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    Clostridium botulinum type C, D, C/D, and D/C: An update

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    Clostridium botulinum is the main causative agent of botulism, a neurological disease encountered in humans as well as animals. Nine types of botulinum neurotoxins (BoNTs) have been described so far. Amongst these “toxinotypes,” the A, the B and E are the most frequently encountered in humans while the C, D, C/D and D/C are mostly affecting domestic and wild birds as well as cattle. In France for instance, many cases and outbreaks are reported in these animal species every year. However, underestimation is very likely at least for avifauna species where the detection of dead animals can be challenging. Knowledge about BoNTs C, D, C/D, and D/C and the diseases they cause in animals and humans is still scarce and unclear. Specifically, the potential role of animal botulism outbreaks in cattle and poultry as a source of human illness needs to be further assessed. In this narrative review, we present the current knowledge about toxinotypes C, D, C/D, and D/C in cattle and poultry with, amongst various other aspects, their epidemiological cycles. We also discuss the zoonotic potential of these toxinotypes and some possible ways of risk mitigation. An adapted and effective management of botulism outbreaks in livestock also requires a better understanding of these less common and known toxinotypes

    Sensitivity of bovine tuberculosis surveillance through intradermal tests in cattle in France: An evaluation of different scenarios

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    International audienceThe current situation regarding bovine tuberculosis (bTB) in Europe is spatially heterogeneous, with stagnating or increasing trends in bTB prevalence in many European regions, underlying the challenge in controlling this disease. In France, in spite of the implementation of two control programs in 2010–2012 to eradicate the disease and maintain the bTB-free status, bTB prevalence has continued to increase, underlying the need to reinforce and adapt surveillance measures. The goal of this study was to evaluate the effectiveness of bTB surveillance in high-risk areas in metropolitan France, with an emphasis on the criteria to select herds and animals within herds in the context of programmed surveillance and movement testing.The fraction of bTB-infected herds detected by the surveillance was quantified using a stochastic scenario tree modelling approach, with input parameter values based on surveillance and cattle traceability data and literature. The detection fraction was assessed for the current surveillance system and for alternative scenarios.The model predicted that the median detection fraction of infected herds by the current programmed surveillance in high-risk areas, which consists in annual testing of herds with a minimum age of testing of 24 months, was 71.5 % (interquartile interval: 47.4−89.4). The results showed a significant gain of the detection fraction with a decrease from 24 to 12 months old (83.5 % [60.6−95.9]) or to six weeks old (91.3 % [71.6−99.0]). Regarding pre-movement surveillance, tests are currently mandatory for bovines that originate from a previously infected herd or from a herd epidemiologically linked to a bTB-infected herd. The median detection fraction predicted by the model for this surveillance scenario was 1.2 % [0.7−1.8]. For the alternative scenario, where surveillance would be extended to all herds in high-risk areas, the model predicted a significant increase of the detection fraction to 26.5 % [18.1−37.9]. The results were sensitive to the following input values: the number of infected bovines within herds and, to a lower extent, the comparative intradermal tuberculin test sensitivity for both models, and surveillance coverage for the model on pre-movement surveillance.Our study underlines several complementary ways to improve the detection of infected herds, which is critical for implementing control measures and epidemiological investigations as early as possible. These necessary changes in surveillance must be accompanied by a global reflexion on surveillance financing

    ImputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins

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    Anses. (2021). Rapport d’expertise collective relatif Ă  l’imputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins. (Saisine 2019-SA-0096). Maisons-Alfort : Anses, 219 p.Selon la saisine, des troubles dans deux Ă©levages bovins ont Ă©tĂ© rapportĂ©s comme concomitants Ă  la construction en 2012 du parc Ă©olien des Quatre Seigneurs, constituĂ© de huit Ă©oliennes situĂ©es sur quatre communes de Loire-Atlantique, Ă  respectivement 800 et 1 300 mĂštres des deux Ă©levages bovins Sont dĂ©crits « des troubles du comportement des animaux, une diminution de la qualitĂ© et de la quantitĂ© de lait, des cas de mammites, un problĂšme de vĂȘlage (mort de veau ante partum ou in utero) et/ou des pertes de bĂ©tail ».Plusieurs expertises ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, en lien notamment avec la mise en place d’un protocole du groupe permanent de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique en milieu agricole (GPSE) en 2015. Les expertises ont portĂ© sur les volets zootechniques, vĂ©tĂ©rinaires et Ă©lectriques, ainsi que sur des mesures d’infrasons, une Ă©valuation du contexte gĂ©ologique et une analyse des eaux de forage.La saisine indique qu’« une Ă©tude comportementale et d’analyses bactĂ©riologiques va ĂȘtre confiĂ©e Ă  l’Ecole vĂ©tĂ©rinaire Oniris de Nantes en vue de complĂ©ter les audits vĂ©tĂ©rinaires dĂ©jĂ  effectuĂ©s ».La saisine prĂ©cise par ailleurs qu’un autre Ă©levage de vaches laitiĂšres en Loire-Atlantique connaĂźt depuis un peu plus d’un an (par rapport Ă  la date de la saisine) des troubles de production de lait que l’exploitant attribue Ă  la mise en service du parc Ă©olien de Conquereuil situĂ© Ă  1,5 km ; il n’a pas fait l’objet d’investigations Ă  la date de la saisine.Selon les termes de la saisine, celle-ci « intervient dans un contexte de tension au niveau local, sur un sujet politiquement sensible et alors que le besoin d’objectivation est particuliĂšrement prĂ©gnant ».Il est demandĂ© Ă  l’Anses :a. « D’échanger dans un premier temps avec les experts d’Oniris pour l’élaboration du protocole d’étude qui sera mis en Ɠuvre pour documenter les cas avec l’ensemble des informations susceptibles d’alimenter le travail d’expertise de l’Agence. »Cette Ă©tape n’a pas pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©e, le protocole ayant dĂ©jĂ  Ă©tĂ© mis en Ɠuvre Ă  la date de rĂ©ception de la saisine.b. « De procĂ©der Ă  la recherche et l’analyse documentaire en vue d’établir le score bibliographique de l’étude d’imputabilitĂ©.c. D’analyser, sur la base des rĂ©sultats des diffĂ©rentes Ă©tudes, l’imputabilitĂ© aux Ă©oliennes des troubles rapportĂ©s dans les deux Ă©levages bovins ».L’analyse de l’imputabilitĂ© Ă©tant exclusivement demandĂ©e pour les fermes de M. et Mme Potiron (EARL du Lody) et de Mme Bouvet, comme reprĂ©cisĂ© avec le demandeur, le troisiĂšme Ă©levage citĂ© dans la saisine, situĂ© prĂšs du parc de Conquereuil, ne rentre pas dans le champ de l’expertise.En outre, l’expertise porte exclusivement sur les aspects relatifs Ă  la santĂ© des bovins de ces deux Ă©levages, l’Anses n’étant pas ici saisie sur des questions liĂ©es Ă  d’autres Ă©levages, Ă  la santĂ© humaine ou Ă  la santĂ© d’autres espĂšces animales

    ImputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins: Avis de l'Anses. Rapport d'expertise collective

