73 research outputs found

    Detection of Change--Points in the Spectral Density. With Applications to ECG Data

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    We propose a new method for estimating the change-points of heart rate in the orthosympathetic and parasympathetic bands, based on the wavelet transform in the complex domain and the study of the change-points in the moments of the modulus of these wavelet transforms. We observe change-points in the distribution for both bands.Comment: proceeding of the workshop 'Fouille de donn\'ees temporelles et analyse de flux de donn\'ees' EGC'2009, january 27, Strasbourg, Franc

    CLASSIFYING HEARTRATE BY CHANGE DETECTION AND WAVELET METHODS FOR EMERGENCY PHYSICIANS

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    10 pages.Heart Rate Variability (HRV) carries a wealth of information about the physiological state and the behaviour of a living subject. Indeed, the heart rate variation is intrinsically linked to the autonomic nervous system: the Parasympathetic and Sympathetic systems. Thus, any imbalance in these two opposite systems results in a variation of the cardiac frequency modulation. It is also recognized that this alternation between equilibrium and disequilibrium (frequency variability) is an indicator of well being and good health. In other words, decreased heart rate variability is always linked to stress, fatigue and decreased physical performances. The aim of this work is to exploit the heart rate signals to detect situations of stress in different populations: emergency physicians, sportsmen, animal behaviours, etc...This paper introduces a methodological framework for the detection of stress and eventually well being. Our contribution is based on first extracting high and low frequencies energies which are linked to the Parasympathetic and Sympathetic systems. We then detect change points on these energies using the Filtered Derivative with p-value (FDpV) method. Finally, we develop a typology of cardiac activity by distinguishing homogeneous groups or state profiles having a characteristic similarity. We apply our methodology on a real dataset corresponding to an emergency doctor

    Urine cytology screening of French workers exposed to occupational urinary tract carcinogens: a prospective cohort study over a 20-year period

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    Objectives To demonstrate that urine cytology screening can provide relevant epidemiological data for earlier detection of urothelial cancer caused by occupational exposure. Design Prospective cohort study. Setting Industries using urothelial carcinogens in France. Urine samples were collected on site, after a work week and were analysed at the University Hospital of Clermont-Ferrand, France. Participants Participants were workers exposed to urothelial carcinogens. Women and current smokers at time of study recruitment were exclusion criteria. Outcomes Urine cells atypia were ranged into three classes: negative/normal, atypical/suspicious/ dysplasia or positive/malignant. Results We included 2020 workers over a period of 20 years from 1993 to 2013: 606 worked in rubber manufacturing, 692 from metal processing, 245 in chemical industry and 477 in roadwork and building industry. Workers had a mean exposure of 15.2±10.4 years before their first urine cytology screening. There was a mean of 3.4±4.3 urine cytology screenings per worker between 1993 and 2013. 6478 cytology were normal, 462 suspicious and 13 malignant. Suspicious and malignant cytology occurred in 4.8% of workers exposed for 1–10 years, 6.2% for 11–20 years of exposure, 7.6% for 21–30 years and 8.6% for > 30 years (p 30 years of exposure. Using metal processing as reference, the risk of pathological urine cytology results increased for rubber manufacturing (OR=1.32, 95% CI 1.05 to 1.65, p=0.02), with a trend for roadwork and building industry (OR=1.39, 95% CI 0.98 to 1.97, p=0.07) and for chemical industry (OR=1.34, 95% CI 0.94 to 1.93, p=0.11). Conclusions Urine cytology is a useful tool in occupational medicine. We promote new guidelines with an early screening of urothelial cancer by cytology, starting with beginning of exposure

    Etude de la pénibilité des spécialités et des tâches des maçons par la fréquence cardiaque

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    Notre objectif était d'identifier chez les maçons, les spécialités et les phases de travail plus pénibles. Une étude descriptive a été réalisée entre juillet 2011 et avril 2013, afin de mesurer la pénibilité au travail de 5 spécialités de maçons (coffreurs, de réhabilitation, de finition, de préfabriqué et en ateliers de fabrication) et de 6 phases de travail (coffrage, décoffrage, ferraillage, travaux préparatoires, coulage, rangement). En nous basant sur la cardiofréquencemétrie des 24h, nous avons calculé le Coût Cardiaque Relatif physiologique (CCRphy) et la Fréquence Cardiaque Moyenne au travail (FCMoy) pour chacun d'eux. Les enregistrements de 95 maçons de sexe masculin, âgés de 35,9 ans +- 10,6 ont pu être exploités. Les différences entre les spécialités n'étaient pas significatives. Les phases du coffrage sont plus exigeantes que celles du coulage et du rangement. Il en va de même entre le décoffrage et le coulage (p < 0,05). L'âge et l'IMC augmentent la FC de repos (r = 0,36 ; p < 0,001 et r = 0,22; p < 0,05). La fréquence cardiaque de sommeil augmente d'un battement par minute tous les 3 ans. Le pic de FCMax au travail diminue avec l'âge. Tous métiers confondus, il est constaté une augmentation de 5 bpm de la FCMoy au travail par rapport aux années 1992-95. Ainsi, malgré les progrès technologiques, la pénibilité cardiaque s'accroit depuis 20 ans vraisemblablement du fait de l'intensification du rythme de travail. Ces phases de travail identifiées les plus pénibles (maçon de réhabilitation, coffrage et décoffrage) deviennent des cibles prioritaires d'action pour réduire la pénibilité des maçonsLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Analyse rétrospective de la pathologie liée au harcèlement moral au travail en région Auvergne dans les années 1980

