13 research outputs found

    Using interactive multimedia to document and communicate Inuit knowledge

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    Media technology has acted as both a threat to local knowledge and language, and a tool to strengthen it. More and more, indigenous peoples are using media for their own purposes from art to communication to education. Multimedia technology is surfacing as one useful tool in local knowledge and language revitalization efforts. Multimedia is being applied in a number of ways, preserving and passing on local knowledge and languages and showing potential for doing so in ways that engage young people and are more closely aligned with indigenous forms of teaching and learning. Discussing a case study example of one multimedia project in Nunavut, this paper evaluates multimedia in the context of documenting and communicating Inuit knowledge. Though there are challenges and issues to consider, multimedia and other technologies should be considered and creatively applied to help local people reach their goals. Texts and other forms of media remain important resources for documentation and communication in the North, but multimedia has the potential to grow into a key tool.La technologie des médias a agi à la fois comme menace contre le savoir local et les langues et comme un outil pour les renforcer. De plus en plus, les peuples autochtones emploient les médias à leurs propres fins que ce soit pour l’art, la communication ou l’éducation. La technologie des multimédias est appliquée de façons multiples, préservant et transmettant le savoir local et les langues, et montrant qu’elle peut le faire d’une façon qui attire les jeunes et qui est plus en phase avec les formes autochtones d’enseignement et d’apprentissage. En examinant un cas d’étude de projet multimédia au Nunavut, cet article évalue les multimédias dans le contexte de la documentation et de la transmission du savoir inuit. Bien qu’il y ait des défis et des problèmes à prendre en compte, le multimédia et les autres techniques devraient être considérés et appliqués de façon créative afin d’aider les populations locales à atteindre leurs buts. Les textes et les autres formes de médias demeurent des ressources importantes pour la documentation et la communication dans le Nord mais le multimédia a le potentiel de devenir un outil clef

    Challenges in Community-Research Relationships: Learning from Natural Science in Nunavut

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    The context and conduct of Arctic research are changing. In Nunavut, funding agencies, licensing bodies, and new regulatory agencies established under the Nunavut Land Claims Agreement require researchers to engage and consult with Inuit communities during all phases of research, to provide local training and other benefits, and to communicate project results effectively. Researchers are also increasingly expected to incorporate traditional knowledge into their work and to design studies that are relevant to local interests and needs. In this paper, we explore the challenges that researchers and communities experience in meeting these requirements by reviewing case studies of three natural science projects in Nunavut. Together, these projects exemplify both success and failure in negotiating research relationships. The case studies highlight three principal sources of researcher-community conflict: 1) debate surrounding acceptable impacts of research and the nature and extent of local benefits that research projects can and should provide; 2) uncertainty over who has the power and authority to dictate terms and conditions under which projects should be licensed; and 3) the appropriate research methodology and design to balance local expectations and research needs. The Nunavut research licensing process under the Scientists Act is an important opportunity for communities, scientists, and regulatory agencies to negotiate power relationships. However, the standards and procedures used to evaluate research impact remain unclear, as does the role of communities in the decision-making process for research licensing. The case studies also demonstrate the critical role of trust and rapport, forged through early and frequent communication, efforts to provide local training, and opportunities for community members to observe, participate in, and derive employment from project activities. Clarifying research policies in Nunavut is one step to improving relations between scientists and communities. In addition, steps need to be taken at both policy and project levels to train researchers, educate funding programs, mobilize institutions, and empower communities, thus strengthening the capacity of all stakeholders in northern research.Le contexte et la réalisation des travaux de recherche dans l’Arctique sont en pleine évolution. Au Nunavut, les organismes de financement, les organismes de délivrance de permis et de nouveaux organismes réglementaires mis sur pied en vertu de l’Entente sur la revendication territoriale du Nunavut exigent des chercheurs qu’ils recourent aux services des collectivités inuites et les consultent à toutes les étapes des travaux de recherche, qu’ils assurent la formation des personnes auxquelles ils font affaire et leurs fournissent d’autres avantages, puis qu’ils communiquent bien les résultats des projets réalisés. Par ailleurs, on s’attend de plus en plus à ce que les chercheurs intègrent les connaissances traditionnelles à leur travail et conçoivent des études qui se rapportent aux intérêts et aux besoins cernés dans la région. Dans ce document, nous nous penchons sur les défis que doivent relever les chercheurs et les collectivités pour répondre à ces exigences en nous appuyant sur les études de cas de trois projets en sciences naturelles réalisés au Nunavut. Ensemble, ces projets exemplifient tant la réussite que l’échec en matière de négociation de relations de recherche. Ces études de cas mettent en évidence trois sources principales de conflits entre les chercheurs et la collectivité : 1) le débat concernant les incidences acceptables de la recherche de même que la nature et l’étendue des avantages ressentis à l’échelle locale découlant ou susceptibles de découler des projets de recherche; 2) l’incertitude quant à savoir à qui revient le pouvoir et l’autorité de dicter les modalités en vertu desquelles les projets de recherche devraient se voir accorder un permis; et 3) le caractère adéquat de la méthodologie et de la conception de la recherche en matière d’équilibre des attentes des gens de la région et des besoins de la recherche. En vertu de la Loi sur les scientifiques, le processus de délivrance des permis de recherche au Nunavut constitue une manière importante pour les collectivités, les scientifiques et les organismes réglementaires de négocier des rapports de force. Cependant, les normes et les méthodes servant à évaluer les incidences des projets de recherche ne sont toujours pas claires, ce qui est également le cas du rôle des collectivités dans le processus de prise de décisions en matière de délivrance des permis de recherche. Les études de cas font également ressortir le rôle critique de la confiance et des relations, ceux-ci étant le résultat de communications qui se font fréquemment et sans tarder, d’efforts pour fournir de la formation à l’échelle locale et d’occasions, pour les membres de la collectivité, d’observer ce qui se passe, de participer et de se trouver du travail dans le cadre des activités de recherche. Au Nunavut, la clarification des politiques de recherche constitue une manière d’améliorer les relations entre les scientifiques et les collectivités. De plus, des mesures doivent être prises sur le plan des politiques et des projets pour former les chercheurs, sensibiliser les responsables des programmes de financement, mobiliser les établissements et habiliter les collectivités et ce, afin de renforcer la capacité de tous les intervenants touchés par les travaux de recherche dans le Nord

