4,129 research outputs found

    Protection of the 13 T Nb3Sn Fresca II dipole

    Full text link
    The EuCARD project aims on construction of a 19 T hybrid dipole; it will be made of a 6 T HTS dipole associated to a 13 T outsert Nb3Sn dipole [1]. This paper reviews the quench analysis and protection of the 13 T Nb3Sn dipole.Comment: 5 pages, Contribution to WAMSDO 2013: Workshop on Accelerator Magnet, Superconductor, Design and Optimization; 15 - 16 Jan 2013, CERN, Geneva, Switzerlan

    Intérêts et signification écophysiologique de l'estimation de la biomasse et de l'activité photosynthétique de diverses fractions de taille phytoplanctonique en milieu lacustre eutrophe

    Get PDF
    L'évolution saisonnière de la biomasse phytoplanctonique (estimée par les biovolumes après dénombrements cellulaires et par le dosage de la chlorophylle a), de la production primaire et des coefficients d'activité (P/"BComptage" et P/"BChlorophylle") a été étudiée, par classes de taille, de mars à novembre 1985 dans un lac eutrophe (lac d'Aydat, Massif Central).Il apparaît que la fraction de taille 12-45 µm contribue pour environ 50 % à la biomasse phytoplanctonique totale quelque soit le descripteur de ta biomasse utilisé et pour 65 % à l'activité photosynthétique totale, l'importance quantitative de cette fraction de taille se traduit au niveau des phénomènes d'extinction de la lumière par une relation inverse et hautement significative entre concentrations en chlorophylle a associée à cette classe et les profondeurs de disparition du disque de Secchi (Zs).Si les corrélations linéaires établies entre la production primaire et les rapports surface/volume (S/V) sont significatives au sein de chaque classe, confirmant ainsi l'existence d'une relation directe entre ces 2 paramètres, les valeurs moyennes de P/B de la fraction de taille < 12 µm sont très différentes selon le mode d'expression de la biomasse. L'explication de cette divergence est à rattacher aux divers biais méthodologiques introduits dans les estimations de biomasse retenues dans notre étude. D'une part, la sous estimation de la fraction nanoplanctonique par la technique des dénombrements cellulaires entraîne par voie de conséquence une surestimation des valeurs de P/B"Comptage" attribuées à la fraction < 12 µm. D'autre part, il est reconnu que les teneurs en pigments sont, par unité de volume, supérieures pour la fraction nanoplanctonique que pour les cellules de grande taille. L'adoption d'un facteur unique de conversion entraîne donc une surestimation de ta biomasse de cette fraction.The seasonal distribution of phytoplanktonic biomass (estimated by biovolumes after cell counts and by chlorophyll a concentrations), primary production and primary production to biomass ratios (P/B"Counts" and P/B"Chlorophyll a") was studied by size fractionation in a eutrophic lake (lake Aydat, Massif Central).It appears that the 12-45 µm size fraction contributes about 50 % of the total phytoplanktonic biomass, regardless of what descriptor of the biomass is used and up to 65 % of the total photosynthetic activity. Clearly, the quantitative predominance of this fraction affects the water transparency (Zs) through the highly significant negative correlation obtained between Zs and the 12-45 µm chlorophyll a size fraction.The highly significant linear correlations obtained between the primary production of each fraction and surface to volume ratios (S/V) confirm the direct link between these two parameters. The mean values relative to the P/B of the < 12 µm fraction depend largely on the method used for the biomass estimates. First, the underestimation of the nanoplanktonic fraction by cell counts leads to an over-estimation of the < 12 µm P/B"Counts" fraction. Second, it is well known that chlorophyll a concentrations per unit volume are higher for nanoplankton than for larger cells. Thus, the use of the same biomass conversion factor for all the fractions, overestimates the nanoplankton biomass

    La mobilité des adolescents : une pratique socialisée et socialisante

    Get PDF
    National audienceURL : http://www.metropolitiques.eu/La-mobilite-des-adolescents-une.htm

    Realization of the purely spatial Einstein-Podolsky-Rosen paradox in full-field images of spontaneous parametric down conversion

    Full text link
    We demonstrate Einstein-Podolsky-Rosen (EPR) entanglement by detecting purely spatial quantum correlations in the near and far fields of spontaneous parametric down-conversion generated in a type-2 beta barium borate crystal. Full-field imaging is performed in the photon-counting regime with an electron-multiplying CCD camera. The data are used without any postselection, and we obtain a violation of Heisenberg inequalities with inferred quantities taking into account all the biphoton pairs in both the near and far fields by integration on the entire two-dimensional transverse planes. This ensures a rigorous demonstration of the EPR paradox in its original position momentum form

    Experimental status of the ππ\pi\pi isoscalar S wave at low energy: f0(600)f_0(600) pole and scattering length

    Get PDF
    The experimental results obtained in the last few years on kaon decays (K2π\to2\pi and, above all, Ke4 decays) allow a reliable, model independent determination of low energy ππ\pi\pi scattering in the S0 wave. Using them and, eventually, other sets of data, it is possible to give a precise parametrization of the S0 wave as well as to find the scattering length and effective range parameter. One can also perform an extrapolation to the pole of the "σ\sigma resonance" [f0(600)f_0(600)]. We obtain the results a0(0)=0.233±0.013Mπ1,b0(0)=0.285±0.012Mπ3a_0^{(0)}=0.233\pm0.013 M^{-1}_\pi,\quad b_0^{(0)}=0.285\pm0.012 M^{-3}_\pi and, for the σ\sigma pole, M_\sigma=484\pm17 \mev,\quad\gammav_\sigma/2= 255\pm10 {\rm MeV}.Comment: Plain TeX;4 figures; improved data used; version to appear in Phys. Rev.

