101 research outputs found

    Community review: a robust and scalable selection system for resource allocation within open science and innovation communities

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    Resource allocation is essential to the selection and implementation of innovative projects in science and technology. With large stakes involved in concentrating large fundings over a few promising projects, current “winner-take-all” models for grant applications are time-intensive endeavours that mobilise significant researcher time in writing extensive project proposals, and rely on the availability of a few time-saturated volunteer experts. Such processes usually carry over several months, resulting in high effective costs compared to expected benefits. Faced with the need for a rapid response to the COVID-19 pandemic in 2020, we devised an agile “community review” system, similar to distributed peer review (DPR) systems, to allocate micro-grants for the fast prototyping of innovative solutions. Here we describe and evaluate the implementation of this community review across 147 projects from the “Just One Giant Lab’s OpenCOVID19 initiative” and “Helpful Engineering” open research communities. The community review process uses granular review forms and requires the participation of grant applicants in the review process. We show that this system is fast, with a median duration of 10 days, scalable, with a median of 4 reviewers per project independent of the total number of projects, and fair, with project rankings highly preserved after the synthetic removal of reviewers. We investigate potential bias introduced by involving applicants in the process, and find that review scores from both applicants and non-applicants have a similar correlation of r=0.28 with other reviews within a project, matching previous observations using traditional approaches. Finally, we find that the ability of projects to apply to several rounds allows to both foster the further implementation of successful early prototypes, as well as provide a pathway to constructively improve an initially failing proposal in an agile manner. This study quantitatively highlights the benefits of a frugal community review system for agile resource allocation

    L’Indice de Biodiversité Potentielle (IBP) dans les SLDF. Synthèse de 12 projets

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    Les 7 et 8 avril 2015 à Paris, le ministère de l'Ecologie a organisé, avec l'appui de la Fédération nationale des Communes forestières et en lien avec la Fédération des Parcs naturels régionaux, le séminaire de clôture de l'appel à projet sur « la prise en compte de la biodiversité dans les Stratégies locales de développement forestier (SLDF) ». Les SLDF désignent des outils de développement tels que les Chartes forestières de territoires (CFT) et les Plans de Développement de Massif (PDM). Animatrice du réseau des CFT, la Fédération nationale des Communes forestières a suivi l'appel à projet depuis son lancement en 2012, dans le cadre de la Stratégie nationale de la Biodiversité (SNB). En présence des ministères en charge de la biodiversité (MEDDE) et de la forêt (MAAF), ce séminaire a d'abord présenté un panorama des projets réalisés. Les objectifs: évaluer les résultats, les facteurs de réussites et les difficultés rencontrées, valoriser les expériences menées et en tirer des enseignements pour une diffusion des méthodes et des pratiques pour d'autres territoires. Ont ainsi témoigné des porteurs de démarches territoriales forêt-bois, des élus et des acteurs de l'environnement et de la recherche. La qualité des projets en termes de partenariat, de sensibilisation sur le terrain et de dialogue entre les différents acteurs a été unanimement soulignée. Les collectivités locales ont été identifiées comme cheffes de file de ces initiatives pionnières. L'accent a été mis la première journée sur les moyens de connaissance de la biodiversité et sa prise en compte dans la gestion forestière : production de données, d'informations et appropriation par les acteurs concernés. Mais aussi la diffusion de cette connaissance, notamment auprès des professionnels de la filière comme les Entrepreneurs de Travaux forestiers (ETF) et sa concrétisation dans les documents de gestion forestière: plans simples de gestion, documents d'aménagement. Pour poursuivre ces démarches, un lien plus fort doit être créé entre les territoires forestiers et la recherche qui dispose de méthodes et de connaissances approfondies, notamment sur les questions climatiques. Les retours d'expériences ont confirmé la nécessité d'intégrer la biodiversité dans des démarches plus transversales. Elle ne doit pas être "sacralisée" en forêt mais "socialisée", ont rappelé plusieurs intervenants. De plus, ces démarches doivent être incitatives plutôt que prescriptives et règlementaires. Il faut "donner envie" et même proposer des outils "ludiques", adaptés à un public large de propriétaires. Les projets ont aussi montré que la biodiversité apporte une vraie plus-value économique sur les territoires: résilience des forêts, respect des sols et qualité de l'eau, meilleure adaptation aux changements climatiques. Un bon exemple : les Projets Sylvicoles Territoriaux (PST) de la région Rhône-Alpes vise, au-delà de la production de bois d'œuvre, à optimiser les services écosystémiques rendus par la forêt et à décloisonner les approches : prise en compte dans les actions sylvicoles du carbone, de l'eau, de la biodiversité, des paysages ou encore des besoins économiques de la filière locale. La dernière journée était consacrée à la présentation des outils et des financements européens ainsi que les politiques publiques menées en France en faveur de la biodiversité. Les participants ont souligné que les actions pionnières menées sur le terrain nécessitent une animation importante et demande des moyens. Dans ce domaine, les Régions apparaissent comme les pilotes des futures politiques publiques de la biodiversité en cohérence attendue avec la politique nationale. Michaël Weber, vice-président de la Fédération des Parcs Naturels Régionaux et président de l'association des Communes forestières de Moselle, a ajouté que "les communes forestières, en tant que propriétaires de forêts et acteur indispensable des territoires, étaient au carrefour de ces préoccupations et force de concertation"

