12 research outputs found

    Flavignac – Busseroles

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    Identifiant de l'opération archéologique : 2760 Date de l'opération : 2006 (DF) Informée par la municipalité de Flavignac d'un effondrement dans une parcelle labourée immédiatement aux abords du hameau de Busseroles, une équipe, en collaboration avec l'association Archéa, a mené une brève intervention de prospection et d'exploration sur la parcelle concernée. Cette opération a permis d'identifier une cavité, très largement remblayée, que certaines caractéristiques architecturales (morphologie..

    Les Cars (Haute-Vienne) : émergence d’une résidence de pouvoir (c. XIIIe-XVIe siècles)

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    Conte Patrice, Hollemaert Boris, Rémy Christian. Les Cars (Haute-Vienne) : émergence d’une résidence de pouvoir (c. XIIIe-XVIe siècles). In: Archéologie du Midi médiéval. Supplément n°4, 2006. Résidences aristocratiques, résidences du pouvoir entre Loire et Pyrénées, Xe-XVe siècles. Recherches archéologiques récentes, 1987-2002. pp. 433-439

    Margerides (19), Les Pièces Grandes. Étude archéologique pour un état des lieux du sanctuaire antique. Phase 2 : sondages archéologiques

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    La phase 2 de l’étude archéologique du sanctuaire antique des Pièces-Grandes a consisté dans la réalisation de cinq sondages de vérification ainsi qu’une étude du bâti conservé. Ces sondages ainsi que les observations menées sur les maçonneries ont mis en évidence l’état sanitaire médiocre des maçonneries anciennement restaurées. Pour le mur d’enceinte et ceux de l’édicule A10, nos observations conduisent à penser qu’aucune maçonnerie antique n’est préservée sous les restaurations. Par ailleurs, l’étude des niveaux archéologiques a confirmé l’exhaustivité des fouilles anciennes à l’intérieur de l’enceinte. Un des sondages mené à l’écart des bâtiments, dans une zone dont l'exploration n'avait pas été achevée, donne à voir la présence d'un important remblai antique. L'absence d'autres niveaux à sa surface pourrait s'expliquer par une érosion postérieure à l'abandon du site. Enfin, deux sondages ouverts entre l'angle sud-est de la cella du temple A1 et le mur de la cella du temple A9 ont permis de mettre au jour des niveaux antérieurs à l’installation des bâtiments en pierres. Nous y avons détecté les traces d’un puissant trou de poteau et d’une probable palissade d’axe est-ouest, traces d’une construction en matériaux périssables, probablement d’époque augustéenne d’après l’étude céramologique.Cette dernière a été aussi l’occasion de dresser un bilan critique des études anciennes. L’étude du petit mobilier met en évidence les activités ayant animé le site (forge du fer), avant ou pendant l’occupation du lieu de culte. Enfin, une analyse cartographique du RGE Alti de l’IGN donne à voir l’ampleur du site et des aménagements inédits (enceinte, structures circulaires...).La synthèse des deux phases de l’étude répond, au regard des données anciennes et nouvelles, aux problématiques de la chronologie, de l’organisation et de l’environnement du lieu de culte. Elle ouvre également des perspectives pour le projet de mise en valeur, mais aussi pour des recherches complémentaires

    Margerides (19), Les Pièces Grandes. Étude archéologique pour un état des lieux du sanctuaire antique. Phase 2 : sondages archéologiques

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    La phase 2 de l’étude archéologique du sanctuaire antique des Pièces-Grandes a consisté dans la réalisation de cinq sondages de vérification ainsi qu’une étude du bâti conservé. Ces sondages ainsi que les observations menées sur les maçonneries ont mis en évidence l’état sanitaire médiocre des maçonneries anciennement restaurées. Pour le mur d’enceinte et ceux de l’édicule A10, nos observations conduisent à penser qu’aucune maçonnerie antique n’est préservée sous les restaurations. Par ailleurs, l’étude des niveaux archéologiques a confirmé l’exhaustivité des fouilles anciennes à l’intérieur de l’enceinte. Un des sondages mené à l’écart des bâtiments, dans une zone dont l'exploration n'avait pas été achevée, donne à voir la présence d'un important remblai antique. L'absence d'autres niveaux à sa surface pourrait s'expliquer par une érosion postérieure à l'abandon du site. Enfin, deux sondages ouverts entre l'angle sud-est de la cella du temple A1 et le mur de la cella du temple A9 ont permis de mettre au jour des niveaux antérieurs à l’installation des bâtiments en pierres. Nous y avons détecté les traces d’un puissant trou de poteau et d’une probable palissade d’axe est-ouest, traces d’une construction en matériaux périssables, probablement d’époque augustéenne d’après l’étude céramologique.Cette dernière a été aussi l’occasion de dresser un bilan critique des études anciennes. L’étude du petit mobilier met en évidence les activités ayant animé le site (forge du fer), avant ou pendant l’occupation du lieu de culte. Enfin, une analyse cartographique du RGE Alti de l’IGN donne à voir l’ampleur du site et des aménagements inédits (enceinte, structures circulaires...).La synthèse des deux phases de l’étude répond, au regard des données anciennes et nouvelles, aux problématiques de la chronologie, de l’organisation et de l’environnement du lieu de culte. Elle ouvre également des perspectives pour le projet de mise en valeur, mais aussi pour des recherches complémentaires

