11 research outputs found

    Proportional fitness loss and the timing of defensive investment: a cohesive framework across animals and plants

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    The risk of consumption is a pervasive aspect of ecology and recent work has focused on synthesis of consumer–resource interactions (e.g., enemy–victim ecology). Despite this, theories pertaining to the timing and magnitude of defenses in animals and plants have largely developed independently. However, both animals and plants share the common dilemma of uncertainty of attack, can gather information from the environment to predict future attacks and alter their defensive investment accordingly. Here, we present a novel, unifying framework based on the way an organism’s ability to defend itself during an attack can shape their pre-attack investment in defense. This framework provides a useful perspective on the nature of information use and variation in defensive investment across the sequence of attack-related events, both within and among species. It predicts that organisms with greater proportional fitness loss if attacked will gather and respond to risk information earlier in the attack sequence, while those that have lower proportional fitness loss may wait until attack is underway. This framework offers a common platform to compare and discuss consumer effects and provides novel insights into the way risk information can propagate through populations, communities, and ecosystems

    Asia. 1 / [carte reprod. par Newton & Co]

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    Appartient à l’ensemble documentaire : PhoVerre

    Les usages du bois dans la ville et le palais de Malia

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    Érigé au début du 2ème millénaire av. J.-C., le palais minoen de Malia est la proie de plusieurs destructions dont l’édifice se relève avec des modifications parfois substantielles à son état antérieur, jusqu’à sa destruction finale vers 1450 av. J.-C. L’étude architecturale de l’édifice a ainsi mis en évidence une séquence riche et complexe ayant entraîné l’incorporation dans les phases les plus tardives du palais d’éléments anciens. Cette ‘synthèse’ architecturale d’éléments de diverses époques – pré-, proto- et néopalatiale – est à l’origine de la variété des maçonneries qui composent le palais, une variété également due aux compétences diverses des maçons qui ont œuvré à sa construction. Le calcaire gris bleu local (sidéropétra) et le grès dunaire (ammoudopétra) sont les matériaux les mieux représentés au palais de Malia, où ils sont utilisés sous la forme de blocs ou moellons grossiers ou de blocs soigneusement taillés, tandis que d’autres pierres apparaissent dans des proportions moindres et pour des éléments architectoniques particuliers (bases de colonnes, seuils, assise de nivellement, marches, linteaux et revêtements de sol). Si l’utilisation de la pierre au palais de Malia a fait l’objet d’investigations poussées liées notamment aux aspects techniques et humains de la construction, d’autres matériaux sont souvent délaissés. C’est le cas de la brique crue et du bois, véritables ‘parents pauvres’ de l’architecture minoenne. Cette présentation envisage de traiter l’utilisation du bois dans le palais de Malia en sollicitant deux types de sources : d’une part l’observation détaillée de la ruine à la recherche d’indices révélateurs de la présence d’éléments structurels en bois, et d’autre part les informations produites lors des fouilles du palais et relatées dans les carnets et publications anciennes et illustrées par la documentation graphique (photos et croquis) du début du XXème siècle. Elle se fonde non seulement sur les traces laissées dans les murs par les éléments en bois aujourd’hui disparus (empreintes, mortaises et autres évidements), mais aussi sur les traits généraux des différents types de maçonneries. En effet, alors que certains murs d’apparence fragile n’ont pas requis de structure en bois intégrée dans la maçonnerie – les murs prépalatiaux en briques intégrés dans le palais proto- puis néopalatial, d’autres qui semblaient structurellement plus puissants font état de l’utilisation soignée d’éléments en bois – murs en pierre de taille de la Cour Nord. Il s’agit dans cette présentation de dresser l’état des connaissances concernant l’usage du bois dans le palais de Malia, et de jeter ainsi les bases d’une discussion qui permettra de préciser la méthodologie et d’affiner les questions de la recherche sur l’utilisation du bois dans l’architecture maliote à l’âge du Bronze

    The elusive Hadean enriched reservoir revealed by <sup>142</sup>Nd deficits in Isua Archaean rocks

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    International audienceThe first indisputable evidence for very early differentiation of the silicate Earth came from the extinct 146Sm-142Nd chronometer. 142Nd excesses measured in 3.7-billion-year (Gyr)-old rocks from Isua1, 2 (southwest Greenland) relative to modern terrestrial samples imply their derivation from a depleted mantle formed in the Hadean eon (about 4,570-4,000 Gyr ago). As dictated by mass balance, the differentiation event responsible for the formation of the Isua early-depleted reservoir must also have formed a complementary enriched component. However, considerable efforts to find early-enriched mantle components in Isua have so far been unsuccessful3, 4, 5, 6, 7. Here we show that the signature of the Hadean enriched reservoir, complementary to the depleted reservoir in Isua, is recorded in 3.4-Gyr-old mafic dykes intruding into the Early Archaean rocks. Five out of seven dykes carry 142Nd deficits compared to the terrestrial Nd standard, with three samples yielding resolvable deficits down to −10.6 parts per million. The enriched component that we report here could have been a mantle reservoir that differentiated owing to the crystallization of a magma ocean, or could represent a mafic proto-crust that separated from the mantle more than 4.47 Gyr ago. Our results testify to the existence of an enriched component in the Hadean, and may suggest that the southwest Greenland mantle preserved early-formed heterogeneities until at least 3.4 Gyr ago
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