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    Anses. (2021). Rapport d’expertise collective relatif Ă  l’imputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins. (Saisine 2019-SA-0096). Maisons-Alfort : Anses, 219 p.Selon la saisine, des troubles dans deux Ă©levages bovins ont Ă©tĂ© rapportĂ©s comme concomitants Ă  la construction en 2012 du parc Ă©olien des Quatre Seigneurs, constituĂ© de huit Ă©oliennes situĂ©es sur quatre communes de Loire-Atlantique, Ă  respectivement 800 et 1 300 mĂštres des deux Ă©levages bovins Sont dĂ©crits « des troubles du comportement des animaux, une diminution de la qualitĂ© et de la quantitĂ© de lait, des cas de mammites, un problĂšme de vĂȘlage (mort de veau ante partum ou in utero) et/ou des pertes de bĂ©tail ».Plusieurs expertises ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, en lien notamment avec la mise en place d’un protocole du groupe permanent de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique en milieu agricole (GPSE) en 2015. Les expertises ont portĂ© sur les volets zootechniques, vĂ©tĂ©rinaires et Ă©lectriques, ainsi que sur des mesures d’infrasons, une Ă©valuation du contexte gĂ©ologique et une analyse des eaux de forage.La saisine indique qu’« une Ă©tude comportementale et d’analyses bactĂ©riologiques va ĂȘtre confiĂ©e Ă  l’Ecole vĂ©tĂ©rinaire Oniris de Nantes en vue de complĂ©ter les audits vĂ©tĂ©rinaires dĂ©jĂ  effectuĂ©s ».La saisine prĂ©cise par ailleurs qu’un autre Ă©levage de vaches laitiĂšres en Loire-Atlantique connaĂźt depuis un peu plus d’un an (par rapport Ă  la date de la saisine) des troubles de production de lait que l’exploitant attribue Ă  la mise en service du parc Ă©olien de Conquereuil situĂ© Ă  1,5 km ; il n’a pas fait l’objet d’investigations Ă  la date de la saisine.Selon les termes de la saisine, celle-ci « intervient dans un contexte de tension au niveau local, sur un sujet politiquement sensible et alors que le besoin d’objectivation est particuliĂšrement prĂ©gnant ».Il est demandĂ© Ă  l’Anses :a. « D’échanger dans un premier temps avec les experts d’Oniris pour l’élaboration du protocole d’étude qui sera mis en Ɠuvre pour documenter les cas avec l’ensemble des informations susceptibles d’alimenter le travail d’expertise de l’Agence. »Cette Ă©tape n’a pas pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©e, le protocole ayant dĂ©jĂ  Ă©tĂ© mis en Ɠuvre Ă  la date de rĂ©ception de la saisine.b. « De procĂ©der Ă  la recherche et l’analyse documentaire en vue d’établir le score bibliographique de l’étude d’imputabilitĂ©.c. D’analyser, sur la base des rĂ©sultats des diffĂ©rentes Ă©tudes, l’imputabilitĂ© aux Ă©oliennes des troubles rapportĂ©s dans les deux Ă©levages bovins ».L’analyse de l’imputabilitĂ© Ă©tant exclusivement demandĂ©e pour les fermes de M. et Mme Potiron (EARL du Lody) et de Mme Bouvet, comme reprĂ©cisĂ© avec le demandeur, le troisiĂšme Ă©levage citĂ© dans la saisine, situĂ© prĂšs du parc de Conquereuil, ne rentre pas dans le champ de l’expertise.En outre, l’expertise porte exclusivement sur les aspects relatifs Ă  la santĂ© des bovins de ces deux Ă©levages, l’Anses n’étant pas ici saisie sur des questions liĂ©es Ă  d’autres Ă©levages, Ă  la santĂ© humaine ou Ă  la santĂ© d’autres espĂšces animales

    ImputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins

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    Anses. (2021). Rapport d’expertise collective relatif Ă  l’imputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins. (Saisine 2019-SA-0096). Maisons-Alfort : Anses, 219 p.Selon la saisine, des troubles dans deux Ă©levages bovins ont Ă©tĂ© rapportĂ©s comme concomitants Ă  la construction en 2012 du parc Ă©olien des Quatre Seigneurs, constituĂ© de huit Ă©oliennes situĂ©es sur quatre communes de Loire-Atlantique, Ă  respectivement 800 et 1 300 mĂštres des deux Ă©levages bovins Sont dĂ©crits « des troubles du comportement des animaux, une diminution de la qualitĂ© et de la quantitĂ© de lait, des cas de mammites, un problĂšme de vĂȘlage (mort de veau ante partum ou in utero) et/ou des pertes de bĂ©tail ».Plusieurs expertises ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, en lien notamment avec la mise en place d’un protocole du groupe permanent de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique en milieu agricole (GPSE) en 2015. Les expertises ont portĂ© sur les volets zootechniques, vĂ©tĂ©rinaires et Ă©lectriques, ainsi que sur des mesures d’infrasons, une Ă©valuation du contexte gĂ©ologique et une analyse des eaux de forage.La saisine indique qu’« une Ă©tude comportementale et d’analyses bactĂ©riologiques va ĂȘtre confiĂ©e Ă  l’Ecole vĂ©tĂ©rinaire Oniris de Nantes en vue de complĂ©ter les audits vĂ©tĂ©rinaires dĂ©jĂ  effectuĂ©s ».La saisine prĂ©cise par ailleurs qu’un autre Ă©levage de vaches laitiĂšres en Loire-Atlantique connaĂźt depuis un peu plus d’un an (par rapport Ă  la date de la saisine) des troubles de production de lait que l’exploitant attribue Ă  la mise en service du parc Ă©olien de Conquereuil situĂ© Ă  1,5 km ; il n’a pas fait l’objet d’investigations Ă  la date de la saisine.Selon les termes de la saisine, celle-ci « intervient dans un contexte de tension au niveau local, sur un sujet politiquement sensible et alors que le besoin d’objectivation est particuliĂšrement prĂ©gnant ».Il est demandĂ© Ă  l’Anses :a. « D’échanger dans un premier temps avec les experts d’Oniris pour l’élaboration du protocole d’étude qui sera mis en Ɠuvre pour documenter les cas avec l’ensemble des informations susceptibles d’alimenter le travail d’expertise de l’Agence. »Cette Ă©tape n’a pas pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©e, le protocole ayant dĂ©jĂ  Ă©tĂ© mis en Ɠuvre Ă  la date de rĂ©ception de la saisine.b. « De procĂ©der Ă  la recherche et l’analyse documentaire en vue d’établir le score bibliographique de l’étude d’imputabilitĂ©.c. D’analyser, sur la base des rĂ©sultats des diffĂ©rentes Ă©tudes, l’imputabilitĂ© aux Ă©oliennes des troubles rapportĂ©s dans les deux Ă©levages bovins ».L’analyse de l’imputabilitĂ© Ă©tant exclusivement demandĂ©e pour les fermes de M. et Mme Potiron (EARL du Lody) et de Mme Bouvet, comme reprĂ©cisĂ© avec le demandeur, le troisiĂšme Ă©levage citĂ© dans la saisine, situĂ© prĂšs du parc de Conquereuil, ne rentre pas dans le champ de l’expertise.En outre, l’expertise porte exclusivement sur les aspects relatifs Ă  la santĂ© des bovins de ces deux Ă©levages, l’Anses n’étant pas ici saisie sur des questions liĂ©es Ă  d’autres Ă©levages, Ă  la santĂ© humaine ou Ă  la santĂ© d’autres espĂšces animales

    ImputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins: Avis de l'Anses. Rapport d'expertise collective

