58 research outputs found

    Ruptures Du Tendon d’Achille Une étude rétrospective des ruptures de tendon d’Achille A propos de 137 cas

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    une étude rétrospective des ruptures de tendond’Achille à propos de 137 casintroduction :Le tendon d’Achille est le plus épais, le plusvolumineux et le plus résistant des tendons del’organisme. Il présente une zone étroite, Si lediagnostic clinique de la lésion est aisé, sontraitement reste sans consensusmateriel et methode :Il s’agit d’une étude rétrospective, concernant137 cas opérés au service de traumatologie orthopédiede centre hospitalo-universitaireFrance fanon entre 2001 et 2017résultats :Sur une période de 16 ans nous avons recensé137 cas de rupture du tendon d’Achille, ce quicorrespond à une fréquence de 8,6 cas par an.L’âge moyen dans notre série était de 38 ansavec sexe ratio H/F de 9 ; Activité sportive : 99cas soit 72.26 %.100patients ont bénéficié d’unsuture sous cutanée ; 33 patients ont bénéficiéd’un laçage, soit 89.1 %. La technique deBosworth a été réalisée dans 4 cas, soit 10.8 %.Elle a été nécessaire vue la faiblesse de la zonesuturée à cause d’un effilochement des deuxbouts.Discussion :La cause la plus fréquente des ruptures dutendon d’Achille est représentée par lesaccidents de sport ce qui a été rapporté danstoutes les séries de la littérature. Prédominancemasculine s’explique par une activité sportiveplus élevée chez les hommes.Dans notre série 37 patients ont bénéficié d’untraitement chirurgical à ciel ouvert utilisantdifférentes techniques : sutures simple avecsurjet de renforcement ou laçage pour lamajorité des cas .et 100 CAS réparationpercutanéeWeber et al et Farizon ont aussi privilégié lasuture et laçage avec un éventuel s’il existe unefragilité tendineuse.L’équipe du service de traumatologieorthopédie de l’hôpital  a utilisé,selon un article publié en 2003 la technique deBosworth .Lecestre, Rouvillain , Boukhrisetbeaucoup d’autres auteurs ont privilégié laténorraphie percutanée selon la technique deDelponte. Lansdaal et Assal , quant à eux ontutilisé la chirurgie mini invasive.Richard et al ont utilisé le traitementfonctionnel.Conclusion :Cretnik et al. , dans une étude comparantchirurgie à ciel ouvert versus ténorraphiepercutanée recommande cette dernière car elleapporte des résultats fonctionnels comparablesà la réparation ouverte, avec un tauxsensiblement inférieur de complications.Justin Lim a conclu que la réparationpercutanée est recommandée sur la base du bastaux de complications et l’aspect cosmétiqueamélioré

    Fractures-Luxations Du Rachis Dorsolombaire : Une étude rétrospective sur fractures & luxations du rachis dorsolombaire ; A propos de 15 CAS

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    Matériels et méthodes : une étude portée sur les cas des traumatismes du rachis dorsolombaire au sein du service d’orthopédie et traumatologie-CHU-Blida, sur une période allant de l’année 2015 au juillet 2017. Au terme de cette étude, on retient les points principaux suivants :-La fréquence élevée des fractures-luxation au cours de notre étude, a été 12,5%.-Le sexe masculin est le plus touché, soit 73.3% des cas avec un sex-ratio de 2,75.-La fréquence des adultes jeunes, partie importante de la population active, peut être source de conséquence fâcheuse pour l’avenir socio-économique du pays.-L’étiologie est dominée par les AC, les chutes qui sont inhérents à une vie urbaine en plein essor.-Les lésions du rachis dorsolombaire dominées par les fractures de type C de MAGERL.-Les lésions médullaires sont de diagnostic et de traitement difficil

    Fractures de L’extrémité Inferieure du radius: Une étude rétrospective comparative de technique KAPANDJI Vs les autres techniques du radius distal. A propos de 52 cas

