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    Mononucléose infectieuse sévère de l'adulte immunocompétent (facteurs pronostiques)

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    LE KREMLIN-B.- PARIS 11-BU Méd (940432101) / SudocPARIS-Bib. Serv.Santé Armées (751055204) / SudocSudocFranceF

    Avis relatif à la conduite à tenir pour les cas confirmés d’infection àMonkeypox virus (MPXV) à risque de forme grave et pour lespersonnes contacts à risque d’infection par MPXV: AVIS du HCSP

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    AvisEn complément de son avis du 24 mai 2022, le Haut Conseil de la santé publique recommande, s’agissant des personnes à risque de formes graves d’infection à Monkeypox virus (MPXV) cas confirmés ou contact à risque d’infection :L’hospitalisation des personnes présentant une forme grave de MPXVPour les personnes présentant une forme bénigne d’infection à MPXV : L’isolement à domicile est recommandé lorsque l’évaluation du patient a permis de statuer que cette mesure était adaptée, cet isolement doit être maintenu jusqu’à guérison (disparition des lésions cutanées). La surveillance des signes cliniques (température, état cutané) peut être passive, réalisée par le patient lui-même en l’absence de facteurs de risque de forme grave (immunodépression, grossesse, enfance) avec un appel au minimum hebdomadaire de l’agence régionale de santé (ARS). Un numéro de téléphone sera indiqué au patient pour appel en cas d’aggravation des symptômes. En présence de facteurs de risque de formes grave, cette surveillance sera active par une équipe médicale dédiée (sous la coordination de l’ARS) en utilisant la télémédecine, des appels téléphoniques pluri hebdomadaires ou des visites à domicile. Si les conditions ne sont pas réunies au maintien à domicile, une surveillance en structure ad hoc voire en hospitalisation transitoire pour les patients avec des facteurs de risque de forme grave peut être envisagée.Pour les contacts d’un cas d’infection à MPXV, une évaluation doit être menée afin de quantifier le risque de contamination. Les contacts ne doivent pas être placés en éviction ; leur vaccination doit être discutée (recommandations HAS). Le HCSP recommande que les personnes contacts ne présentant pas de risque de forme grave réalisent une auto-surveillance (apparition de signes cliniques) pendant les 21 jours suivant leur dernier contact. Le HCSP recommande que les personnes contacts à risque de forme grave soient écartées du domicile, pour ces dernières la surveillance doit être réalisée par une équipe médicale dédiée, sous la coordination de l’ARS.Le HCSP précise également la conduite à tenir pour cas d’infections à MPXV survenant en collectivités d’enfants et d’adultes

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    AvisEn complément de son avis du 24 mai 2022, le Haut Conseil de la santé publique recommande, s’agissant des personnes à risque de formes graves d’infection à Monkeypox virus (MPXV) cas confirmés ou contact à risque d’infection :L’hospitalisation des personnes présentant une forme grave de MPXVPour les personnes présentant une forme bénigne d’infection à MPXV : L’isolement à domicile est recommandé lorsque l’évaluation du patient a permis de statuer que cette mesure était adaptée, cet isolement doit être maintenu jusqu’à guérison (disparition des lésions cutanées). La surveillance des signes cliniques (température, état cutané) peut être passive, réalisée par le patient lui-même en l’absence de facteurs de risque de forme grave (immunodépression, grossesse, enfance) avec un appel au minimum hebdomadaire de l’agence régionale de santé (ARS). Un numéro de téléphone sera indiqué au patient pour appel en cas d’aggravation des symptômes. En présence de facteurs de risque de formes grave, cette surveillance sera active par une équipe médicale dédiée (sous la coordination de l’ARS) en utilisant la télémédecine, des appels téléphoniques pluri hebdomadaires ou des visites à domicile. Si les conditions ne sont pas réunies au maintien à domicile, une surveillance en structure ad hoc voire en hospitalisation transitoire pour les patients avec des facteurs de risque de forme grave peut être envisagée.Pour les contacts d’un cas d’infection à MPXV, une évaluation doit être menée afin de quantifier le risque de contamination. Les contacts ne doivent pas être placés en éviction ; leur vaccination doit être discutée (recommandations HAS). Le HCSP recommande que les personnes contacts ne présentant pas de risque de forme grave réalisent une auto-surveillance (apparition de signes cliniques) pendant les 21 jours suivant leur dernier contact. Le HCSP recommande que les personnes contacts à risque de forme grave soient écartées du domicile, pour ces dernières la surveillance doit être réalisée par une équipe médicale dédiée, sous la coordination de l’ARS.Le HCSP précise également la conduite à tenir pour cas d’infections à MPXV survenant en collectivités d’enfants et d’adultes

