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    L'anesthésie du chien au sevoflurane. Etude comparée avec l'isoflurane

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    Nous avons évalué chez le chien l'utilisation du sévoflurane en pratique clinique courante et comparé les effets cardiovasculaires et respiratoires du sévoflurane et de l'isoflurane. Le réveil a également été étudié. 9 chiens ont été anesthésiés au sévoflurane, 22 à l'isoflurane. Les paramètres cardiovasculaires (fréquence cardiaque, pression artérielle) n'étaient pas différents entre les groupes. L'évaluation de la fonction respiratoire (fréquence respiratoire, capnométrie, oxymétrie pulsée) a produit des résultats similaires dans les deux groupes. Le délai de réapparition du réflexe palpébral était significativement plus faible après l'administration de sévoflurane. L'extubation, le premier mouvement spontané et le décubitus sterno-abdominal étaient obtenus dans des délais similaires. La conduite d'une anesthésie au sévoflurane chez le chien s'apparente à une anesthésie à l'isoflurane

    L'anesthésie du chien au sevoflurane (étude comparée avec l'isoflurane)

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    Nous avons évalué chez le chien l'utilisation du sévoflurane en pratique clinique courante et comparé les effets cardiovasculaires et respiratoires du sévoflurane et de l'isoflurane. Le réveil a également été étudié. 9 chiens ont été anesthésiés au sévoflurane, 22 à l'isoflurane. Les paramètres cardiovasculaires (fréquence cardiaque, pression artérielle) n'étaient pas différents entre les groupes. L'évaluation de la fonction respiratoire (fréquence respiratoire, capnométrie, oxymétrie pulsée) a produit des résultats similaires dans les deux groupes. Le délai de réapparition du réflexe palpébral était significativement plus faible après l'administration de sévoflurane. L'extubation, le premier mouvement spontané et le décubitus sterno-abdominal étaient obtenus dans des délais similaires. La conduite d'une anesthésie au sévoflurane chez le chien s'apparente à une anesthésie à l'isoflurane.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF

    Facteurs viraux et pharmacologiques impliqués dans la résistance du virus de l'hépatite C aux traitements antiviraux

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    Le traitement de l'hépatite chronique C repose sur l'administration d'interféron alpha (IFN-a) combiné à la ribavirine. La glycoprotéine E2 et la protéine NS5A ayant été impliquées dans la résistance au traitement, nous avons étudié ces deux gènes et n'avons pas trouvé de lien entre leur séquence et l'issue du traitement. L impact du génotype et de la charge virale sur la réponse précoce a été évalué. La réponse immune préthérapeutique apparaît déterminante, mais une immunothérapie par l Il-2 s'est révélée décevante. Des concentrations circulantes suboptimales d'IFN-a sont associées à une mauvaise réponse précoce chez les patients dont le poids est élevé. Une méthode biologique est optimale pour comparer les concentrations circulantes des deux formes d'IFN pégylé, leurs activités antivirales intrinsèques n étant pas équivalentes. Les paramètres pharmacologiques sont impliqués dans la réponse au traitement cependant l'étude de la réponse immune des patients serait informative.Alpha Interferon (IFN-a) combinated to ribavirin is the mainstay of the treatment of chronic hepatitis C. Since glycoprotein E2 and protein NS5A have been involved in resistance to treatment, we studied these two genes and failed to find a correlation between their sequence and treatment outcome. Genotype and viral load were shown to affect early response. Although pretherapeutic immune response appears to be decisive, an Il-2 based immunotherapy gave disappointing results. We also studied IFN-a pharmacokinetics. Suboptimal serum concentrations of IFN-a were associated with a poor early response to treatment in high weighted patients. A bioassay allows to compare serum concentrations of the two forms of pegylated IFN, as these two molecules are not equivalent in terms of antiviral potency. Pharmacological parameters play a role in response to treatment but study of patient immune response could give new insights.AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Cannibalism in the Linear Pottery Culture : The Human Remains form Herxheim

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    International audienc

    Prevalence of cryoglobulinemia and autoimmune markers in liver transplant patients.

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    International audienceOBJECTIVES: To examine the prevalence of cryoglobulinemia and autoimmune markers in stable liver transplant recipients and to determine risk factors and clinical impact. MATERIALS AND METHODS: Ninety-two liver transplant recipients were tested for cryoglobulinemia, hepatitis B and C, complement C3, complement C4, CH50, antinuclear antibodies, anticytoplasmic neutrophil antibodies, anticardiolipid antibodies, rheumatoid factors, and lymphocyte subpopulations. Liver, renal, and hematology tests were done. Immunosuppressive regimens were based on calcineurin inhibitors in 94.6% of the patients. RESULTS: Cryoglobulinemia was present in 18 patients (19.5%) with characteristics of type II in 27.7%, type III in 61.3%, and indeterminate in 11%. Cryoglobulinemia was present in 55.5% of patients with positive hepatitis C virus serology compared with 35.86% of patients with negative hepatitis C virus serology (P = .06). Among those with hepatitis C virus markers, cryoglobulinemia was present in 30%. Anticytoplasmic neutrophil antibodies were positive in 23% of the patients with cryoglobulinemia, but in only 5.4% of the patients without cryoglobulinemia (P = .006). Albuminemia was significantly lower in patients with cryoglobulinemia (38 -/+ 4.2 g/L) than it was in patients without cryoglobulinemia (40.2 -/+ 3.4; P = .05). Cryoglobulinemia was symptomatic in 4 patients (22.2% of all patients). Independent factors associated with cryoglobulinemia were presence of anticytoplasmic neutrophil antibodies, more than 4 HLA incompatibilities, alanine aminotransferase level of 0.68 microkat/L or more, and an albuminemia level greater than 38 g/L. CONCLUSIONS: Cryoglobulinemia is frequent after liver transplant and is symptomatic in approximately 20% of all patients
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