la situación señala que los factores dinámicos unidos a la presencia del Mediterráneo provocaron unos movimientos verticales notables. Se demuestra, en este caso, el interés de los mapas de vorticidad absoluta como "delatores" de las zonas donde la atmósfera está muy activa. Ese campo constituye una estimable ayuda para el predictor, pues parece que su predicción puede ser mejor que para otros parámetros

    L’image du plasticien

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    Der plastische Künstler und das Bild Das Wort Bild kann derart verschie-den aufgefasst werden, dass am Ende nicht mehr klar ist, worum es geht, wenn es benutzt wird. Der Begriff des Bil-des ist grundlegend fur den plastischen Künstler, stellt es doch gleichzeitig das Ergebnis seiner Production und den wichtigsten „Rohstoff‘ dar, aus dem es entsteht. Aber auch für aile, die im künstlerischen Feld tätig sind, wie Kunsthistoriker, Kunstkritiker, Bildrestaurateure, Semiotiker, Psychoanalytiker und Soziologen. Konzentriert man sich auf das, was all diesen Tätigkeiten gemein-sam ist, kann man ein Bild als „Produkt menschlicher Intelligenz“ definieren und in diesem Sinne eine anthropologische Untersuchung vomehmen. Das Bild als solches kann folglich, und dazu laden uns die Humanwissenschaften ein, aufgrund verschiedener Analysen in seine Einzlaspekte zerlegt werden. Dies führt uns dazu zu differenzieren, indem wir dieses etwas, das materiell und objektiv eine und die gleiche Sache zu sein scheint, unter verschiedenen, sich ergänzenden Standpunkten betrachten, die die komplexe Realität des Bildes veranschaulichen, mit denen sich der plastische Künstler auseinandersetzen muss.The image of the plastic artist The term “image” is so polysemous that in the end, we do not know what is meant exactly when the term is used. It is a fundamental notion for the plastic artist for whom it is both the result of his/her production and one of the «raw materials» that nourishes the artwork. It also questions all of those who take part in the world of art -the art historian, art critic, restorer, semiotician, psychoanalyst and sociologist etc. If we restrict ourselves to what is common to all of them, the image can be defined as a «product stemming from human intelligence» and in this respect, it may form the subject of an anthropological analysis. As the human sciences invite us to consider, images can consequently be diffracted under the effect of different analyses. This leads us to differentiate complementary approaches, in what seem to be materially and objectively a single and unique artefact, highlighting the complex reality of the image with which the plastic artist must work.Le terme d’image est tellement polysémique que l’on finit par ne plus savoir précisément de quoi il est question lorsqu’on l’emploie. Notion fondamentale pour l’artiste plasticien, pour qui elle constitue à la fois le résultat de sa pro- duction et l’une des «matières premières » qui la nourrit, elle interroge aussi l’ensemble de ceux qui interviennent dans le champ de l’artistique : l’historien d’art, le critique d’art, le restaurateur, le sémioticien, le psychanalyste, le sociologue... Si l’on s’en tient à ce qui leur est commun à tous, l’image peut se définir comme un «produit issu de l’intelligence humaine» et faire l’objet, à ce titre, d’une analyse anthropologique. L’image peut, par conséquent, et comme les sciences humaines nous y invitent, être diffractée sous l’effet de différentes analyses. Ceci nous conduit à différencier, dans ce qui semble être matériellement et objectivement un seul et unique artefact, des approches complémentaires qui mettent en évidence la réalité complexe de l’image, avec laquelle doit composer l’artiste plasticien.Lefort Thierry. L’image du plasticien. In: Revue des sciences sociales, N°34, 2005. Le rapport à l'image. pp. 18-23

    LE LIEU DE L’ÉNIGME.ESPACE ET TEMPS DANS ARMEN (1967), DE JEAN-PIERRE ABRAHAM

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    Ce texte de Jean-Pierre Abraham (1936-2003), publié en 1967, fait l'objet d'une (re)connaissance singulière. Sa réputation et son quasi statut de livre-culte dans le petit monde de la maritimité dissonent en effet avec une audience plus confidentielle auprès d'un public élargi. Mais s'il ne saurait a contrario être rangé sur les rayonnage de l'abondante littérature de phares, c'est qu'Armen, dont les pages restituent effectivement ce qui se passe dans ce sémaphore finistérien, dit, fondamentalement et aussi, autre chose. Il raconte, par le truchement d'un je/narrateur très proche de l'auteur, lui-même gardien de ce phare de 1959 à 1963, une enquête (en-quête) de soi, dont les horizons et les enjeux excèdent essentiellement ceux de la maintenance d'un phare. Il y a énigme et donc mystère, parce que le livre refermé, le lecteur ne pourra pas se déterminer sur l'objet du récit, sur sa tension narrative (que cherche le je/narrateur ?). Mais cela n'en fait pas pour autant un roman, tant l'expérience biographique s'y inscrit, ni une autofiction, non plus qu'un journal (de bord). Certes, le texte restitue linéairement (ou presque) les travaux et les jours d'un gardien de phare, mais il est organisé en chapitres et commence sans date, comme si les premières pages se coulaient dans un texte déjà là, en cours, inséré à ce premier jour dans un fil du temps dont le lecteur ne connaîtra pas le début. L'hypothèse que soutient cette analyse est qu'Armen constitue un texte opératoire particulièrement efficace, un texte laboratoire pour rendre compte d'une part, de la place et du statut de l'espace dans la fabrique littéraire textuelle, mais aussi pour approcher ce que le rapport au lieu (ici quasiment circonscrit à un point géodésique) construit dans la construction de soi. Une approche géocritique (Westphal 2007) mettra ici en évidence les enjeux et les modalités littéraires d'un faire avec l'espace : « faire » dans l'action mais aussi « faire » dans l'écriture de l'action et de soi. Ces deux dimensions de l'écriture sont ici indissociables, tant Armen s'organise autour de la double saisie du « réel » de l'expérience et de la traque pour en restituer littérairement à la fois les fulgurances et la durée. La tension entre le faire et le dire est palpable, explicitée ou implicite, dans les plis d'un texte qui revient, en spirale, sur les difficultés de cette quête, tant peut en être douloureuse la frustration du mot toujours approché et jamais totalement juste, c'est-à-dire adéquat à l'immédiateté de l'idée ou de la chose même. Cette recherche, au fondement de la création et de la créativité littéraires, est ici mise au travail dans un accouchement de soi dont le lieu, Armen, sert une maïeutique en miroir, objectivée et réfléchissante, à l'instar des lentilles de verre qui projettent au loin les faisceaux du feu qu'il porte. C'est donc là une histoire à trois, le lieu, le texte et le je, dont on recherchera qui de l'un fait les autres (et symétriquement). L'analyse proposée ici s'effectue en deux temps principaux. Le premier propose une approche géographique de l'extériorité/intériorité du lieu, mobilisant les outils de la géocritique et en particulier la notion de chronotope, dispositif de recherche afin de saisir l'élaboration textuelle et sensible de l'espace-temps. Le second tente une approche de la subjectivité et de sa narration dans son rapport à l'espace et dans les valeurs qu'il revêt, afin de cerner ce qui s'écrit, par et dans l'écriture de ce qui a lieu, en quête simultanée d'écriture du lieu et de soi