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    Les fractures de l’extrémité distale du radius sont des fractures fréquentes, du sujet jeune au sujet ostéoporotique. Nous avons, pour cela, réalisé une étude rétrospective. 52 patients, de plus de 16 ans, victimes d’une fracture articulaire ou extra-articulaire du radius distal ; traités chirurgicalement ont été inclus dans cette étude et répartis comme suit :▢ Groupe A : patients traités par embrochage de type Kapandji▢ Groupe B : patients traités par plaque vissée verrouillée▢ Groupe C : patients traités par embrochage classiques▢ Groupe D : patients traités par embrochage type HK 2▢ Groupe E : patients traités par fixateurs externesDans notre étude la moyenne d’âge était de 39 ans et le sexe masculin était prédominantLes patients étaient opérés et revus en consultation entre 3 et 12 mois. Chaque patient était évalué par le score de DASH, et une radiographie du poignet de face et de profil était également réalisée. Les fractures type A2 selon la classification AO était dominante avec un pourcentage de 54% des cas suivie par le type C1 17%, puis le type A3 à 9% des cas ; Pour la classification de CASTAING c’est le type 2 qui est le plus représenté soit 53% des cas.Discussion : L’utilisation de la technique HK2 dans le traitement des fractures du radius distal, nous a donné de meilleurs résultats par rapport à l’ostéosynthèse par embrochage de type Kapandji.Les résultats de notre étude restent similaires à ceux des autres études de la littérature recommandant le recours à cette technique dans ce type de fracture.Les fractures de l’extrémité distale du radius sont des fractures fréquentes, du sujet jeune au sujet ostéoporotique. Nous avons, pour cela, réalisé une étude rétrospective. 52 patients, de plus de 16 ans, victimes d’une fracture articulaire ou extra-articulaire du radius distal ; traités chirurgicalement ont été inclus dans cette étude et répartis comme suit :▢ Groupe A : patients traités par embrochage de type Kapandji▢ Groupe B : patients traités par plaque vissée verrouillée▢ Groupe C : patients traités par embrochage classiques▢ Groupe D : patients traités par embrochage type HK 2▢ Groupe E : patients traités par fixateurs externesDans notre étude la moyenne d’âge était de 39 ans et le sexe masculin était prédominantLes patients étaient opérés et revus en consultation entre 3 et 12 mois. Chaque patient était évalué par le score de DASH, et une radiographie du poignet de face et de profil était également réalisée. Les fractures type A2 selon la classification AO était dominante avec un pourcentage de 54% des cas suivie par le type C1 17%, puis le type A3 à 9% des cas ; Pour la classification de CASTAING c’est le type 2 qui est le plus représenté soit 53% des cas.Discussion : L’utilisation de la technique HK2 dans le traitement des fractures du radius distal, nous a donné de meilleurs résultats par rapport à l’ostéosynthèse par embrochage de type Kapandji.Les résultats de notre étude restent similaires à ceux des autres études de la littérature recommandant le recours à cette technique dans ce type de fracture

    Fractures De La diaphyse humérale Une étude rétrospective comparative de technique HACKETHAL Vs plaque vissée : A propos de 19 cas

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    Introduction: They represent 2% of all fractures. The main debate around recent fractures focuses on the therapeutic indications for all types of surgical stabilization have sometimes unconditional and strident defenders. Material and Methods: A series of 19 osteosynthesis was reviewed: 4 with other traumas, 1 case of skin incision and two initial radial nerve palsy. The osteosynthesis by plate was performed in 7 patients and by bundle pinning in 12 patients. The outcome evaluation was made with the listing for Stewart & Hundley amended. Results: For patients treated with plate: 2 postoperative radial nerve palsy. There were 1 non- union and no case of sepsis.71, 4% of patients had good and excellent results. For patients treated by bundle pinning: no radial nerve palsy, 1 case of non-union, and no cases of sepsis, under-acromial conflict, or of pin protrusion in the top. Good and very good results concerned 91, 7% of patients. Conclusion: The choice of therapeutic methods is difficult. There is no method that could lead to unanimous. The bundle pinning fixation could be this method, but the risk of stiffness of the shoulder is a feared complicationIntroduction Elles représentent 2% de l’ensemble des fractures ; Le débat principal autour des fractures de la diaphyse humérale se centre sur les indications thérapeutiques car tout type de stabilisation chirurgicale trouve des défenseurs parfois inconditionnels et véhéments. Matériels et Méthodes : Une série de 19 ostéosynthèses a été revue dont 4 polytraumatisés, 1 cas d’ouverture cutanée et deux paralysies radiales initiales. L'ostéosynthèse par plaque a été réalisée chez 7 patients et par embrochage fasciculé chez 12 malades. L’évaluation des résultats s'est faite avec la cotation de Stewart & Hundley modifiée. Résultats Pour les patients traités par plaque : Deux paralysies radiales post-opératoires, pas de pseudarthrose, pas de cas de sepsis. Les bons et très bons résultats concernent 71,4% des patients. Pour les patients traités par embrochage : pas de paralysie radiale ; 1 cas de pseudarthrose, pas de cas de sepsis, aucun cas de conflit sous acromiale ou de protrusion du clou en haut. Les bons et très bon résultats concernent 91,7% des patients. Conclusion Le choix entre les méthodes thérapeutiques est difficile. Il n'existe pas de méthode pouvant entraîner une adhésion unanime. L'embrochage fasciculé pourrait être cette méthode, mais le risque de raideur de l’épaule en fait une technique redoutée. L'ostéosynthèse par plaque aussi pourrait l’être mais son principal reproche est l’atteinte neurologique

