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    Patent Foramen Ovale Closure or Anticoagulation vs. Antiplatelets after Stroke

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    BACKGROUND Trials of patent foramen ovale (PFO) closure to prevent recurrent stroke have been inconclusive. We investigated whether patients with cryptogenic stroke and echocardiographic features representing risk of stroke would benefit from PFO closure or anticoagulation, as compared with antiplatelet therapy. METHODS In a multicenter, randomized, open-label trial, we assigned, in a 1:1:1 ratio, patients 16 to 60 years of age who had had a recent stroke attributed to PFO, with an associated atrial septal aneurysm or large interatrial shunt, to transcatheter PFO closure plus long-term antiplatelet therapy (PFO closure group), antiplatelet therapy alone (antiplatelet-only group), or oral anticoagulation (anticoagulation group) (randomization group 1). Patients with contraindications to anticoagulants or to PFO closure were randomly assigned to the alternative noncontraindicated treatment or to antiplatelet therapy (randomization groups 2 and 3). The primary outcome was occurrence of stroke. The comparison of PFO closure plus antiplatelet therapy with antiplatelet therapy alone was performed with combined data from randomization groups 1 and 2, and the comparison of oral anticoagulation with antiplatelet therapy alone was performed with combined data from randomization groups 1 and 3. RESULTS A total of 663 patients underwent randomization and were followed for a mean (+/- SD) of 5.3 +/- 2.0 years. In the analysis of randomization groups 1 and 2, no stroke occurred among the 238 patients in the PFO closure group, whereas stroke occurred in 14 of the 235 patients in the antiplatelet-only group (hazard ratio, 0.03; 95% confidence interval, 0 to 0.26; P<0.001). Procedural complications from PFO closure occurred in 14 patients (5.9%). The rate of atrial fibrillation was higher in the PFO closure group than in the antiplatelet-only group (4.6% vs. 0.9%, P = 0.02). The number of serious adverse events did not differ significantly between the treatment groups (P = 0.56). In the analysis of randomization groups 1 and 3, stroke occurred in 3 of 187 patients assigned to oral anticoagulants and in 7 of 174 patients assigned to antiplatelet therapy alone. CONCLUSIONS Among patients who had had a recent cryptogenic stroke attributed to PFO with an associated atrial septal aneurysm or large interatrial shunt, the rate of stroke recurrence was lower among those assigned to PFO closure combined with antiplatelet therapy than among those assigned to antiplatelet therapy alone. PFO closure was associated with an increased risk of atrial fibrillation

    Modification des diamètres coronaires à la phase aiguë de l'infactus du myocarde

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    But de l'étude : Chez les patients ayant un angor stable, l'angioplastie coronaire entraîne une vasoconstriction qui se généralise à la circulation systémique. Notre travail a pour but d'apprécier la variation du diamètre des vaisseaux coronaires dans le temps, chez les patients ayant une angioplastie à la phase aiguë d'un IDM. Conclusion : Notre étude a montré que le geste d'angioplastie à la phase aiguë de l'IDM s'accompagne d'une diminution du calibre des vaisseaux épicardiques dans les minutes qui suivent. Cette vasoconstriction relative " induite " disparaît à la 24ème heure. Elle est indépendante de la localisation. A un mois, le vaisseau a un calibre supérieur à celui qui a été observé avant l'angioplastie. Les patients admis à la phase aiguë d'infarctus du myocarde ont de ce fait, une vasoconstriction coronaire à l'état de base qui se majore après le geste d'angioplastie. Les stents mis en place à la phase aiguë de l'IDM pourraient être sous-dimensionnés. Ceci pourrait correspondre à un mécanisme de la resténose qui serait spécifique à ce sous-groupe de patients.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La composition de la plaque d'athérome analysée par echographie endocoronaire et histologie virtuelle peut-elle prédire l'expansion des endroprothèses coronaires