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2021). Rapport d’expertise collective relatif Ă  l’imputabilitĂ© Ă  la prĂ©sence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportĂ©s dans deux Ă©levages bovins. (Saisine 2019-SA-0096). Maisons-Alfort : Anses, 219 p.Selon la saisine, des troubles dans deux Ă©levages bovins ont Ă©tĂ© rapportĂ©s comme concomitants Ă  la construction en 2012 du parc Ă©olien des Quatre Seigneurs, constituĂ© de huit Ă©oliennes situĂ©es sur quatre communes de Loire-Atlantique, Ă  respectivement 800 et 1 300 mĂštres des deux Ă©levages bovins Sont dĂ©crits « des troubles du comportement des animaux, une diminution de la qualitĂ© et de la quantitĂ© de lait, des cas de mammites, un problĂšme de vĂȘlage (mort de veau ante partum ou in utero) et/ou des pertes de bĂ©tail ».Plusieurs expertises ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, en lien notamment avec la mise en place d’un protocole du groupe permanent de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique en milieu agricole (GPSE) en 2015. Les expertises ont portĂ© sur les volets zootechniques, vĂ©tĂ©rinaires et Ă©lectriques, ainsi que sur des mesures d’infrasons, une Ă©valuation du contexte gĂ©ologique et une analyse des eaux de forage.La saisine indique qu’« une Ă©tude comportementale et d’analyses bactĂ©riologiques va ĂȘtre confiĂ©e Ă  l’Ecole vĂ©tĂ©rinaire Oniris de Nantes en vue de complĂ©ter les audits vĂ©tĂ©rinaires dĂ©jĂ  effectuĂ©s ».La saisine prĂ©cise par ailleurs qu’un autre Ă©levage de vaches laitiĂšres en Loire-Atlantique connaĂźt depuis un peu plus d’un an (par rapport Ă  la date de la saisine) des troubles de production de lait que l’exploitant attribue Ă  la mise en service du parc Ă©olien de Conquereuil situĂ© Ă  1,5 km ; il n’a pas fait l’objet d’investigations Ă  la date de la saisine.Selon les termes de la saisine, celle-ci « intervient dans un contexte de tension au niveau local, sur un sujet politiquement sensible et alors que le besoin d’objectivation est particuliĂšrement prĂ©gnant ».Il est demandĂ© Ă  l’Anses :a. « D’échanger dans un premier temps avec les experts d’Oniris pour l’élaboration du protocole d’étude qui sera mis en Ɠuvre pour documenter les cas avec l’ensemble des informations susceptibles d’alimenter le travail d’expertise de l’Agence. »Cette Ă©tape n’a pas pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©e, le protocole ayant dĂ©jĂ  Ă©tĂ© mis en Ɠuvre Ă  la date de rĂ©ception de la saisine.b. « De procĂ©der Ă  la recherche et l’analyse documentaire en vue d’établir le score bibliographique de l’étude d’imputabilitĂ©.c. D’analyser, sur la base des rĂ©sultats des diffĂ©rentes Ă©tudes, l’imputabilitĂ© aux Ă©oliennes des troubles rapportĂ©s dans les deux Ă©levages bovins ».L’analyse de l’imputabilitĂ© Ă©tant exclusivement demandĂ©e pour les fermes de M. et Mme Potiron (EARL du Lody) et de Mme Bouvet, comme reprĂ©cisĂ© avec le demandeur, le troisiĂšme Ă©levage citĂ© dans la saisine, situĂ© prĂšs du parc de Conquereuil, ne rentre pas dans le champ de l’expertise.En outre, l’expertise porte exclusivement sur les aspects relatifs Ă  la santĂ© des bovins de ces deux Ă©levages, l’Anses n’étant pas ici saisie sur des questions liĂ©es Ă  d’autres Ă©levages, Ă  la santĂ© humaine ou Ă  la santĂ© d’autres espĂšces animales

    Évaluation des risques en appui des mesures de gestion de produits dans la filiùre bovine, lors de suspicion et de confirmation de cas de botulisme: Avis de l’Anses. Rapport d’expertise collective

