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    Erratum to: 36th International Symposium on Intensive Care and Emergency Medicine

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    [This corrects the article DOI: 10.1186/s13054-016-1208-6.]

    Analyse experimentale des effets de concurrence d'une graminee adventice dans un ble de printemps en relation avec le desherbage

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    National audienc

    Yield response of spring wheat to increasing densities of spring oats and various forms of post-emergence weed control

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    Reductions in the yields of spring wheat (cv Bastion) caused by interference from spring oat (cv Selma), considered as a weed, were estimated in field studies on post-emergence weed control in Dijon (France). The growth and development of both plants in competition was different for each of the 3 experimental years. Wheat yield losses were significantly greater on oat-infested plots than on plots treated with diclofop-methyl. A hyperbolic model provided an excellent fit to data for both wheat-grain yield and ear density as a function of oat density, measured at the beginning of tillering. On infested plots where the oats was left to grow until harvest, the number of grains per wheat ear decreased with increasing oat density, and weight-per-grain was not affected. On plots where diclofop-methyl was not applied, chemical control of broad-leaf weeds did not increase wheat yield. On plots controlled with diclofop-methyl, the per cent wheat yield losses differed with the chemical weed control of broad leaf weeds used. When diclofopmethyl and 2,4-D were applied on the same day, the number of wheat ears m-2 was lower than for other diclofopmethyl + antidicotyledoneous herbicide applications. These results show that competitive interference between weeds and crop plants can be modified by the sequence of herbicides applied, so altering the measured crop yield components.Réponses du rendement du blé tendre de printemps à des densités croissantes d'avoine de printemps en combinaison avec diverses formes de lutte chimique herbicide de post-levée. Des expériences de plein champ ont été conduites en 1984, 1985 et 1986, afin de déterminer les effets de densités croissantes d'avoine de printemps (Avena sativa L cv Selma), considérée comme une mauvaise herbe, sur la croissance et le rendement du blé de printemps (Triticum aestivum L cv Bastion) en relation avec le désherbage. Les 2 espèces ont été semées le même j. Dans la moitié des parcelles, l'avoine a été éliminée en appliquant du diclofop-méthyl au stade 2 à 3 talles du blé. Des infestations naturelles de dicotylédones adventices ont été soit: 1) laissées sur les parcelles; 2) maîtrisées avec l'association herbicide «ioxynil + mécoprop»; 3) maîtrisées avec une application précoce de 2,4-D; 4) maîtrisées avec une application tardive de 2,4-D. Le diclofop-méthyl s'est montré hautement efficace chaque année et aucune plante d'avoine n'était présente sur les parcelles traitées, une sem après le désherbage au diclofop-méthyl. Lorsque la densité d'avoine s'élève, la production en grain du blé, comme le nombre d'épis par m 2 diminue fortement sur les parcelles infestées en avoine et faiblement sur les parcelles traitées au diclofop-méthyl. Sur les parcelles infestées en avoine jusqu'à la récolte, le nombre de grains par épi décroît quand la densité d'avoine augmente alors que le poids de 1 000 grains n'est pas réduit. Les effets du désherbage chimique des mauvaises herbes dicotylédones sur le rendement du blé sont à examiner en fonction du traitement au diclofop-méthyl. Sur les parcelles non traitées au diclofop-méthyl, sa réalisation ne se traduit jamais par une augmentation du rendement du blé, ce qui peut s'expliquer par le faible pourcentage de biomasse des mauvaises herbes dicotylédones par rapport à la biomasse végétale totale (moins de 5%). En revanche, sur les parcelles traitées au diclofop-méthyl, lorsque le diclofop-méthyl et le 2,4-D sont appliqués le méme j (application précoce de 2,4-D), le nombre d'épis par m2 de blé à la récolte est diminué comparativement à d'autres traitements diclofop-méthyl + herbicides antidicotylédones. Sur les parcelles traitées au diclofopméthyl, des augmentations du nombre de grains par épi en 1985 et du poids de 1 000 grains en 1984 et en 1985 ont été constatées sur les parcelles traitées précocement par des herbicides antidicotylédones. Ces résultats montrent que les interactions de compétition entre mauvaises herbes et plantes cultivées peuvent changer au cours de l'application d'une séquence d'herbicides à cause des effets sur les composantes du rendement

    Réponses du rendement du blé tendre de printemps à des densités croissantes d’avoine de printemps en combinaison avec diverses formes de lutte chimique herbicide de post-levée