    Traumatismes du rachis dorsolombaire : étude rétrospective sur les traumatismes du rachis dorsolombaire A propos de 26 cas

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    Notre travail est une étude rétrospective des caractéristiques épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques des traumatismes du rachis dorsolombaire dans le service de traumatologie du CHU Frantz Fanon, sur une période de 2 ans, allant du Janvier 2015 au Décembre 2016. ON a souligné les données suivantes : L’âge moyen de nos malades est de 29 ans. Le sexe masculin est le plus atteint (80,76%). Les étiologies sont dominées par les AVP avec un pourcentage de 53.84%, suivies des CHUTES (46,15%). La douleur rachidienne de la région traumatisée est le signe révélateur principal. Les déficits neurologiques sont fréquents (96,26%). Les fractures de la charnière dorsolombaire prédominent sur les atteintes lombaires et dorsales. La fracture- tassement est la lésion prédominante (65,35%) avec siège électif au niveau de la 1ère vertèbre lombaire. Le traitement chirurgical assurant une fixation efficace des lésions instables, a été réalisé chez tous les patients. L’évolution des paraplégiques reste encore menacée par certaines complications de la période initiale notamment les infections urinaires. L’évolution des troubles neurologiques étant dans l’ensemble variable. La lésion médullaire complète a un pronostic péjoratif.Notre travail est une étude rétrospective des caractéristiques épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques des traumatismes du rachis dorsolombaire dans le service de traumatologie du CHU Frantz Fanon, sur une période de 2 ans, allant du Janvier 2015 au Décembre 2016. ON a souligné les données suivantes : L’âge moyen de nos malades est de 29 ans. Le sexe masculin est le plus atteint (80,76%). Les étiologies sont dominées par les AVP avec un pourcentage de 53.84%, suivies des CHUTES (46,15%). La douleur rachidienne de la région traumatisée est le signe révélateur principal. Les déficits neurologiques sont fréquents (96,26%). Les fractures de la charnière dorsolombaire prédominent sur les atteintes lombaires et dorsales. La fracture- tassement est la lésion prédominante (65,35%) avec siège électif au niveau de la 1ère vertèbre lombaire. Le traitement chirurgical assurant une fixation efficace des lésions instables, a été réalisé chez tous les patients. L’évolution des paraplégiques reste encore menacée par certaines complications de la période initiale notamment les infections urinaires. L’évolution des troubles neurologiques étant dans l’ensemble variable. La lésion médullaire complète a un pronostic péjoratif

    Risk stratification of Barrett's oesophagus using a non-endoscopic sampling method coupled with a biomarker panel: a cohort study