    Production primaire et activité bactérienne hétérotrophe potentielle au sein d'un lac eutrophe (lac d'Aydat, Puy-de-Dôme)

    Get PDF
    La production primaire phytoplanctenique et l'activité hétérotrophe bactérienne ont été étudiées parallèlement sur le lac d'AYDAT en 1985. L'activité photosynthétique, mesurée au alentours du midi solaire évolue entre 10 et 141 mg C m-2h-1, le maximum étant atteint en juillet. La vitesse maximale, V max, d'assimilation de glucose par les bactéries, (en présence de concentrations de traceur non limitantes) se situe entre 0,06 - 1,26 mg C m-2h-1. Le compartiment phytoplanctonique, de par sa production, semble être l'un des éléments régulateurs de l'activité hétérotrophe bactérienne en zone épilimnique.The seasonal distributions of phytoptanktonic primary production and bacterial heterotrophicpotentials (using respectivey 14C and 14Glucose incorporations) were studied in a eutrophic lake (Lake Aydat, Massif Central, France).Primary production and bacterial heterotrophic potentials vary respectively from 10 to 141 mg.C.m-2h-1 and from 0,06 to 1,26 mg.C.m-2h-1.The comparative evolution of these two activities in relation to the temperature shows that the general idea about "the temperature - bacterial development" model seems to be insufficient when the investigation takes place in a complex ecosystem such as Lake Aydat. Indeed, the phytoplanktonic compartment, apart from its production, seems to be one of the regulating elements of the heterotrophic bacterial activity whose variations cannot be explained by changes in temperature alone.In spite of the significant correlation obtained between bacterial activity and temperature, we should consider that the influence of this abiotic parameter on the bacterial development is an indirect one

    Effet des taches foliaires causées par le Phaeosphaeria nodorum inoculé à différents stades de développement sur le rendement du blé de printemps

    Get PDF
    Des études en serre ont été réalisées pour évaluer l'effet du Phaeosphaeria nodorum sur le rendement du blé de printemps (Triticum aestivum, cv. Laval 19). Les plants de blé étaient inoculés aux stades gonflement épiaison, pleine floraison et grain laiteux. L'essai a été réalisé au cours de l'hiver 1993 et répété au cours de l'hiver 1994. L'inoculation du champignon pathogène P. nodorum entraîne généralement une augmentation significative de la surface foliaire infectée et une réduction du rendement comparativement aux témoins non inoculés. La surface foliaire infectée mesurée uniquement sur la feuille étendard est similaire à celle mesurée sur la plante entière. Le stade phénologique a un effet significatif sur toutes les variables observées: surface foliaire infectée, poids des tiges et des feuilles, poids des épis, poids des grains, poids des biomasses végétative et totale et indice de récolte. L'inoculation du pathogène au stade grain laiteux, le plus tardif de l'étude, semble avoir provoqué moins d'effets négatifs sur le rendement du blé comparativement aux trois autres stades étudiés. Selon les résultats de cette étude et les observations réalisées au Québec au cours des 15 dernières années, il est peu probable que les taches foliaires causées par le P. nodorum provoquent des baisses appréciables de rendement du blé de printemps au Québec.Greenhouse studies were carried out to evaluate the effects of foliar leaf spots caused by P. nodorum on spring wheat (Triticum aestivum, cv. Laval 19) yield. Wheat plants were inoculated at booting, heading, flowering and milking growth stages. Experiments were first performed in winter 1993 and repeated in winter 1994. Inoculation of P. nodorum usually resulted in an increase of leaf spots and a decrease of yield compared to uninoculated plants. Foliar flag leaves spots were similar to total plant foliar leaf spots. All variables were significantly affected by inoculation stages : infected foliar area, biomass of straw and leaves, biomass of spikes, biomass of grains, vegetative biomass and harvest index. Inoculation at milking growth stage seemed to resul in the least negative impacts on yield compared to all other stages. From the results of this study and observations performed in Quebec during the 15 past years, leaf spots caused by P. nodorum should not resul in important spring wheat yield losses in Quebec

