23 research outputs found

    Cohésion des classes dans les systèmes orientés objet : étude expérimentale et validation

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    Les maladies chroniques non transmissibles chez les militaires sénégalais: étude transversale en 2013

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    Introduction: Les maladies chroniques non transmissibles (MCNT) constituent un problème de santé publique. La transition épidémiologique coexiste avec les maladies infectieuses. En Afrique  subsaharienne, leur ampleur est peu connue et l'OMS recommande aux pays à faible et moyen revenu de réaliser des enquêtes STEPS portant sur les comportements, des mesures physiques et biochimiques.  L'absence de données au niveau national justifie cette étude auprès d'un groupe spécifique. L'objectif de l'étude était de déterminer la prévalence des MCNT et de leurs facteurs de risque chez les militaires  Sénégalais.Méthodes: Une enquête transversale a été réalisée incluant les militaires âgés de 25 à 60 ans. La participation était volontaire et l'accord des autorités hiérarchiques a préalablement été obtenu. Un sondage stratifié à deux niveaux a été utilisé permettant d'avoir un échantillon ajusté de 1513 individus. Les données ont été saisies avec le logiciel EPI Info 6 et analysées à l'aide de R. Un score de risque a été déterminé sur la base de cinq facteurs. Résultats: Les résultats préliminaires concernent 1125 personnes. L'âge moyen était de 39,7 ±9,1 ans et le sex-ratio de 28,6. La prévalence du tabagisme actif était de 17,3% et ne variait pas significativement entre les différentes catégories d'âge. L'âge moyen auquel ils ont commencé à fumer était de 20,8 ±4,05 ans. La consommation médiane de fruits et légumes était de l'ordre de 4 par jour et seulement 5,7% des enquêtés prenaient au moins 5 portions par jour. Environs 72% des enquêtés avaient une activité physique intense ou modérée. Les prévalences de la surcharge pondérale, de l'HTA et du diabète étaient de 30,5%, 28,4% et 3,0% respectivement alors que la maladie rénale chronique était retrouvée chez un seul cas. Le calcul du score de risque cardiovasculaire a montré que 39,1% des militaires étaient à risque élevé (≥3 facteurs de risque) et que ce dernier  augmentait avec l'âge. Conclusion: La prévalence élevée des MCNT dans ce groupe particulier laisse présager de l'ampleur dans la population générale. De ce point de vue, il est urgent de mettre en place un programme de prévention primaire et de dépistage pour anticiper les lourdes conséquences liées à ces maladies.Key words: Epidémiologie, maladies non-transmissibles, militaires, Sénéga

    Animation des réseaux sociaux numériques

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    Le Parti socialiste face aux enjeux de construction d'une nation au Sénégal : analyse du discours politique de la période coloniale et postcoloniale

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    Nation-building, one of the major challenges for most political leaders in African countries in the pre- and post-independence period, has not been an easy task, both in practice and symbolically. Indeed, the very first challenge was to forge a unique identity corresponding to the aspirations of their people. But, after independence, this project faces enormous difficulties to materialize.Moreover, the word nation, despite its recent use in reference to the philological study by Marcel Mauss (Mauss, 2013), undoubtedly reveals among African politicians of the postcolonial period their common desire to embark on a path unification of their peoples beyond their specificities and their cultural diversity. But, from a symbolic point of view, specific to the politicians of French West Africa, this concept of nation does not correspond to the African reality, because it embodies a whole imaginary which sometimes goes beyond the national framework stricto-sensu. Returning to the issues of national construction, both material and imaginary, which the Socialist Party faced during the colonial and postcolonial period, is therefore the aim of this research.Through a textometric analysis of the political discourse of two illustrious speakers and main leaders of the Senegalese Socialist Party: L. S. Senghor and Abdou Diouf, this thesis seeks to track down traces of this African identity steeped in foreign identities. Hence a cultural heritage that seems to seal the fate of the peoples of West Africa in general and Senegal in particular. This thesis therefore remains a means for us to question the survival of the African tradition in Senegalese political discourse, more particularly of the Socialist Party, craftsman of independence and whose history coincides with that of Senegal in many respects.La construction nationale, un des défis majeurs de la plupart des leaders politiques des pays africains de la période pré et postindépendance, n’a pas été tâche facile aussi bien dans les faits que d’un point de vue symbolique. En effet, le tout premier défi a été de se forger une identité singulière correspondant aux aspirations de leur peuple. Mais, au lendemain des indépendances, ce projet se heurte à d’énormes difficultés pour se concrétiser. Par ailleurs, le vocable nation en dépit de son emploi récent en référence à l’étude philologique de Marcel Mauss (Mauss, 2013), révèle sans doute chez les hommes politiques africains de la période postcoloniale leur commune volonté de s’engager dans une voie d’unification de leurs peuples au-delà de leurs spécificités et de leur diversité culturelle. Mais, d’un point de vue symbolique, spécifique aux hommes politiques de l’Afrique occidentale française, ce concept de nation ne correspond pas à la réalité africaine, car il incarne tout un imaginaire qui dépasse parfois le cadre national stricto-sensu. Ainsi, revenir sur les enjeux de construction nationale tant matériels qu’imaginaires, auxquels le parti socialiste a fait face durant la période coloniale et postcoloniale, telle est donc la visée de ce travail de thèse. À travers une analyse textométrique du discours politique de deux illustres orateurs et principaux leaders du Parti socialiste sénégalais : L. S. Senghor et Abdou Diouf, cette thèse cherche à traquer les traces de cette identité africaine imprégnée d’identités étrangères. D’où un héritage culturel qui semble sceller le destin des peuples de l’Afrique de l’Ouest en général et du Sénégal en particulier. Cette thèse reste donc un moyen pour nous de questionner la survivance de la tradition africaine dans le discours politique sénégalais, plus particulièrement du Parti socialiste, artisan de l’indépendance et dont l’histoire coïncide avec celle du Sénégal à maints égards

