169 research outputs found

    Rekall  : un environnement open-source pour documenter, analyser les processus de crĂ©ation et simplifier la reprise des Ɠuvres scĂ©niques

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    International audienceLes Digital performances, dont le dĂ©veloppement commence dans les annĂ©es 1960, comprennent de nombreuses Ɠuvres musicales ou du moins une composante sonore importante. Du fait de l’obsolescence rapide des technologies, les Digital performances, sont non seulement Ă©phĂ©mĂšres comme toute Ɠuvre scĂ©nique mais engendrent Ă©galement des traces de plus en plus Ă©phĂ©mĂšres. Il devient ainsi trĂšs difficile non seulement de documenter les Ɠuvres et leurs processus de crĂ©ation, mais Ă©galement de les reprendre, voire de les insĂ©rer dans un rĂ©pertoire. Dans le domaine des digital performances, le modĂšle de la partition musicale, ou celui d’un systĂšme de notation, qui a Ă©tĂ© avancĂ© par plusieurs chercheurs, est loin de rĂ©soudre les problĂšmes de documentation nĂ©cessaires Ă  la reprise des Ɠuvres. Par ailleurs, plusieurs initiatives ont Ă©tĂ© menĂ©es pour documenter trĂšs prĂ©cisĂ©ment une Ɠuvre sans dĂ©velopper pour autant de proposition gĂ©nĂ©rale qui pourrait s’appliquer Ă  un ensemble d’Ɠuvres, voire aux arts de la scĂšne de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. PlutĂŽt que de dĂ©velopper un systĂšme de notation, nous proposons de dĂ©velopper un outil d’annotation qui puisse ĂȘtre utilisĂ© dans un trĂšs grand nombre de cas, qu’il s’agisse de chorĂ©graphie, de thĂ©Ăątre ou de musique. Rekall est un environnement open source pour documenter, analyser les processus de crĂ©ation et faciliter la reprise des Ɠuvres scĂ©niques. C’est un logiciel qui permet de documenter les digital performances, en prenant en compte le processus de crĂ©ation, la rĂ©ception et les diffĂ©rentes formes d’un spectacle. Il s’adresse Ă  la fois aux artistes, aux techniciens, aux chercheurs et au grand public. Rekall est une rĂ©ponse aux problĂ©matiques de documentation et de conservation des arts Ă  composante technologique, ainsi qu’aux difficultĂ©s rencontrĂ©es par les artistes lors de la reprise d’un spectacle dont les technologies sont devenues obsolĂštes, tout en Ă©tant au plus prĂšs de la dĂ©marche propre Ă  chaque artiste, Ă  chaque compagnie. Il permet Ă  la fois de rendre compte des technologies utilisĂ©es dans le spectacle et d’en offrir une description pour Ă©ventuellement proposer une alternative avec d’autres composantes. Le fonctionnement de Rekall s’articule essentiellement autour des documents de crĂ©ation et propose une prĂ©servation active des digital performances

    Granzyme B enters the mitochondria in a Sam50-, Tim22- and mtHsp70-dependent manner to induce apoptosis

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    We have found that granzyme B (GB)-induced apoptosis also requires reactive oxygen species resulting from the alteration of mitochondrial complex I. How GB, which does not possess a mitochondrial targeting sequence, enter this organelle is unknown. We show that GB enters the mitochondria independently of the translocase of the outer mitochondrial membrane complex, but requires instead Sam50, the central subunit of the sorting and assembly machinery that integrates outer membrane ÎČ- barrel proteins. Moreover, GB breaches the inner membrane through Tim22, the metabolite carrier translocase pore, in a mitochondrial heat-shock protein 70 (mtHsp70)-dependent manner. Granzyme A (GA) and caspase-3 use a similar route to the mitochondria. Finally, preventing GB from entering the mitochondria either by mutating lysine 243 and arginine 244 or depleting Sam50 renders cells more resistant to GB-mediated reactive oxygen species and cell death. Similarly, Sam50 depletion protects cells from GA-, GM- and caspase-3-mediated cell death. Therefore, cytotoxic molecules enter the mitochondria to induce efficiently cell death through a noncanonical Sam50-, Tim22- and mtHsp70-dependent import pathway

