10 research outputs found

    Imputability of retroviruses in the putative post-infectious diseases in childhood

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    Introduction :Les rétrovirus infectieux des vertébrés sont regroupés en 7 genres : les Alpharétrovirus, les Bétarétrovirus, les Gammarétrovirus, les Deltarétrovirus, les Epsilonrétrovirus, les Lentivirus et les Spumavirus. Le Human T-cell Leukemia virus (HTLV), un deltarétrovirus, et l'Human Immunodeficiency Virus (HIV), un lentivirus, infectent l'homme. Des cas sporadiques d'infection par des spumavirus (virus Foamy) ont été décrits chez des personnes vivant en promiscuité avec des animaux infectés. Plusieurs éléments sont en faveur de l'existence de rétrovirus humains encore inconnus :-De nouvelles espèces de HTLV ont été découvertes récemment et de nombreux patients séroindéterminés compatibles avec la présence de nouvelles espèces de type HTLV ont été décrits. De plus la découverte d'un hypothétique nouveau rétrovirus le Xenotropic Murine Related retroVirus (XMRV) a recemment été discuté. De nombreuses pathologies humaines dites idiopathiques ont une symptomatologie très proche de maladies rétrovirales décrites chez les mammifères comme des maladies inflammatoires articulaires chroniques, des maladies inflammatoires des systèmes nerveux central et périphérique, des cytopénies, des syndromes myéloprolifératifs et des pathologies malignes. Une étiologie rétrovirale a, par exemple, été évoquée dans le syndrome de Kawasaki ou les anémies hémolytiques, mais sans avoir pu être formellement démontrée.-Le statut de super prédateur de l'homme rend la transmission inter-espèces possible.Toutes les recherches de nouveaux rétrovirus humains faites par le passé étaient basées sur des séquences communes à tous les rétrovirus, le gène de la polymérase ou la partie transmembranaire de la glycoprotéine d'enveloppe (Env). De ce fait, ces recherches ont été le plus souvent « parasitées » par les séquences endogènes rétrovirales ou des rétrovirus « contaminants ». Nous avons souhaité rechercher la présence de rétrovirus dans ces pathologies pédiatriques. Parallèlement, nous nous sommes intéressés aux (retro)virus pouvant se transmettre de la mère à l'enfant lors de l'allaitement. Méthode :Nous avons utilisé 2 méthodes pour rechercher des rétrovirus.1) PCR : Notre démarche cible paradoxalement la région la plus variable du génome des rétrovirus, Env, au niveau du RBD (pour Receptor-Binding Domain), domaine qui lie le récepteur d'entrée dans la cellule. Pour cela nous utilisons une méthode développée au laboratoire, basée sur des PCR dont les amorces sont constituées de courts motifs conservés, délimitant les domaines variables du RBD. Cette approche a déjà permis au laboratoire de mettre en évidence de nouveaux variants des PTLV (HTLV/STLV). Sur ce principe, nous avons ainsi conçu des amorces PCR pour la détection de RBD de deltarétrovirus bovin (Bovine Leukemia Virus) et infectant les primates (Prima T-Leukemia/Lymphoma Virus) ; de bêta rétrovirus infectant la souris (Mouse Mammary Tumor Virus) et des primates (Mason Pfizer Monkey Virus) et de gammaretrovirus infectant les félins/félidés (Feline Leukemia Virus), l'XMRV et un rétrovirus endogène porcin le PERV.2) mesure de l'activité reverse transcriptase de rétrovirus de type C au sein de liquides biologiques de patients malades. Résultats : Nous avons analysé en terme de patients 35 purpura thrombopénique immunologiques, 3 anémie hémolytique, 6 anémie arégénérative, 5 neutropénie, 1 aplasie médullaire idiopathique, 3 thrombocytose, 59 arthrite juvénile, 1 dermatomyosite, 9 purpura rhumatoïde, 4 syndrome de Kawasaki, 5 syndrome neurologique, 13 fièvre atypique, 3 leucose et 5 pathologies autres. Les recherches de rétrovirus par PCR et mesure d'activité reverse transcriptase se sont avérées négatives.Conclusion :Nous n'avons pas retrouvé de séquences rétrovirales au sein des échantillons analysés par ces deux techniques différentes. Cependant, ces résultats n'excluent pas l'hypothèse d'une étiologie rétrovirale.The infectious mammalian retrovirus constituting seven species: Alpharetroviruses, betaretroviruses, gammaretroviruses, deltaretrovirus, epsilonretroviruses, lentiviruses and, spumaviruses. Human T-cell Leukemia virus (HTLV), a deltaretrovirus, and Human Immunodeficiency Virus (HIV), a lentivirus, infect human. Sporadic cases of spumavirus (virus Foamy) infection have been described in persons living in promiscuity with infected animals. Recent Studies have shown the presence of an hypothetic gammaretrovirus, xenotropic murine leukemia related virus (XMRV), its existence is actually discussed.There are some facts pointing to the existence of human retrovirus not yet known. -New HTLV species have been recently described and a number of sero-indeterminate patients are compatible with the presence of new HTLV species.-Many idiopathic human diseases have clinical presentation close to retroviral mammalian diseases: chronic inflammatory articular diseases, central nervous system inflammatory diseases, cytopenia, myeloproliferative syndromes and malignant pathologies. For example a retroviral aetiology have been discussed in Kawasaki syndrome and autoimmune haemolytic anemia even though a complete proof haven't been found. The super human predatory status makes the interspecies transmission possible. All the research in new human retrovirus done in the past was based in common sequencies of retroviruses like polymerase gene or the transmenbranair part of glycoprotein envelope gene (Env). Thus most of these researches have been compromise by HERV sequences or retroviral contaminants.We research retroviruses in these diseases. We also have been interested by putative (retr)viral itransmission by breast milk.Methodology1)PDR: We design primer based on the most variable region of retroviruses, the RBD (Receptor-Binding Domain), which is the domain of Env that links the cellular receptor responsible of the cellular entry. For this we used a patented method developed in our laboratory based on PCR whose primers are composed of short conservative sequences delimiting variable areas of RBD.This approach has already allowed discovering new PTLV (HTLV/STLV) variants known. As a result, we have designed PCR primers for RBD for all the known deltaretrovirus, Bovine Leukaemia Virus, (BLV) and also for the detection of gammaretrovirus feline leukaemia virus (FeLV), XMRV and Porcine Endogenous Retrovirus (PERV).2)We measure the reverse transcriptase activity to detect Type C retrovirus in body fluid.Results:We analysed in terms of patients 35 Immunologic thrombopenic purpura, 3 hemolytic anemia, 6 aregenerative anemia, 5 neutropenia, 1 aplastic anemia, 3 thrombocytosis, 59 Idiopathic juvenile arthritis, 1 dermatomyositis, 9 Henoch-Scholein diseases, 4 Kawasaki syndrome, 5 neurological diseases, 13 atypic fevers, 3 leukosis and 5 others diseases. We do not found any virus by both methodologies.We do not find viruses by PCR and reverse transcrptase activity measurment however this fact does not exclude viral etiology, further analysis could be done

