398 research outputs found

    Acoustic, psychophysical, and neuroimaging measurements of the effectiveness of active cancellation during auditory functional magnetic resonance imaging

    Get PDF
    Functional magnetic resonance imaging (fMRI) is one of the principal neuroimaging techniques for studying human audition, but it generates an intense background sound which hinders listening performance and confounds measures of the auditory response. This paper reports the perceptual effects of an active noise control (ANC) system that operates in the electromagnetically hostile and physically compact neuroimaging environment to provide significant noise reduction, without interfering with image quality. Cancellation was first evaluated at 600 Hz, corresponding to the dominant peak in the power spectrum of the background sound and at which cancellation is maximally effective. Microphone measurements at the ear demonstrated 35 dB of acoustic attenuation [from 93 to 58 dB sound pressure level (SPL)], while masked detection thresholds improved by 20 dB (from 74 to 54 dB SPL). Considerable perceptual benefits were also obtained across other frequencies, including those corresponding to dips in the spectrum of the background sound. Cancellation also improved the statistical detection of sound-related cortical activation, especially for sounds presented at low intensities. These results confirm that ANC offers substantial benefits for fMRI research

    Pulsar Timing with the Parkes Radio Telescope for the Fermi Mission

    Full text link
    We report here on two years of timing of 168 pulsars using the Parkes radio telescope. The vast majority of these pulsars have spin-down luminosities in excess of 10^34 erg/s and are prime target candidates to be detected in gamma-rays by the Fermi Gamma-Ray Space Telescope. We provide the ephemerides for the ten pulsars being timed at Parkes which have been detected by Fermi in its first year of operation. These ephemerides, in conjunction with the publicly available photon list, can be used to generate gamma-ray profiles from the Fermi archive. We will make the ephemerides of any pulsars of interest available to the community upon request. In addition to the timing ephemerides, we present the parameters for 14 glitches which have occurred in 13 pulsars, seven of which have no previously known glitch history. The Parkes timing programme, in conjunction with Fermi observations, is expected to continue for at least the next four years.Comment: Accepted for publication in PASA.12 page

    Infection-mediated priming of phagocytes protects against lethal secondary Aspergillus fumigatus challenge

    Get PDF
    Phagocytes restrict the germination of Aspergillus fumigatus conidia and prevent the establishment of invasive pulmonary aspergillosis in immunecompetent mice. Here we report that immunecompetent mice recovering from a primary A. fumigatus challenge are protected against a secondary lethal challenge. Using RAGÎłc knock-out mice we show that this protection is independent of T, B and NK cells. In protected mice, lung phagocytes are recruited more rapidly and are more efficient in conidial phagocytosis and killing. Protection was also associated with an enhanced expression of CXCR2 and Dectin-1 on bone marrow phagocytes. We also show that protective lung cytokine and chemokine responses are induced more rapidly and with enhanced dynamics in protected mice. Our findings support the hypothesis that following a first encounter with a non-lethal dose of A. fumigatus conidia, the innate immune system is primed and can mediate protection against a secondary lethal infection

    La collision hercynienne dans le Massif armoricain: mise en Ă©vidence d’une diffĂ©rentiation lithosphĂ©riqueĂ  partir de la tomographie et del’anisotropie sismiques

