17 research outputs found

    Single-mode cavities at frequencies of 172 and 178 MHz

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    In the report presented here the projects of two accelerating cavities with strong damping of higher modes (HOM) with special vacuum loads are presented. The designs of the cavities and loads are described. The design parameters of cavities, their spectra of higher modes and calculation results of the beam phase motion stability are given for the VEPP-2000 and NANOHANA Projects

    Les adénomes hypophysaires cliniquement non-fonctionnels : peuvent-ils etre diagnostiques plus tot ?

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    Introduction Les adénomes pituitaires « silencieux » n\'entraînent pas de tableau en rapport avec une hypersécrétion hormonale. Ils posent un problème de diagnostic tardif au stade des complications comprimant les voies visuelles. Le but de ce travail est de permettre un diagnostic précoce en dégageant un profil clinique et biologique de ces adenomes. Matériels et méthodes 44 dossiers de malades opérés entre 1994 et 2005, tous des macroadénomes de plusieurs types histochimiques, ont été analysés au plan clinique : Le sexe, le status gynéco-obstétrique, l\'âge, le délai diagnostic, les circonstances de découverte, le tableau clinique ont été notés. Le dosage de base des gonadotrophines ainsi que les tests dynamiques aux GnRH et TRH ont ete etudies separement chez les hommes, les femmes menopausees, et celles en periode d\'activite genitale. L\'anatomopathologie et l\'immunohistochimie ont ete realisees. La loi des moyennes a été utilisée Résultats 28 hommes (63,6%) et 16 femmes (36,4%) dont 10 ménopausées. L\'âge moyen était de 58 ans et demi, le délai diagnostic moyen était de 9 mois et demi. Le syndrome tumoral était au premier plan (86,4%) avec des troubles visuels dans tous les cas (100%), dominés par les anomalies campimétriques. Les signes cliniques d\'hypopituitarisme (41%) qui sont en rapport avec la compression/destruction de l\'hypophyse saine par la tumeur predominaient sur ceux d\'hypersécrétion de gonadotrophines (9,1%) vus essentiellement dans les adénomes gonadotropes. Le bilan hypophysaire montrait des insuffisances antehypophysaires (IAH) chez plus de 60% des patients, surtout gonadotropes, dans tous les groupes. L\'hyperprolactinemie variait de 41 a 89% mais toujours inferieure a 150 ng/ml. A l\'immunohistochimie les adenomes gonadotropes etaient les plus nombreux (81,8%) suivis des non-secretants vrais (11%), des corticotropes (4,5%) et d\'un plurisecretant (2,3%) Conclusion Le tableau clinique évocateur est exceptionnel ; il faut donc, par une analyse plus fine, retrouver ces signes au début, qui sont pourtant perçus à posteriori à l\'interrogatoire, par un examen rigoureux et faire ainsi realiser un bilan hypophysaire qui montrerait une IAH gonadotrope et une hyperprolactinemie moderee. Le dosage des sous-unites α et β devra etre realise. Les tests dynamiques et de freinage devront etre faits exceptionellement en cas de doute, voire supprimes. L\'interprétation reste cependant difficile chez la femme ménopausée. Introduction Clinically silent pituitary adenomas are not diagnosed because of hormonal hypersecretion. They are detected late when the optic pathway is compressed. The objective of this work is to define clinical and biological profile which will allow an early diagnosis. Material and methods 44 files of patients operated on between 1994 and 2005 were analyzed. They all had macroadenomas of different histochemical types. Sex, gynecological and obstetrical history, age, delay before diagnosis, circumstances of diagnosis and clinical data were obtained in each case. Basic gonadotrophins level, GnRH and TRH dynamical tests were separately performed in men, sexually active women and women in menopause. Histopathology and immunohistochemistry studies were performed. Results the series comprised 28 men(63.6%) and 16 women (36.4%) (10 of them were in menopause). Mean age was 58.5 years and diagnostic delay was 9.5 months. Tumoral syndrome was present in 86.4 % of cases, all the patients had visual impairment, mainly visual\'s field amputation or restriction. Hypopituitarism syndrome was present (41 %) according to the degree of compression or destruction of the normal pituitary gland by the tumor, except for gonadotrophic hypersecretion signs (9.1%). Hormonal dosage showed more than 60% of pituitary gland insufficiency in all three groups, particularly the gonadotrophic one. Moderate prolactin hypersecretion was found in 41 to 89% of cases, but the absolute value was always less than 150 ng/ml At histoimmunochemistry, gonadotroph cell adenomas predominate (81.8%), followed by the real non-secreting one(11%), then corticotroph (4.5%) and lastly the multi-secreting adenomas (2.3%) Conclusion The clinical syndrome of non secretory pituitary adenoma is not clearly defined. Practitionners need to identify early these symptoms, which were actually present from the beginning of the clinical history, by a meticulous examination. If patient presents cephalalgia and visual impairment, cerebral CT scan or MRI explorations are mandatory to explore the presence of a pituitary tumor. In case of non-functioning pituitary adenoma, basic endocrine exploration should find a hypopituitarism, mainly gonadotropic, with a moderate prolactin hypersecretion. The dosage of α and β subunits must be done. Dynamic tests should be performed only in case of difficulty. Analysis is difficult in menopausal women Keywords: diagnosis , gonadothropin pituitary adenoma, non secreting adenomas, pituitary tumorAfrican Journal of Neurological Sciences Vol. 26 (2) 2007: pp. 83-9