    Rôle de l'infection par l'Epstein-Barr Virus, le cytomégalovirus et l'Human Herpes Virus 6 dans la pathogénie de l'histiocytose langerhansienne

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    MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Chronobiologie de pathologies pédiatriques générales (recherche de cycle épidémiologique)

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    L'épidémiologie est une discipline de la médecine essentielle pour comprendre les maladies. Certaines pathologies notamment en pédiatrie possèdent des variations cycliques, saisonnières. Nous étudierons six pathologies dont la gastro entérite, la bronchiolite, la sténose du pylore, l'invagination intestinale aigue et le purpura rhumatoide a la recherche de variations saisonnière. Il s'agit d'une étude rétrospective sur cinq ans reprenant le nombre de consultations aux urgences pédiatriqucs du CHU de Lapeyronie. recherche effectuée grace aux codes PMSI. La recherche de variations saisonnière a été effectuée par deux méthodes: analytique et graphique. Une saisonnlité hivernale à la GEA ct à la bronchiolite ont été retrouvé, les autres pathologies ne possèdent pas de saisonnalités dans notre étude. Les populations pour la GEA et la bronchiolite étaient conséquents, les résultats sont identiques à la littérature. Concernant les autres pathologies nous n'avons pas retrouvé de saisonnalité car l'effectif était probablement trop faible. Les différentes études retrouvent quand à elles une variation épidémiologique a l'appendicite et au purpura rhumatoide. Une étude étendue a d'autre centre hospitaliers est nécéssaireMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    PTI et infections virales (recherche de l'implication d'HHV-6 dans le PTI aigu de l'enfant dans une cohorte montpelliéraine et revue de la lilttérature PTI-VIH-1)