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    CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Analyse du risque violence au travail et de sa prise en charge Ă  partir de 104 cas d'agression en milieu hospitalier

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    Nous avons entrepris d'analyser les accidents du travail par agression ayant fait l'objet d'une déclaration, sur 3 années consécutives de 2007 à 2009 inclus. Cette étude avait pour but d'évaluer les conséquences sur la santé et sur le travail de ces agressions, ainsi que la qualité de la prise en charge, d'identifier les mesures de prévention en place ou à promouvoir. Les objectifs secondaires étaient de mettre en évidence une éventuelle sous-déclaration de ces aggressions et d'analyser la perception de la violence. Un questionnaire a été envoyé aux 96 personnes concernées par les déclarations. Suite au retour de 44 questionnaires, des entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de 21 personnes ayant accepté d'y participer. Sur le risque violence : il apparaît que plus d'un tiers des répondants sont exposés quotidiennement à la violence verbale au cours de leur travail. Près de 90% avaient déjà été victimes d'agressions non déclarées en accident du travail. Sur les conséquences de l'agression : 52,2% des répondants ont constaté des répercussions psychologiques initialement marquées, évoluant généralement vers la résolution. La prise en charge psychologique a été considérée insuffisante ou inexistante par 71,4%. Alors que la formation à la gestion de la violence a été jugée nécessaire par la majeure partie (90,9%) des répondants, seul un tiers (31,8%) en a bénéficié. Il apparait nécessaire de prendre en compte la violence au sein de l'hôpital, phénomène difficile à évaluer et sous-estimé. Les mesures de prévention, comme l'accès aux formations à la gestion de la violence, ainsi que la prise en charge psychologique, méritent d'être améliorées.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    LIMITES DE L'UTILISATION DE LA FREQUENCE CARDIAQUE DANS LA GESTION D'EFFORTS EXHAUSTIFS AU LABORATOIRE, SUR LE TERRAIN ET EN COMPETITION (DOCTORAT)

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    CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Organisation nationale des consultations en lien avec le risque psychosocial dans les Centre de Consultation de Pathologie Professionnelle au sein du Réseau National de Vigilance et de Prévention des Pathologies Professionnelles en 2009-2010

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    L'Agence Française de Sécurité Sanitaire de l'Environnement et du Travail (AFSSET), pour diligenter les évaluations de risques qui peuvent lui être confiées selon le code de la santé publique, s'appuie notamment sur le Réseau National de Vigilance et de Prévention des Pathologies Professionnelles (RNV3P). Celui-ci exploite et valorise une base informatique nationale, rassemblant les données collectées localement par les 32 Centres de Consultation de Pathologies Professionnelles (CCPP) de centres hospitaliers. Ces données concernent les différents risques traités par les CCPP dont le psychosocial de façon de plus en plus prégnante. Cette enquête auprès des 32 CCPP du RNV3P, a pour but de décrire le mode de prise en charge du risque psychosocial au sein de chacun d'entre eux. Un 1er contact auprès de chaque CCPP a été établi en 2009, afin de recenser les intervenants impliqués dans la prise en charge du risque psychosocial. Un questionnaire a ensuite été élaboré et adressé à ces intervenants et aux responsables des CCPP. Il s'attache à retracer plus particulièrement le mode d'organisation des consultations en lien avec cette problématique, le recrutement, les outils et méthodologies utilisés, les moyens disponibles et les difficultés rencontrées. Les données ont été recueillies soit par courrier, soit par courriel, soit par entretiens directs ou téléphoniques. Sur les 32 centres du RNV3P interrogés, 29 disposent d'une consultation en lien avec le risque psychosocial mais 1 d'entre elles était inactive lors de l'enquête du fait du départ de l'intervenant. Cette étude confirme des organisations très diverses en fonction des CCPP et des moyens disponibles, allant de consultations uniques à un seul intervenant jusqu'à des prises en charge multidisciplinaires répétées et coordonnées touchant aux domaines médicaux, psychologiques, sociaux, juridiques... Le risque psychosocial est devenu au plan national, le 1er motif de consultation dans la majorité des CCPP. Pourtant, la plupart des CCPP fait face à cette problématique avec des moyens jugés insuffisants. Il existe de fortes disparités entre les centres sur les modalités de prise en charge. Toutefois une uniformisation des consultations semble inadaptée compte tenu des variétés de situation locale (typologie des consultants dépendante des tissus économiques et sociaux environnants, absence manifeste de financement autonome et pérenne de ces consultations lourdes). Cependant, une majorité des intervenants des CCPP est favorable au développement ou à l'utilisation d'outils méthodologiques communs. Notre travail recense les plus utilisés lors des entretiens. Des avancées vers des pratiques partagées sont également en cours, avec l'adoption prochaine d'un nouveau thésaurus des nuisances psychosociales au sein du RNV3P, qui devrait permettre une évaluation épidémiologique encore plus aboutie.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Enquête à distance (de 3 à 5 ans) de 66 patients vus en consultation de souffrance psychique au travail du CHU de Clermont Ferrand sous les angles médicaux, professionnels et médicolégaux