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    Background Barrett's oesophagus predisposes to adenocarcinoma. However, most patients with Barrett's oesophagus will not progress and endoscopic surveillance is invasive, expensive, and fraught by issues of sampling bias and the subjective assessment of dysplasia. We investigated whether a non-endoscopic device, the Cytosponge, could be coupled with clinical and molecular biomarkers to identify a group of patients with low risk of progression suitable for non-endoscopic follow-up. Methods In this multicentre cohort study (BEST2), patients with Barrett's oesophagus underwent the Cytosponge test before their surveillance endoscopy. We collected clinical and demographic data and tested Cytosponge samples for a molecular biomarker panel including three protein biomarkers (P53, c-Myc, and Aurora kinase A), two methylation markers (MYOD1 and RUNX3), glandular atypia, and TP53 mutation status. We used a multivariable logistic regression model to compute the conditional probability of dysplasia status. We selected a simple model with high classification accuracy and applied it to an independent validation cohort. The BEST2 study is registered with ISRCTN, number 12730505. Findings The discovery cohort consisted of 468 patients with Barrett's oesophagus and intestinal metaplasia. Of these, 376 had no dysplasia and 22 had high-grade dysplasia or intramucosal adenocarcinoma. In the discovery cohort, a model with high classification accuracy consisted of glandular atypia, P53 abnormality, and Aurora kinase A positivity, and the interaction of age, waist-to-hip ratio, and length of the Barrett's oesophagus segment. 162 (35%) of 468 of patients fell into the low-risk category and the probability of being a true non-dysplastic patient was 100% (99% CI 96–100) and the probability of having high-grade dysplasia or intramucosal adenocarcinoma was 0% (0–4). 238 (51%) of participants were classified as of moderate risk; the probability of having high-grade dysplasia was 14% (9–21). 58 (12%) of participants were classified as high-risk; the probability of having non-dysplastic endoscopic biopsies was 13% (5–27), whereas the probability of having high-grade dysplasia or intramucosal adenocarcinoma was 87% (73–95). In the validation cohort (65 patients), 51 were non-dysplastic and 14 had high-grade dysplasia. In this cohort, 25 (38%) of 65 patients were classified as being low-risk, and the probability of being non-dysplastic was 96·0% (99% CI 73·80–99·99). The moderate-risk group comprised 27 non-dysplastic and eight high-grade dysplasia cases, whereas the high-risk group (8% of the cohort) had no non-dysplastic cases and five patients with high-grade dysplasia. Interpretation A combination of biomarker assays from a single Cytosponge sample can be used to determine a group of patients at low risk of progression, for whom endoscopy could be avoided. This strategy could help to avoid overdiagnosis and overtreatment in patients with Barrett's oesophagus. Funding Cancer Research UK

    Mutational signatures in esophageal adenocarcinoma define etiologically distinct subgroups with therapeutic relevance

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    Esophageal adenocarcinoma (EAC) has a poor outcome, and targeted therapy trials have thus far been disappointing owing to a lack of robust stratification methods. Whole-genome sequencing (WGS) analysis of 129 cases demonstrated that this is a heterogeneous cancer dominated by copy number alterations with frequent large-scale rearrangements. Co-amplification of receptor tyrosine kinases (RTKs) and/or downstream mitogenic activation is almost ubiquitous; thus tailored combination RTK inhibitor (RTKi) therapy might be required, as we demonstrate in vitro. However, mutational signatures showed three distinct molecular subtypes with potential therapeutic relevance, which we verified in an independent cohort (n = 87): (i) enrichment for BRCA signature with prevalent defects in the homologous recombination pathway; (ii) dominant T>G mutational pattern associated with a high mutational load and neoantigen burden; and (iii) C>A/T mutational pattern with evidence of an aging imprint. These subtypes could be ascertained using a clinically applicable sequencing strategy (low coverage) as a basis for therapy selection

    Authentication and characterisation of a new oesophageal adenocarcinoma cell line: MFD-1.

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    New biological tools are required to understand the functional significance of genetic events revealed by whole genome sequencing (WGS) studies in oesophageal adenocarcinoma (OAC). The MFD-1 cell line was isolated from a 55-year-old male with OAC without recombinant-DNA transformation. Somatic genetic variations from MFD-1, tumour, normal oesophagus, and leucocytes were analysed with SNP6. WGS was performed in tumour and leucocytes. RNAseq was performed in MFD-1, and two classic OAC cell lines FLO1 and OE33. Transposase-accessible chromatin sequencing (ATAC-seq) was performed in MFD-1, OE33, and non-neoplastic HET1A cells. Functional studies were performed. MFD-1 had a high SNP genotype concordance with matched germline/tumour. Parental tumour and MFD-1 carried four somatically acquired mutations in three recurrent mutated genes in OAC: TP53, ABCB1 and SEMA5A, not present in FLO-1 or OE33. MFD-1 displayed high expression of epithelial and glandular markers and a unique fingerprint of open chromatin. MFD-1 was tumorigenic in SCID mouse and proliferative and invasive in 3D cultures. The clinical utility of whole genome sequencing projects will be delivered using accurate model systems to develop molecular-phenotype therapeutics. We have described the first such system to arise from the oesophageal International Cancer Genome Consortium project.Cancer Research UK, Medical Research CouncilThis is the final version of the article. It first appeared from Nature Publishing Group via http://dx.doi.org/10.1038/srep3241

