223 research outputs found

    Passive stiffness of rat skeletal muscle undernourished during fetal development

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    OBJECTIVES: The aim of the study was to investigate the effect of fetal undernutrition on the passive mechanical properties of skeletal muscle of weaned and young adult rats. INTRODUCTION: A poor nutrition supply during fetal development affects physiological functions of the fetus. From a mechanical point of view, skeletal muscle can be also characterized by its resistance to passive stretch. METHODS: Male Wistar rats were divided into two groups according to their mother's diet during pregnancy: a control group (mothers fed a 17% protein diet) and an isocaloric low-protein group (mothers fed a 7.8% protein diet). At birth, all mothers received a standardized meal ad libitum. At the age of 25 and 90 days, the soleus muscle and extensor digitorum longus (EDL) muscles were removed in order to test the passive mechanical properties. A first mechanical test consisted of an incremental stepwise extension test using fast velocity stretching (500 mm/s) enabling us to measure, for each extension stepwise, the dynamic stress (σd) and the steady stress (σs). A second test consisted of a slow velocity stretch in order to calculate normalized stiffness and tangent modulus from the stress-strain relationship. RESULTS: The results for the mechanical properties showed an important increase in passive stiffness in both the soleus and EDL muscles in weaned rat. In contrast, no modification was observed in young adult rats. CONCLUSIONS: The increase in passive stiffness in skeletal muscle of weaned rat submitted to intrauterine undernutrition it is most likely due to changes in muscle passive stiffness

    Photodissociation of protonated Leucine-Enkephalin peptide in the VUV range

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    We present results of VUV action spectroscopy of gas-phase protonated Leucin-Enkephalin peptide. The experiment has been performed by coupling a linear quadrupole ion trap with a synchrotron radiation VUV beamline

    A Mouse Model of Pulmonary Metastasis from Spontaneous Osteosarcoma Monitored In Vivo by Luciferase Imaging

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    BACKGROUND: Osteosarcoma (OSA) is lethal when metastatic after chemotherapy and/or surgical treatment. Thus animal models are necessary to study the OSA metastatic spread and to validate novel therapies able to control the systemic disease. We report the development of a syngeneic (Balb/c) murine OSA model, using a cell line derived from a spontaneous murine tumor. METHODOLOGY: The tumorigenic and metastatic ability of OSA cell lines were assayed after orthotopic injection in mice distal femur. Expression profiling was carried out to characterize the parental and metastatic cell lines. Cells from metastases were propagated and engineered to express Luciferase, in order to follow metastases in vivo. PRINCIPAL FINDINGS: Luciferase bioluminescence allowed to monitor the primary tumor growth and revealed the appearance of spontaneous pulmonary metastases. In vivo assays showed that metastasis is a stable property of metastatic OSA cell lines after both propagation in culture and luciferase trasduction. When compared to parental cell line, both unmodified and genetically marked metastatic cells, showed comparable and stable differential expression of the enpp4, pfn2 and prkcd genes, already associated to the metastatic phenotype in human cancer. CONCLUSIONS: This OSA animal model faithfully recapitulates some of the most important features of the human malignancy, such as lung metastatization. Moreover, the non-invasive imaging allows monitoring the tumor progression in living mice. A great asset of this model is the metastatic phenotype, which is a stable property, not modifiable after genetic manipulation

    Oral molecular mechanisms and flavor perception

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    International audienc

    Ne dites plus goût, mais flaveur

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    Portail Actus 2/08/2013Quoi de plus direct, plus immédiat qu’une saveur ou un arôme ? Pourtant, le goût est un ensemble de sensations extrêmement complexe : lorsqu’un aliment est introduit dans la bouche, c’est toute une cascade de réactions chimiques et de réponses nerveuses qui se déclenche. Mieux les connaître, c’est mieux en profiter

    La sensation d'astringence, une histoire de protéines: Communiqué de presse mis en ligne sur le site inra.fr le 5 février 2018