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    Justification et objectifs de l étude : La sous-expansion du stent est un facteur prédictif de resténose et de thrombose intra-stent. Le déploiement du stent dépend de nombreux paramètres et notamment des caractéristiques histo-mécaniques de la plaque et du vaisseau. L objectif de notre travail était d étudier l incidence de la composition histologique de la plaque d athérome, appréciée en échographie endocoronaire par l histologie virtuelle (EEC-HV) sur l expansion du stent. Méthode : 14 lésions coronaires nécessitant une angioplastie avec implantation d un stent ont été analysées prospectivement en EEC-HV avant angioplastie. L expansion de l endoprothèse était évaluée par échographie endocoronaire en échelle de gris (EEC-EG) par le rapport entre la surface intra-stent minimale et la surface théorique du stent déployé (déterminée par le tableau de compliance propre à chaque stent). Les lésions ont d abord été analysées dans leur globalité et dans un deuxième temps après division en 102 segments de 2 mm. La composition de la plaque était comparée entre le groupe de lésions ou de segments les mieux déployés et les plus mal déployés. Chaque composant histologique était rapporté au produit du volume de la plaque et du volume de vaisseau [Composant/(Plaque.Vx)] afin de s affranchir de leur influence. Résultats : L analyse en EEC-HV de la lésion dans sa globalité a mis en évidence plus de composante calcique (Dc) dans les lésions au niveau desquelles le stent était moins bien déployé, indépendamment de la taille du vaisseau et de la plaque d athérome [Dc/(Plaque.Vx) 0,023 vs 0,064 ; p=0,025]. L analyse des 102 segments de 2 mm a mis en évidence une plus grande proportion de Dc [Dc/(Plaque.Vx) 0,19 vs 0,29 ; p=0,014] et de corps nécrotique [Nc/(Plaque.Vx) 0,65 vs 0,78 ; p=0,05)] où les segments de stent étaient moins déployés. Les autres facteurs prédictifs de moins bon déploiement du stent étaient un volume de plaque plus important (10,7 vs 15 mm ; p=0.05) et une surface luminale moyenne plus petite (5,2 vs 3,6 mm ; p=0,005). Enfin, ces mêmes critères ont été retrouvés comme facteurs prédictifs indépendants de mauvaise expansion en analyse multivariée : un grand volume de plaque (OR 1,09 ; IC 95% 1,03-1,16 ; p=0,003), une petite surface endoluminale pré-stenting (OR 0,73 ; IC 95% 0,59-0,897 ; p=0,003), et une composition plus importante en Dc [Dc/(Plaque.Vx)] (OR 9,04 ; IC 95% 1,46-56,06 ; p=0,018). Conclusion : Notre travail est le premier à étudier la relation entre la qualité d expansion du stent et la composition de la plaque d athérome déterminée en EEC-HV. La plus grande proportion de Dc [Dc/(Plaque.Vx)] au sein de la plaque, un volume de plaque important et une petite surface artérielle luminale avant stenting, sont associés à un moins bon déploiement du stent.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocSudocFranceF

    Quantification des lésions coronaires par le scanner 16 barrettes (comparaison avec l'angiographie quantitative)

