112 research outputs found

    Lyon smart community. Projet SMARTMOB

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    Ce document fait partie d’un ensemble de cinq monographies portant sur les smart communities deKeihanna, Kitakyushu, Toyota, Yokohama au Japon et Lyon Confluence en France. Il vient en complément du rapport « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME).Ce rapport pointe les particularités de la smart community de Lyon. Il fait partie d’un corpus qui complètent le rapport final intitulé « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME). Ce dernier est déposé sur les archives ouvertes : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01382640)

    Des éco-quartiers aux "smart cities" : quel rôle pour l'électro-mobilité ? Une comparaison France-Japon. Projet SMARTMOB. Rapport final

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    Ce rapport est complété par une série de cinq monographies, couvrant les quatre smart communities japonaises et celle de Lyon Confluence :[A - KEIHANNA : Keihanna Eco-City Next-Generation Energy and Social System.- 31 p.] - [B - KITAKYUSHU : Kitakyushu Smart Community Creation Project - 35 p.] - [C - Lyon smart community - 21 p.] - [D - TOYOTA SMART MELIT. Smart Mobility and Energy Life In Toyota City.- 36 p.] - [E - YOKOHAMA : Yokohama Smart City Project.- 34 p.]L’origine de cette recherche réside dans le lancement en 2010 par le Ministère japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie (METI), d’un programme d’expérimentations dénommé « Energie de Nouvelle Génération et Systèmes Sociaux » (Next Generation Energy and Social Systems), incitant des collectivités locales à candidater, en lien avec des consortiums d’entreprises, pour mettre en œuvre des démonstrateurs visant à mieux gérer la production et la consommation d’énergie au travers des « réseaux électriques intelligents » (smart grid), dans le but notamment de réduire les gaz à effet de serre (GES). Ces démonstrateurs sont conçus comme une opportunité pour vérifier en situation réelle et à grande échelle l’efficacité de solutions techniques nouvelles, favorisant le développement des énergies renouvelables et la sobriété énergétique. Le programme comprend un volet « Systèmes de transport et de mobilité », introduisant ainsi un lien original avec un secteur émetteur de CO2 et consommateur d’énergie. Le focus mis sur l’électromobilité justifie en grande partie cette prise en compte, mais souligne également l’importance, y compris en France, de favoriser une plus grande intégration des approches entre le transport, l’urbanisme, l’énergie et l’environnement. L’appel à propositions du GO6 du PREDIT a mis l’accent sur les situations de crise et de ruptures, tout en observant les tendances émergentes (prospective sur le long terme). En proposant une veille et une analyse comparative France-Japon sur le développement des smart communities, cette recherche s’inscrit bien dans les termes de l’appel : cela concerne tout à la fois les questions énergétiques et environnementales, l’évolution potentielle des comportements (axe 1), et les politiques publiques d’innovation (axe 2). La recherche s’est en effet fixée comme objectif d’étudier les processus sous-jacents à la mise en œuvre d’expérimentations de grande taille mais correspondant aux attentes des villes, à la recherche d’un modèle de développement bas carbone, et aux entreprises, fortement attirées par le développement de technologies vertes, qui vont constituer un marché en rapide expansion dans le monde entier. Cette apparente conjonction d’intérêts ne doit cependant pas cacher que des stratégies multiples puissent être mises en œuvre par les nombreux acteurs impliqués. L’intérêt de cette expérimentation à grande échelle, sur des territoires diversifiés y compris à l’étranger et notamment à Lyon, réside à la fois dans ses composantes technologiques particulièrement variées, et dans les modalités d’implication des populations elles aussi très variées

    KITAKYUSHU : Kitakyushu Smart Community Creation Project. Projet SMARTMOB

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    Ce document fait partie d’un ensemble de cinq monographies portant sur les smart communities deKeihanna, Kitakyushu, Toyota, Yokohama au Japon et Lyon Confluence en France. Il vient en complément du rapport « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME).Ce rapport pointe les particularités de la smart community de Kitakyūshū. Il fait partie d’un corpus qui complètent le rapport final intitulé « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME). Ce dernier est déposé sur les archives ouvertes : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01382640)