    The Socialist Party facing the challenges of nation building in Senegal : analysis of the political discourse of the colonial and postcolonial period

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    La construction nationale, un des défis majeurs de la plupart des leaders politiques des pays africains de la période pré et postindépendance, n’a pas été tâche facile aussi bien dans les faits que d’un point de vue symbolique. En effet, le tout premier défi a été de se forger une identité singulière correspondant aux aspirations de leur peuple. Mais, au lendemain des indépendances, ce projet se heurte à d’énormes difficultés pour se concrétiser. Par ailleurs, le vocable nation en dépit de son emploi récent en référence à l’étude philologique de Marcel Mauss (Mauss, 2013), révèle sans doute chez les hommes politiques africains de la période postcoloniale leur commune volonté de s’engager dans une voie d’unification de leurs peuples au-delà de leurs spécificités et de leur diversité culturelle. Mais, d’un point de vue symbolique, spécifique aux hommes politiques de l’Afrique occidentale française, ce concept de nation ne correspond pas à la réalité africaine, car il incarne tout un imaginaire qui dépasse parfois le cadre national stricto-sensu. Ainsi, revenir sur les enjeux de construction nationale tant matériels qu’imaginaires, auxquels le parti socialiste a fait face durant la période coloniale et postcoloniale, telle est donc la visée de ce travail de thèse. À travers une analyse textométrique du discours politique de deux illustres orateurs et principaux leaders du Parti socialiste sénégalais : L. S. Senghor et Abdou Diouf, cette thèse cherche à traquer les traces de cette identité africaine imprégnée d’identités étrangères. D’où un héritage culturel qui semble sceller le destin des peuples de l’Afrique de l’Ouest en général et du Sénégal en particulier. Cette thèse reste donc un moyen pour nous de questionner la survivance de la tradition africaine dans le discours politique sénégalais, plus particulièrement du Parti socialiste, artisan de l’indépendance et dont l’histoire coïncide avec celle du Sénégal à maints égards.Nation-building, one of the major challenges for most political leaders in African countries in the pre- and post-independence period, has not been an easy task, both in practice and symbolically. Indeed, the very first challenge was to forge a unique identity corresponding to the aspirations of their people. But, after independence, this project faces enormous difficulties to materialize.Moreover, the word nation, despite its recent use in reference to the philological study by Marcel Mauss (Mauss, 2013), undoubtedly reveals among African politicians of the postcolonial period their common desire to embark on a path unification of their peoples beyond their specificities and their cultural diversity. But, from a symbolic point of view, specific to the politicians of French West Africa, this concept of nation does not correspond to the African reality, because it embodies a whole imaginary which sometimes goes beyond the national framework stricto-sensu. Returning to the issues of national construction, both material and imaginary, which the Socialist Party faced during the colonial and postcolonial period, is therefore the aim of this research.Through a textometric analysis of the political discourse of two illustrious speakers and main leaders of the Senegalese Socialist Party: L. S. Senghor and Abdou Diouf, this thesis seeks to track down traces of this African identity steeped in foreign identities. Hence a cultural heritage that seems to seal the fate of the peoples of West Africa in general and Senegal in particular. This thesis therefore remains a means for us to question the survival of the African tradition in Senegalese political discourse, more particularly of the Socialist Party, craftsman of independence and whose history coincides with that of Senegal in many respects

    Comment animer vos réseaux sociaux numériques avec succès ?