    Should we turn the tent? Inuit women and climate change

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    Most of the climate change literature for Arctic Canada in the social sciences has focused on men’s knowledge and experiences. Drawing on research from Qikiqtarjuaq and Clyde River, Nunavut, we explore Inuit women’s perspectives on recent environmental changes, many of which are often attributed to climate change by Inuit or others. We divide issues resulting from environmental change into primary and secondary effects. Primary effects are changes in environmental features that affect, for example, hunting, fishing, and travelling. Secondary effects occur in the community as a result of environmental change. These include changes in the use and condition of country products like seal skins, and the psychological and social impact of environmental changes, such as going out on the land less often due to fear of dangerous conditions. We also offer a preliminary discussion on women’s role in responses to climate change, through their often dominant economic and political roles in their communities, the territory, and various wider global governance fora. Our research indicates that gender helps shape Inuit knowledge of environmental change, as well as social responses to perceptions of change. By examining women’s perceptions of environmental change, we draw attention to the social aspects and also highlight how women can contribute to adaptation, not only to physical changes but also to the resulting social changes.La majeure partie des publications en sciences sociales sur le changement climatique dans l’Arctique canadien a mis l’accent sur les connaissances et les expériences des hommes. En nous appuyant sur des recherches faites à Qikiqtarjuaq et Clyde River, au Nunavut, nous explorons les perspectives des femmes inuit sur les récents changements environnementaux, dont plusieurs sont souvent attribués aux changements climatiques par les Inuit ou d'autres personnes. Nous séparons les enjeux résultant des changements environnementaux en effets primaires et secondaires. Les effets primaires sont des changements environnementaux qui touchent, par exemple, la chasse, la pêche et les voyages. Les effets secondaires se produisent dans la communauté à la suite des changements environnementaux. Ces derniers sont notamment des changements dans l'utilisation et l’état des produits dérivés de la chasse, comme les peaux de phoque, et l’impact psychologique et social des changements environnementaux, notamment la diminution des sorties en dehors de la communauté en raison de la crainte de conditions dangereuses. Nous offrons également une discussion préliminaire sur le rôle des femmes dans les réponses au changement climatique, à travers leurs rôles économiques et politiques souvent dominants dans leurs communautés, sur le territoire, et par le biais de divers forums de gouvernance mondiale. Nos recherches indiquent que le sexe des individus joue un rôle dans l’élaboration des connaissances des Inuit sur les changements environnementaux, ainsi que dans les réponses sociales à la perception du changement. L’examen des perceptions des femmes sur les changements environnementaux a attiré notre attention sur les aspects sociaux de cet enjeu et met également en évidence comment les femmes peuvent contribuer à l’adaptation, non seulement à des changements physiques, mais aussi aux changements sociaux qui en découlent