    Migration spontanée de projectile intracrânien : Cas clinique et revue de littérature

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    Les plaies craniocérébrales par arme à feu sont graves et souvent  mortelles. Leur fréquence est en relative augmentation en Côte d’Ivoire depuis 2002, du fait de l’insécurité grandissante dans une situation de guerre. Leur prise en charge est controversée et, dans certains cas,  l’extraction du projectile n’est pas possible. La migration intracrânienne du projectile est une résultante possible de cette attitude conservatrice. Nousrapportons le cas de K.A. 3 ans, sans antécédent particulier, victime d’un traumatisme crânien par arme à feu (balle perdue) lors des événements du 25 Mars 2004. Il s’agissait d’une plaie craniocérébrale  frontale sans notion de perte de connaissance initiale. A l’admission, l’examen neurologique était normal. La porte d’entrée était frontale sous forme d’une plaie punctiforme, qui a été suturée. Le scanner initial montrait le projectile dans la région frontale paramédiane droite avec contusion  cérébrale en regard, n’autorisant pas un traitement chirurgical. Neuf mois après, le scanner de contrôle objectivait la migration postérieure du  projectile, dans la région occipitale. L’extraction chirurgicale avait été réalisée le 9 Février 2005 avec évolution postopératoire satisfaisante. La migration du projectile peut être à l’origine d’aggravation neurologique secondaire. La particularité de cette observation est l’absence de signe  neurologique avant et après la migration. D’où l’intérêt de réaliser une imagerie en préopératoire immédiat même en l’absence de signe  neurologique évocateur.Mots Clés : Traumatismes crâniens, arme à feu, migration de corps  étranger, enfant.Craniocerebral gunshot wounds are severe injuries, generally fatal. There is a relative increase of these in Ivory Coast since 2002, due to a growing insecurity of a country in war situation2. The surgical coverage is debated and in often cases, there is no extraction of the missile. Thus, the possible intracranial migrating of the bullet retained appears as a result of this  conservative attempt. The case report is about K.A. 3 years old, without medical history, victim of a stray bullet head injury during events of 2004,March 25th 2. It was about a frontal craniocerebral gunshot wound without loss of consciousness. The initial neurological assessment was normal at the admission. The entry site was frontal as a small wound stitched after. The CT-scan showed the missile in the right paramedian frontal region with a brain bruise opposite; no surgical indication retained. Nine months later, the CT-scan control showed a posterior migration in the occipital region. The surgical removal was made successfully on February 9th, 2005 suchas post-operative states.Neurological escalation may occur during the intracranial migrating of a missile. The non escalation before and after the migration makes peculiar this case report. This underline the importance of preoperative immediate imaging, quite important in craniocerebral gunshot wound care although neurological symptoms.Key words: cranial injuries, firearm, foreign body migration, child

