11 research outputs found

    Infections nosocomiales à pseudomonas aeruginosa en hématologie (implication du réseau d'eau?)

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    POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF

    Pyrosequencing analysis of bacterial diversity in dental unit waterlines.

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    International audienceSome infections cases due to exposure to output water from dental unit waterlines (DUWL) have been reported in the literature. However, this type of healthcare-associated risk has remained unclear and up until now the overall bacterial composition of DUWL has been poorly documented. In this study, 454 high-throughput pyrosequencing was used to investigate the bacterial community in seven dental offices (N = 7) and to identify potential bacterial pathogenic sequences. Dental unit waters (DUW) were collected from the tap water supplying units (Incoming Water; IW) to the output exposure point of the turbine handpiece (Output water; OW) following a stagnation period (OWS), and immediately after the last patient of the sampling day (OWA). A high bacterial diversity was revealed in DUW with 394 operational taxonomic units detected at the genus level. In addition to the inter-unit variability observed, results showed increased total bacterial cell concentration and shifts in bacterial community composition and abundance at the genus level, mainly within the Gamma- and Alpha-Proteobacteria class, as water circulated in the dental unit (DU). Results showed that 96.7%, 96.8% and 97.4% of the total sequences from IW, OWS and OWA respectively were common to the 3 defined water groups, thereby highlighting a common core microbiome. Results also suggested that stagnation and DU maintenance practices were critical to composition of the bacterial community. The presence of potentially pathogenic genera was detected, including Pseudomonas and Legionella spp. Emerging and opportunistic pathogenic genera such as Mycobacterium, Propionibacterium and Stenotrophomonas were likewise recovered in DUW. For the first time, an exhaustive evaluation of the bacterial communities present in DUW was performed taking into account the circulation of water within the DU. This study highlights an ignored diversity of the DUWL bacterial community. Our findings also contribute to a better appreciation of the potential infectious risk associated with dental care and suggest the importance of better managing microbial quality in DUW

    2-chloro-3-pyridin-3-yl-5,6,7,8-tetrahydroindolizine-1-carboxamide (CMV423), a new lead compound for the treatment of human cytomegalovirus infections

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    Human cytomegalovirus (HCMV) remains one of the major pathogens in immunocompromised patients (AIDS and transplants) and the main cause for congenital infections leading from slight cognitive defects up to severe mental retardation. The drugs that are currently available for the treatment of HCMV infections, i.e. ganciclovir, foscarnet and cidofovir, are all acting at the level of the viral DNA polymerase. Here we describe an entirely new molecule, the 2-chloro-3-pyridin-3-yl-5,6,7,8-tetrahydroindolizine-1-carboxamide (CMV423), that shows very potent in vitro activity against HCMV. CMV423 is highly active against HCMV reference strains and clinical isolates, but also against those strains, isolated from patients or emerging after in vitro selection, that are resistant to either ganciclovir, foscarnet or cidofovir. CMV423 also showed activity in two ex vivo models, that are both highly relevant for the pathophysiology of HCMV, the retinal pigment epithelial and the bone marrow stromal cell assays. Viral antigen expression analysis by flow cytometry, as well as time of addition experiments, confirmed that CMV423 acts on a step of the viral replicative cycle that precedes the DNA polymerase step and, most likely, coincides with the immediate early (IE) antigen synthesis. Finally, CMV423 combined with either ganciclovir, foscarnet or cidofovir in checkerboard experiments demonstrated a highly synergistic activity. © 2002 Elsevier Science B.V. All rights reserved.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    SIDA, maladies associées : pistes pour de nouveaux médicaments