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    Le purpura thrombopénique immunologique de l'enfant est souvent associé à une notion d'infection préalable et notamment à HHV-6 dans la littérature. L'objectif de ce travail a été de rechercher chez des enfants présentant un nouvel épisode de PTI, une infection active à HHV-6 par des PCR quantitatives réalisées sur sang total, sérum et moelle avant tout traitement. Parmi nos 15 patients inclus, nous n'avons pas mis en évidence d'infection active mais 6 cas d'infection latente à HHV-6. Cette étude étant rétrospective et présentant de nombreux biais, la réponse qu'elle peut apporter ne peut être définitive. Néanmoins l'absence de réplication active d'HHV-6 pour l'ensemble de la cohorte étudiée, nous semble un argument fort contre l'implication d'une primo-infection HHV-6 ou d'une réactivation importante dans la physiopathologie des PTI de la population étudiée. Nous avons réalisé ensuite une revue de la littérature PTI-VlH-1 pour mieux comprendre les interactions plaquettes-virus aboutissant à une thrombopénie. On peut observer ainsi un tableau immunologique comparable au PTI au début de l'infection par le VlH avec une synthèse d'anticorps anti-plaquettes mais aussi des complexes immuns puis il peut s'installer une insuffisance médullaire par atteinte des progéniteurs à un stade plus avancé de l'infection. Finalement, la liaison plaquette VIH entrainel'internalisation du VIH-1 mais aussi l'activation plaquettaire et la libération de cytokines/chimiokines qui vont activer à leur tour le système immunitaire. Ces interactions semblent avoir un rôle dans la pathogénie de la thrombopénie et dans la réponse immune de l'hôte vis à vis de l'infection par le VIH. De futures études permettront de mieux préciser ce rôle mais aussi de nouvelles cibles thérapeutiquesMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Diagnostic de l'infection à cytomégalovirus en pédiatrie: (étude clinique de 39 cas d'infections symptomatiques chez l'enfant immunocompétent)

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    Les infections à cytomégalovirus, chez l'enfant immunocompétent, ont des expressions très polymorphes : infections congénitales, mononucléose infectieuse, primo-infections atypiques.Ces dernières peuvent donner des tableaux très variés, mettant en difficulté le médecin.Il faut y penser devant une atteinte hématopoïétiques - syndrome pseudo-tumoral ou cytopénie - même en l'absence de fièvre ou de syndrome mnonucléosique.Le traitement de ces formes atypiques et parfois sévères reste principalement symptomatique.Dans le cas contraire, les traitements disponibles, hors AMM, sont les antiviraux et en première intention le ganciclovir.Les traitements immunomodulateurs tels que les corticoïdes ou les immunoglobulines polyvalentes ont également leur place.A l'aide de la littérature, nous formulons des propositions pour aider dans le choix thérapeutique.Au vu de notre étude, le diagnostic d'infection congénitale symptomatique à cytomégalovirus est facilement posé contrairement à celui d'infection asymptomatique.Les avancées récentes en terme de traitement préventif et curatif de cette pathologie devraient amener, dans les années à venir, à revoir les recommandations de l'ANAES et à proposer un sérodépistage systématique des femmes enceintes.A l'heure actuelle,le défi est double : mettre en évidence des marqueurs pronostiques chez le foetus et chez le nouveau-né infecté afin de déterminer la place de chacun de ces traitements ; sensibiliser les pédiatres et les gynécologues sur l'importance du dépistage des nouveau-nés infectés asymptomatiques afin de mettre en place un suivi neurosensoriel et en particulier auditif, adaptéMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Imputabilité des rétrovirus dans les pathologies présumées post infectieuses de l'enfant