    Staying in place during times of change in Arctic Alaska: The implications of attachment,alternatives, and buffering

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    The relationship between stability and change in social-ecological systems has received considerable attention in recent years, including the expectation that significant environmental changes will drive observable consequences for individuals, communities, and populations. Migration, as one example of response to adverse economic or environmental changes, has been observed in many places, including parts of the Far North. In Arctic Alaska, a relative lack of demographic or migratory response to rapid environmental and other changes has been observed. To understand why Arctic Alaska appears different, we draw on the literature on environmentally driven migration, focusing on three mechanisms that could account for the lack of response: attachment, the desire to remain in place, or the inability to relocate successfully; alternatives, ways to achieve similar outcomes through different means; and buffering, the reliance on subsidies or use of reserves to delay impacts. Each explanation has different implications for research and policy, indicating a need to further explore the relative contribution that each makes to a given situation in order to develop more effective responses locally and regionally. Given that the Arctic is on the front lines of climate change, these explanations are likely relevant to the ways changes play out in other parts of the world. Our review also underscores the importance of further attention to the details of social dynamics in climate change impacts and responses

    Integrating Traditional and Scientific Knowledge through Collaborative Natural Science Field Research: Identifying Elements for Success

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    We discuss two recent projects to examine the role of collaborative environmental fieldwork both in research and in the interactions between academically trained researchers and experienced local residents. The Bidarki Project studied black leather chitons (Katharina tunicata) in the lower Kenai Peninsula, Alaska. Its conclusion that chiton declines are part of a serial decline of intertidal invertebrates drew on collaborative fieldwork, archaeological data, historical records, and interviews with local residents. The Siku-Inuit-Hila Project studied sea ice in Barrow, Alaska; Clyde River, Nunavut; and Qaanaaq, Greenland. Quantitative data from locally maintained observation sites were supplemented by knowledge exchanges among hunters from the communities and by discussion in local working groups to develop an understanding of the physical dynamics and human uses of sea ice at each locale. We conclude that careful planning and preparation, along with the effort to build strong personal relationships, can increase the likelihood that collaborative fieldwork will be productive, enjoyable, and rewarding.Nous discutons de deux récents projets ayant eu pour but d’examiner le rôle d’études environnementales collaboratives sur le terrain, tant sur le plan de la recherche que sur le plan des interactions entre les chercheurs universitaires et les résidents expérimentés des localités visées. Le projet Bidarki se penchait sur les chitons noirs (Katharina tunicata) de la basse péninsule Kenai, en Alaska. La conclusion selon laquelle le déclin des chitons fait partie d’un déclin en série d’invertébrés intertidaux s’appuie sur des études collaboratives sur le terrain, sur des données archéologiques, sur des dossiers historiques ainsi que sur des entrevues de résidents des localités. Pour sa part, le projet Siku-Inuit-Hila a eu comme objectif d’étudier la glace de mer à Barrow, en Alaska; à Clyde River, au Nunavut; et à Qaanaaq, au Groenland. Les données quantitatives provenant de lieux d’observation entretenus localement ont été supplémentées par les échanges de connaissances des chasseurs des collectivités et par les discussions de groupes de travail locaux visant à mieux comprendre la dynamique physique et l’utilisation humaine de la glace de mer à chaque endroit. Nous en concluons que des travaux de planification et de préparation attentionnés, accompagnés d’efforts visant à nouer des liens personnels étroits, peuvent accroître la possibilité que les études collaboratives sur le terrain soient productives, agréables et valorisantes

    The Contributions of Community-Based Monitoring and Traditional Knowledge to Arctic Observing Networks: Reflections on the State of the Field