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    Anses. (2021). Évaluation des risques en appui des mesures de gestion de produits dans la filiĂšre bovine, lors de suspicion et de confirmation de cas de botulisme (saisine 2019-SA-0112): Avis de l'Anses. Rapport d'expertise collective. Maisons-Alfort : Anses, 112 pLe botulisme est une maladie neurologique humaine et animale provoquĂ©e par l’action de neurotoxines bactĂ©riennes (toxines botuliques) produites par des bactĂ©ries du genre Clostridium et qui se manifeste par des paralysies flasques pouvant aller jusqu’à la paralysie respiratoire et l’arrĂȘt cardiaque. Il existe neuf types connus de toxines botuliques.Le botulisme animal en France concerne essentiellement les oiseaux (sauvages et domestiques) et les bovins. Les cas chez les bovins sont dus aux types mosaĂŻque D/C (majoritaire), C, C/D et rarement au D. Au niveau national, l’incidence observĂ©e les 10 derniĂšres annĂ©es est en moyenne d’une dizaine de foyers par an. Bien qu’il s’agisse d’une maladie animale de premiĂšre catĂ©gorie, il n’y a pas Ă  l’heure actuelle de mesures de police sanitaire Ă©tablies par la rĂ©glementation, lors de la confirmation d’un foyer de botulisme animal, ce qui conduit Ă  une gestion au cas par cas par les directions dĂ©partementales de la protection des populations (DDPP) et la mission des urgences sanitaires (MUS) de la DGAL. Cesservices peuvent s’appuyer sur deux documents Ă©mis par l’Afssa : le rapport sur le botulisme animal Ă©tabli en 2002 et l’avis rendu en janvier 2009 sur un projet d’arrĂȘtĂ© fixant des mesures techniques et administratives relatives Ă  la lutte contre le botulisme aviaire. Les rapports et avis citĂ©s Ă©tant relativement anciens, la DGAL a saisi l’Anses via 4 saisines (saisines 2019-SA-0112 Ă  2019-SA-0115), dont l’objet est une demande d’actualisation des connaissances et des Ă©valuations de risque pour la santĂ© humaine et/ou animale.L’expertise a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en deux Ă©tapes :1. Une mise Ă  jour des connaissances sur Clostridium botulinum (types C, D, mosaĂŻques C/D et D/C et E) effectuĂ©e par le groupe de travail (GT) « Groupe socle botulisme », portant sur les caractĂ©ristiques microbiologiques, les maladies humaine et animale (bovins, oiseaux et poissons), la prĂ©sence des diffĂ©rentes formes et types dans l’environnement, le danger dans les denrĂ©es alimentaires d’origine animale ainsi que l’efficacitĂ© des mĂ©thodes et procĂ©dĂ©s d’inactivation.2. Le traitement des questions d’évaluation des risques par des groupes de travail spĂ©cifiques (« Botulisme bovin-aviaire » ; « DĂ©contamination » ; « Faune sauvage et environnement »).La prĂ©sente saisine porte sur l’évaluation des risques en appui des mesures de gestion de produits dans la filiĂšre bovine, lors de suspicion et de confirmation de cas de botulisme dans un troupeau. Les questions posĂ©es dans la saisine sont les suivantes :- « Quel est le risque pour l’Homme liĂ© Ă  la consommation de produits carnĂ©s ou laitiers provenant d’un bovin en incubation ou atteint de botulisme ? Le risque est-il diffĂ©rent selon les souches bactĂ©riennes et la population concernĂ©e (nourrissons, enfants, adultes, personnes fragiles) ?Comment l’état de santĂ© des animaux influence-t-il le risque pour le consommateur final (importance relative entre la phase d’incubation et la phase clinique) ?- Quel est le risque potentiel associĂ© aux produits carnĂ©s et laitiers issus des autres animaux du troupeau que ceux strictement malades ? Existe-t-il des moyens pour diminuer ce risque de contamination des produits ?- La manipulation de carcasses en abattoir d’un animal issu d’un lot de bovins atteints de botulisme mais dĂ©pourvus de signes cliniques prĂ©sente-t-elle un risque pour les employĂ©s de contracter le botulisme ? Comment le maĂźtriser ?- Quelle est l’efficacitĂ© des diffĂ©rents traitements du lait sur les formes vĂ©gĂ©tatives et sporulĂ©es (pasteurisation, traitement UHT, bactofugation, filtration membranaire) ? Dans quelle mesure peuvent-ils ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme assainissant