    Margerides (19), Les Pièces Grandes. Étude archéologique pour un état des lieux du sanctuaire antique. Phase 2 : sondages archéologiques

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    La phase 2 de l’étude archéologique du sanctuaire antique des Pièces-Grandes a consisté dans la réalisation de cinq sondages de vérification ainsi qu’une étude du bâti conservé. Ces sondages ainsi que les observations menées sur les maçonneries ont mis en évidence l’état sanitaire médiocre des maçonneries anciennement restaurées. Pour le mur d’enceinte et ceux de l’édicule A10, nos observations conduisent à penser qu’aucune maçonnerie antique n’est préservée sous les restaurations. Par ailleurs, l’étude des niveaux archéologiques a confirmé l’exhaustivité des fouilles anciennes à l’intérieur de l’enceinte. Un des sondages mené à l’écart des bâtiments, dans une zone dont l'exploration n'avait pas été achevée, donne à voir la présence d'un important remblai antique. L'absence d'autres niveaux à sa surface pourrait s'expliquer par une érosion postérieure à l'abandon du site. Enfin, deux sondages ouverts entre l'angle sud-est de la cella du temple A1 et le mur de la cella du temple A9 ont permis de mettre au jour des niveaux antérieurs à l’installation des bâtiments en pierres. Nous y avons détecté les traces d’un puissant trou de poteau et d’une probable palissade d’axe est-ouest, traces d’une construction en matériaux périssables, probablement d’époque augustéenne d’après l’étude céramologique.Cette dernière a été aussi l’occasion de dresser un bilan critique des études anciennes. L’étude du petit mobilier met en évidence les activités ayant animé le site (forge du fer), avant ou pendant l’occupation du lieu de culte. Enfin, une analyse cartographique du RGE Alti de l’IGN donne à voir l’ampleur du site et des aménagements inédits (enceinte, structures circulaires...).La synthèse des deux phases de l’étude répond, au regard des données anciennes et nouvelles, aux problématiques de la chronologie, de l’organisation et de l’environnement du lieu de culte. Elle ouvre également des perspectives pour le projet de mise en valeur, mais aussi pour des recherches complémentaires

    Lectoure (32), rue Claude-Ydron, BVD du Midi et BVD Jean-Jaurès. Suivi archéologique des travaux de mise en accessibilité et de réfection de la voirie publique

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    Le présent rapport donne à voir l’ensemble des résultats d’une opération qui a pris la forme d’un suivi de travaux. Ces derniers se déroulaient au pied des remparts, sur les boulevards méridionaux de Lectoure qui n’avaient jamais fait l’objet d’une étude archéologique. Les principaux terrassements concernaient la mise en place d’un réseau d’eaux usées. Aussi, les observations que nous avons pu mener ont été limitées à l’espace d’une tranchée et ses bermes. Les données récoltées concernent principalement l’aménagement des boulevards et du réseau hydraulique souterrain au cours du XIXe siècle. Un décapage élargi à proximité de la fontaine de Diane (datée du XIIIe siècle) a permis d’étudier les abords de la rue Claude-Ydron. Nous avons mis en évidence un ancien seuil d'une porte charretière, qui pourrait correspondre à un bâtiment de la Tannerie royale (milieu XVIIIe siècle). Au niveau de l'entrée de cette dernière, les fondations du grand boulevard de Fontélie, bâti au milieu du XVIe siècle, englobaient les traces d'une muraille plus ancienne (médiévale ou moderne ?)

    Mansle (16), Avenue Paul Mairat. Un secteur occupé du Néolithique à l'époque contemporaine

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    Les fouilles menées sur le site de Mansle, avenue Paul Mairat, ont été réalisées par le bureau d'études Éveha, dans le cadre du projet d'aménagement d’un centre d’incendie et de secours par le SDIS Charente. L’emprise prescrite, couvrant une surface de 5000 m², est localisée au sud-ouest de la commune, dans une zone archéologique sensible (ZPPA), des indices d'occupations anciennes ayant été observés depuis le XIX e siècle. L’opération a permis de mettre au jour des vestiges allant du Néolithique ancien à l'époque contemporaine, les principales occupations datant du Néolithique final et de l'Antiquité
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