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    Introduction :Les rétrovirus infectieux des vertébrés sont regroupés en 7 genres : les Alpharétrovirus, les Bétarétrovirus, les Gammarétrovirus, les Deltarétrovirus, les Epsilonrétrovirus, les Lentivirus et les Spumavirus. Le Human T-cell Leukemia virus (HTLV), un deltarétrovirus, et l'Human Immunodeficiency Virus (HIV), un lentivirus, infectent l'homme. Des cas sporadiques d'infection par des spumavirus (virus Foamy) ont été décrits chez des personnes vivant en promiscuité avec des animaux infectés. Plusieurs éléments sont en faveur de l'existence de rétrovirus humains encore inconnus :-De nouvelles espèces de HTLV ont été découvertes récemment et de nombreux patients séroindéterminés compatibles avec la présence de nouvelles espèces de type HTLV ont été décrits. De plus la découverte d'un hypothétique nouveau rétrovirus le Xenotropic Murine Related retroVirus (XMRV) a recemment été discuté. De nombreuses pathologies humaines dites idiopathiques ont une symptomatologie très proche de maladies rétrovirales décrites chez les mammifères comme des maladies inflammatoires articulaires chroniques, des maladies inflammatoires des systèmes nerveux central et périphérique, des cytopénies, des syndromes myéloprolifératifs et des pathologies malignes. Une étiologie rétrovirale a, par exemple, été évoquée dans le syndrome de Kawasaki ou les anémies hémolytiques, mais sans avoir pu être formellement démontrée.-Le statut de super prédateur de l'homme rend la transmission inter-espèces possible.Toutes les recherches de nouveaux rétrovirus humains faites par le passé étaient basées sur des séquences communes à tous les rétrovirus, le gène de la polymérase ou la partie transmembranaire de la glycoprotéine d'enveloppe (Env). De ce fait, ces recherches ont été le plus souvent parasitées par les séquences endogènes rétrovirales ou des rétrovirus contaminants . Nous avons souhaité rechercher la présence de rétrovirus dans ces pathologies pédiatriques. Parallèlement, nous nous sommes intéressés aux (retro)virus pouvant se transmettre de la mère à l'enfant lors de l'allaitement. Méthode :Nous avons utilisé 2 méthodes pour rechercher des rétrovirus.1) PCR : Notre démarche cible paradoxalement la région la plus variable du génome des rétrovirus, Env, au niveau du RBD (pour Receptor-Binding Domain), domaine qui lie le récepteur d'entrée dans la cellule. Pour cela nous utilisons une méthode développée au laboratoire, basée sur des PCR dont les amorces sont constituées de courts motifs conservés, délimitant les domaines variables du RBD. Cette approche a déjà permis au laboratoire de mettre en évidence de nouveaux variants des PTLV (HTLV/STLV). Sur ce principe, nous avons ainsi conçu des amorces PCR pour la détection de RBD de deltarétrovirus bovin (Bovine Leukemia Virus) et infectant les primates (Prima T-Leukemia/Lymphoma Virus) ; de bêta rétrovirus infectant la souris (Mouse Mammary Tumor Virus) et des primates (Mason Pfizer Monkey Virus) et de gammaretrovirus infectant les félins/félidés (Feline Leukemia Virus), l'XMRV et un rétrovirus endogène porcin le PERV.2) mesure de l'activité reverse transcriptase de rétrovirus de type C au sein de liquides biologiques de patients malades. Résultats : Nous avons analysé en terme de patients 35 purpura thrombopénique immunologiques, 3 anémie hémolytique, 6 anémie arégénérative, 5 neutropénie, 1 aplasie médullaire idiopathique, 3 thrombocytose, 59 arthrite juvénile, 1 dermatomyosite, 9 purpura rhumatoïde, 4 syndrome de Kawasaki, 5 syndrome neurologique, 13 fièvre atypique, 3 leucose et 5 pathologies autres. Les recherches de rétrovirus par PCR et mesure d'activité reverse transcriptase se sont avérées négatives.Conclusion :Nous n'avons pas retrouvé de séquences rétrovirales au sein des échantillons analysés par ces deux techniques différentes. Cependant, ces résultats n'excluent pas l'hypothèse d'une étiologie rétrovirale.The infectious mammalian retrovirus constituting seven species: Alpharetroviruses, betaretroviruses, gammaretroviruses, deltaretrovirus, epsilonretroviruses, lentiviruses and, spumaviruses. Human T-cell Leukemia virus (HTLV), a deltaretrovirus, and Human Immunodeficiency Virus (HIV), a lentivirus, infect human. Sporadic cases of spumavirus (virus Foamy) infection have been described in persons living in promiscuity with infected animals. Recent Studies have shown the presence of an hypothetic gammaretrovirus, xenotropic murine leukemia related virus (XMRV), its existence is actually discussed.There are some facts pointing to the existence of human retrovirus not yet known. -New HTLV species have been recently described and a number of sero-indeterminate patients are compatible with the presence of new HTLV species.-Many idiopathic human diseases have clinical presentation close to retroviral mammalian diseases: chronic inflammatory articular diseases, central nervous system inflammatory diseases, cytopenia, myeloproliferative syndromes and malignant pathologies. For example a retroviral aetiology have been discussed in Kawasaki syndrome and autoimmune haemolytic anemia even though a complete proof haven't been found. The super human predatory status makes the interspecies transmission possible. All the research in new human retrovirus done in the past was based in common sequencies of retroviruses like polymerase gene or the transmenbranair part of glycoprotein envelope gene (Env). Thus most of these researches have been compromise by HERV sequences or retroviral contaminants.We research retroviruses in these diseases. We also have been interested by putative (retr)viral itransmission by breast milk.Methodology1)PDR: We design primer based on the most variable region of retroviruses, the RBD (Receptor-Binding Domain), which is the domain of Env that links the cellular receptor responsible of the cellular entry. For this we used a patented method developed in our laboratory based on PCR whose primers are composed of short conservative sequences delimiting variable areas of RBD.This approach has already allowed discovering new PTLV (HTLV/STLV) variants known. As a result, we have designed PCR primers for RBD for all the known deltaretrovirus, Bovine Leukaemia Virus, (BLV) and also for the detection of gammaretrovirus feline leukaemia virus (FeLV), XMRV and Porcine Endogenous Retrovirus (PERV).2)We measure the reverse transcriptase activity to detect Type C retrovirus in body fluid.Results:We analysed in terms of patients 35 Immunologic thrombopenic purpura, 3 hemolytic anemia, 6 aregenerative anemia, 5 neutropenia, 1 aplastic anemia, 3 thrombocytosis, 59 Idiopathic juvenile arthritis, 1 dermatomyositis, 9 Henoch-Scholein diseases, 4 Kawasaki syndrome, 5 neurological diseases, 13 atypic fevers, 3 leukosis and 5 others diseases. We do not found any virus by both methodologies.We do not find viruses by PCR and reverse transcrptase activity measurment however this fact does not exclude viral etiology, further analysis could be done.MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocSudocFranceF

    Chronic Aichi virus infection as a cause of long-lasting multi-organ involvement in patients with primary immune deficiencies

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    International audienceBackgroundMetagenomic Next Generation Sequencing (mNGS) was used to assess patients with primary or secondary Immune Deficiencies (PIDs and SIDs) presenting with immunopathological conditions related to immunodysregulation.Methods30 patients with PIDs and SIDs presenting symptoms related to immunodysregulation and 59 asymptomatic patients with similar PIDs and SIDs were enrolled. mNGS was performed on organ biopsy. Specific AiV RT-PCR was used to confirm Aichi virus (AiV) infection and screen the other subjects. In situ hybridization assay (ISH) was done on AiV infected organs to identify infected cells. Virus genotype was determined by phylogenetic analysis.ResultsAiV sequences were detected by mNGS in tissue samples of 5 patients and by RT-PCR in peripheral samples of another patient who all presented with PID and long-lasting multi-organ involvement, including hepatitis, splenomegaly and nephritis in 4. CD8+ T cell infiltration was a hallmark of the disease.RT-PCR detected intermittent low viral loads in urine and plasma from infected patients but in none of the other subjects. Viral detection stopped after immune reconstitution obtained by hematopoietic stem cell transplantation. ISH demonstrated the presence of the AiV RNA in hepatocytes (n = 1) and spleen tissue (n = 2). AiV belonged to genotype A (n = 2) or B (n = 3).ConclusionsThe similarity of the clinical presentation, the detection of AiV in a sub-group of patients suffering from immunodysregulation, its absence in asymptomatic patients, the detection of viral genome in infected organs by ISH, and the reversibility of symptoms after treatment argue for AiV causality

    Long-term follow-up of children with risk organ-negative Langerhans cell histiocytosis after 2-chlorodeoxyadenosine treatment

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    International audienceThe nucleoside analogue, 2-chlorodeoxyadenosine (2CDA), was reported to be an active treatment for childhood Langerhans cell histiocytosis (LCH) without risk organ (RO−) involvement. However, we lack data on long-term effects of 2CDA treatment, including the disease reactivation rate, permanent sequelae and long-term tolerance. This study included 44 children from the French LCH registry, treated for a RO− LCH with 2CDA monotherapy (median number of six courses). The median age at the beginning of 2CDA was 3·6 years (range, 0·3–19·7 years) and the median follow-up after was 5·4 years (range, 0·6–15·1 years). Objective response to 2CDA was observed in 25 patients (56·8%), while six patients (13·6%) had stable disease and 13 patients (29·5%) exhibited progressive disease. Among patients without progression, only two experienced disease reactivation after 2CDA discontinuation. The five-year cumulative incidence of disease progression or reactivation after 2CDA therapy initiation was 34·3%. The lymphopenia reported in all cases [72% below absolute lymphocyte count (ALC) of 0·5 G/l], was addressed with appropriate prophylactic measures. Other toxicities above grade 2 were uncommon, and no second malignant neoplasm or neuropathy was reported. The five-year overall survival was 97·7%. In conclusion, we could confirm that 2CDA monotherapy was a beneficial long-term therapy for treating patients with RO− LCH. Appropriate management of induced immune deficiency is mandatory