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    Community-based monitoring (CBM) in the Arctic is gaining increasing support from a wide range of interested parties, including community members, scientists, government agencies, and funders. Through CBM initiatives, Arctic residents conduct or are involved in ongoing observing and monitoring activities. Arctic Indigenous peoples have been observing the environment for millennia, and CBM often incorporates traditional knowledge, which may be used independently from or in partnership with conventional scientific monitoring methods. Drawing on insights from the first Arctic Observing Summit, we provide an overview of the state of CBM in the Arctic. The CBM approach to monitoring is centered on community needs and interests. It offers fine-grained, local-scale data that are readily accessible to community and municipal decision makers. In spite of these advantages, CBM initiatives remain little documented and are often unconnected to wider networks, with the result that many practitioners lack a clear sense of the field and how best to support its growth and development. CBM initiatives are implemented within legal and governance frameworks that vary significantly both within and among different national contexts. Further documentation of differences and similarities among Arctic communities in relation to observing needs, interests, and legal and institutional capacities will help assess how CBM can contribute to Arctic observing networks. While CBM holds significant potential to meet observing needs of communities, more investment and experimentation are needed to determine how observations and data generated through CBM approaches might effectively inform decision making beyond the community level.Dans l’Arctique, la surveillance communautaire (SC) reçoit un appui de plus en plus grand de la part de nombreuses parties intéressées, dont les membres de la communauté, les scientifiques, les organismes gouvernementaux et les bailleurs de fonds. Dans le cadre des initiatives de SC, des habitants de l’Arctique effectuent des tâches permanentes d’observation et de surveillance ou participent à de telles tâches. Les peuples indigènes de l’Arctique observent l’environnement depuis des millénaires. Souvent, la SC fait appel aux connaissances traditionnelles, connaissances qui peuvent être employées seules ou conjointement avec les méthodes classiques de surveillance scientifique. Nous nous sommes appuyés sur les connaissances dérivées du premier sommet d’observation de l’Arctique pour donner un aperçu de l’état de la SC dans l’Arctique. La méthode de SC est centrée sur les besoins et les intérêts de la communauté. Elle permet d’obtenir des données à grain fin à l’échelle locale, données qui sont facilement accessibles par la communauté et les preneurs de décisions municipaux. Malgré ces avantages, il existe peu de documentation au sujet des initiatives de SC et souvent, ces initiatives ne sont pas rattachées aux grands réseaux, ce qui fait que bien des intervenants ne comprennent pas clairement ce qui se passe sur le terrain et ne savent pas vraiment comment appuyer la croissance et le développement de la surveillance communautaire. Les initiatives de SC respectent les cadres de référence nécessaires en matière de droit et de gouvernance, et ceux-ci varient considérablement au sein des contextes nationaux. L’enrichissement de la documentation en ce qui a trait aux différences et aux similitudes qui existent entre les communautés de l’Arctique en matière de besoins d’observation, d’intérêts et de capacités juridiques et institutionnelles aidera à déterminer en quoi la SC pourra jouer un rôle au sein des réseaux d’observation de l’Arctique. Bien que la SC ait la possibilité de jouer un rôle important dans les besoins d’observation des communautés, il y a lieu de faire plus d’investissements et d’expériences pour déterminer comment les observations et les données découlant des méthodes de SC pourront favoriser la prise de décisions au-delà des communautés

    Challenges in Community-Research Relationships: Learning from Natural Science in Nunavut