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    But de l'étude : le diagnostic de cardiopathie ischémique est actuellement posé par l'examen de référence, qui est depuis une trentaine d'année la coronarographie. Il s'agit cependant d'un examen coûteux et invasif, nécessitant une ponction artérielle et dont la complication la plus redoutée est la survenue d'embolies cérébrales. Les scanners de dernière génération permettent de visualiser les artères coronaires avec une résolution satisfaisante. Notre travail avait pour but d'évaluer le scanner cardiaque 16 barrettes pour la détection et la quantification des lésions coronaires. Matériel et méthode : cette étude est observationnelle et prospective, menée au CHU d'Amiens entre avril 2004 et juillet 2005. Cinquante et un patients ont été inclus. La moyenne d'âge était de 65+-13 ans et 66,7% étaient des hommes. Il s'agissait dans 63% des cas d'un bilan pour angor, dans 31% de bilans pré-opératoires et de 6% de bilan de CMD. Parmi la population, 64,7% avaient un surpoids, 70,6% de l'HTA, 27,5% un diabète, 51% une dyslipidémie, 39,2% un tabagisme et 31,4% une hérédité coronarienne. Cinq examens étaient ininterprétables. La fréquence cardiaque, au moment du scanner, était de 65+-13 bat./min. Vingt-trois pour cent des patients avaient une coronarographie normale, 22% étaient monotronculaires, 25,5% bitronculaires , 25,5% tritronculaires et 4% avait un athérome non sténosant. Résultats : une première analyse semi-quantitative a d'abord été faite par segment coronaire, par appréciation visuelle du degré de sténose au scanner. La sensibilité est de 67,9%, la spécificité de 95,9%, la valeur prédictive positive de 48,4% et la valeur prédictive négative de 98,4%. Pour l'analyse par artère, la sensibilité est de 87,1%, la spécificité de 87,9%, la valeur prédictive positive de 67,5% et la valeur prédictive négative de 95,9%. En ce qui concerne l'analyse par patient, la sensibilité est de 88,9%, la spécificité de 81,5%, la valeur prédictive positive de 76,2% et la valeur prédictive négative de 91,7%. Les occlusions ont été visualisées dans 90% des cas. La sensibilité pour les segments proximaux est meilleure en raison du plus grand diamètre des artères et de la moindre tortuosité des vaisseaux à ce niveau (70% versus 37,5%). Les performances du scanner sont inversement proportionnelles au degré de calcifications du réseau coronaire (p=0,003) et au nombre de troncs épicardiques lésés (p=0,014). Une seconde analyse quantitative a été effectuée. Seules 22 des 35 lésions significatives ont pu bénéficier d'une mesure précise du degré de sténoses par un logiciel dédié. Aucune corrélation n'a été trouvée entre le pourcentage de sténose calculé au scanner et à l'angiographie quantitative (r=0,2 ; p=0,38). Conclusion : notre étude confirme l'excellente valeur prédictive négative du scanner. Dans ce travail préliminaire, la sensibilité pour le diagnostic de lésion significative est satisfaisante, surtout pour les segments proximaux. Les logiciels utilisés et la résolution spatiale semblent être encore insuffisants pour quantifier les lésions coronaires de façon aussi précise que la coronarographie. Les limitations actuelles sont essentiellement représentées par la présence de calcifications et d'artéfacts cinétiques (cardiaques et respiratoires). L'arrivée prochaine du scanner 64 barrettes et l'expérience acquise devraient nettement améliorer les résultats.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Évaluation de la surface valvulaire aortique par le scanner 16-barrettes (comparaison à l'échocardiographie transthoracique)

