36 research outputs found

    Cosmic ray oriented performance studies for the JEM-EUSO first level trigger

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    JEM-EUSO is a space mission designed to investigate Ultra-High Energy Cosmic Rays and Neutrinos (E > 5 ⋅ 1019 eV) from the International Space Station (ISS). Looking down from above its wide angle telescope is able to observe their air showers and collect such data from a very wide area. Highly specific trigger algorithms are needed to drastically reduce the data load in the presence of both atmospheric and human activity related background light, yet retain the rare cosmic ray events recorded in the telescope. We report the performance in offline testing of the first level trigger algorithm on data from JEM-EUSO prototypes and laboratory measurements observing different light sources: data taken during a high altitude balloon flight over Canada, laser pulses observed from the ground traversing the real atmosphere, and model landscapes reproducing realistic aspect ratios and light conditions as would be seen from the ISS itself. The first level trigger logic successfully kept the trigger rate within the permissible bounds when challenged with artificially produced as well as naturally encountered night sky background fluctuations and while retaining events with general air-shower characteristics

    Oesophageal motility dysfunction in scleroderma. About 97 cases

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    But : La sclérodermie est une maladie générale au cours de laquelle l’atteinte de la motricité de l’oesophage est la plus fréquente des atteintes viscérales, pouvant même être inaugurale. Souvent asymptomatique, les troubles moteurs oesophagiens (TMO) doivent être recherchés systématiquement par la pratique de la manométrie oesophagienne. Patients et méthodes : Notre travail a porté sur 97 patients consécutifs (âge moyen : 38,5 ± 14,4, sex ratio : 0,2) atteints de sclérodermie généralisée confirmée, colligés au service d’Exploration Fonctionnelle Digestive entre décembre 1988 et mai 1996. Ces patients ont tous bénéficié d’une manométrie oesophagienne. Les résultats obtenus étaient analysés par rapport à une série contrôle de 20 sujets témoins constituant la population de référence. Résultats : Des TMO étaient retrouvés chez 71 patients, soit 73,2%dont 19 n’avaient aucun signe fonctionnel oesophagien, soit 13,5 %. Ces TMO sont représentés essentiellement par les modifications manométriques statistiquement significatives suivantes : • Diminution de la pression de repos (56,7 %) et du pourcentage de relaxation du SIO à la déglutition (34,0 %). • Diminution de l’amplitude des contractions (58,8 %). • Augmentation de la fréquence des séquences non péristaltiques des ondes de contraction oesophagienne (50,5 %). • Apéristaltisme total (22,6 %). Discussion : Ce travail est original à double titre : 1 - Il représente la plus grande série d’Afrique et la plus grande série de sclérodermies, évaluée par manométrie oesophagienne jamais publiée à notre connaissance. 2 - Il confirme la place de choix de la manométrie oesophagienne dans le diagnostic de la sclérodermie et des atteintes oesophagiennes même asymptomatiques et leur surveillance. Conclusion : La manométrie oesophagienne est un examen performant pour le diagnostic des TMO au cours de la sclérodermie. Elle doit être privilégiée dans le bilan de cette affection, même devant l’absence de signes cliniques digestifs

    Guérison complète de l’hépatite virale C : une réalité

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    La réponse virologique complète soutenue est actuellement synonyme de guérison de l’infection virale C [1, 2}. Néanmoins, nous pensons que le degré de guérison est à nuancer en fonction de la réponse histologique. En effet, le terme de « guérison complète » doit être à notre avis, réservé à la restitution ad integrum du foie. Les auteurs rapportent 7 cas de régression complète de fibrose (A0F0), au minimum 2 ans après l’éradication virale

    Is esophageal manometry indispensable in the management of achalasia ?