    Mutational signatures in esophageal adenocarcinoma define etiologically distinct subgroups with therapeutic relevance.

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    Esophageal adenocarcinoma (EAC) has a poor outcome, and targeted therapy trials have thus far been disappointing owing to a lack of robust stratification methods. Whole-genome sequencing (WGS) analysis of 129 cases demonstrated that this is a heterogeneous cancer dominated by copy number alterations with frequent large-scale rearrangements. Co-amplification of receptor tyrosine kinases (RTKs) and/or downstream mitogenic activation is almost ubiquitous; thus tailored combination RTK inhibitor (RTKi) therapy might be required, as we demonstrate in vitro. However, mutational signatures showed three distinct molecular subtypes with potential therapeutic relevance, which we verified in an independent cohort (n = 87): (i) enrichment for BRCA signature with prevalent defects in the homologous recombination pathway; (ii) dominant T>G mutational pattern associated with a high mutational load and neoantigen burden; and (iii) C>A/T mutational pattern with evidence of an aging imprint. These subtypes could be ascertained using a clinically applicable sequencing strategy (low coverage) as a basis for therapy selection.Whole-genome sequencing of esophageal adenocarcinoma samples was performed as part of the International Cancer Genome Consortium (ICGC) through the oEsophageal Cancer Clinical and Molecular Stratification (OCCAMS) Consortium and was funded by Cancer Research UK. We thank the ICGC members for their input on verification standards as part of the benchmarking exercise. We thank the Human Research Tissue Bank, which is supported by the National Institute for Health Research (NIHR) Cambridge Biomedical Research Centre, from Addenbrooke’s Hospital and UCL. Also the University Hospital of Southampton Trust and the Southampton, Birmingham, Edinburgh and UCL Experimental Cancer Medicine Centres and the QEHB charities. This study was partly funded by a project grant from Cancer Research UK. R.C.F. is funded by an NIHR Professorship and receives core funding from the Medical Research Council and infrastructure support from the Biomedical Research Centre and the Experimental Cancer Medicine Centre. We acknowledge the support of The University of Cambridge, Cancer Research UK (C14303/A17197) and Hutchison Whampoa Limited. We would like to thank Dr. Peter Van Loo for providing the NGS version of ASCAT for copy number calling. We are grateful to all the patients who provided written consent for participation in this study and the staff at all participating centres. Some of the work was undertaken at UCLH/UCL who received a proportion of funding from the Department of Health’s NIHR Biomedical Research Centres funding scheme. The work at UCLH/UCL was also supported by the CRUK UCL Early Cancer Medicine Centre.This is the author accepted manuscript. The final version is available from Nature Publishing Group via http://dx.doi.org/10.1038/ng.365

    Towards screening Barrett’s Oesophagus: current guidelines, imaging modalities and future developments

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    Barrett’s oesophagus is the only known precursor to oesophageal adenocarcinoma (OAC). Although guidelines on the screening and surveillance exist in Barrett’s oesophagus, the current strategies are inadequate. Oesophagogastroduodenoscopy (OGD) is the gold standard method in screening for Barrett’s oesophagus. This invasive method is expensive with associated risks negating its use as a current screening tool for Barrett’s oesophagus. This review explores current definitions, epidemiology, biomarkers, surveillance, and screening in Barrett’s oesophagus. Imaging modalities applicable to this condition are discussed, in addition to future developments. There is an urgent need for an alternative non-invasive method of screening and/or surveillance which could be highly beneficial towards reducing waiting times, alleviating patient fears and reducing future costs in current healthcare services. Vibrational spectroscopy has been shown to be promising in categorising Barrett’s oesophagus through to high-grade dysplasia (HGD) and OAC. These techniques need further validation through multicentre trials
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