31 research outputs found

    Modifying effect of dual antiplatelet therapy on incidence of stent thrombosis according to implanted drug-eluting stent type

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    Aim To investigate the putative modifying effect of dual antiplatelet therapy (DAPT) use on the incidence of stent thrombosis at 3 years in patients randomized to Endeavor zotarolimus-eluting stent (E-ZES) or Cypher sirolimus-eluting stent (C-SES). Methods and results Of 8709 patients in PROTECT, 4357 were randomized to E-ZES and 4352 to C-SES. Aspirin was to be given indefinitely, and clopidogrel/ticlopidine for ≥3 months or up to 12 months after implantation. Main outcome measures were definite or probable stent thrombosis at 3 years. Multivariable Cox regression analysis was applied, with stent type, DAPT, and their interaction as the main outcome determinants. Dual antiplatelet therapy adherence remained the same in the E-ZES and C-SES groups (79.6% at 1 year, 32.8% at 2 years, and 21.6% at 3 years). We observed a statistically significant (P = 0.0052) heterogeneity in treatment effect of stent type in relation to DAPT. In the absence of DAPT, stent thrombosis was lower with E-ZES vs. C-SES (adjusted hazard ratio 0.38, 95% confidence interval 0.19, 0.75; P = 0.0056). In the presence of DAPT, no difference was found (1.18; 0.79, 1.77; P = 0.43). Conclusion A strong interaction was observed between drug-eluting stent type and DAPT use, most likely prompted by the vascular healing response induced by the implanted DES system. These results suggest that the incidence of stent thrombosis in DES trials should not be evaluated independently of DAPT use, and the optimal duration of DAPT will likely depend upon stent type (Clinicaltrials.gov number NCT00476957

    [Role of endovascular treatment of symptomatic splanchnic artery stenoses in HIV patients: report of three cases].

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    International audiencePatients with HIV or AIDS frequently present with GI symptoms, sometimes due to early and diffuse atherosclerosis. We report 3 cases of HIV patients with abdominal pain due to severe splanchnic arterial stenosis. Only one patient presented typical clinical findings of mesenteric ischemic. Endovascular treatment was performed in all three cases. Good clinical outcome was immediate in 2 cases. In the third case, subsequent bowel resection was required due to irreversible ischemic injury in spite of local thrombolysis and endovascular revascularization in a patient presenting with acute severe mesenteric ischemia. In all three cases, vascular patency was demonstrated at follow-up. Mesenteric ischemia is a severe complication requiring early diagnosis in HIV patients, especially those with vascular risk factors, especially since endovascular treatment is a valid therapeutic option

    Dose au cuir chevelu en neuroradiologie interventionnelle : évaluation de la technologie de dosimétrie MOSFET

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    Objectifs : Évaluer la technologie MOSFET en comparaison avec la technologie des films radiochromiques pour déterminer la dose cutanée maximale reçue par le patient au niveau du cuir chevelu lors d’embolisations vasculaires intra crâniennes. Sensibiliser les opérateurs à l’importance de la dose reçue par les patients avec la visualisation en temps réel de cette valeur que permet la technologie MOSFET. Matériel et méthode : Six patients traités pour un anévrysme intracrânien ont fait l’objet de 24 mesures comparatives de dose par film radiochromique et avec la technologie MOSFET. Résultats : Les dosimètres MOSFET mesuraient la dose ponctuelle au cuir chevelu du patient en temps réel et avec un niveau de précision suffisant, compte tenu du besoin (dose inférieure de 9 % à celle lue par les films dans 54 % des cas et supérieure de 12 % dans 45 % des cas). Néanmoins, il s’agissait de valeurs localisées au point de mesure de chaque dosimètre MOSFET, alors que les films radiochromiques permettaient d’accéder à une cartographie dosimétrique prenant en compte les recoupes et chevauchements des champs d’exposition. Conclusion : La dosimétrie MOSFET, actuellement plus onéreuse, nous apparaissait donc plus indiquée pour des mesures de dose ciblées (e.g. cristallin) ou sur des champs de dose uniforme que pour une recherche systématique de la dose cutanée maximale lors d’embolisations vasculaires intracrâniennes, pour laquelle nous persisterons à utiliser les films radiochromiques

    Eye lens irradiation by CT perfusion: dosimetry and optimization

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    International audienc

    Irradiation des cristallins des patients par scanners de perfusion itératifs : dosimétrie et optimisation

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    Le cristallin est un organe radiosensible. En avril 2011, la Commission Internationale de Protection Radiologique (CIPR) fixait à 500 mGy la nouvelle dose seuil d’apparition d’effets déterministes au cristallin. Les patients qui présentent un anévrysme intracérébral rompu bénéficient d’examens scanographiques de l’encéphale (CT) justifiés, pour le diagnostic et le suivi post traitement, réalisé le plus souvent par embolisation radioguidée. Ces examens itératifs exposent le cristallin aux rayons X. Cet article chiffre l’exposition des cristallins de 18 patients ayant bénéficié en 2011 d’examens scanographiques encéphaliques suite à une rupture d’anévrysme intracérébral, et propose un moyen de diminuer cette exposition. Dans notre étude, 44 % des patients étudiés ont reçu une dose supérieure à 500 mGy au niveau des yeux, générée par les examens scanographiques et en particulier les CT de perfusion, indispensables pour évaluer le risque d’ischémie retardée par vasospasme. Nous avons observé qu’en positionnant les patients en hyper flexion cervicale lors de la réalisation des scanners de perfusion, la dose aux cristallins pouvait être diminuée de près de 50 %
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