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    International audienceReductions in the yields of spring wheat (cv Bastion) caused by interference from spring oat (cv Selma), considered as a weed, were estimated in field studies on post-emergence weed control in Dijon (France). The growth and development of both plants in competition was different for each of the 3 experimental years. Wheat yield losses were significantly greater on oat-infested plots than on plots treated with diclofop-methyl. A hyperbolic model provided an excellent fit to data for both wheat-grain yield and ear density as a function of oat density, measured at the beginning of tillering. On infested plots where the oats was left to grow until harvest, the number of grains per wheat ear decreased with increasing oat density, and weight-per-grain was not affected. On plots where diclofop-methyl was not applied, chemical control of broad-leaf weeds did not increase wheat yield. On plots controlled with diclofop-methyl, the per cent wheat yield losses differed with the chemical weed control of broad leaf weeds used. When diclofopmethyl and 2,4-D were applied on the same day, the number of wheat ears m-2 was lower than for other diclofopmethyl + antidicotyledoneous herbicide applications. These results show that competitive interference between weeds and crop plants can be modified by the sequence of herbicides applied, so altering the measured crop yield components.Des expériences de plein champ ont été conduites en 1984, 1985 et 1986, afin de déterminer les effets de densités croissantes d’avoine de printemps (Avena sativa L cv Selma), considérée comme une mauvaise herbe, sur la croissance et le rendement du blé de printemps (Triticum aestivum L cv Bastion) en relation avec le désherbage. Les 2 espèces ont été semées le même j. Dans la moitié des parcelles, l’avoine a été éliminée en appliquant du diclofop-méthyl au stade 2 à 3 talles du blé. Des infestations naturelles de dicotylédones adventices ont été soit: 1) laissées sur les parcelles; 2) maîtrisées avec l’association herbicide «ioxynil + mécoprop»; 3) maîtrisées avec une application précoce de 2,4-D; 4) maîtrisées avec une application tardive de 2,4-D. Le diclofop-méthyl s’est montré hautement efficace chaque année et aucune plante d’avoine n’était présente sur les parcelles traitées, une sem après le désherbage au diclofop-méthyl. Lorsque la densité d’avoine s’élève, la production en grain du blé, comme le nombre d’épis par m2 diminue fortement sur les parcelles infestées en avoine et faiblement sur les parcelles traitées au diclofop-méthyl. Sur les parcelles infestées en avoine jusqu’à la récolte, le nombre de grains par épi décroît quand la densité d’avoine augmente alors que le poids de 1 000 grains n’est pas réduit. Les effets du désherbage chimique des mauvaises herbes dicotylédones sur le rendement du blé sont à examiner en fonction du traitement au diclofop-méthyl. Sur les parcelles non traitées au diclofop-méthyl, sa réalisation ne se traduit jamais par une augmentation du rendement du blé, ce qui peut s’expliquer par le faible pourcentage de biomasse des mauvaises herbes dicotylédones par rapport à la biomasse végétale totale (moins de 5%). En revanche, sur les parcelles traitées au diclofop-méthyl, lorsque le diclofop-méthyl et le 2,4-D sont appliqués le méme j (application précoce de 2,4-D), le nombre d’épis par m2 de blé à la récolte est diminué comparativement à d’autres traitements diclofop-méthyl + herbicides antidicotylédones. Sur les parcelles traitées au diclofopméthyl, des augmentations du nombre de grains par épi en 1985 et du poids de 1 000 grains en 1984 et en 1985 ont été constatées sur les parcelles traitées précocement par des herbicides antidicotylédones. Ces résultats montrent que les interactions de compétition entre mauvaises herbes et plantes cultivées peuvent changer au cours de l’application d’une séquence d’herbicides à cause des effets sur les composantes du rendement

    Yield response of spring wheat to increasing densities of spring oats and various forms of post-emergence weed control