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    The context and conduct of Arctic research are changing. In Nunavut, funding agencies, licensing bodies, and new regulatory agencies established under the Nunavut Land Claims Agreement require researchers to engage and consult with Inuit communities during all phases of research, to provide local training and other benefits, and to communicate project results effectively. Researchers are also increasingly expected to incorporate traditional knowledge into their work and to design studies that are relevant to local interests and needs. In this paper, we explore the challenges that researchers and communities experience in meeting these requirements by reviewing case studies of three natural science projects in Nunavut. Together, these projects exemplify both success and failure in negotiating research relationships. The case studies highlight three principal sources of researcher-community conflict: 1) debate surrounding acceptable impacts of research and the nature and extent of local benefits that research projects can and should provide; 2) uncertainty over who has the power and authority to dictate terms and conditions under which projects should be licensed; and 3) the appropriate research methodology and design to balance local expectations and research needs. The Nunavut research licensing process under the Scientists Act is an important opportunity for communities, scientists, and regulatory agencies to negotiate power relationships. However, the standards and procedures used to evaluate research impact remain unclear, as does the role of communities in the decision-making process for research licensing. The case studies also demonstrate the critical role of trust and rapport, forged through early and frequent communication, efforts to provide local training, and opportunities for community members to observe, participate in, and derive employment from project activities. Clarifying research policies in Nunavut is one step to improving relations between scientists and communities. In addition, steps need to be taken at both policy and project levels to train researchers, educate funding programs, mobilize institutions, and empower communities, thus strengthening the capacity of all stakeholders in northern research.Le contexte et la réalisation des travaux de recherche dans l’Arctique sont en pleine évolution. Au Nunavut, les organismes de financement, les organismes de délivrance de permis et de nouveaux organismes réglementaires mis sur pied en vertu de l’Entente sur la revendication territoriale du Nunavut exigent des chercheurs qu’ils recourent aux services des collectivités inuites et les consultent à toutes les étapes des travaux de recherche, qu’ils assurent la formation des personnes auxquelles ils font affaire et leurs fournissent d’autres avantages, puis qu’ils communiquent bien les résultats des projets réalisés. Par ailleurs, on s’attend de plus en plus à ce que les chercheurs intègrent les connaissances traditionnelles à leur travail et conçoivent des études qui se rapportent aux intérêts et aux besoins cernés dans la région. Dans ce document, nous nous penchons sur les défis que doivent relever les chercheurs et les collectivités pour répondre à ces exigences en nous appuyant sur les études de cas de trois projets en sciences naturelles réalisés au Nunavut. Ensemble, ces projets exemplifient tant la réussite que l’échec en matière de négociation de relations de recherche. Ces études de cas mettent en évidence trois sources principales de conflits entre les chercheurs et la collectivité : 1) le débat concernant les incidences acceptables de la recherche de même que la nature et l’étendue des avantages ressentis à l’échelle locale découlant ou susceptibles de découler des projets de recherche; 2) l’incertitude quant à savoir à qui revient le pouvoir et l’autorité de dicter les modalités en vertu desquelles les projets de recherche devraient se voir accorder un permis; et 3) le caractère adéquat de la méthodologie et de la conception de la recherche en matière d’équilibre des attentes des gens de la région et des besoins de la recherche. En vertu de la Loi sur les scientifiques, le processus de délivrance des permis de recherche au Nunavut constitue une manière importante pour les collectivités, les scientifiques et les organismes réglementaires de négocier des rapports de force. Cependant, les normes et les méthodes servant à évaluer les incidences des projets de recherche ne sont toujours pas claires, ce qui est également le cas du rôle des collectivités dans le processus de prise de décisions en matière de délivrance des permis de recherche. Les études de cas font également ressortir le rôle critique de la confiance et des relations, ceux-ci étant le résultat de communications qui se font fréquemment et sans tarder, d’efforts pour fournir de la formation à l’échelle locale et d’occasions, pour les membres de la collectivité, d’observer ce qui se passe, de participer et de se trouver du travail dans le cadre des activités de recherche. Au Nunavut, la clarification des politiques de recherche constitue une manière d’améliorer les relations entre les scientifiques et les collectivités. De plus, des mesures doivent être prises sur le plan des politiques et des projets pour former les chercheurs, sensibiliser les responsables des programmes de financement, mobiliser les établissements et habiliter les collectivités et ce, afin de renforcer la capacité de tous les intervenants touchés par les travaux de recherche dans le Nord

    Collecting and Preserving Local and Traditional Climate Knowledge

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    <p>The Exchange for Local Observations and Knowledge of the Arctic (ELOKA) facilitates the collection, preservation, exchange, and use of local observations and knowledge of the Arctic. Local and Traditional Knowledge (LTK) provides rich information about the Arctic that complements data acquired via conventional quantitative data collection methods. ELOKA seeks to make LTK and community observations discoverable and accessible to community members, scientists, educators, policy makers, and the general public. </p

    Collecting and Preserving Local and Traditional Climate Knowledge

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    <p>The Exchange for Local Observations and Knowledge of the Arctic (ELOKA) facilitates the collection, preservation, exchange, and use of local observations and knowledge of the Arctic. Local and Traditional Knowledge (LTK) provides rich information about the Arctic that complements data acquired via conventional quantitative data collection methods. ELOKA seeks to make LTK and community observations discoverable and accessible to community members, scientists, educators, policy makers, and the general public. </p
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