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    IMSAS offre un webinaire gratuit sur l'animation des réseaux sociaux numériques, animé par M. Alioune Badara GUEYE, chercheur à l'université de TOULON et au laboratoire IMSIC. Dans cet article, nous vous présenterons un aperçu des sujets qui seront abordés lors de ce webinaire et les astuces pour animer vos réseaux sociaux numériques avec succès.Avec l'essor des réseaux sociaux numériques, il est devenu crucial pour les entreprises de les utiliser pour promouvoir leurs produits et services. Cependant, pour atteindre cet objectif, il est important de savoir comment animer vos réseaux sociaux de manière efficace. C'est pourquoi IMSAS offre un webinaire gratuit le mercredi 15 mars 2023 de 12h à 15h GMT, pour tous les passionnés des réseaux sociaux numériques.Lors de ce webinaire, M. Alioune Badara GUEYE, attaché d'enseignement et de recherche à l'université de TOULON et chercheur au laboratoire IMSIC, partagera avec les participants des astuces et des outils pratiques pour animer leurs réseaux sociaux numériques avec succès. Il abordera notamment les sujets suivants :- les bases de l'animation des réseaux sociaux numériques ;- les différents types de contenus à publier sur les réseaux sociaux ;- comment créer du contenu engageant et attractif ;- les meilleures pratiques pour interagir avec votre audience ;- comment mesurer l'efficacité de vos actions sur les réseaux sociaux.En suivant les conseils de M. GUEYE, vous serez en mesure de valoriser vos produits et services à travers vos réseaux sociaux numériques et d'atteindre un public plus large. Vous apprendrez également comment mesurer l'efficacité de vos actions sur les réseaux sociaux, afin d'ajuster votre stratégie et d'optimiser vos résultats.En somme, le webinaire proposé par IMSAS est une excellente occasion pour tous les passionnés des réseaux sociaux numériques d'en apprendre davantage sur l'animation de ces plateformes et de découvrir des astuces pratiques pour réussir sur ces canaux. N'oubliez pas de vous inscrire pour recevoir le lien de participation et rejoindre M. GUEYE le mercredi 15 mars 2023 de 12h à 15h GMT

    The Socialist Party facing the challenges of nation building in Senegal : analysis of the political discourse of the colonial and postcolonial period

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    La construction nationale, un des défis majeurs de la plupart des leaders politiques des pays africains de la période pré et postindépendance, n’a pas été tâche facile aussi bien dans les faits que d’un point de vue symbolique. En effet, le tout premier défi a été de se forger une identité singulière correspondant aux aspirations de leur peuple. Mais, au lendemain des indépendances, ce projet se heurte à d’énormes difficultés pour se concrétiser. Par ailleurs, le vocable nation en dépit de son emploi récent en référence à l’étude philologique de Marcel Mauss (Mauss, 2013), révèle sans doute chez les hommes politiques africains de la période postcoloniale leur commune volonté de s’engager dans une voie d’unification de leurs peuples au-delà de leurs spécificités et de leur diversité culturelle. Mais, d’un point de vue symbolique, spécifique aux hommes politiques de l’Afrique occidentale française, ce concept de nation ne correspond pas à la réalité africaine, car il incarne tout un imaginaire qui dépasse parfois le cadre national stricto-sensu. Ainsi, revenir sur les enjeux de construction nationale tant matériels qu’imaginaires, auxquels le parti socialiste a fait face durant la période coloniale et postcoloniale, telle est donc la visée de ce travail de thèse. À travers une analyse textométrique du discours politique de deux illustres orateurs et principaux leaders du Parti socialiste sénégalais : L. S. Senghor et Abdou Diouf, cette thèse cherche à traquer les traces de cette identité africaine imprégnée d’identités étrangères. D’où un héritage culturel qui semble sceller le destin des peuples de l’Afrique de l’Ouest en général et du Sénégal en particulier. Cette thèse reste donc un moyen pour nous de questionner la survivance de la tradition africaine dans le discours politique sénégalais, plus particulièrement du Parti socialiste, artisan de l’indépendance et dont l’histoire coïncide avec celle du Sénégal à maints égards.Nation-building, one of the major challenges for most political leaders in African countries in the pre- and post-independence period, has not been an easy task, both in practice and symbolically. Indeed, the very first challenge was to forge a unique identity corresponding to the aspirations of their people. But, after independence, this project faces enormous difficulties to materialize.Moreover, the word nation, despite its recent use in reference to the philological study by Marcel Mauss (Mauss, 2013), undoubtedly reveals among African politicians of the postcolonial period their common desire to embark on a path unification of their peoples beyond their specificities and their cultural diversity. But, from a symbolic point of view, specific to the politicians of French West Africa, this concept of nation does not correspond to the African reality, because it embodies a whole imaginary which sometimes goes beyond the national framework stricto-sensu. Returning to the issues of national construction, both material and imaginary, which the Socialist Party faced during the colonial and postcolonial period, is therefore the aim of this research.Through a textometric analysis of the political discourse of two illustrious speakers and main leaders of the Senegalese Socialist Party: L. S. Senghor and Abdou Diouf, this thesis seeks to track down traces of this African identity steeped in foreign identities. Hence a cultural heritage that seems to seal the fate of the peoples of West Africa in general and Senegal in particular. This thesis therefore remains a means for us to question the survival of the African tradition in Senegalese political discourse, more particularly of the Socialist Party, craftsman of independence and whose history coincides with that of Senegal in many respects

