16 research outputs found

    La thyroïde : modèle ou victime ?

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    TRα receptor mutations extend the spectrum of syndromes of reduced sensitivity to thyroid hormone

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    International audienceSince 2012, eight different abnormalities have been described in the THRA gene (encoding the TRα1 thyroid hormone receptor) of 14 patients from 9 families. These mutations induce a clinical phenotype (resistance to thyroid hormone type α) associating symptoms of untreated mild congenital hypothyroidism and a near-normal range of free and total thyroid hormones and TSH (the T4/T3 ratio is nevertheless usually low). The phenotype can diversely include short stature (due to growth retardation), dysmorphic syndrome (face and limb extremities), psychoneuromotor disorders, constipation and bradycardia. The identified genetic abnormalities are located within the ligand-binding domain and result in defective T3 binding, an abnormally strong interaction with corepressors and a dominant negative activity against still functional receptors. The identification of patients with consistent phenotypes and the underlying mutations are warranted to better delineate the spectrum of the syndromes of reduced sensitivity to thyroid hormone

    Antineutrophil Cytoplasmic Antibody-Positive Small-Vessel Vasculitis Associated with Antithyroid Drug Therapy: How Significant Is the Clinical Problem

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    Background: The aim of this review was to delineate the characteristics of antineutrophil cytoplasmic antibody (ANCA)-associated small-vessel vasculitis associated with antithyroid drugs (ATD). A PubMed search was made for English language articles using the search terms antithyroid drugs AND ANCA OR ANCA-associated vasculitis. Summary: The literature includes approximately 260 case reports of ANCA-associated small-vessel vasculitis related to ATD, with 75% of these associated with thiouracil derivatives (propylthiouracil [PTU]) and 25% with methyl-mercapto-imidazole derivatives (MMI/TMZ). The prevalence of ANCA-positive cases caused by ATD varied between 4% and 64% with PTU (median 30%), and 0% and 16% with MMI/TMZ (median 6%). Young age and the duration of ATD therapy were the main factors contributing to the emergence of ANCA positivity. Before ATD therapy initiation, the prevalence of ANCA-positive patients was 0-13%. During ATD administration, 20% of patients were found to be positive for ANCA. Only 15% of ANCA-positive patients treated with ATD exhibited clinical evidence of vasculitis, corresponding to 3% of all patients who received ATD. Clinical manifestations of ANCA-associated vasculitis related to ATD were extremely heterogeneous. When vasculitis occurred, ATD withdrawal was usually followed by rapid clinical improvement and a favorable prognosis. Conclusions: ANCA screening is not systematically recommended for individuals on ATD therapy, particularly given the decreasing use of PTU in favor of TMZ/MMI. Particular attention should be given to the pediatric population with Graves' disease who receive ATD, as well as patients treated with thiouracil derivatives and those on long-term ATD therapy.SCOPUS: re.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Antithyroïdiens de synthèse: Que choisir?

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    SCOPUS: ed.jSCOPUS: ed.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Avis de l'Anses relatif à la pertinence de la ré-évaluation des risques sanitaires liés à la présence d'ions perchlorate dans les eaux destinées à la consommation humaine à la lumière des travaux de l'US EPA publiés le 23 mai 2019