    Avis relatif à la conduite à tenir pour les cas confirmés d’infection àMonkeypox virus (MPXV) à risque de forme grave et pour lespersonnes contacts à risque d’infection par MPXV: AVIS du HCSP

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    AvisEn complément de son avis du 24 mai 2022, le Haut Conseil de la santé publique recommande, s’agissant des personnes à risque de formes graves d’infection à Monkeypox virus (MPXV) cas confirmés ou contact à risque d’infection :L’hospitalisation des personnes présentant une forme grave de MPXVPour les personnes présentant une forme bénigne d’infection à MPXV : L’isolement à domicile est recommandé lorsque l’évaluation du patient a permis de statuer que cette mesure était adaptée, cet isolement doit être maintenu jusqu’à guérison (disparition des lésions cutanées). La surveillance des signes cliniques (température, état cutané) peut être passive, réalisée par le patient lui-même en l’absence de facteurs de risque de forme grave (immunodépression, grossesse, enfance) avec un appel au minimum hebdomadaire de l’agence régionale de santé (ARS). Un numéro de téléphone sera indiqué au patient pour appel en cas d’aggravation des symptômes. En présence de facteurs de risque de formes grave, cette surveillance sera active par une équipe médicale dédiée (sous la coordination de l’ARS) en utilisant la télémédecine, des appels téléphoniques pluri hebdomadaires ou des visites à domicile. Si les conditions ne sont pas réunies au maintien à domicile, une surveillance en structure ad hoc voire en hospitalisation transitoire pour les patients avec des facteurs de risque de forme grave peut être envisagée.Pour les contacts d’un cas d’infection à MPXV, une évaluation doit être menée afin de quantifier le risque de contamination. Les contacts ne doivent pas être placés en éviction ; leur vaccination doit être discutée (recommandations HAS). Le HCSP recommande que les personnes contacts ne présentant pas de risque de forme grave réalisent une auto-surveillance (apparition de signes cliniques) pendant les 21 jours suivant leur dernier contact. Le HCSP recommande que les personnes contacts à risque de forme grave soient écartées du domicile, pour ces dernières la surveillance doit être réalisée par une équipe médicale dédiée, sous la coordination de l’ARS.Le HCSP précise également la conduite à tenir pour cas d’infections à MPXV survenant en collectivités d’enfants et d’adultes

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    AvisEn complément de son avis du 24 mai 2022, le Haut Conseil de la santé publique recommande, s’agissant des personnes à risque de formes graves d’infection à Monkeypox virus (MPXV) cas confirmés ou contact à risque d’infection :L’hospitalisation des personnes présentant une forme grave de MPXVPour les personnes présentant une forme bénigne d’infection à MPXV : L’isolement à domicile est recommandé lorsque l’évaluation du patient a permis de statuer que cette mesure était adaptée, cet isolement doit être maintenu jusqu’à guérison (disparition des lésions cutanées). La surveillance des signes cliniques (température, état cutané) peut être passive, réalisée par le patient lui-même en l’absence de facteurs de risque de forme grave (immunodépression, grossesse, enfance) avec un appel au minimum hebdomadaire de l’agence régionale de santé (ARS). Un numéro de téléphone sera indiqué au patient pour appel en cas d’aggravation des symptômes. En présence de facteurs de risque de formes grave, cette surveillance sera active par une équipe médicale dédiée (sous la coordination de l’ARS) en utilisant la télémédecine, des appels téléphoniques pluri hebdomadaires ou des visites à domicile. Si les conditions ne sont pas réunies au maintien à domicile, une surveillance en structure ad hoc voire en hospitalisation transitoire pour les patients avec des facteurs de risque de forme grave peut être envisagée.Pour les contacts d’un cas d’infection à MPXV, une évaluation doit être menée afin de quantifier le risque de contamination. Les contacts ne doivent pas être placés en éviction ; leur vaccination doit être discutée (recommandations HAS). Le HCSP recommande que les personnes contacts ne présentant pas de risque de forme grave réalisent une auto-surveillance (apparition de signes cliniques) pendant les 21 jours suivant leur dernier contact. Le HCSP recommande que les personnes contacts à risque de forme grave soient écartées du domicile, pour ces dernières la surveillance doit être réalisée par une équipe médicale dédiée, sous la coordination de l’ARS.Le HCSP précise également la conduite à tenir pour cas d’infections à MPXV survenant en collectivités d’enfants et d’adultes