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    Reductions in the yields of spring wheat (cv Bastion) caused by interference from spring oat (cv Selma), considered as a weed, were estimated in field studies on post-emergence weed control in Dijon (France). The growth and development of both plants in competition was different for each of the 3 experimental years. Wheat yield losses were significantly greater on oat-infested plots than on plots treated with diclofop-methyl. A hyperbolic model provided an excellent fit to data for both wheat-grain yield and ear density as a function of oat density, measured at the beginning of tillering. On infested plots where the oats was left to grow until harvest, the number of grains per wheat ear decreased with increasing oat density, and weight-per-grain was not affected. On plots where diclofop-methyl was not applied, chemical control of broad-leaf weeds did not increase wheat yield. On plots controlled with diclofop-methyl, the per cent wheat yield losses differed with the chemical weed control of broad leaf weeds used. When diclofopmethyl and 2,4-D were applied on the same day, the number of wheat ears m-2 was lower than for other diclofopmethyl + antidicotyledoneous herbicide applications. These results show that competitive interference between weeds and crop plants can be modified by the sequence of herbicides applied, so altering the measured crop yield components.Réponses du rendement du blé tendre de printemps à des densités croissantes d'avoine de printemps en combinaison avec diverses formes de lutte chimique herbicide de post-levée. Des expériences de plein champ ont été conduites en 1984, 1985 et 1986, afin de déterminer les effets de densités croissantes d'avoine de printemps (Avena sativa L cv Selma), considérée comme une mauvaise herbe, sur la croissance et le rendement du blé de printemps (Triticum aestivum L cv Bastion) en relation avec le désherbage. Les 2 espèces ont été semées le même j. Dans la moitié des parcelles, l'avoine a été éliminée en appliquant du diclofop-méthyl au stade 2 à 3 talles du blé. Des infestations naturelles de dicotylédones adventices ont été soit: 1) laissées sur les parcelles; 2) maîtrisées avec l'association herbicide «ioxynil + mécoprop»; 3) maîtrisées avec une application précoce de 2,4-D; 4) maîtrisées avec une application tardive de 2,4-D. Le diclofop-méthyl s'est montré hautement efficace chaque année et aucune plante d'avoine n'était présente sur les parcelles traitées, une sem après le désherbage au diclofop-méthyl. Lorsque la densité d'avoine s'élève, la production en grain du blé, comme le nombre d'épis par m 2 diminue fortement sur les parcelles infestées en avoine et faiblement sur les parcelles traitées au diclofop-méthyl. Sur les parcelles infestées en avoine jusqu'à la récolte, le nombre de grains par épi décroît quand la densité d'avoine augmente alors que le poids de 1 000 grains n'est pas réduit. Les effets du désherbage chimique des mauvaises herbes dicotylédones sur le rendement du blé sont à examiner en fonction du traitement au diclofop-méthyl. Sur les parcelles non traitées au diclofop-méthyl, sa réalisation ne se traduit jamais par une augmentation du rendement du blé, ce qui peut s'expliquer par le faible pourcentage de biomasse des mauvaises herbes dicotylédones par rapport à la biomasse végétale totale (moins de 5%). En revanche, sur les parcelles traitées au diclofop-méthyl, lorsque le diclofop-méthyl et le 2,4-D sont appliqués le méme j (application précoce de 2,4-D), le nombre d'épis par m2 de blé à la récolte est diminué comparativement à d'autres traitements diclofop-méthyl + herbicides antidicotylédones. Sur les parcelles traitées au diclofopméthyl, des augmentations du nombre de grains par épi en 1985 et du poids de 1 000 grains en 1984 et en 1985 ont été constatées sur les parcelles traitées précocement par des herbicides antidicotylédones. Ces résultats montrent que les interactions de compétition entre mauvaises herbes et plantes cultivées peuvent changer au cours de l'application d'une séquence d'herbicides à cause des effets sur les composantes du rendement

    Assessing the efficiency of clustering algorithms and goodness-of-fit measures using phytoplankton field data

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    Investigation of patterns in beta diversity has received increased attention over the last years particularly in light of new ecological theories such as the metapopulation paradigm and metacommunity theory. Traditionally, beta diversity patterns can be described by cluster analysis (i.e. dendrograms) that enables the classification of samples. Clustering algorithms define the structure of dendrograms, consequently assessing their performance is crucial. A common, although not always appropriate approach for assessing algorithm suitability is the cophenetic correlation coefficient c. Alternatively the 2-norm has been recently proposed as an increasingly informative method for evaluating the distortion engendered by clustering algorithms. In the present work, the 2-norm is applied for the first time on field data and is compared with the cophenetic correlation coefficient using a set of 105 pairwise combinations of 7 clustering methods (e.g. UPGMA) and 15 (dis)similarity/distance indices (e.g. Jaccard index). In contrast to the 2-norm, cophenetic correlation coefficient does not provide a clear indication on the efficiency of the clustering algorithms for all combinations. The two approaches were not always in agreement in the choice of the most faithful algorithm. Additionally, the 2-norm revealed that UPGMA is the most efficient clustering algorithm and Ward's the least. The present results suggest that goodness-of-fit measures such as the 2-norm should be applied prior to clustering analyses for reliable beta diversity measures
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