    Les représentations de la (des) science(s) dans l’enseignement : aspects épistémologiques, culturels et sociétaux

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    Ce numéro porte sur les représentations de la (des) science(s) véhiculées par différents acteurs éducatifs (auteurs de programmes ou de manuels, enseignants, élèves, etc.). Dans le texte introductif, Stéphanie Ruphy présente comment l’épistémologie contemporaine aborde la question de la délimitation/démarcation entre science et non-science. Les sept textes suivants visent à caractériser les représentations de la (des) science(s), à analyser les facteurs culturels et sociétaux qui peuvent les influencer et à en examiner les enjeux en particulier sur le plan éducatif. Ils ont en commun de chercher à dégager des résultats obtenus des pistes qui, non seulement, puissent contribuer à la recherche en didactique des sciences, mais aussi ouvrir plus largement à une réflexion sur le rôle de l’école et de l’enseignement des sciences dans des sociétés démocratiques et pluralistes confrontées à de nombreux défis, tant physiques et économiques (écologiques, climatiques) qu’idéologiques et sociaux (fondamentalismes religieux, crispations identitaires, etc.). Il s’agit aussi de s’interroger sur les conditions d’une culture scientifique émancipatrice. A la fin de ce numéro, deux « grands témoins » livrent leur réflexion sur celui-ci : Sébastien Charbonnier (philosophe) et Sarah Croché (sociologue). This issue focuses on the representations of the science(s)conveyed by different educational actors (authors of programs or textbooks, teachers, pupils, etc.). In the introductory text, Stéphanie Ruphy presents how contemporary epistemology addresses the question of delimitation / demarcation between science and not science. The following seven texts aim to characterize the representations of the science(s), to analyze the factors that can influence them, and to examine the stakes in particular in terms of education. They have in common to seek to derive tracks obtained from the results which, not only, can contribute to the research in science didactics, but also to open more widely to a reflection on the role of the school and the teaching of the science(s) in democratic and pluralistic societies facing many challenges, both physical and economic (ecological, climatic) and ideological and social (religious fundamentalisms, identity crispations, etc.). It is also to question of the conditions of an emancipatory scientific culture. At the end of this issue, two great witnesses give their thoughts on this one: Sébastien Charbonnier (philosopher) and Sarah Croché (sociologist)

    Molecular and clinicopathologic characterization of pediatric histiocytoses

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    International audienceThe spectrum of somatic mutations in pediatric histiocytoses and their clinical implications are not fully characterized, especially for non-Langerhans cell histiocytosis (-LCH) subtypes. A cohort of 415 children with histiocytosis from the French histiocytosis registry was reviewed and analyzed for BRAFV600E. Most BRAFWT samples were analyzed by next-generation sequencing (NGS) with a custom panel of genes for histiocytosis and myeloid neoplasia. Of 415 case samples, there were 366 LCH, 1 Erdheim-Chester disease, 21 Rosai-Dorfman disease (RDD), 21 juvenile xanthogranuloma (JXG, mostly with severe presentation), and 6 malignant histiocytosis (MH). BRAFV600E was the most common mutation found in LCH (50.3%, n = 184). Among 105 non-BRAFV600E-mutated LCH case samples, NGS revealed mutations as follows: MAP2K1 (n = 44), BRAF exon 12 deletions (n = 26), and duplications (n = 8), other BRAF V600 codon mutation (n = 4), and non-MAP-kinase pathway genes (n = 5). Wild-type sequences were identified in 17.1% of samples. BRAFV600E was the only variant significantly correlated with critical presentations: organ-risk involvement and neurodegeneration. MAP-kinase pathway mutations were identified in seven RDD (mostly MAP2K1) and three JXG samples, but most samples were wild-type on NGS. Finally, two MH samples had KRAS mutations, and one had a novel BRAFG469R mutation. Rarely, we identified mutations unrelated to MAP-kinase pathway genes. In conclusion, we characterized the mutational spectrum of childhood LCH and clinical correlations of variants and subtypes. Variants responsible for JXG and RDD were not elucidated in more than half of the cases, calling for other sequencing approaches
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