    Avis relatif à la conduite à tenir pour les cas confirmés d’infection àMonkeypox virus (MPXV) à risque de forme grave et pour lespersonnes contacts à risque d’infection par MPXV: AVIS du HCSP

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    AvisEn complément de son avis du 24 mai 2022, le Haut Conseil de la santé publique recommande, s’agissant des personnes à risque de formes graves d’infection à Monkeypox virus (MPXV) cas confirmés ou contact à risque d’infection :L’hospitalisation des personnes présentant une forme grave de MPXVPour les personnes présentant une forme bénigne d’infection à MPXV : L’isolement à domicile est recommandé lorsque l’évaluation du patient a permis de statuer que cette mesure était adaptée, cet isolement doit être maintenu jusqu’à guérison (disparition des lésions cutanées). La surveillance des signes cliniques (température, état cutané) peut être passive, réalisée par le patient lui-même en l’absence de facteurs de risque de forme grave (immunodépression, grossesse, enfance) avec un appel au minimum hebdomadaire de l’agence régionale de santé (ARS). Un numéro de téléphone sera indiqué au patient pour appel en cas d’aggravation des symptômes. En présence de facteurs de risque de formes grave, cette surveillance sera active par une équipe médicale dédiée (sous la coordination de l’ARS) en utilisant la télémédecine, des appels téléphoniques pluri hebdomadaires ou des visites à domicile. Si les conditions ne sont pas réunies au maintien à domicile, une surveillance en structure ad hoc voire en hospitalisation transitoire pour les patients avec des facteurs de risque de forme grave peut être envisagée.Pour les contacts d’un cas d’infection à MPXV, une évaluation doit être menée afin de quantifier le risque de contamination. Les contacts ne doivent pas être placés en éviction ; leur vaccination doit être discutée (recommandations HAS). Le HCSP recommande que les personnes contacts ne présentant pas de risque de forme grave réalisent une auto-surveillance (apparition de signes cliniques) pendant les 21 jours suivant leur dernier contact. Le HCSP recommande que les personnes contacts à risque de forme grave soient écartées du domicile, pour ces dernières la surveillance doit être réalisée par une équipe médicale dédiée, sous la coordination de l’ARS.Le HCSP précise également la conduite à tenir pour cas d’infections à MPXV survenant en collectivités d’enfants et d’adultes

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    AvisEn complément de son avis du 24 mai 2022, le Haut Conseil de la santé publique recommande, s’agissant des personnes à risque de formes graves d’infection à Monkeypox virus (MPXV) cas confirmés ou contact à risque d’infection :L’hospitalisation des personnes présentant une forme grave de MPXVPour les personnes présentant une forme bénigne d’infection à MPXV : L’isolement à domicile est recommandé lorsque l’évaluation du patient a permis de statuer que cette mesure était adaptée, cet isolement doit être maintenu jusqu’à guérison (disparition des lésions cutanées). La surveillance des signes cliniques (température, état cutané) peut être passive, réalisée par le patient lui-même en l’absence de facteurs de risque de forme grave (immunodépression, grossesse, enfance) avec un appel au minimum hebdomadaire de l’agence régionale de santé (ARS). Un numéro de téléphone sera indiqué au patient pour appel en cas d’aggravation des symptômes. En présence de facteurs de risque de formes grave, cette surveillance sera active par une équipe médicale dédiée (sous la coordination de l’ARS) en utilisant la télémédecine, des appels téléphoniques pluri hebdomadaires ou des visites à domicile. Si les conditions ne sont pas réunies au maintien à domicile, une surveillance en structure ad hoc voire en hospitalisation transitoire pour les patients avec des facteurs de risque de forme grave peut être envisagée.Pour les contacts d’un cas d’infection à MPXV, une évaluation doit être menée afin de quantifier le risque de contamination. Les contacts ne doivent pas être placés en éviction ; leur vaccination doit être discutée (recommandations HAS). Le HCSP recommande que les personnes contacts ne présentant pas de risque de forme grave réalisent une auto-surveillance (apparition de signes cliniques) pendant les 21 jours suivant leur dernier contact. Le HCSP recommande que les personnes contacts à risque de forme grave soient écartées du domicile, pour ces dernières la surveillance doit être réalisée par une équipe médicale dédiée, sous la coordination de l’ARS.Le HCSP précise également la conduite à tenir pour cas d’infections à MPXV survenant en collectivités d’enfants et d’adultes