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    Le Centre de Consultations de Pathologies Professionnelles (CCPP) de Clermont-Ferrand a mis en place une consultation spécialisée de souffrance psychique au travail en mai 2002. Elle évalue les mécanismes et répercussions des situations professionnelles à fortes contraintes psychosociales, certaines d'entre elles pouvant relever du harcèlement moral au travail, sur la santé et sur l'avenir professionnel. Cette étude est une enquête à distance qui avait pour but de décrire la population de consultants, d'évaluer à distance l'état des patients sous les angles médicaux, professionnels et médico-légaux, et la perception du service médical rendu de la consultation de souffrance psychique au travail par les patients. Un questionnaire a été envoyé aux 171 premiers patients adressés à la consultation de souffrance psychique au travail, soit un délai moyen de 4,5 ans. Cet auto-questionnaire portait sur leur situation professionnelle actuelle, sur leur état psychologique accompagné de questionnaires standardisés (questionnaire HAD, échelle de Chamoux-Simard), sur l'évolution de leurs démarches juridiques. De plus, il proposait une évaluation des 2 consultations par les patients. Un second questionnaire a été envoyé aux 8 patients ayant consulté un médecin légiste. Sur les 66 patients ayant répondu au 1er questionnaire (39%), nous avons mis en évidence que les symptômes d'anxiété, de dépression, de stress au travail sont toujours présents à distance de la prise en charge mais significativement moindres. Il apparaît que le fait de présenter un état anxiodépressif majeur à la consultation initiale est un facteur de risque de départ de l'entreprise. Après 4,5 ans, la moitié des patients présentent toujours un syndrome anxiodépressif majeur. Sur les 4 patients ayant répondu au questionnaire médicolégal, il apparaît que seuls 3 salariés sur les 4 ont utilisé en justice leur certificat descriptif initial. Les situations professionnelles à fortes contraintes psychosociales, certaines d'entre elles pouvant relever du harcèlement moral au travail, provoquent de graves pathologies psychologiques, avec d'importantes répercussions sur la santé et sur l'avenir professionnel. Cette consultation de souffrance psychique au travail intégrant une prise en charge multidisciplinaire doit être pérennisée et a été améliorée par la mise en place d'une consultation supplémentaire de suivi, effectuée à distance par une psychologue.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Pathologies cardiovasculaires professionnelles

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    Selon les statistiques européennes établies en 2005, les maladies cardiovasculaires sont avec 1,9 million de morts la première cause de mortalité et représentent 42% des décès dans l'Union Européenne. Les 9 facteurs de risques cardiovasculaires combinés (taux anormal de lipides dans le sang, tabagisme, hypertension artérielle, diabète, obésité abdominale, stress, non-consommation d'alcool, la consommation réduite de fruits et légumes et la pratique insuffisante d'une activité physique) permettent de prévoir 90% du risque cardiovasculaire. Pourtant ces statistiques ne prennent pas ou peu en compte les décès ou morbidités liés à l'environnement de travail. Ainsi à côté des rares expositions toxiques professionnelles recensées, de nouveaux facteurs de risques cardiovasculaires ont été mis en évidence : le stress résultant des contraintes psychologiques au travail et le travail posté... Il est à noter que ces pathologies peuvent provoquer des handicaps majeurs d'où la nécessité pour le médecin du travail d'aménager le poste de travail soit par des restrictions temporaires ou définitives, soit par un reclassement professionnel afin de protéger et maintenir le salarié "cardiaque" au travail. Nous aborderons successivement les chapitres intéressant les agents chimiques organiques et minéraux, les agents physiques puis les facteurs de risque de l'environnement professionnel reconnus, à savoir : travail posté, tabagisme passif, sédentarité, ainsi que les contraintes psychologiques et sociales. Approche diagnostique, aptitude au travail, stratégie de prévention et réparation feront l'objet de chapitres spécifiques.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
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