    Évaluation des risques pour la santĂ© humaine et l’environnement et recommandations pour leurmaĂźtrise, dans le cadre de l’administration des mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires antiparasitaires externes sous forme de bains, douches et pulvĂ©risations en Ă©levages de ruminants

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2022). Evaluation des risques pour la santĂ© humaine et l’environnement et recommandations pour leur maĂźtrise, dans le cadre de l’administration des mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires antiparasitaires externes sous forme de bains, douches et pulvĂ©risations en Ă©levages ruminants. (Saisine n° 2018-SA-0269). Maisons-Alfort : Anses, 282 p.L’émergence ou la rĂ©Ă©mergence de maladies vectorielles dont les agents pathogĂšnes sonttransmis par des insectes ou des tiques, l’augmentation de la prĂ©valence de la galepsoroptique chez les ruminants, conduisent les vĂ©tĂ©rinaires Ă  prescrire entre autres destraitements antiparasitaires externes (APE) sous forme de bains, douches, pulvĂ©risations(BDP). Ces antiparasitaires sont des organophosphorĂ©s (OP), des pyrĂ©thrinoĂŻdes ou encoreun inhibiteur de la croissance larvaire.Ces traitements occasionnent une exposition des travailleurs aux Ă©mulsions antiparasitairesavec des risques potentiels pour l’utilisateur (pulvĂ©risations et inhalation, bains/douches etĂ©claboussures
) et pour l’environnement (ruissellements des Ă©mulsions lors de pulvĂ©risation,douche, Ă©pandage des reliquats de baignoire
). De plus, des dĂ©fauts d’efficacitĂ© observĂ©svis-Ă -vis de certaines myiases (Wohlfahrtia magnifica) conduisent Ă  des pratiques Ă©loignĂ©esdes recommandations de prescription (surconcentrations, mĂ©langes de diffĂ©rentes molĂ©cules,applications locales
).Les recommandations peuprĂ©cises des rĂ©sumĂ©s des caractĂ©ristiques du produit (RCP)induisent un questionnement de la part des utilisateurs en termes de prĂ©vention de la santĂ©des professionnels, d’impact environnemental notamment liĂ© Ă  l’élimination des effluents desĂ©levages. Il en dĂ©coule une nĂ©cessitĂ© de prĂ©ciser davantage les pratiques d’utilisation de cesmĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires

    Clostridium botulinum type C, D, C/D, and D/C: An update

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    We are grateful to the ANSES expert committee panel in charge of assessing animal health and animal welfare risk, and to the working group “Botulism,” including the authors as well as Catherine Belloc, StĂ©phane Bertagnoli, Alain Boissy, Henri-Jean Boulouis, Eric Collin, Jean-Claude Desfontis, David Fretin, Emmanuelle Gilot-Fromont, Etienne Giraud, Nadia Haddad, Viviane HĂ©naux, Elsa Jourdain, Sophie Le Poder-Alcon, Monique L’Hostis, Gilles Meyer, Elodie Monchatre-Leroy, Pierre MormĂšde, Carine Paraud, Ariane Payne, Carole Peroz-Sapede, Claire Ponsart, Claude Saegerman, GaĂ«lle Simon, MichĂšle Tremblay, Nathalie Arnich, Isabelle Attig, Carole Catastini, Charlotte Dunoyer, Nabila Haddache, and Elissa Khamisse.International audienceClostridium botulinum is the main causative agent of botulism, a neurological disease encountered in humans as well as animals. Nine types of botulinum neurotoxins (BoNTs) have been described so far. Amongst these “toxinotypes,” the A, the B and E are the most frequently encountered in humans while the C, D, C/D and D/C are mostly affecting domestic and wild birds as well as cattle. In France for instance, many cases and outbreaks are reported in these animal species every year. However, underestimation is very likely at least for avifauna species where the detection of dead animals can be challenging. Knowledge about BoNTs C, D, C/D, and D/C and the diseases they cause in animals and humans is still scarce and unclear. Specifically, the potential role of animal botulism outbreaks in cattle and poultry as a source of human illness needs to be further assessed. In this narrative review, we present the current knowledge about toxinotypes C, D, C/D, and D/C in cattle and poultry with, amongst various other aspects, their epidemiological cycles. We also discuss the zoonotic potential of these toxinotypes and some possible ways of risk mitigation. An adapted and effective management of botulism outbreaks in livestock also requires a better understanding of these less common and known toxinotypes