    TRAIL-R4 Promotes Tumor Growth and Resistance to Apoptosis in Cervical Carcinoma HeLa Cells through AKT

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    International audienceBACKGROUND: TRAIL/Apo2L is a pro-apoptotic ligand of the TNF family that engages the apoptotic machinery through two pro-apoptotic receptors, TRAIL-R1 and TRAIL-R2. This cell death program is tightly controlled by two antagonistic receptors, TRAIL-R3 and TRAIL-R4, both devoid of a functional death domain, an intracellular region of the receptor, required for the recruitment and the activation of initiator caspases. Upon TRAIL-binding, TRAIL-R4 forms a heteromeric complex with the agonistic receptor TRAIL-R2 leading to reduced caspase-8 activation and apoptosis. METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS: We provide evidence that TRAIL-R4 can also exhibit, in a ligand independent manner, signaling properties in the cervical carcinoma cell line HeLa, through Akt. Ectopic expression of TRAIL-R4 in HeLa cells induced morphological changes, with cell rounding, loss of adherence and markedly enhanced cell proliferation in vitro and tumor growth in vivo. Disruption of the PI3K/Akt pathway using the pharmacological inhibitor LY294002, siRNA targeting the p85 regulatory subunit of phosphatidylinositol-3 kinase, or by PTEN over-expression, partially restored TRAIL-mediated apoptosis in these cells. Moreover, the Akt inhibitor, LY294002, restituted normal cell proliferation index in HeLa cells expressing TRAIL-R4. CONCLUSIONS/SIGNIFICANCE: Altogether, these results indicate that, besides its ability to directly inhibit TRAIL-induced cell death at the membrane, TRAIL-R4 can also trigger the activation of signaling pathways leading to cell survival and proliferation in HeLa cells. Our findings raise the possibility that TRAIL-R4 may contribute to cervical carcinogenesis

    N-glycosylation of mouse TRAIL-R and human TRAIL-R1 enhances TRAIL-induced death.

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    APO2L/TRAIL (TNF-related apoptosis-inducing ligand) induces death of tumor cells through two agonist receptors, TRAIL-R1 and TRAIL-R2. We demonstrate here that N-linked glycosylation (N-glyc) plays also an important regulatory role for TRAIL-R1-mediated and mouse TRAIL receptor (mTRAIL-R)-mediated apoptosis, but not for TRAIL-R2, which is devoid of N-glycans. Cells expressing N-glyc-defective mutants of TRAIL-R1 and mouse TRAIL-R were less sensitive to TRAIL than their wild-type counterparts. Defective apoptotic signaling by N-glyc-deficient TRAIL receptors was associated with lower TRAIL receptor aggregation and reduced DISC formation, but not with reduced TRAIL-binding affinity. Our results also indicate that TRAIL receptor N-glyc impacts immune evasion strategies. The cytomegalovirus (CMV) UL141 protein, which restricts cell-surface expression of human TRAIL death receptors, binds with significant higher affinity TRAIL-R1 lacking N-glyc, suggesting that this sugar modification may have evolved as a counterstrategy to prevent receptor inhibition by UL141. Altogether our findings demonstrate that N-glyc of TRAIL-R1 promotes TRAIL signaling and restricts virus-mediated inhibition

    Cent scientifiques rĂ©pliquent Ă  SEA (Suppression des ExpĂ©riences sur l’Animal vivant) et dĂ©noncent sa dĂ©sinformation

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    La lutte contre la maltraitance animale est sans conteste une cause moralement juste. Mais elle ne justifie en rien la dĂ©sinformation Ă  laquelle certaines associations qui s’en rĂ©clament ont recours pour remettre en question l’usage de l’expĂ©rimentation animale en recherche

    Orange wheat blossom midge, Sitodiplosis mosellana (GĂ©hin): risk evaluation and pest management

