27 research outputs found
Limits to reproduction and seed size-number trade-offs that shape forest dominance and future recovery
International audienceThe relationships that control seed production in trees are fundamental to understanding the evolution of forest species and their capacity to recover from increasing losses to drought, fire, and harvest. A synthesis of fecundity data from 714 species worldwide allowed us to examine hypotheses that are central to quantifying reproduction, a foundation for assessing fitness in forest trees. Four major findings emerged. First, seed production is not constrained by a strict trade-off between seed size and numbers. Instead, seed numbers vary over ten orders of magnitude, with species that invest in large seeds producing more seeds than expected from the 1:1 trade-off. Second, gymnosperms have lower seed production than angiosperms, potentially due to their extra investments in protective woody cones. Third, nutrient-demanding species, indicated by high foliar phosphorus concentrations, have low seed production. Finally, sensitivity of individual species to soil fertility varies widely, limiting the response of community seed production to fertility gradients. In combination, these findings can inform models of forest response that need to incorporate reproductive potential
Limits to reproduction and seed size-number tradeoffs that shape forest dominance and future recovery
The relationships that control seed production in trees are fundamental to understanding the evolution of forest species and their capacity to recover from increasing losses to drought, fire, and harvest. A synthesis of fecundity data from 714 species worldwide allowed us to examine hypotheses that are central to quantifying reproduction, a foundation for assessing fitness in forest trees. Four major findings emerged. First, seed production is not constrained by a strict trade-off between seed size and numbers. Instead, seed numbers vary over ten orders of magnitude, with species that invest in large seeds producing more seeds than expected from the 1:1 trade-off. Second, gymnosperms have lower seed production than angiosperms, potentially due to their extra investments in protective woody cones. Third, nutrient-demanding species, indicated by high foliar phosphorus concentrations, have low seed production. Finally, sensitivity of individual species to soil fertility varies widely, limiting the response of community seed production to fertility gradients. In combination, these findings can inform models of forest response that need to incorporate reproductive potential
Note de lecture: Jean Toth, Le cèdre de France. Etude approfondie de l'espèce. Editions l'Harmattan, 2005, 207 p.
National audienc
Le cèdre de l’Atlas est-il une essence exotique, envahissante et inflammable ?
International audienc
Le cèdre de l’Atlas est-il une essence exotique, envahissante et inflammable ?
International audienc
Extension naturelle du cèdre de l'Atlas au Mont Ventoux: Reconstruction spatio-temporelle et elements de modélisation
National audienceLe Cèdre de l'Atlas a été introduit en milieu forestier dans les années 1860 au mont Ventoux par semis de graines issues d'Algérie sur une quinzaine d'hectares. Parfaitement acclimaté et favorisé par l'action du forestier, il s'est progressivement étendu par régénération naturelle jusqu'à couvrir maintenant plusieurs centaines d'hectares. Ce phénomène est diversement apprécié par les usagers des milieux concernés. Ce cas du Cèdre, sur la face sud du mont Ventoux, constitue, par son contexte, une situation modèle favorable pour étudier l'extension naturelle d'une espèce en milieu forestier : - c'est une espèce introduite dans une zone connue, limitée et circonscrite dans le temps et dans l'espace. - cette extension se fait au sein d'un milieu et d'un peuplement homogènes. - le phénomène n'est pas encore perturbé par les reboisements artificiels récents, bien localisés et trop jeunes pour une régénération potentielle efficace. - le cèdre a une signature spectrale spécifique qui permet de le localiser précisément sur photos aériennes infrarouge couleur. On met ainsi en évidence une extension par une colonisation de proximité plutôt massive (le front du peuplement progresse) et une dissémination plus accidentelle, à longue distance liée sans doute à des coups de vent violents. Ces arbres éloignés, en fructifiant abondamment jouent un rôle essentiel dans la colonisation et la modification des aires de répartition des espèces. Grâce à une dizaine de placettes installées dans le peuplement "source" puis le long du gradient de densité de cèdres et dans lesquelles l'âge des arbres a été mesuré, on peut mettre en évidence cette structure spatiale et temporelle à l'aide d'un modèle basé sur les intégro-différences. Il permet de faire la part des différentes générations dans les cohortes d'arbres observées
Modèle peuplement naturel: cèdre de l'Atlas
Diffusion du document : INRA, Centre d'Avignon, Documentation, Domaine St Paul, Site Agroparc, 84914 Avignon cedex
Modèle peuplement naturel: cèdre de l'Atlas
Diffusion du document : INRA, Centre d'Avignon, Documentation, Domaine St Paul, Site Agroparc, 84914 Avignon cedex