35 research outputs found

    Quand les médias, c'est [pi:p(e)l]

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    Adresse à ceux qui se trompent de (notre) jeunesse! Une mystique de rèsistance dans Le mystère de la charitè de Jeanne d’Arc et Notre jeunesse

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    Two works by Charles Peguy compared: Le Mystere de la Charite de Jeanne d'Arc and Notre jeunesse. The first has as its protagonist Jeanne d'Arc, the second Bernard Lazare. Many are the differences between these two characters, from sex, but also social status, religion and even the reputation. Despite these differences, it is the study of twins of the works that Dadoun chose to devote himself. Their common core is not but, in fact, that mysticism - the mysticism of resistance to political allures Lazare, a source of anxiety for Jeanne; Lazare is dripping while Jeanne is thirsty. With Jeanne and Lazare, Le Mystère de la Charité de Jeanne d'Arc and Notre jeunesse, there are two religions that stand the one from the other: Judaism is open to the duration and the advent of the Prophet, Christianity, the religion of the conclusion of the habit of repetition. Yet the Christian Jeanne tries to turn into reality her own prophecy, the jew Lazare is he the prophet of a new policy - or rather, a mystic of justice that seeks to bridge the gap between riches and poors. Deux œuvres de Charles Péguy mises en parallèle: Le mystère de la charité de Jeanne d’Arc et Notre jeunesse. La première a pour protagoniste Jeanne d’Arc, la seconde Bernard Lazare. Différences innombrables entre ces deux personnages, à commencer par le sexe, certes, mais aussi le statut social, la religion et aussi, la renommée… Malgré ces différences, c’est sur l’étude de la gémellité des ouvrages que choisit de se pencher l’auteur du présent article. Leur noyau commun n’est autre, en effet, que la mystique – mystique de résistance, aux allures politiques pour Lazare,tourmentée et source d’angoisse pour Jeanne ; Lazare ruisselant, tandis que Jeanne est assoiffée. Avec Jean et Lazare, avec Le mystère de la charité de Jeanne d’Arc et Notre jeunesse, deux religions apparaissent, se démarquent l’une de l’autre: le judaïsme, ouvert à la durée et l’avènement du prophète; le christianisme, religion de la conclusion, de l’habitude, de la répétition. Pourtant Jeanne la chrétienne essaie de transformer en réalité sa propre prophétie, Lazare le juif est, lui, le prophète d’une politique nouvelle – ou mieux, d’une mystique de justice, cherchant à combler l’abîme entre les pauvres et les riches. Due opere di Charles Péguy messe a confronto: Le mystère de la charité de Jeanne d’Arc e Notre jeunesse. La prima ha per protagonista Jeanne d’Arc, la seconda Bernard Lazare. Numerose certo sono le differenze tra questi due personaggi, a partire dal sesso, ma anche dallo status sociale, dalla religione e anche dalla reputazione. Nonostante queste differenze, è proprio allo studio della gemellarità delle opere che Dadoun sceglie di dedicarsi. Loro nucleo comune non è altro, infatti, che la mistica – mistica di resistenza alle allures politiche per Lazare, fonte di ansia per Jeanne; Lazare è gocciolante mentre Jeanne ha sete. Con Jeanne e Lazare, Le mystère de la charité de Jeanne d’Arc e Notre jeunesse, appaiono due religioni che si distinguono l’una dall’altra: l'ebraismo, aperto alla durata e all'avvento del profeta; il cristianesimo, religione della conclusione, dell’abitudine, della ripetizione. Eppure la cristiana Jeanne cerca di trasformare in realtà la propria profezia, l’ebreo Lazare è proprio lui il profeta di una nuova politica - o meglio, di una mistica della giustizia che cerca di colmare il divario tra ricchi e poveri

    La fabrique des grands hommes

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    <IT> Fra i grandi nomi della letteratura, tra cui in particolare Peguy, Rolland, per rispondere alla domanda: che cosa è un grande uomo? Qualcuno a cui è stata eretta una statua di bronzo, in alto ad un cavallo focoso, come Giovanna d’Arco? Oppure qualcuno che giace al Panthéon? Quanto a Peguy, egli non si fida dei “grandi uomini”. Così, generalmente, popolarità e gloria non sono garanti dell’onestà. Ma, in tale ottica, il grande uomo è la fonte di un’etica rovesciata: quella della resistenza – contro il culto del potere, contro gli onori abbaglianti. Ma anche per divenire una grande donna, tuttavia, si è dovuto resistere, lungo la storia. Resistere contro dei grandi uomini o a loro fianco, cosa che, alla fine, è la stessa cosa. Dal lato delle donne, la grandezza si sposa bene con la bontà; quest’ultima finisce, tuttavia, per rinviarle nell’ombra, come mostrano le analisi che seguono. Una cosa è sicura: il significato dell’aggettivo ‘grande’ non è lo stesso quando è utilizzato al maschile o al femminile.<EN> Among the great names in literature, including in particular Peguy, Rolland, to answer the question: what is a great man? Is someone who has been erected a bronze statue, on top of spirited horse, like Joan of Arc? Is someone who lies in the Pantheon? As to Peguy, he doesn’t trust of "big men". So, generally, popularity and glory aren’t guarantors of honesty. But, in this perspective, the great man is the source of a reversed ethic: an ethics of resistance - against the cult of power, against the dazzling honors. But to become a great woman, however, women to had to endure, throughout the history. Stand against the great men or to their side, that’s, eventually, the same thing. On the side of women, the greatness embrace well with goodness; the latter concludes, however, to defer them in the shadow, as show following analysis. One thing is certain: the meaning of the adjective 'great' is not the same when it is used as masculine or feminine.<FR> Des grands noms de la littérature, Péguy, Rolland, notamment, pour répondre à la question: qu’est-ce qu’un grand homme? Quelqu’un qui a été érigé en statue en bronze, du haut d’un cheval fougueux, comme Jeanne d’Arc? Ou quelqu’un qui repose au Panthéon? En ce qui le concerne, Péguy se méfie des «grands hommes». La popularité et la gloire ne sont pas toujours, à son sens, gage d’honnêteté. Mais dans cette optique, le grand homme est la source d’une éthique à rebours: celle de la résistance – contre le culte du pouvoir, contre les honneurs aveuglants. Mais c’est aussi pour devenir une «grande femme» qu’il a fallu résister, également, tout au long de l’histoire. Résister contre des grands hommes, ou à leurs côtés, ce qui finit par être la même chose. Côté femmes, la grandeur se marie bien avec la bonté; celle-ci finit, toutefois, par les renvoyer dans l’ombre, comme le montrent les analyses qui vont suivre. Une chose est sûre: la signification de l’adjectif «grand» n’est pas la même selon qu’il est employé au masculin ou au féminin

    Cercles et miroirs

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    Péguy : L'Argent suivi de L'Argent suite. Guerre-révolution sans fin

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    Dadoun Roger. Péguy : L'Argent suivi de L'Argent suite. Guerre-révolution sans fin. In: Littérature, n°24, 1976. pp. 3-10

    L'archaïsme méditerranéen

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    King Kong : du monstre comme dé-monstration

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    Dadoun Roger. King Kong : du monstre comme dé-monstration. In: Littérature, n°8, 1972. Le fantastique. pp. 107-118

    Du politique comme violence : « corps mystique » et « corps naturel »

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    Dadoun Roger. Du politique comme violence : « corps mystique » et « corps naturel ». In: Littérature, n°64, 1986. Propositions critiques pour Jean Levaillant. pp. 23-29
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