    TOYOTA SMART MELIT. Smart Mobility and Energy Life In Toyota City. Projet SMARTMOB

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    Ce document fait partie d’un ensemble de cinq monographies portant sur les smart communities deKeihanna, Kitakyushu, Toyota, Yokohama au Japon et Lyon Confluence en France. Il vient en complément du rapport « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME).Ce rapport pointe les particularités de la smart community de Toyota City. Il fait partie d’un corpus qui complètent le rapport final intitulé « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME). Ce dernier est déposé sur les archives ouvertes : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01382640)

    YOKOHAMA : Yokohama Smart City Project. Projet SMARTMOB

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    Ce document fait partie d’un ensemble de cinq monographies portant sur les smart communities deKeihanna, Kitakyushu, Toyota, Yokohama au Japon et Lyon Confluence en France. Il vient en complément du rapport « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME).Ce rapport pointe les particularités de la smart community de Yokohama. Il fait partie d’un corpus qui complètent le rapport final intitulé « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME). Ce dernier est déposé sur les archives ouvertes : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01382640)

    KEIHANNA : Keihanna Eco-City Next-Generation Energy and Social System. Projet SMARTMOB

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    Ce document fait partie d’un ensemble de cinq monographies portant sur les smart communities deKeihanna, Kitakyushu, Toyota, Yokohama au Japon et Lyon Confluence en France. Il vient en complément durapport « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France– Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre duGO6 du PREDIT IV (financement ADEME).Ce rapport pointe les particularités de la smart community de Kyoto Keihanna. Il fait partie d’un corpus qui complètent le rapport final intitulé « Des éco-quartiers aux « smart cities » : quel rôle pour l’électro-mobilité ? Une comparaison France – Japon », réalisé dans le cadre du projet SMARTMOB par le LAET et l’IAO, en réponse à l’appel d’offre du GO6 du PREDIT IV (financement ADEME). Ce dernier est déposé sur les archives ouvertes : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01382640)

    Comment inciter les entreprises à afficher les impacts environnementaux sur les produits de grande consommation ?:Les leviers d’une politique publique « d’affichage volontaire encadré »

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    Ce policy brief analyse la politique publique française en matière d’affichage environnemental. Cette politique publique a été initiée en 2009 à la suite du Grenelle de l’Environnement et a été réactivée en 2018 dans le cadre d’une action de déploiement sur cinq secteurs économiques. L’objectif de cette politique publique est d’encourager les entreprises à afficher les impacts environnementaux des produits qu’elles mettent en marché. Elle se heurte à d’importantes résistances du monde économique qui se montre réticent à s’engager dans des actions d’évaluation des impacts environnementaux jugées à la fois coûteuses à mettre en œuvre et insuffisamment stabilisées sur un plan technique. A l’heure où les politiques d’affichage sur les produits tendent à se multiplier (affichage nutritionnel, affichage énergie, affichage carbone, affichage sur la durée de vie), nous revenons sur les spécificités d’une action publique, faiblement dotée en ressources financières, politiques ou légales, qui cherche à inciter les entreprises à plus de responsabilité. Nous montrons que cette politique publique repose sur un socle législatif faiblement coercitif mais susceptible de faire évoluer les intérêts de certains acteurs privés. Nous suggérons que les pouvoirs publics construisent des alliances stratégiques avec certains acteurs privés afin d’activer des leviers au sein des rapports de concurrence ou des rapports de force marchands susceptibles de produire des effets d’entrainement. C’est précisément la co-construction publique-privée de cette politique publique qui la rend acceptable pour le monde économique. Nous revenons sur les enjeux et points critiques d'une politique publique, qui, même si elle n'est pas encore généralisée, a montré une certaine efficacité dans sa capacité à mobiliser les entreprises.The present policy brief analyses a French public policy aiming at encouraging companies to display on labels the environmental impacts of their products. This public policy was initiated in 2009 after President Sarkozy’s election but has recently been reactivated in 2018 when the government decided a national implementation within five industries. The public policy was seriously contested by economic actors, which considered product environmental assessment as too costly and based on insufficiently stabilized knowledge. Today, consumer information public policies are becoming increasingly common: nutritional labelling, environmental footprint labelling, energy labels, product lifetime labelling. How can these public policies, which have limited financial, political and legal resources, achieve any efficiency to convince corporations to engage in changes they are reluctant to make? We demonstrate that this public policy relies on a weak coercive legislative basis but with strong capacity to modify the interests of some of the private actors. We also show how public deciders make strong allies within different types of economic actors, in order to activate levers through competition dynamics or supply chains relationships. This public-private public policy instrument building process contributes to strengthen the capacity of the public policy. Finally, we question the stakes and critical points of this public policy, which has not achieved a widespread implementation so far, but has demonstrated its ability to engage companies in environmental improvements