    Potent human broadly SARS-CoV-2–neutralizing IgA and IgG antibodies effective against Omicron BA.1 and BA.2

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    International audienceMemory B-cell and antibody responses to the SARS-CoV-2 spike protein contribute to long-term immune protection against severe COVID-19, which can also be prevented by antibody-based interventions. Here, wide SARS-CoV-2 immunoprofiling in Wuhan COVID-19 convalescents combining serological, cellular, and monoclonal antibody explorations revealed humoral immunity coordination. Detailed characterization of a hundred SARS-CoV-2 spike memory B-cell monoclonal antibodies uncovered diversity in their repertoire and antiviral functions. The latter were influenced by the targeted spike region with strong Fc-dependent effectors to the S2 subunit and potent neutralizers to the receptor-binding domain. Amongst those, Cv2.1169 and Cv2.3194 antibodies cross-neutralized SARS-CoV-2 variants of concern, including Omicron BA.1 and BA.2. Cv2.1169, isolated from a mucosa-derived IgA memory B cell demonstrated potency boost as IgA dimers and therapeutic efficacy as IgG antibodies in animal models. Structural data provided mechanistic clues to Cv2.1169 potency and breadth. Thus, potent broadly neutralizing IgA antibodies elicited in mucosal tissues can stem SARS-CoV-2 infection, and Cv2.1169 and Cv2.3194 are prime candidates for COVID-19 prevention and treatment

    Cardiac Adverse Events and Remdesivir in Hospitalized Patients with Coronavirus Disease 2019 (COVID-19): A Post Hoc Safety Analysis of the Randomized DisCoVeRy Trial

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    International audienceBackground We aimed to evaluate the cardiac adverse events (AEs) in hospitalized patients with Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) receiving remdesivir plus standard of care (SoC) compared to SoC alone (control), as an association was noted in some cohort studies and disproportionality analyses of safety databases. Methods This post-hoc safety analysis is based on data from the multicenter, randomized, open-label, controlled DisCoVeRy trial in hospitalized patients with COVID-19 (NCT04315948). Any first AE occurring between randomization and day 29 in the modified intention-to-treat (mITT) population randomized to either remdesivir or control group was considered. Analysis was performed using Kaplan-Meier survival curves and Kaplan-Meier estimates were calculated for event rates. Results Cardiac AEs were reported in 46 (11.2%) of 410 and 48 (11.3%) of 423 patients in the mITT population (n = 833) enrolled in the remdesivir and control groups, respectively. The difference between both groups was not significant (HR 1.0, 95% CI 0.7-1.5, p = 0.98), even when evaluating serious and non-serious cardiac AEs separately. The majority of reports in both groups were of arrhythmic nature (remdesivir, 84.8%; control, 83.3%) and were associated with a favorable outcome. There was no significant difference between remdesivir and control groups in the occurrence of different cardiac AE subclasses, including arrhythmic events (HR 1.1, 95% CI: 0.7-1.7, p = 0.68). Conclusions Remdesivir treatment was not associated with an increased risk of cardiac AEs, whether serious or not, and regardless of AE severity, compared to control, in patients hospitalized with moderate or severe COVID-19. This is consistent with the results of other randomized controlled trials and meta-analyses
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