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    La construction nationale, un des défis majeurs de la plupart des leaders politiques des pays africains de la période pré et postindépendance, n’a pas été tâche facile aussi bien dans les faits que d’un point de vue symbolique. En effet, le tout premier défi a été de se forger une identité singulière correspondant aux aspirations de leur peuple. Mais, au lendemain des indépendances, ce projet se heurte à d’énormes difficultés pour se concrétiser. Par ailleurs, le vocable nation en dépit de son emploi récent en référence à l’étude philologique de Marcel Mauss (Mauss, 2013), révèle sans doute chez les hommes politiques africains de la période postcoloniale leur commune volonté de s’engager dans une voie d’unification de leurs peuples au-delà de leurs spécificités et de leur diversité culturelle. Mais, d’un point de vue symbolique, spécifique aux hommes politiques de l’Afrique occidentale française, ce concept de nation ne correspond pas à la réalité africaine, car il incarne tout un imaginaire qui dépasse parfois le cadre national stricto-sensu. Ainsi, revenir sur les enjeux de construction nationale tant matériels qu’imaginaires, auxquels le parti socialiste a fait face durant la période coloniale et postcoloniale, telle est donc la visée de ce travail de thèse. À travers une analyse textométrique du discours politique de deux illustres orateurs et principaux leaders du Parti socialiste sénégalais : L. S. Senghor et Abdou Diouf, cette thèse cherche à traquer les traces de cette identité africaine imprégnée d’identités étrangères. D’où un héritage culturel qui semble sceller le destin des peuples de l’Afrique de l’Ouest en général et du Sénégal en particulier. Cette thèse reste donc un moyen pour nous de questionner la survivance de la tradition africaine dans le discours politique sénégalais, plus particulièrement du Parti socialiste, artisan de l’indépendance et dont l’histoire coïncide avec celle du Sénégal à maints égards.Nation-building, one of the major challenges for most political leaders in African countries in the pre- and post-independence period, has not been an easy task, both in practice and symbolically. Indeed, the very first challenge was to forge a unique identity corresponding to the aspirations of their people. But, after independence, this project faces enormous difficulties to materialize.Moreover, the word nation, despite its recent use in reference to the philological study by Marcel Mauss (Mauss, 2013), undoubtedly reveals among African politicians of the postcolonial period their common desire to embark on a path unification of their peoples beyond their specificities and their cultural diversity. But, from a symbolic point of view, specific to the politicians of French West Africa, this concept of nation does not correspond to the African reality, because it embodies a whole imaginary which sometimes goes beyond the national framework stricto-sensu. Returning to the issues of national construction, both material and imaginary, which the Socialist Party faced during the colonial and postcolonial period, is therefore the aim of this research.Through a textometric analysis of the political discourse of two illustrious speakers and main leaders of the Senegalese Socialist Party: L. S. Senghor and Abdou Diouf, this thesis seeks to track down traces of this African identity steeped in foreign identities. Hence a cultural heritage that seems to seal the fate of the peoples of West Africa in general and Senegal in particular. This thesis therefore remains a means for us to question the survival of the African tradition in Senegalese political discourse, more particularly of the Socialist Party, craftsman of independence and whose history coincides with that of Senegal in many respects
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