    LE LIEU DE L’ÉNIGME.ESPACE ET TEMPS DANS ARMEN (1967), DE JEAN-PIERRE ABRAHAM

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    Ce texte de Jean-Pierre Abraham (1936-2003), publié en 1967, fait l'objet d'une (re)connaissance singulière. Sa réputation et son quasi statut de livre-culte dans le petit monde de la maritimité dissonent en effet avec une audience plus confidentielle auprès d'un public élargi. Mais s'il ne saurait a contrario être rangé sur les rayonnage de l'abondante littérature de phares, c'est qu'Armen, dont les pages restituent effectivement ce qui se passe dans ce sémaphore finistérien, dit, fondamentalement et aussi, autre chose. Il raconte, par le truchement d'un je/narrateur très proche de l'auteur, lui-même gardien de ce phare de 1959 à 1963, une enquête (en-quête) de soi, dont les horizons et les enjeux excèdent essentiellement ceux de la maintenance d'un phare. Il y a énigme et donc mystère, parce que le livre refermé, le lecteur ne pourra pas se déterminer sur l'objet du récit, sur sa tension narrative (que cherche le je/narrateur ?). Mais cela n'en fait pas pour autant un roman, tant l'expérience biographique s'y inscrit, ni une autofiction, non plus qu'un journal (de bord). Certes, le texte restitue linéairement (ou presque) les travaux et les jours d'un gardien de phare, mais il est organisé en chapitres et commence sans date, comme si les premières pages se coulaient dans un texte déjà là, en cours, inséré à ce premier jour dans un fil du temps dont le lecteur ne connaîtra pas le début. L'hypothèse que soutient cette analyse est qu'Armen constitue un texte opératoire particulièrement efficace, un texte laboratoire pour rendre compte d'une part, de la place et du statut de l'espace dans la fabrique littéraire textuelle, mais aussi pour approcher ce que le rapport au lieu (ici quasiment circonscrit à un point géodésique) construit dans la construction de soi. Une approche géocritique (Westphal 2007) mettra ici en évidence les enjeux et les modalités littéraires d'un faire avec l'espace : « faire » dans l'action mais aussi « faire » dans l'écriture de l'action et de soi. Ces deux dimensions de l'écriture sont ici indissociables, tant Armen s'organise autour de la double saisie du « réel » de l'expérience et de la traque pour en restituer littérairement à la fois les fulgurances et la durée. La tension entre le faire et le dire est palpable, explicitée ou implicite, dans les plis d'un texte qui revient, en spirale, sur les difficultés de cette quête, tant peut en être douloureuse la frustration du mot toujours approché et jamais totalement juste, c'est-à-dire adéquat à l'immédiateté de l'idée ou de la chose même. Cette recherche, au fondement de la création et de la créativité littéraires, est ici mise au travail dans un accouchement de soi dont le lieu, Armen, sert une maïeutique en miroir, objectivée et réfléchissante, à l'instar des lentilles de verre qui projettent au loin les faisceaux du feu qu'il porte. C'est donc là une histoire à trois, le lieu, le texte et le je, dont on recherchera qui de l'un fait les autres (et symétriquement). L'analyse proposée ici s'effectue en deux temps principaux. Le premier propose une approche géographique de l'extériorité/intériorité du lieu, mobilisant les outils de la géocritique et en particulier la notion de chronotope, dispositif de recherche afin de saisir l'élaboration textuelle et sensible de l'espace-temps. Le second tente une approche de la subjectivité et de sa narration dans son rapport à l'espace et dans les valeurs qu'il revêt, afin de cerner ce qui s'écrit, par et dans l'écriture de ce qui a lieu, en quête simultanée d'écriture du lieu et de soi

    Introduction : l’identité par et dans les discours

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    Cet ouvrage collectif s’inscrit – même si ce n’est pas son objectif principal – dans l’ensemble abondant des productions verbales sur l’identité, thème omniprésent depuis quelques années en France, en Europe et dans le monde. En France, le contexte de l’élection présidentielle de 2017 – comme celle de 2007 – donne lieu, dans la sphère politico-médiatique, à de nombreux débats et controverses causés par des assertions, revendications et imprécations du personnel politique à propos de leur prop..
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