Macrophages in Alzheimer’s disease: the blood-borne identity

Alzheimer’s disease (AD) is a progressive and incurable neurodegenerative disorder clinically characterized by cognitive decline involving loss of memory, reasoning and linguistic ability. The amyloid cascade hypothesis holds that mismetabolism and aggregation of neurotoxic amyloid-β (Aβ) peptides, which are deposited as amyloid plaques, are the central etiological events in AD. Recent evidence from AD mouse models suggests that blood-borne mononuclear phagocytes are capable of infiltrating the brain and restricting β-amyloid plaques, thereby limiting disease progression. These observations raise at least three key questions: (1) what is the cell of origin for macrophages in the AD brain, (2) do blood-borne macrophages impact the pathophysiology of AD and (3) could these enigmatic cells be therapeutically targeted to curb cerebral amyloidosis and thereby slow disease progression? This review begins with a historical perspective of peripheral mononuclear phagocytes in AD, and moves on to critically consider the controversy surrounding their identity as distinct from brain-resident microglia and their potential impact on AD pathology

Une nouvelle stèle de cavalier découverte à Strasbourg-Koenigshoffen (Bas-Rhin)

International audienc

Macrophages in Alzheimer’s disease: the blood-borne identity

Alzheimer’s disease (AD) is a progressive and incurable neurodegenerative disorder clinically characterized by cognitive decline involving loss of memory, reasoning and linguistic ability. The amyloid cascade hypothesis holds that mismetabolism and aggregation of neurotoxic amyloid-β (Aβ) peptides, which are deposited as amyloid plaques, are the central etiological events in AD. Recent evidence from AD mouse models suggests that blood-borne mononuclear phagocytes are capable of infiltrating the brain and restricting β-amyloid plaques, thereby limiting disease progression. These observations raise at least three key questions: (1) what is the cell of origin for macrophages in the AD brain, (2) do blood-borne macrophages impact the pathophysiology of AD and (3) could these enigmatic cells be therapeutically targeted to curb cerebral amyloidosis and thereby slow disease progression? This review begins with a historical perspective of peripheral mononuclear phagocytes in AD, and moves on to critically consider the controversy surrounding their identity as distinct from brain-resident microglia and their potential impact on AD pathology

Pilot study of markers for high-grade anal dysplasia in a southern cohort from the Women's Interagency HIV Study (WIHS)

Background: Anal cancer rates have increased in HIV+ women. Factors associated with anal cancer precursor high-grade squamous intraepithelial lesions (HSIL) in HIV+ and at-risk-HIV- women were assessed. Methods: HIV+ and HIV- women from the Atlanta WIHS cohort were enrolled in a cross-sectional pilot study. All anal (AS) and cervical (CS) swab samples were analyzed for HPV-genotyping (Linear-Array® HPV-Genotyping Test, LA-HPVGT) and FAM19A4 and microRNA-124-2 promoter methylation. All women underwent high resolution anoscopy with biopsy of suspicious lesions and anal cytology (AC) collection. Logistic regression was conducted with anal HSIL histology (A-HSIL) as the dependent variable. Results: 75 women were enrolled: 52(69%) were HIV+ with 3/4 having undetectable viral load, 64(86%) Black, with mean age 49. 44(59%) AC samples were ASCUS/+hrHPV or higher, 38(51%) of all AS were +hrHPV by LA-HPVGT.13 anal biopsies were confirmed A-HSIL. 69(95%) AS and 19(26%) CS tested positive for hypermethylation, respectively. A-HSIL model included ASCUS/+hrHPV or greater on AC and cervical hypermethylation as covariates (Table 1). AS hypermethylation was not associated with A-HSIL. Conclusions: Our results suggest AC with hrHPV testing and/or cervical gene promoter hypermethylation measurements as promising non-invasive screening strategies for A-HSIL in both HIV+ and HIV- women. Lack of association between AS hypermethylation and A-HSIL may reflect characteristics of the anal milieu and warrants further investigation

Berstett, Langenberg, A355 - contournement ouest de Strasbourg site 5.6 ; occupations du Néolithique récent, de l’âge du Bronze et du second âge du Fer