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    Composante de la perception organoleptique de certains aliments, l’astringence laisse en bouche une sensation de sécheresse et d’âpreté dont la raison n’est pas totalement comprise. Des chercheurs de l’Inra et de l’Université Bourgogne Franche-Comté ont montré que des molécules produites par les plantes, les tanins, agissent au niveau de la pellicule mucosale qui recouvre les cellules épithéliales buccales en lui faisant perdre ses capacités de lubrification. Des protéines salivaires, les protéines riches en proline, joueraient un rôle de protection de la muqueuse. Ces résultats sont publiés le 03 février dans la revue Food Chemistry. Coing, vin rouge ou thé… autant de produits d’origine végétale qui, lorsqu’on les ingère, donnent l’impression que l’intérieur de notre bouche s’assèche et devient rugueux, c’est l’astringence. Importante pour la perception organoleptique des aliments mais encore mal comprise, cette sensation trouve son origine dans l’interaction entre des molécules produites par les plantes, les tanins et des protéines de la salive. Des chercheurs de l’Inra en ont exploré plus avant les mécanismes oraux. A l’aide d’un modèle in vitro de muqueuse orale, constituée de cellules épithéliales surmontées d’une couche de protéines salivaires ancrées à leur surface - la pellicule mucosale, des chercheurs de l’Inra et de l’Université Bourgogne Franche-Comté ont observé que l’ajout de tanins modèles - Epigallocatéchine, EgC et Epigallocatéchine gallate, EgCG - à la surface de la pellicule mucosale entraine une modification de sa structure. MUC5B, des protéines qui s’agrègent avec les tanins Lorsque la concentration de tanins est de 0.5 mM et 1mM, des agrégats, observables en microscopie électronique à balayage, se forment entre les tanins et les protéines salivaires de la pellicule mucosale, dont MUC5B, tandis que le réseau des protéines salivaires est altéré. Si la taille de ces agrégats augmente avec la concentration en tanins, ce phénomène est plus prononcé avec EgCG qu’avec EgC, du fait de la présence d’un groupement galloyl qui pourrait représenter un site supplémentaire d’interaction avec les protéines salivaires. De surcroît, la présence d’EgCG (1 mM et 3 mM) entraine une augmentation des forces de friction à la surface des cellules épithéliales. Lorsque la concentration en tanins se situe en deçà du seuil de détection de l’astringence des tanins (0,05 mM), la distribution des protéines salivaire à la surface de la muqueuse orale modèle n’est pas affectée. PRP, des protéines salivaires qui protègent contre les effets des tanins Les scientifiques se sont également intéressé au rôle des protéines salivaires riches en proline (en anglais, proline-rich proteins ou PRP), dont la présence dans la salive des mammifères est liée à la consommation de tanins. Ils ont mis en évidence que la présence de ces protéines réduit significativement les changements de structure qui affectent la pellicule mucosale en présence de tanins. Les PRP salivaires joueraient ainsi un rôle de protection de la muqueuse orale. Cette étude apporte une avancée majeure dans l’élucidation des mécanismes sous-tendant la sensation d’astringence. Elle révèle que les tanins agissent directement au niveau de la pellicule mucosale recouvrant les cellules épithéliales buccales en lui faisant perdre ses capacités de lubrification, ce qui entraine une augmentation des forces de friction à la surface de la muqueuse orale. Ce phénomène intervient dans la sensation de sécheresse et de rugosité buccale typique de l’astringence. Les protéines riches en proline de la salive auraient ainsi un effet protecteur contre l’altération structurale induite par les tanins qu’elles piègeraient (avant leur passage dans le système digestif). L’ensemble des mécanismes contribue à la perception de la sensation d’astringence qui diffère toutefois entre les individus, dépendant notamment des concentrations de protéines riches en proline, dans la salive. [u]REFERENCE[/u] Mechanisms of astringency: Structural alteration of the oral mucosal pellicle by dietary tannins and protective effect ofbPRPs. Sarah Ployon, Martine Morzel, Christine Belloir, Aline Bonnotte, Eric Bourillot, Loïc Briand, Eric Lesniewska, Jeannine Lherminier, Ece Aybeke, Francis Canon. Food Chemistry. 253: 79. Available on line 3 february 2018. https://doi.org/10.1016/j.foodchem.2018.01.141</em

    Impact of oral molecular mechanisms involving salivary proteins on flavor perception

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