    Approche Diagnostique Des Tumeurs Cerebrales Chez L\'enfant - Experience Du Service De Neurochirurgie Du Chu De Yopougon Abidjan

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    Introduction Les tumeurs cérébrales de l\'enfant représentent les tumeurs solides pédiatriques les plus fréquentes, mais leur incidence reste méconnue en Afrique subsaharienne où se pose un problème de retard diagnostique et de suivi. Objectif Evaluer l\'incidence et la distribution de ces tumeurs et présenter les particularités de prise en charge afin d\'améliorer leur pronostic. Matériels et méthodes Etude rétrospective effectuée dans le service de Neurochirurgie de janvier 1995 à décembre 2006 incluant les patients hospitalisés pour une tumeur cérébrale et dont l\'âge variait entre 0 et 15 ans révolus. Le scanner a constitué le seul moyen de diagnostic pré-opératoire. Pour chaque patient, les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, paracliniques et les modalités de prise en charge ont été analysées. Résultats Les tumeurs cérébrales de l\'enfant (57 cas) représentaient 15,74% de toutes les tumeurs cérébrales (362 cas) avec un sex-ratio de 1/2 (18 garçons et 27 filles) et un âge moyen de 8 ans et demi. Le délai de prise en charge a été de 289 jours en moyenne. Les céphalées et l\'hypertension intracrânienne ont constitué le motif de consultation et le signe d\'examen le plus fréquent, suivies des signes de focalisation. Les tumeurs supratentorielles ont été le siège le plus fréquemment rencontré (54,38% contre 33,33% de lésions infratentorielles), avec une prédominance de lésions gliales notamment l\'astrocytome. Une hydrocéphalie était retrouvée dans 31,58% des cas. 70% des patients ont bénéficié d\'un traitement chirurgical, permettant dans seulement la moitié des cas, soit 38,6%, d\'avoir le diagnostic histologique. 15,8% ont bénéficié d\'une chimiothérapie et un patient d\'une radiothérapie. Le taux de mortalité était de 22,80%. Conclusion Cette étude montre l\'intérêt d\'une étude prospective et multicentrique et la nécessité de l\'amélioration du plateau technique, pour un meilleur diagnostic neuropathologique et une meilleure prise en charge. Background Brains tumors are the most common paediatrics solid tumors, but their incidence is unknowed in subsaharian. Objective To determine the frequency and the distribution of these tumors and to review their management in order to improve their prognosis Materials and methods A retrospective study was done in Abidjan service of neurosurgery of the University Hospital from January 1995 to December 2006, concerning childrens up to the age of 15 years, whose were admitted for brain tumor and diagnosed by CT-scan. Epidemiologicals, clinicals, CT-scan, histopathologicals datas and methods of management were analysed. Results Paediatrics brain tumors (57 cases) have represented 15,74% of all brain tumors (362 cases). The male-female ratio was 1/2 (18 boys and 27 girls ) and the mean age was 8,5 years. The delay of diagnosis was 289 days. Headache and intracranial hypertension were the most common symptoms. 54,38% of brain tumors were located in supratentorial region and 33,33% in the infratentorial region. 70% of the children were surgically treated and for the half of them (38,6%) a histopathological diagnosis was found. Rate of death was 22,8%. Conclusion A prospective and multicentric study is mandatory. Equipment of the departments is necessary in order to improve the diagnosis and treatment of the children with brain tumors. Introduction Les tumeurs cérébrales de l\'enfant représentent les tumeurs solides pédiatriques les plus fréquentes, mais leur incidence reste méconnue en Afrique subsaharienne où se pose un problème de retard diagnostique et de suivi. Objectif Evaluer l\'incidence et la distribution de ces tumeurs et présenter les particularités de prise en charge afin d\'améliorer leur pronostic. Matériels et méthodes Etude rétrospective effectuée dans le service de Neurochirurgie de janvier 1995 à décembre 2006 incluant les patients hospitalisés pour une tumeur cérébrale et dont l\'âge variait entre 0 et 15 ans révolus. Le scanner a constitué le seul moyen de diagnostic pré-opératoire. Pour chaque patient, les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, paracliniques et les modalités de prise en charge ont été analysées. Résultats Les tumeurs cérébrales de l\'enfant (57 cas) représentaient 15,74% de toutes les tumeurs cérébrales (362 cas) avec un sex-ratio de 1/2 (18 garçons et 27 filles) et un âge moyen de 8 ans et demi. Le délai de prise en charge a été de 289 jours en moyenne. Les céphalées et l\'hypertension intracrânienne ont constitué le motif de consultation et le signe d\'examen le plus fréquent, suivies des signes de focalisation. Les tumeurs supratentorielles ont été le siège le plus fréquemment rencontré (54,38% contre 33,33% de lésions infratentorielles), avec une prédominance de lésions gliales notamment l\'astrocytome. Une hydrocéphalie était retrouvée dans 31,58% des cas. 70% des patients ont bénéficié d\'un traitement chirurgical, permettant dans seulement la moitié des cas, soit 38,6%, d\'avoir le diagnostic histologique. 15,8% ont bénéficié d\'une chimiothérapie et un patient d\'une radiothérapie. Le taux de mortalité était de 22,80%. Conclusion Cette étude montre l\'intérêt d\'une étude prospective et multicentrique et la nécessité de l\'amélioration du plateau technique, pour un meilleur diagnostic neuropathologique et une meilleure prise en charge. Keywords: Africa, brain tumors, children, Ivory CoastAfrican Journal of Neurological Sciences Vol. 26 (2) 2007: pp. 27-3