    Get PDF
    La chaĂźne hercynienne est un objet majeur en Europe. Elle rĂ©sulte de la collision de deux blocs continentaux durant le PalĂ©ozoĂŻque. Le Massif armoricain prĂ©sente l’intĂ©rĂȘt de n’avoir Ă©tĂ© affectĂ© par aucun Ă©vĂ©nement tectonique ou thermique majeur depuis la fin de la collision (≈ 260 Ma). Nous y avons donc l’opportunitĂ© d’étudier la structure profonde d’une ancienne chaĂźne de collision. Les principaux traits gĂ©ologiques du Massif armoricain sont les zones de cisaillement nord- et sud-armoricaines, orientĂ©e respectivement E-W et NW-SE. Elles sĂ©parent le massif en trois domaines : les domaines nord-, centre- et sud-armoricain. Dans le but d’étudier la structure profonde de cette rĂ©gion, des rĂ©seaux sismologiques temporaires ont Ă©tĂ© installĂ©s en 1997 et 1999 dans le cadre du volet sismologique du projet ARMOR2-GĂ©oFrance3D. Les stations temporaires, complĂ©tĂ©es par les sites permanents forment un rĂ©seau bidimensionnel dense de 80 stations couvrant une grande partie du Massif armoricain. Les donnĂ©es collectĂ©es durant ces expĂ©riences sont exploitĂ©es sous la forme d’un ensemble de temps d’arrivĂ©es d’ondes P et de formes d’ondes S tĂ©lĂ©sismiques. Les mĂ©thodes utilisĂ©es pour l’imagerie du manteau supĂ©rieur sous le Massif armoricain consistent en la modĂ©lisation des variations de vitesse des ondes P et de l’anisotropie sismique. La tomographie de vitesse sismique est probablement l’outil le plus performant pour Ă©tudier l’intĂ©rieur de la Terre. Elle fournit des images structurales des rĂ©gions Ă©tudiĂ©es sous la forme de perturbations de vitesse sismique qui reprĂ©sentent les effets de perturbations thermiques et/ou minĂ©ralogiques des milieux. Les Ă©tudes de laboratoire et les modĂ©lisations numĂ©riques montrent enfin que l’anisotropie sismique des roches du manteau supĂ©rieur reflĂštent l’orientation prĂ©fĂ©rentielle des rĂ©seaux cristallins des grains d’olivine, reprĂ©sentant elle-mĂȘme la fabrique tectonique de la roche, tĂ©moin des dĂ©formations passĂ©es, anciennes ou rĂ©centes. Un modĂšle de vitesse des ondes P a Ă©tĂ© calculĂ©, il procure les images des perturbations de vitesse jusqu’à la profondeur de 200 km. Dans la partie supĂ©rieure, jusqu’à 130 km, les images sont dominĂ©es par des vitesses Ă©levĂ©es dans les rĂ©gions de l’ouest du massif et par des vitesses faibles dans les rĂ©gions du sud et de l’est. Aucune structure superficielle n’est corrĂ©lĂ©e Ă  la frontiĂšre N-S entre les anomalies dans la partie centrale du Massif armoricain. Dans la partie infĂ©rieure du modĂšle (130-200 km), on observe un brusque changement de l’organisation de l’image. Les perturbations de vitesse sont organisĂ©es selon trois zones allongĂ©es d’orientation NW-SE. Le domaine central, caractĂ©risĂ© par des vitesses Ă©levĂ©es est sĂ©parĂ© du domaine sud par une limite dont la localisation et l’orientation correspondent Ă  celles de la Zone de cisaillement sud-armoricaine en surface. La limite nord du corps rapide central est localisĂ©e 50 Ă  70 km vers le nord et montre la mĂȘme orientation. A toutes les profondeurs, on observe que le sud du Cisaillement sud-armoricain,c’est-Ă -dire le domaine sud-armoricain, est caractĂ©risĂ© par des anomalies nĂ©gatives. Le Cisaillement nord-armoricain ne montre aucune corrĂ©lation avec le modĂšle de vitesse. Au contraire, l’anisotropie des ondes Pn est fortement corrĂ©lĂ©e Ă  la direction du Cisaillement sud-armoricain dans le sud du massif et Ă  la direction du Cisaillement nord-armoricain dans le nord du massif. Cette corrĂ©lation n’est pas observĂ©e pour les onde SKS qui montrent une direction rapide NW-SE Ă  travers tout le massif. Cependant, on distingue 2 groupes de mesures : au sud, le dĂ©lai moyen est de 1,25 s alors qu’au nord, il est de 0,8 s. En supposant un taux d’anisotropie de l’ordre de 3 %, ces valeurs correspondent Ă  des Ă©paisseurs de l’ordre de 120 et 80 km, respectivement. De plus, une modĂ©lisation tridimensionnelle de la birĂ©fringence des ondes S permet d’expliquer les donnĂ©es du nord du massif par un milieu Ă  symĂ©trie hexagonale dont le plan de symĂ©trie (la fabrique) est inclinĂ© vers le SW. Dans le sud du massif, un plan de symĂ©trie vertical satisfait les observations. Ces rĂ©sultats montrent que l’objet gĂ©ologique majeur de cette rĂ©gion est le Cisaillement sud-armoricain dont on peut suivre la trace depuis la croĂ»te jusqu’à la base du modĂšle Ă  200 km. Au contraire, le Cisaillement nord-armoricain semble affecter au plus le manteau sommital oĂč se propagent les ondes Pn. Les contrastes de vitesse sont assez Ă©levĂ©s : plus de 5 % sur des distances de l’ordre de 30 km. Ces perturbations de vitesse sont associĂ©es au dernier Ă©vĂ©nement tectonique majeur, la collision hercynienne qui s’est terminĂ©e il y a plus de 250 Ma. Dans ce cas, ces variations de vitesse sismique ne peuvent ĂȘtre expliquĂ©es exclusivement par des anomalies thermiques. Il est nĂ©cessaire de considĂ©rer une contribution minĂ©ralogique forte. Les images tomographiques et les mesures d’anisotropie sont interprĂ©tĂ©es comme la consĂ©quence d’un assemblage de deux lithosphĂšres dont les origines sont diffĂ©rentes. Dans le nord de la Bretagne, les perturbations mineures de la vitesse des ondes P, les dĂ©lais faibles et la structure inclinĂ©e de la fabrique lithosphĂ©rique caractĂ©risent une lithosphĂšre affectĂ©e par des Ă©vĂ©nements prĂ©-hercyniens, probablement liĂ©s Ă  l’orogĂšne Cadomien (650-540 Ma).Dans le centre et le sud de la Bretagne, l’image tomographique est interprĂ©tĂ©e comme la signature de la subduction Ă  vergence nord qui a eu lieu avant la collision continentale. Les vitesses sismiques Ă©levĂ©es reprĂ©sentent alors probablement un bloc de lithosphĂšre subductĂ©e. Enfin, l’anisotropie mesurĂ©e dans le sud du Massif armoricain est attribuĂ©e au rĂ©gime transpressif intense du CarbonifĂšre au niveau de la zone du Cisaillement sud-armoricain
    • 

    corecore