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    En France, l'infection par le VIH atteindrait actuellement 70 000 à 160 000personnes. Même si l'incidence des cas de sida diminue dans tous les groupes detransmission, le nombre de cas continue à augmenter, sauf dans le groupe deshémophiles et des transfusés. Le nombre de nouveaux cas dans le groupe deshomo-bisexuels a tendance à se stabiliser. L'analyse des données de la base DMI 2montre que, chaque année, 20 à 25 % des sujets inclus développent un sida. Cetaux est cependant surestimé du fait de l'avancement des sujets dans la maladie;effectivement, le passage réel à la pathologie parmi les sujets contaminés toutescatégories confondues est de l'ordre de 5 %. Le suivi des patients de la base DMI 2permet également de tracer l'incidence des principales pathologies opportunistesrencontrées au cours de la maladie on peut ainsi noter le recul de lapneumocystose, de la toxoplasmose et de la tuberculose, et l'augmentation relativedes infections à cytomegalovirus, des mycobactérioses atypiques et descryptosporidioses.En termes de coûts, la lutte contre le VIH a représenté pour l'année 1993 5,348milliards de francs, soit 0,7 % du budget de la dépense nationale de santé.Soixante-dix pour cent de cette dépense sont consacrés à la prise en chargemédicale des patients. En 1993, le coût annuel total de 1'hospitalisation d'un patientinfecté par le VIH variait de 30 000 francs pour les sujets asymptomatiques à 140000 francs pour les patients en phase de sida déclaré. La prise en charge extrahospitalière(hospitalisation à domicile, hôpital de jour, consultations externes) atendance à se développer aux dépens de l'hospitalisation classique. Cela démontrela contribution à l'activité de soins de l'entourage du patient, du patient lui-même etdu secteur associatif. Enfin, les modes de prise en charge, et par conséquent lescoûts, varient significativement d'un hôpital à l'autre.Depuis plus d'une décennie, les programmes de recherche se sont diversifiés nonseulement dans le domaine de la rétrovirologie, mais aussi dans le champ despathologies associées du sida. L'amélioration de la qualité de vie estprogressivement devenue un objectif de recherche important, car les patients souffrent non seulement de l'infection elle-même, mais également deseffets délétères, pénibles et invalidants de certains traitements.Une infection virale persistante et progressiveL'Expertise collective s'est dès le départ appuyée sur des travaux éclairant d'unelumière nouvelle la physiopathologie de l'infection par le VIH. Parmi ceux-ci, lesplus récents ont confirmé le caractère dynamique du processus infectieux, qui semanifeste par une réplication massive et ininterrompue du virus dès son entrée dansl'organisme. Cette réplication constante, longtemps mal évaluée, entraîne uneréponse immunitaire intense, dont l'efficacité et la durée se mesurent à l'absence demanifestations cliniques, durant ce qui a été appelé, à tort, la phase latente del'infection.Pendant cette phase dite Symptomatique, les ganglions lymphatiques et la rateconstituent les principaux réservoirs du VIH, la virémie ne reflétant quepartiellement l'intensité de l'infection. La multiplication virale dans les organeslymphoïdes active de façon constante le système immunitaire. L'état inflammatoirechronique qui en découle conduit à la déstructuration des organes lymphoïdespériphériques et à l'installation subséquente d'une immunodéficience. Par analogieavec le modèle de l'hépatite B. l'infection à VIH peut donc être assimilée à uneadénite rétrovirale chronique active. La destruction progressive du poollymphocytaire, notamment des lymphocytes T mémoire, va permettre l'apparitiondes pathologies opportunistes.Une telle conception de la dynamique virale nécessite que soit élucidé lephénomène de persistance de l'infection. Quels sont les rôles respectifs de lalatence virale (arrêt de synthèse des protéines virales), de la variabilité antigéniqueconsidérable du VIH (permettant une évolution rapide par sélection naturelle), etde l'aptitude du VIH à se rendre invisible pour le système immunitaire ?Il est également primordial de mieux apprécier la nature exacte des différentescellules cibles de la réplication virale ainsi que les mécanismes et les conséquencesfonctionnelles de la destruction des cellules et des tissus. Cet objectif ne se limitepas aux cellules du système immunitaire. Ainsi, l'infection des macrophagescérébraux par le VIH est presque constante et particulièrement précoce.Cependant, ni l'existence de souches virales à tropisme cérébral préférentiel, ni lamanière dont le virus pénètre dans le système nerveux central n'ont pu être établies.Pendant la phase aiguë de l'infection (primo-infection), la réponse immune estessentiellement dominée par les lymphocytes T cytotoxiques (CTLs) qui détruisent,massivement et très tôt, les cellules infectées. L'effet des anticorps neutralisantssusceptibles de bloquer l'entrée du virus dans les cellules reste, aujourd'hui encore,incertain..