    Le Don De Corps En Cote D\'ivoire

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    Introduction Le don de corps qui permet de se procurer le matériel anatomique de dissection que constitue le cadavre humain n\'existe pas en Afrique noire et notamment en Cote d\' Ivoire. Objectif Recueillir des informations sur le don de corps à Abidjan. Méthode Les auteurs rapportent les informations recueillies au cours dune enquête sur le don de corps réalisée à Abidjan de Juillet a Août 2004, a partir d\'un questionnaire. Ils font une analyse anthropologique de ces informations et situent la position des abidjanais sur la recherche médicale à travers les dissections anatomiques du corps humain. Résultats Il ressort de cette enquête que 35,8 % des abidjanais sont prêts à donner leur corps, 64,2 % sont contre le don de corps. Conclusion 35,8 % des abidjanais peuvent contribuer au progrès de la médecine en donnant leur corps à disséquer après leur mort même si cette décision reste difficile en Afrique compte tenu du culte des morts. Background The concept of body donation for dissection does not exist in black Africa particularly in the Ivory Coast. Objective Collect informations on body donation in Abidjan. Methods Authors report information collected in Abidjan during survey on body donation, carry out from July to August 2004. They make an anthropological analysis of that information and indicate the position of the inhabitants of Abidjan on the research through anatomic human bodies\' dissection. Results Our survey shows that 35.8% of the inhabitants of Abidjan agreed to make a body donation for dissection against 64.2 %. Conclusion 35.8 % of the inhabitants of Abidjan can contribute to the ptogress of medicine by offering their body for dissection after death even if this decision remains difficult in Africa considering deeds worship. Keywords: Anatomy, body donation, Ivory coast, AfricaAfrican Journal of Neurological Sciences Vol. 25 (1) 2006: pp. 5-1
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