    人格(パースナリティー)理論に就いて

    Get PDF
    The aim of this study was to evaluate the ability of new rubbery liners, used as a cervical increment, to relieve contraction stress and thereby reduce the formation of cervical gaps in class II composite restorations. The investigated liners were made of polyester-acrylate (PE(1), PE(2) or PE(3)) or silicone-acrylate (S), mixed with UDMA, without (A, B, C, D) or with HEMA (AH, BH, CH, DH). A silanized filler was added to the mixture, DH, to give composites with 20, 40, 60, and 70% (w/w) of filler (DHF20, DHF40, DHF60, DHF70, respectively). The presence and width of cervical gaps were determined using a light microscope. Statistical analysis showed that six of the 12 rubbery liners (AH-DH, DHF20-DHF40) significantly decreased gap formation in comparison with the control group. In addition, the polymerization shrinkage, flow, and strain capacity of these liners were measured and the influence of these factors on gap formation was examined. Two- and three-dimensional regression analyses showed significantly negative linear correlations between gap formation and strain capacity, and between gap formation and flow, and a significantly positive linear correlation between gap formation and shrinkage

    Mesure de l'intensité et de la sélectivité du bronzage zooplanctonique diurne et nocturne sur le peuplement physoplanctonique de la retenue Al Massira (Maroc)

    Get PDF
    La retenue de barrage Al Massira (Maroc) constitue une pièce maîtresse dans le plan d'aménagement du bassin versant de l'Oum Er Rbia. Elle se situe dans la province de Settat, à 120 km au sud-est de Casablanca. La mesure de l'intensité du broutage zooplanctonique sur le peuplement phytoplanctonique a été réalisée à trois périodes différentes; le 20 mars 1992 d'une part et les 27 et 28 mai 1992 d'autre part, avec respectivement des mesures de jour et de nuit . Pour cela, une analyse de l'évolution des densités phytoplanctoniques au sein d'enceintes immergées in situ à 5 et 15 m pendant 8 heures, en absence (enceintes témoins) et en présence (enceintes expérimentales) de zooplancton, a été réalisée. Les résultats obtenus montrent que:- La technique adoptée est performante dans la mesure où les différences entre les densités algales entre les temps initial et final sont en général significatives dans les deux enceintes. - Conformément aux données de la littérature, le broutage apparaît bien comme sélectif; de nombreuses espèces n'apparaissant pas être consommées. - La sélection effectuée par le zooplancton est principalement basée sur la taille des cellules. Toutefois, à tailles égales, certaines espèces phytoplanctoniques semblent être consommées préférentiellement par les copépodes. - Seules les espèces algales présentant un développement important dans les enceintes témoins sont soumises à la prédation.The Al Massira reservoir, located in the district of Settat 120 km south-east of Casablanca, is of great importance notably at the level of the management of the Oum Er Rbia River-catchment basin.Several grazing experiments were performed to assess the intensity of phytoplankton predation by zooplankton species, on 20 March l992, 27 and 28 May 1992, respectively, over the day and the night. Two enclosures were used and incubated in situ at 5 and 15 m over 8 hours, The first enclosure consisted of a mixture of several phytoplankton and zooplankton species. The second was free of zooplancton.The results clearly demonstrated that the technique used in this work seemed to be effective in that a signifïcant difference between the initial and final numbers of phytoplankton species incubated in the enclosure was detected. In addition, we confirmed several literature reports relative to the selective characteristics of herbivore predation on algae: large phytoplankton (e.g., Peridinium cinctum, Ceratium hirundinellaand Staurastrum pingue) were not affected. The grazing pressure depended on the size of preys and on the exudates released by the physiofogically active small phytoplankton species (e.g., Oocystis crassa, Cyclotella sp.) evolving in the enclosures. Among small preys, only species with high growth rate (estimed in the control flask, e.g., Cosmarium sp. and Tetraedron sp.) were subjected to the zooplankton predation. The copepod nightgrazing was lower than that recorder during the day, probably due to a decrease in their ability to detect preys in the dark.Our result contradict several results obtained by the method of NANEY (1971) according to which grazing increases during the night.Two assumptions may be proposed to explain such a discrepancy:- The zooplankton community of the Al Massira Reservoir was quantitatively dominated by the Calanoid Neolovenula alluaudi.Yet, according to HANEY and HALL (1975), these Copepods showed a slight diel grazing change compared to that of Cladocera. It seemed likely that these temporal variabilities were not statistically significant but rather inherent to the overall internal fluctuation oftlte cell metabolism.- The HANEY (1971) method allows estimation of the water volume per unit time, which transits along the digestive tract of zooplankters. Nevertheless, this technique was mostly performed in markedly stratified natural lakes. From a strictly physiological point of view, and as demonstrated by MC LAREN (1963), organisms which evolved in deep layers (low temperature) became metabolically more active when they reached superficial layers (increased temperature). Clearly, this increase in the cell metabolism abilities is translated into a higher volume of water passing through the digestive tract but not necessarily into an increase in ingested phytoplankton preys. Our results went along with the aforementioned interpretation since we clearly demonstrated an optimal Copepoda-grazing selectivity. However, the selection of preys would not imply a direct relationship between the ingested volume of water and energetic inputs
    corecore