    SIDA, maladies associées : pistes pour de nouveaux médicaments

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    En France, l'infection par le VIH atteindrait actuellement 70 000 à 160 000personnes. Même si l'incidence des cas de sida diminue dans tous les groupes detransmission, le nombre de cas continue à augmenter, sauf dans le groupe deshémophiles et des transfusés. Le nombre de nouveaux cas dans le groupe deshomo-bisexuels a tendance à se stabiliser. L'analyse des données de la base DMI 2montre que, chaque année, 20 à 25 % des sujets inclus développent un sida. Cetaux est cependant surestimé du fait de l'avancement des sujets dans la maladie;effectivement, le passage réel à la pathologie parmi les sujets contaminés toutescatégories confondues est de l'ordre de 5 %. Le suivi des patients de la base DMI 2permet également de tracer l'incidence des principales pathologies opportunistesrencontrées au cours de la maladie on peut ainsi noter le recul de lapneumocystose, de la toxoplasmose et de la tuberculose, et l'augmentation relativedes infections à cytomegalovirus, des mycobactérioses atypiques et descryptosporidioses.En termes de coûts, la lutte contre le VIH a représenté pour l'année 1993 5,348milliards de francs, soit 0,7 % du budget de la dépense nationale de santé.Soixante-dix pour cent de cette dépense sont consacrés à la prise en chargemédicale des patients. En 1993, le coût annuel total de 1'hospitalisation d'un patientinfecté par le VIH variait de 30 000 francs pour les sujets asymptomatiques à 140000 francs pour les patients en phase de sida déclaré. La prise en charge extrahospitalière(hospitalisation à domicile, hôpital de jour, consultations externes) atendance à se développer aux dépens de l'hospitalisation classique. Cela démontrela contribution à l'activité de soins de l'entourage du patient, du patient lui-même etdu secteur associatif. Enfin, les modes de prise en charge, et par conséquent lescoûts, varient significativement d'un hôpital à l'autre.Depuis plus d'une décennie, les programmes de recherche se sont diversifiés nonseulement dans le domaine de la rétrovirologie, mais aussi dans le champ despathologies associées du sida. L'amélioration de la qualité de vie estprogressivement devenue un objectif de recherche important, car les patients souffrent non seulement de l'infection elle-même, mais également deseffets délétères, pénibles et invalidants de certains traitements.Une infection virale persistante et progressiveL'Expertise collective s'est dès le départ appuyée sur des travaux éclairant d'unelumière nouvelle la physiopathologie de l'infection par le VIH. Parmi ceux-ci, lesplus récents ont confirmé le caractère dynamique du processus infectieux, qui semanifeste par une réplication massive et ininterrompue du virus dès son entrée dansl'organisme. Cette réplication constante, longtemps mal évaluée, entraîne uneréponse immunitaire intense, dont l'efficacité et la durée se mesurent à l'absence demanifestations cliniques, durant ce qui a été appelé, à tort, la phase latente del'infection.Pendant cette phase dite Symptomatique, les ganglions lymphatiques et la rateconstituent les principaux réservoirs du VIH, la virémie ne reflétant quepartiellement l'intensité de l'infection. La multiplication virale dans les organeslymphoïdes active de façon constante le système immunitaire. L'état inflammatoirechronique qui en découle conduit à la déstructuration des organes lymphoïdespériphériques et à l'installation subséquente d'une immunodéficience. Par analogieavec le modèle de l'hépatite B. l'infection à VIH peut donc être assimilée à uneadénite rétrovirale chronique active. La destruction progressive du poollymphocytaire, notamment des lymphocytes T mémoire, va permettre l'apparitiondes pathologies opportunistes.Une telle conception de la dynamique virale nécessite que soit élucidé lephénomène de persistance de l'infection. Quels sont les rôles respectifs de lalatence virale (arrêt de synthèse des protéines virales), de la variabilité antigéniqueconsidérable du VIH (permettant une évolution rapide par sélection naturelle), etde l'aptitude du VIH à se rendre invisible pour le système immunitaire ?Il est également primordial de mieux apprécier la nature exacte des différentescellules cibles de la réplication virale ainsi que les mécanismes et les conséquencesfonctionnelles de la destruction des cellules et des tissus. Cet objectif ne se limitepas aux cellules du système immunitaire. Ainsi, l'infection des macrophagescérébraux par le VIH est presque constante et particulièrement précoce.Cependant, ni l'existence de souches virales à tropisme cérébral préférentiel, ni lamanière dont le virus pénètre dans le système nerveux central n'ont pu être établies.Pendant la phase aiguë de l'infection (primo-infection), la réponse immune estessentiellement dominée par les lymphocytes T cytotoxiques (CTLs) qui détruisent,massivement et très tôt, les cellules infectées. L'effet des anticorps neutralisantssusceptibles de bloquer l'entrée du virus dans les cellules reste, aujourd'hui encore,incertain..
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