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    But de l'étude : L'évaluation de la surface valvulaire aortique est actuellement réalisée en routine par l'échographie transthoracique (ETT). Le but de notre travail était d'étudier la faisabilité et la performance du scanner 16-barrettes pour l'évaluation de la surface valvulaire aortique chez les patients (pts) présentant une sténose aortique, en le comparant aux données de l'ETT. Matériel et méthode : Cette étude prospective, observationnelle a été menée au C.H.U. d'Amiens entre octobre 2004 et octobre 2005 et a concerné 37 patients hospitalisés pour évaluation d'une sténose aortique. La moyenne d'âge des pts était de 74,7 +- 10,4 ans et le sexe ratio de 1,35. La FE moyenne était évaluée à 65 +- 14,7 %. En cas de fréquence cardiaque >= 80 batt./min, un protocole b-bloquant intraveineux était utilisé avant réalisation du scanner. La planimétrie de la surface valvulaire aortique a été réalisée par deux méthodes au scanner. La première, appelée " double oblique " (DO), utilisait des reconstructions en mode multiplanaire et un repérage dans deux plans orthogonaux au plan de l'anneau aortique. La seconde appelée " vessel analysis " (VA), utilisait un logiciel habituellement dédié à l'analyse vasculaire, et un repérage après reconstruction en mode curviligne. Ces mesures étaient comparées à celles obtenues en ETT, par l'équation de continuité. Le degré de calcification et la fraction d'éjection (FE) étaient également évalués au cours du scanner. Résultats : Chez 33 pts, la planimétrie au scanner a pu être correctement réalisée, (faisabilité 89%). La fréquence cardiaque moyenne était de 63,4 +- 13 batt./min, 4 pts ont reçus le protocole b-bloquant. La surface valvulaire aortique moyenne mesurée en ETT était de 0,88 +- 0,34 cm [0,53-1,88], comparable au scanner cardiaque selon les méthodes (DO) 0,87 +- 0,38 cm [0,42-1,93] (p=0,75) et (VA) 0,87 +- 0,38 cm [0,44-2] (p=0,69). Les coefficients de corrélation entre ETT et scanner (DO) et entre ETT et scanner (VA) étaient respectivement r = 0,89 et r = 0,87 (p<0,001). L'analyse selon la méthode de Bland et Altman montrait l'absence d'erreur systématique avec une différence moyenne pour les 2 techniques de +0,01 cm . Les limites d'agrément étaient - 0,33 à + 0,34 cm pour la méthode (DO) et - 0,35 à + 0,37 cm pour la méthode (VA). Les sensibilité, spécificité, valeur prédictive positive et valeur prédictive négative du scanner pour dépister les 23 pts présentant une sténose aortique serrée (<1 cm ) étaient respectivement de 100%, 80%, 92% et 100 % pour la méthode (DO) et 95,6%, 81,8%, 91,6% et 90% pour la méthode (VA). Le coefficient de corrélation entre le degré de calcification et le gradient moyen mesuré en ETT était r = 0,65 (p = 0,0002). Le coefficient de corrélation entre la FE mesurée au scanner et celle mesurée en ETT était r = 0,74 (p < 0,001). Conclusion : Le scanner multibarrettes est donc une technique fiable pour l'évaluation de la surface valvulaire aortique et représente une aide supplémentaire à la démarche diagnostique. Il constitue une alternative à envisager aux techniques plus invasives (cathétérisme cardiaque, échographie transoesophagienne) lorsque l'ETT ne permet pas de conclure à la sévérité de la valvulopathie. La planimétrie aortique devrait être réalisée de façon systématique chez les pts ayant un scanner coronaire, et à fortiori chez ceux présentant des calcifications valvulaires aortiques, afin de dépister un éventuel rétrécissement aortique asymptomatique. Les limites sont cependant encore marquées par l'impossibilité de réaliser cet examen en cas d'arythmie, d'allergie au produit de contraste iodé ou d'insuffisance rénale sévère.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Optimization of DPSS Ultraviolet Laser Dicing of Silicon Carbide Chips Using Design of Experiment Methodology

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    International audienceThis paper investigates the laser micro-machining of SiC-4H wafers with an ultraviolet (355 nm) nanosecond source. The design of experiment methodology was used to study the effect of pulse energy, number of passes, defocus and scanning speed on scribing depth and was modelled with Design Expert® software. This model predicted a narrow set of processing parameters to scribe half of the wafer thickness (180/360 µm). A more fundamental study was also conducted in order to validate literature observations about the ablation mechanism. A brief comparison between conventional blade dicing and the laser scribe-break method was performed on a 3' diameter wafer. It revealed a possible gain of gross die (number of usable chips per wafer) of 7% which is economically interesting

    Innovative electrochemical deep etching technique involving aluminum thermomigration

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    5 pagesInternational audienceA novel micro-machining technique for silicon deep anisotropic etching and isolating porous siliconstructure formationis developped in this paper. This method combines aluminum thermomigration through a N type silicon wafer and silicon electrochemicaletching in a HF-based solution.Using this technique, high aspect ratio trenches (1:5) and porous silicopn isolating regions have been achievedthrough the entire thickness of the silicon wafers. Each rate measurements have been performed varying the anodization current density. A maximum value of 22µm/mn has been obtained. Moreover the porosity behavior with the current density increase is also discussed
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