    COVID-19 symptoms at hospital admission vary with age and sex: results from the ISARIC prospective multinational observational study

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    Background: The ISARIC prospective multinational observational study is the largest cohort of hospitalized patients with COVID-19. We present relationships of age, sex, and nationality to presenting symptoms. Methods: International, prospective observational study of 60 109 hospitalized symptomatic patients with laboratory-confirmed COVID-19 recruited from 43 countries between 30 January and 3 August 2020. Logistic regression was performed to evaluate relationships of age and sex to published COVID-19 case definitions and the most commonly reported symptoms. Results: ‘Typical’ symptoms of fever (69%), cough (68%) and shortness of breath (66%) were the most commonly reported. 92% of patients experienced at least one of these. Prevalence of typical symptoms was greatest in 30- to 60-year-olds (respectively 80, 79, 69%; at least one 95%). They were reported less frequently in children (≤ 18 years: 69, 48, 23; 85%), older adults (≥ 70 years: 61, 62, 65; 90%), and women (66, 66, 64; 90%; vs. men 71, 70, 67; 93%, each P < 0.001). The most common atypical presentations under 60 years of age were nausea and vomiting and abdominal pain, and over 60 years was confusion. Regression models showed significant differences in symptoms with sex, age and country. Interpretation: This international collaboration has allowed us to report reliable symptom data from the largest cohort of patients admitted to hospital with COVID-19. Adults over 60 and children admitted to hospital with COVID-19 are less likely to present with typical symptoms. Nausea and vomiting are common atypical presentations under 30 years. Confusion is a frequent atypical presentation of COVID-19 in adults over 60 years. Women are less likely to experience typical symptoms than men

    Discutindo a educação ambiental no cotidiano escolar: desenvolvimento de projetos na escola formação inicial e continuada de professores

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    A presente pesquisa buscou discutir como a Educação Ambiental (EA) vem sendo trabalhada, no Ensino Fundamental e como os docentes desta escola compreendem e vem inserindo a EA no cotidiano escolar., em uma escola estadual do município de Tangará da Serra/MT, Brasil. Para tanto, realizou-se entrevistas com os professores que fazem parte de um projeto interdisciplinar de EA na escola pesquisada. Verificou-se que o projeto da escola não vem conseguindo alcançar os objetivos propostos por: desconhecimento do mesmo, pelos professores; formação deficiente dos professores, não entendimento da EA como processo de ensino-aprendizagem, falta de recursos didáticos, planejamento inadequado das atividades. A partir dessa constatação, procurou-se debater a impossibilidade de tratar do tema fora do trabalho interdisciplinar, bem como, e principalmente, a importância de um estudo mais aprofundado de EA, vinculando teoria e prática, tanto na formação docente, como em projetos escolares, a fim de fugir do tradicional vínculo “EA e ecologia, lixo e horta”.Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educació
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