La fouille de Berstett Langenberg a permis la mise au jour, sur une surface de près de 2 ha, de plusieurs occupations successives, dont les datations s’échelonnent du Néolithique récent à La Tène finale, ainsi que quelques structures agricoles contemporaines.Deux pôles distincts du Néolithique récent ont été fouillés : au nord-est, une dizaine de fosses trahit une occupation du Michelsberg. L’ensemble des phases de cette période sont représentées. À une centaine de mètres à l’ouest, une douzaine de silos ont livré du mobilier Munzingen. Un dépôt de trois porcelets a été mis au jour dans l’une de ces fosses. Enfin, deux autres structures ont été rattachées au Néolithique sur la foi de datations radiocarbones : l’inhumation d’un immature accompagné de perles et d’une pendeloque d’une part et un silo contenant le squelette d’un très jeune enfant, mort au moment de sa naissance.L’occupation de l’âge du Bronze moyen est beaucoup plus étendue, elle couvre la quasi-totalité des surfaces décapées. Elle est caractérisée par une cinquantaine de silos et autres fosses, répartis sans organisation apparente. Le mobilier céramique est assez abondant ; il permettrait de préciser la chronologie de cette phase de l’âge du Bronze.Les structures de l’âge du Fer sont beaucoup moins nombreuses. Une fosse est datée du Hallstatt D et un silo de la transition entre la Tène ancienne et La Tène moyenne. Cette dernière contenait un ensemble de dépôts de corps humains (deux jeunes hommes adultes) et animaux (un chien, une jument et un chiot). Le seul mobilier associé était une fibule en fer. Enfin, quatre tronçons de fossé dessinent l’angle d’un enclos qui peut être attribué au débute de La Tène finale par le maigre mobilier qui y a été découvert.Les derniers témoins d’occupation des parcelles fouillées sont des structures agricoles contemporaines, silos à betteraves ou ancrages destinés à haubaner une houblonnière ou un séchoir à maïs

Enseigner ça s'apprend

International audienceEn France, ainsi que dans la plupart des pays francophones, toute réflexion sur la formation des enseignants semble quasi impossible. L'idée est en effet largement répandue qu'enseigner ne s'apprend pas. Ce serait une habilité naturelle, un don qui ne demanderait qu'à s'épanouir devant les élèves. Rien ne servirait donc de former à enseigner. Il suffirait de faire apprendre un contenu disciplinaire pour compléter le profil parfait.De cette vision magistrale découle un certain nombre d'idées qui gravitent autour du terme " enseigner ".- " Enseigner, c'est faire le programme ",- " Les élèves ne peuvent pas apprendre s'ils n'ont pas les ˝bases˝ ",- " Il faut différencier pour faire réussir les élèves "...Si certaines de ces idées ont une part de réalité, d'autres relèvent davantage du mythe. Et c'est tout l'intérêt de la recherche réunie dans ce petit ouvrage, que de nous aider à la décortiquer

Didactique pour enseigner

International audienceDidactique pour enseigner (DpE) est le fruit du travail de trois années d'un collectif de recherche qui a cherché à concrétiser pour les pratiques d'enseignement et d'apprentissage des notions théoriques élaborées en didactique, en particulier au sein de la théorie de l'action conjointe en didactique.Il a été conçu en utilisant certains concepts de la didactique pour l'analyse et la transformation des pratiques effectives d'enseignement et d'apprentissage, dans des domaines et disciplines variés. L'usage concret de ces concepts, loin de se limiter à l'étude de leurs utilisations possibles, a également permis de les renouveler, et de proposer une nouvelle vision de la science didactique.Ce livre est donc doublement nouveau : il espère contribuer à la concrétisation des concepts dans la logique pratique, par une ascension de l'abstrait au concret ; il rend accessible des concepts et des méthodes de la didactique à toutes celles et tous ceux qui souhaitent les comprendre avec finesse et les utiliser en pratique.Le Collectif Didactique pour enseigner (CDpE) réunit une trentaine de professeurs, de formateurs, d'enseignants- chercheurs, docteurs et doctorants, qui travaillent depuis de nombreuses années à l'élaboration d'une théorie de l'action conjointe en didactique. Il porte le projet de mettre en synergie certains apports des sciences de l'homme et de la société et les avancées de la didactique, aussi bien pour la production de connaissances que dans la compréhension et la transformation de la pratique

Ustensiles et espaces culinaires de la Protohistoire au début du XXe siècle, pré-actes du colloque international Corpus, Dijon, 4-7 juin 2024

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