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L'Escola i la naciĂł
Els dies 21 i 22 d'octubre de 2010 es va realitzar a la Universitat Autònoma de Barcelona la segona sessió del Seminari Internacional "L'École et la Nation", organitzada per l'Institut National de Recherche Pédagogique (INRP) i la unitat departamental de Didà ctica de les Ciències Socials de la Universitat Autònoma de Barcelon
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and by ERC (CoG 101001038)Peer reviewe
Les oppositions aux réformes éducatives de l'après-Mai 1968
Cet article est une introduction au dossier sur les résistances aux réformes éducatives de l’après-Mai 1968. En dépit de la profusion des publications concernant le moment 1968, peu d’études se sont intéressées aux acteurs et aux mouvements s’étant montrés hostiles à ces ces réformes, voire franchement opposés. Les réformateurs ont bien davantage retenu l’attention des chercheurs. Ce déséquilibre historiographique a pour effet de limiter la compréhension de l’action gouvernementale : en effet, les gouvernements successifs ont dû choisir de prendre ou non en considération l’influence de ces hommes et de ces groupements. Surtout, ce déséquilibre historiographique s’est souvent accompagné d’une vision simpliste rangeant sans distinction dans la même mouvance tous les mouvements réputés « conservateurs ». Les résistances aux réformes éducatives ont pourtant été de nature diverse, et l’extrême gauche a elle aussi été concernée. Aussi bien la période a-t-elle été marquée par un fort entremêlement entre d’une part les questions pédagogiques et universitaires et d’autre part les questions politiques – un entremêlement qui a d’ailleurs contribué à faire oublier que la plupart des réformes proposées après Mai-juin 1968 avaient été préparées avant. Au demeurant, Mai-juin 1968 continue aujourd’hui d’être considéré par certains comme un moment de rupture expliquant les maux dont souffrirait l’école française. [Premier paragraphe
Les oppositions aux réformes éducatives de l'après-Mai 1968
Cet article est une introduction au dossier sur les résistances aux réformes éducatives de l’après-Mai 1968. En dépit de la profusion des publications concernant le moment 1968, peu d’études se sont intéressées aux acteurs et aux mouvements s’étant montrés hostiles à ces ces réformes, voire franchement opposés. Les réformateurs ont bien davantage retenu l’attention des chercheurs. Ce déséquilibre historiographique a pour effet de limiter la compréhension de l’action gouvernementale : en effet, les gouvernements successifs ont dû choisir de prendre ou non en considération l’influence de ces hommes et de ces groupements. Surtout, ce déséquilibre historiographique s’est souvent accompagné d’une vision simpliste rangeant sans distinction dans la même mouvance tous les mouvements réputés « conservateurs ». Les résistances aux réformes éducatives ont pourtant été de nature diverse, et l’extrême gauche a elle aussi été concernée. Aussi bien la période a-t-elle été marquée par un fort entremêlement entre d’une part les questions pédagogiques et universitaires et d’autre part les questions politiques – un entremêlement qui a d’ailleurs contribué à faire oublier que la plupart des réformes proposées après Mai-juin 1968 avaient été préparées avant. Au demeurant, Mai-juin 1968 continue aujourd’hui d’être considéré par certains comme un moment de rupture expliquant les maux dont souffrirait l’école française. [Premier paragraphe
Les oppositions aux réformes éducatives de l'après-Mai 1968
Cet article est une introduction au dossier sur les résistances aux réformes éducatives de l’après-Mai 1968. En dépit de la profusion des publications concernant le moment 1968, peu d’études se sont intéressées aux acteurs et aux mouvements s’étant montrés hostiles à ces ces réformes, voire franchement opposés. Les réformateurs ont bien davantage retenu l’attention des chercheurs. Ce déséquilibre historiographique a pour effet de limiter la compréhension de l’action gouvernementale : en effet, les gouvernements successifs ont dû choisir de prendre ou non en considération l’influence de ces hommes et de ces groupements. Surtout, ce déséquilibre historiographique s’est souvent accompagné d’une vision simpliste rangeant sans distinction dans la même mouvance tous les mouvements réputés « conservateurs ». Les résistances aux réformes éducatives ont pourtant été de nature diverse, et l’extrême gauche a elle aussi été concernée. Aussi bien la période a-t-elle été marquée par un fort entremêlement entre d’une part les questions pédagogiques et universitaires et d’autre part les questions politiques – un entremêlement qui a d’ailleurs contribué à faire oublier que la plupart des réformes proposées après Mai-juin 1968 avaient été préparées avant. Au demeurant, Mai-juin 1968 continue aujourd’hui d’être considéré par certains comme un moment de rupture expliquant les maux dont souffrirait l’école française. [Premier paragraphe
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