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    La cĂ©cidomyie orange du blĂ©, Sitodiplosis mosellana (GĂ©hin), est un ravageur commun du froment. PrĂ©sente sur les trois continents de l’hĂ©misphĂšre Nord, cette espĂšce est connue depuis deux siĂšcles mais son contrĂŽle reste difficile tant par sa prĂ©sence discrĂšte que par ses effectifs hautement variables. En Wallonie, les niveaux d’infestations sont globalement faibles mais atteignent localement des seuils inquiĂ©tants.<p>Au dĂ©but des annĂ©es 2000, la phĂ©romone sexuelle de S. mosellana a Ă©tĂ© identifiĂ©e au Canada. Cette dĂ©couverte a permis la fabrication de piĂšges qui ont considĂ©rablement amĂ©liorĂ© la dĂ©tection et la mesure des vols de cet insecte minuscule. De 2007 Ă  2010, les captures de S. mosellana ont Ă©tĂ© mesurĂ©es quotidiennement dans plusieurs dizaines de champs de Wallonie, aux historiques et aux couverts variĂ©s.<p>Les volumes de captures au piĂšge Ă  phĂ©romone sexuelle ont Ă©tĂ© trĂšs importants. Il a fallu en Ă©tudier la signification, notamment en termes de mesure du risque. En effet, si les mĂąles sont efficacement capturĂ©s, seules les femelles constituent un risque de dĂ©gĂąts. L’interprĂ©tation correcte des captures Ă  l’aide de ce type de piĂšge, a Ă©tĂ© rendue possible par l’observation de diffĂ©rences fondamentales concernant la mobilitĂ© et la distribution spatiale des mĂąles et des femelles de S. mosellana. MĂȘme s’ils ne mesurent pas directement l’émergence proprement dite, les piĂšges Ă  phĂ©romone ont permis, grĂące Ă  leur trĂšs grande sensibilitĂ©, de prĂ©ciser les connaissances sur l’émergence des adultes et de rĂ©vĂ©ler que plusieurs vagues d’émergence pouvaient se succĂ©der au cours d’une mĂȘme annĂ©e.<p>La prĂ©vision des Ă©mergences de la cĂ©cidomyie orange du blĂ©, constitue la clĂ© de voĂ»te de la lutte contre ce ravageur dont un contrĂŽle efficace par des insecticides ne se justifie Ă©ventuellement que lorsque la courte saison des pontes coĂŻncide avec l’épiaison des froments. Les patrons d’émergence obtenus par les piĂšges ont Ă©tĂ© confrontĂ©s aux prĂ©visions de diffĂ©rents modĂšles conçus en Europe ou en AmĂ©rique du Nord, et appliquĂ©s aux conditions mĂ©tĂ©orologiques observĂ©es de 2007 Ă  2010. Aucun de ces modĂšles n’a prĂ©vu correctement les Ă©mergences sur l’ensemble des quatre annĂ©es.<p>Les donnĂ©es d’émergence obtenues Ă  l’aide des piĂšges Ă  phĂ©romone (effectifs Ă©levĂ©s et relevĂ©s quotidiens) ont fait apparaĂźtre une relation de cause Ă  effet entre, d’une part les vagues d’émergences et, d’autre part les Ă©pisodes pluvieux observĂ©s trois Ă  six semaines plus tĂŽt. L’écart entre une &61618;pluie inductrice&61618; et la vague d’émergence induite correspondante s’est avĂ©rĂ© constant en termes d’accumulation de tempĂ©rature :il Ă©quivaut Ă  160 degrĂ©s-jours en base 7°C. Partant de ce constat et des acquis des modĂšles antĂ©rieurs, un modĂšle prĂ©visionnel original des Ă©mergences a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© et validĂ© sur le terrain. AlliĂ© Ă  une meilleure connaissance de la biologie du ravageur, il constitue un outil majeur de la lutte intĂ©grĂ©e.<p>Par ailleurs, les travaux menĂ©s ont Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© l’existence d’un biais frĂ©quent dans les essais d’évaluation des variĂ©tĂ©s, entraĂźnĂ© par la concentration des pontes de cĂ©cidomyie orange sur les premiĂšres parcelles atteignant le stade Ă©piaison. Dans le systĂšme d’évaluation en vigueur, notamment pour l’inscription dans les catalogues nationaux, ce biais conduit Ă  une sous-estimation du potentiel de rendement des variĂ©tĂ©s de blĂ© les plus prĂ©coces.<p>Enfin, la dĂ©couverte du rĂŽle inducteur des pluies sur l’émergence des adultes a Ă©tĂ© exploitĂ©e en conditions contrĂŽlĂ©es pour planifier des Ă©mergences Ă©chelonnĂ©es, et pour disposer, pendant une longue pĂ©riode, de jeunes adultes prĂȘts Ă  pondre. Cette application permet dĂšs Ă  prĂ©sent de mesurer en serre le niveau de rĂ©sistance des variĂ©tĂ©s exposĂ©es de façon homogĂšne Ă  l’insecte, quel que soit leur degrĂ© de prĂ©cocitĂ©.