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    Citation suggérée : Anses. (2021). Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à la « Pertinence de la ré-évaluation des risques sanitaires liés à la présence d’ions perchlorate dans les eaux destinées à la consommation humaine à la lumière des travaux de l’US EPA publiés le 23 mai 2019 ». (Saisine 2019-SA-0116). Maisons-Alfort : Anses, 82 p.Depuis 2011, l’Anses a été saisie à plusieurs reprises sur les risques sanitaires liés aux ions perchlorate dans les eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) suite à la mise en évidence de situations de contamination de ressources utilisées pour la production d’EDCH.En 2011, l’Agence avait préconisé une valeur guide (VG) pour les ions perchlorate dans les EDCH de 15 μg.L-1 pour le consommateur adulte, définie à partir de la valeur toxicologique de référence (VTR) de 0,7 μg.kg p.c.-1.j-1,fondée sur l’inhibition de la capture de l’iode par la thyroïde et conseillé de ne pas utiliser une eau contaminée par les ions perchlorate pour la préparation des biberons des nourrissons jusqu’à 6 mois.En 2012, dans son avis relatif aux études épidémiologiques portant sur les associations entre une exposition aux ions perchlorate dans les EDCH et la fonction thyroïdienne dans des populations spécifiques, l’Agence concluait que « les résultats des études épidémiologiques examinées par les experts ne permettent pas de conclure quant à l’existence ou à l’absence d’une association chez les femmes enceintes ou les nouveau-nés entre les niveaux de thyréostimuline (TSH, thyroid stimulating hormone) et des concentrations en ions perchlorate dans les eaux de boisson [...]. L’absence d’information concernant le statut en iode des populations étudiées rend difficile l’interprétation des données épidémiologiques publiées. »Dans son avis du 8 avril 2014 relatif à la présence d’ions perchlorate dans le lait infantile et dans les EDCH, l’Agence relevait les mêmes limites relatives aux études épidémiologiques disponibles et insistait sur la nécessité de prendre en compte le statut en iode de la population étudiée pour l’évaluation de l’impact sanitaire des ions perchlorate chez l’Homme et pourl’interprétation des données épidémiologiques publiées.Dans son dernier avis du 26 décembre 2018, l’Agence concluait que les études épidémiologiques récentes, y compris celle de de l’Institut de veille sanitaire (InVS) publiée en 2016, n’apportaient pas d’éléments conclusifs supplémentaires sur les effets biologiques ou cliniques des ions perchlorate par rapport à celles prises en compte dans les précédents avis de l’Anses (Anses 2011, 2012, 2014). Les données examinées dans cet avis n’étaient pas de nature à remettre en cause les conclusions des avis précédents de l’Anses, concernant la caractérisation des dangers et la VTR proposée en 2011 par l’Agence.Cependant, s’agissant de l’évaluation de l’exposition aux ions perchlorate, de nouvelles données ont permis d’estimer l’exposition moyenne de la population adulte aux ions perchlorate par voie orale. Cette estimation se fondait sur les données de contamination des aliments par les ions perchlorate (recueillies par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), dans le cadre de ses enquêtes nationales) et sur les données de contamination des EDCH pour la période 2014-2017 (produites par les Agences régionales de santé (ARS) et disponibles dans la base de données SISE-Eaux). Sur cette base, l’Anses estimait que la contribution de l’exposition liée à laconsommation d’EDCH représente environ 25% de l’exposition par ingestion. Cette estimation concordant avec les données de la littérature et se rapprochant du pourcentage de 20% défini par défaut par l’OMS en 2016, l’Agence considérait nécessaire d’abaisser la part de l’exposition hydrique alors fixée à 60%, pour le calcul de la VG des ions perchlorate dans lesEDCH pour les adultes. En conséquence, la VG proposée avait été abaissée à 5 μg.L-1 pour la population adulte.[Saisines liées 2011-SA-0024 ; 2011-SA-0208 ; 2011-SA-0336 ; 2012-SA-0119 ; 2016-SA-0155 et 2017-SA-0170

    Avis de l'Anses relatif à la pertinence de la ré-évaluation des risques sanitaires liés à la présence d'ions perchlorate dans les eaux destinées à la consommation humaine à la lumière des travaux de l'US EPA publiés le 23 mai 2019