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    Objectif: Répondre à un certain nombre d'interrogations, classées en: - 2 objectifs principaux: ● Quel est l'apport de la manométrie dans le diagnostic précoce de l'achalasie? ● A-t-elle un impact sur l'orientation du geste thérapeutique? - 2 objectifs accessoires: ● Quelle est la fréquence de l'achalasie chez les patients explorés en manométrie oesophagienne? ● Existe t'il des caractéristiques spécifiques chez ces patients? Matériel et méthode: Etude rétrospective de 388 cas de suspicion d'achalasie, sur 1434 examens manométriques réalisés au service, sur une période de 10 ans allant de janvier 1990 à décembre 2000. Seuls 184 cas ont été retenus selon nos critères d'inclusion. Le matériel et la technique de manométrie oesophagienne utilisés ont été conformes aux règles méthodologiques préconisées par l'Agence Nationale d'Accréditation et d'Evaluation en Santé (ANAES). L'analyse statistique a été faite à l'aide d'un logiciel SPSS. Résultats: La prévalence de l'achalasie dans notre série était de 12,8 %. La dysphagie était le maître symptôme retrouvé dans 97,3 % des cas. Le délai moyen entre l'apparition des signes cliniques et le diagnostic manométrique était de 38,2 ± 4 mois. Le diagnostic de l'achalasie a été porté à un stade précoce d'achalasie vigoureuse ou hyperkinétique chez 40,2 % des patients, et à un stade d'achalasie hypokinétique dans 59,8 % des cas. La manométrie a mis en évidence les signes majeurs de l'achalasie: une relaxation du SIO en réponse à la déglutition absente ou incomplète dans 96,7 % des cas, un apéristaltisme oesophagien dans 95,6 % des cas, et l'hypertonie du SIO, signe mineur, a été objectivée chez 80,4 % des patients. La pression sphinctérienne était encore normale chez 60 % des patients dans le groupe d'achalasie vigoureuse ou hyperkinétique (p = 0,02). Nous n'avons pas mis en évidence de particularités manométriques liées à l'âge, au sexe; de même, nous n'avons pas noté de différence significative entre la fréquence des signes cliniques, et les données manométriques: la pression du SIO, la relaxation et l'apéristaltisme. Conclusion: La manométrie oesophagienne est incontournable pour le diagnostic précoce d'achalasie, alors que les autres examens sont encore normaux. La précocité du diagnostic permet d'améliorer les résultats fonctionnels post-thérapeutiques. La réalisation de la manométrie pré-opératoire oriente l'acte thérapeutique

    Febrile jaundice revealing DRESS syndrome with viral reaction to herpes simplex 1 and 2

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    Introduction Le syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic symptoms) est une entité nouvellement décrite en 1996, pouvant mimer un tableau de sepsis sévère avec au premier plan un ictère fébrile. Devant de telles manifestations, il faut penser à ce syndrome. Plusieurs réactivations virales ont été décrites en association avec ce syndrome pour le groupe Herpès virus (HHV6, HHV7, HHV8 et Epstein-Barr virus) [1, 2, 3]. En revanche, nous ne disposons pas de cas documentés en ce qui concerne l'herpès simplex 1 et 2. Nous rapportons le cas d'un patient ayant présenté suite à une prise médicamenteuse de phénylbutazone, un DRESS syndrome associé à une réactivation virale à herpès simplex 1 et 2. Observation Il s'agit d'un patient, ayant dans ses antécédents un herpès récurrent génital. Il était traité par phénylbutazone depuis 1 mois pour rhumatisme psoriasique. Hospitalisé pour exploration d'un ictère fébrile associé à une atteinte systémique chez qui les examens biologiques révèlent une cytolyse, cholestase, hyper-éosinophilie, hyper-lymphocytose activée et une élévation des immunoglobulines E totales. Le bilan étiologique était négatif. Seules une sérologie herpétique type IgM et une PCR herpétique au niveau du foie se sont révélées positives. Conclusion L'ictère fébrile sans cause évidente doit faire rechercher une prise médicamenteuse dans le cadre d'un DRESS syndrome. Ce dernier peut être associé à une réactivation virale herpétique (Epstein-Barr, herpès virus humain types 6, 7 et 8), à laquelle il faut ajouter désormais le virus herpès simplex type 1 et 2

    Persistent cytolysis after chronic active hepatitis C revealing a granuloma following interferon therapy

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    Les étiologies de la granulomatose hépatique sont nombreuses et leur identification peut être difficile et ce, d'autant plus qu'elles diffèrent d'un pays à l'autre. Les auteurs rapportent l'observation d'une hépatite chronique active (HCA) post virale C traitée par bithérapie pégylée chez une femme de 48 ans, particulière par la persistante d'une cytolyse malgré l'éradication virale. Cette cytolyse paraît en rapport probablement avec l'apparition d'un granulome épithélio-giganto-cellulaire à l'étude histologique de la PBH de contrôle. La tuberculose et la sarcoïdose, diagnostics les plus probables chez la patiente ont été éliminés après une enquête étiologique acharnée. La survenue de la granulomatose est imputée en définitif à l'interféron. Les mécanismes selon lesquels ce dernier pourrait médier le développement de la granulomatose hépatique, bien qu'imparfaitement élucidés, seront discutés
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