<p>De diverses façons, cette Ă©tude contribue Ă  une meilleure connaissance de la cĂ©cidomyie orange du blĂ© et offre de nouveaux outils pour la lutte intĂ©grĂ©e contre ce ravageur.<p><p>--------------------------------------------------<p><p>The orange wheat blossom midge, Sitodiplosis mosellana (GĂ©hin), a common pest of wheat throughout the northern hemisphere, is known for two centuries but remains difficult to control due to its discrete behavior and its highly variable population level.<p>In general, the infestation levels in Wallonia (Belgium) are low, although levels could locally exceed worrying thresholds. <p>In the early 2000s, the sexual pheromone of S. mosellana has been identified in Canada. This discovery has led to the manufacturing of traps which have greatly improved the detection of this tiny insect. From 2007 to 2010 in Wallonia, S. mosellana captures have been daily registered in about 20 fields with different cropping histories and grown with different crops.<p>Insect captures by pheromone traps were numerous. Relation between amount of captures and risk measurement has been studied. As expected, only the males are attracted by the pheromone and the risk of ears infestation is mainly related to the presence of females. The correct interpretation of captures in pheromone traps has been established by the observation of fundamental differences between males and females concerning their mobility and their spatial distribution. <p>Despite the fact that pheromone traps are not real emergence traps, they have led to new information on adult emergence indicating that several emergence waves can be consecutive during the same year. <p>Forecasting the emergence of the adult orange wheat blossom midge is a key element on pest management. Insecticides treatments are sometimes justified when the egg laying period of the insect coincides with ear emergence of wheat. Emergence patterns established from captures of pheromone traps have been compared with the forecast of several models built in Europe or North America. These forecasting models were used with the meteorological data observed from 2007 until 2010. None of the six tested models provided a reliable forecast across the four years of our study. <p>Emergence data from catches in pheromone traps were very accurate because the number of catches were high and were taken each day. This emergence data showed a relation between emergence waves and rainfalls occurring during the preceding 3 to 6 weeks. The lag between inductive rain and emergence wave is constant in terms of temperature accumulation: it is equivalent to 160 degree–days above 7°C. This discovery, combined with experience from previous models, was incorporated into a new forecasting model.<p>In addition, the present work has also revealed the existence of a common bias in variety evaluation trials leading sometime to the concentration of the eggs in the earliest earing variety. In the current evaluation system, this bias leads to a sub-evaluation of the yield for the most precocious varieties. <p>Finally, the discovery of the inductive rain for adult emergence has been used in the screening for resistant varieties to S. mosellana by providing adults during the complete duration of the test. This application of the model allows to measure, under controlled conditions, the level of resistance of all varieties (early and late heading varieties) which are exposed homogeneously to the insect.<p>In total, this study has contributed to a better understanding of the orange wheat blossom midge and provides some new tools in the management of this pest.<p>Doctorat en Sciences agronomiques et ingĂ©nierie biologiqueinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe
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