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    Citation suggérée : Anses. (2021). Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à la « Pertinence de la ré-évaluation des risques sanitaires liés à la présence d’ions perchlorate dans les eaux destinées à la consommation humaine à la lumière des travaux de l’US EPA publiés le 23 mai 2019 ». (Saisine 2019-SA-0116). Maisons-Alfort : Anses, 82 p.Depuis 2011, l’Anses a été saisie à plusieurs reprises sur les risques sanitaires liés aux ions perchlorate dans les eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) suite à la mise en évidence de situations de contamination de ressources utilisées pour la production d’EDCH.En 2011, l’Agence avait préconisé une valeur guide (VG) pour les ions perchlorate dans les EDCH de 15 μg.L-1 pour le consommateur adulte, définie à partir de la valeur toxicologique de référence (VTR) de 0,7 μg.kg p.c.-1.j-1,fondée sur l’inhibition de la capture de l’iode par la thyroïde et conseillé de ne pas utiliser une eau contaminée par les ions perchlorate pour la préparation des biberons des nourrissons jusqu’à 6 mois.En 2012, dans son avis relatif aux études épidémiologiques portant sur les associations entre une exposition aux ions perchlorate dans les EDCH et la fonction thyroïdienne dans des populations spécifiques, l’Agence concluait que « les résultats des études épidémiologiques examinées par les experts ne permettent pas de conclure quant à l’existence ou à l’absence d’une association chez les femmes enceintes ou les nouveau-nés entre les niveaux de thyréostimuline (TSH, thyroid stimulating hormone) et des concentrations en ions perchlorate dans les eaux de boisson [...]. L’absence d’information concernant le statut en iode des populations étudiées rend difficile l’interprétation des données épidémiologiques publiées. »Dans son avis du 8 avril 2014 relatif à la présence d’ions perchlorate dans le lait infantile et dans les EDCH, l’Agence relevait les mêmes limites relatives aux études épidémiologiques disponibles et insistait sur la nécessité de prendre en compte le statut en iode de la population étudiée pour l’évaluation de l’impact sanitaire des ions perchlorate chez l’Homme et pourl’interprétation des données épidémiologiques publiées.Dans son dernier avis du 26 décembre 2018, l’Agence concluait que les études épidémiologiques récentes, y compris celle de de l’Institut de veille sanitaire (InVS) publiée en 2016, n’apportaient pas d’éléments conclusifs supplémentaires sur les effets biologiques ou cliniques des ions perchlorate par rapport à celles prises en compte dans les précédents avis de l’Anses (Anses 2011, 2012, 2014). Les données examinées dans cet avis n’étaient pas de nature à remettre en cause les conclusions des avis précédents de l’Anses, concernant la caractérisation des dangers et la VTR proposée en 2011 par l’Agence.Cependant, s’agissant de l’évaluation de l’exposition aux ions perchlorate, de nouvelles données ont permis d’estimer l’exposition moyenne de la population adulte aux ions perchlorate par voie orale. Cette estimation se fondait sur les données de contamination des aliments par les ions perchlorate (recueillies par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), dans le cadre de ses enquêtes nationales) et sur les données de contamination des EDCH pour la période 2014-2017 (produites par les Agences régionales de santé (ARS) et disponibles dans la base de données SISE-Eaux). Sur cette base, l’Anses estimait que la contribution de l’exposition liée à laconsommation d’EDCH représente environ 25% de l’exposition par ingestion. Cette estimation concordant avec les données de la littérature et se rapprochant du pourcentage de 20% défini par défaut par l’OMS en 2016, l’Agence considérait nécessaire d’abaisser la part de l’exposition hydrique alors fixée à 60%, pour le calcul de la VG des ions perchlorate dans lesEDCH pour les adultes. En conséquence, la VG proposée avait été abaissée à 5 μg.L-1 pour la population adulte.[Saisines liées 2011-SA-0024 ; 2011-SA-0208 ; 2011-SA-0336 ; 2012-SA-0119 ; 2016-SA-0155 et 2017-SA-0170

    Prognostic Factors of Disease-Free Survival after Thyroidectomy in 170 Young Patients with a RET Germline Mutation: A Multicenter Study of the Groupe Français d'Etude des Tumeurs Endocrines

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    International audienceBackground:In hereditary medullary thyroid carcinoma (HMTC), prophylactic surgery is the only curative option, which should be properly defined both in time and extent.Objectives:To identify and characterize prognostic factors associated with disease-free survival (DFS) in children from HMTC families. Design:We conducted a retrospective analysis of a multi-center cohort of 170 patients below age 21 at surgery. Demographic, clinical, genetic, biological data [basal and pentagastrine-stimulated calcitonin (CT and CT/Pg, respectively)], and tumor node metastasis (TNM) status were collected. DFS was assessed based on basal CT levels. Kaplan–Meier curves, Cox regression, and logistic regression models were used to determine factors associated with DFS and TNM staging. Results:No patients with a preoperative basal CT &lt;31 ng/ml had persistent or recurrent disease. Medullary thyroid carcinoma defined by a diameter ≥10 mm [hazard ratio (HR): 6.0; 95% confidence interval (95% CI): 1.8–19.8] and N1 status (HR: 20.8; 95% CI: 3.9–109.8) were independently associated with DFS. Class D genotype [odds ratio (OR): 48.5, 95% CI: 10.6–225.1], preoperative basal CT &gt;30 ng/liter (OR: 43.4, 95% CI: 5.2–359.8), and age &gt;10 (OR: 5.5, 95% CI: 1.4–21.8) were associated with medullary thyroid carcinoma ≥10 mm. No patient with a preoperative basal CT &lt;31 ng/ml had a N1 status. Class D genotype (OR: 48.6, 95% CI: 8.6–274.1), and age &gt;10 (OR: 4.6, 95% CI: 1.1–19.0) were associated with N1 status. Conclusion:In HMTC patients, DFS is best predicted by TNM staging and preoperative basal CT level below 30 pg/ml. Basal CT, class D genotype, and age constitute key determinants to decide preoperatively timely surgery.</p
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