    Clostridium botulinum : mise Ă  jour des connaissances sur les diffĂ©rentes formes des types C, D, mosaĂŻque C/D et D/C et E: Rapport intermĂ©diaire d’expertise collective

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    Le botulisme est une maladie neurologique humaine et animale, le plus souvent d’origine alimentaire, provoquĂ©e par l’action de neurotoxines bactĂ©riennes (toxines botuliques) produites par des bactĂ©ries du genre Clostridium et qui se manifeste par des paralysies flasques pouvant aller jusqu’à la paralysie respiratoire et l’arrĂȘt cardiaque. Il existe neuf types de toxines botuliques. Les diffĂ©rents types se rĂ©partissent en une quarantaine de sous-types.Chez l’ĂȘtre humain, en France, le botulisme est Ă  dĂ©claration obligatoire depuis 1986. Les cas de botulisme sont majoritairement associĂ©s aux types B et A et de maniĂšre plus exceptionnelle aux types F et E. Il s’agit d’une maladie rare, avec une incidence en France de 11 Ă  22 cas/an (pĂ©riode 2013-2016, source SantĂ© Publique France - SPF).Le botulisme animal en France concerne essentiellement les oiseaux (sauvages et domestiques) et les bovins. Les cas chez les bovins sont dus aux types mosaĂŻque D/C (majoritaire), C, mosaĂŻque C/D et rarement D. Au niveau national, l’incidence sur les 10 derniĂšres annĂ©es est en moyenne d’une dizaine de foyers par an. Chez les oiseaux, les types toxiniques en cause sont C, D, mosaĂŻques C/D et D/C et exceptionnellement le type E. Au niveau national, l’incidence est d’environ 25 foyers par an (volailles et avifaune confondues), avec cependant des variations annuelles parfois notables, comme en 2007 (121 foyers dĂ©celĂ©s) et 2008 (102 foyers).Une sous-estimation est probable, quelle que soit l’espĂšce animale envisagĂ©e, mais surtout pour l’avifaune3 (sauvage et non captive) oĂč la dĂ©tection des cadavres d’oiseaux est plus difficile.Bien qu’il s’agisse d’un danger sanitaire de premiĂšre catĂ©gorie en santĂ© animale, il n’y a pas Ă  l’heure actuelle de mesures de police sanitaire Ă©tablies par la rĂšglementation, lors de la confirmation d’un foyer de botulisme animal, ce qui conduit Ă  une gestion au cas par cas par les directions dĂ©partementales de la protection des populations (DDPP) et la Mission des Urgences Sanitaires (MUS) de la Direction gĂ©nĂ©rale de l’Alimentation. Ces services peuvent s’appuyer sur deux documents Ă©mis par l’AFSSA : le rapport sur le botulisme animal Ă©tabli en 2002 et l’avis rendu en janvier 2009 sur un projet d’arrĂȘtĂ© fixant des mesures techniques et administratives relatives Ă  la lutte contre le botulisme aviaire. Ce projet d’arrĂȘtĂ© n’a pas Ă©tĂ© finalisĂ© par le ministĂšre. Les rapports et avis citĂ©s Ă©tant relativement anciens, la Direction gĂ©nĂ©rale de l’Alimentation a saisi l’Anses Ă  la fin du mois de juin 2019 via 4 saisines (saisines 2019-SA-0112 Ă  2019-SA-0115), dont l’objet est une demande d’actualisation des connaissances et des Ă©valuations de risque pour la santĂ© humaine et/ou animale
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