    COVID-19 symptoms at hospital admission vary with age and sex: results from the ISARIC prospective multinational observational study

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    Background: The ISARIC prospective multinational observational study is the largest cohort of hospitalized patients with COVID-19. We present relationships of age, sex, and nationality to presenting symptoms. Methods: International, prospective observational study of 60 109 hospitalized symptomatic patients with laboratory-confirmed COVID-19 recruited from 43 countries between 30 January and 3 August 2020. Logistic regression was performed to evaluate relationships of age and sex to published COVID-19 case definitions and the most commonly reported symptoms. Results: ‘Typical’ symptoms of fever (69%), cough (68%) and shortness of breath (66%) were the most commonly reported. 92% of patients experienced at least one of these. Prevalence of typical symptoms was greatest in 30- to 60-year-olds (respectively 80, 79, 69%; at least one 95%). They were reported less frequently in children (≤ 18 years: 69, 48, 23; 85%), older adults (≥ 70 years: 61, 62, 65; 90%), and women (66, 66, 64; 90%; vs. men 71, 70, 67; 93%, each P < 0.001). The most common atypical presentations under 60 years of age were nausea and vomiting and abdominal pain, and over 60 years was confusion. Regression models showed significant differences in symptoms with sex, age and country. Interpretation: This international collaboration has allowed us to report reliable symptom data from the largest cohort of patients admitted to hospital with COVID-19. Adults over 60 and children admitted to hospital with COVID-19 are less likely to present with typical symptoms. Nausea and vomiting are common atypical presentations under 30 years. Confusion is a frequent atypical presentation of COVID-19 in adults over 60 years. Women are less likely to experience typical symptoms than men

    Psychologie du risque pays

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    International audienc

    Psychologie du risque pays

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    Stratégie d’échantillonnage des lieux du REPHY Sanitaire et du REPHYTOX pour les départements Nord 59 ; Pas de Calais 62 ; Somme 80 - Version 04

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    Cette procédure a pour objet de décrire la stratégie d’échantillonnage des lieux de surveillance du REPHYTOX sur le territoire de compétence du LER-BL comprenant des Départements Nord 59, Pas de Calais 62 et Somme 80. Elle est produite par le LER-BL et référencée dans son système documentaire.Les logigrammes, présentés par secteur géographique, indiquent la logique opérationnelle à suivre entre les lieux de surveillance du REPHY et du REPHYTOX dans le cadre de la mise en œuvre des stratégies de ces réseaux. Ces stratégies sont détaillées dans le Cahier de Procédures REPHYTOX et particulièrement dans le paragraphe « STRATEGIE D'ECHANTILLONNAGE »

    Nudges, bonheur, politiques publiques

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    A rise in births following contraceptive failure in France between 2010 and 2016: results from the French national perinatal surveys

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    International audienceBackground: In France, while the prevalence of contraception is high, a significant proportion of pregnancies are unintended. Following the 2012 pill scare, the contraceptive method mix, which was mostly comprised of pills and intrauterine devices (IUD), has become more diversified. In this changing landscape, our objective was to describe trends in live births resulting from contraceptive failure and evaluate how patterns of contraceptive use have contributed to observed changes between 2010 and 2016. Methods: We used data from the 2010 and the 2016 French National Perinatal surveys which included all births from all maternity units in France over a one-week period. Interviews collecting information about pre-conception contraceptive practices were conducted in the maternity ward post-delivery. Women were classified as having a contraceptive failure if they discontinued contraception because they were pregnant. Our study sample included adult women who had a live birth, had ever used contraception and did not undergo infertility treatment (n = 11,590 in 2010 and n = 9703 in 2016). We evaluated changes in contraceptive failure over time using multivariate Poisson regressions to adjust for sociodemographic characteristics and pre-pregnancy contraceptive methods. Results: Pre-pregnancy contraception evolved between 2010 and 2016 with a 12.3% point-drop in pill use, and conversely, 4.6%-and 3.2%-point increases in IUD and condom use, respectively. Use of other barrier or natural methods doubled between 2010 and 2016 but remained marginal (1.4% in 2010 vs 3.6% in 2016). Between 2010 and 2016, the proportion of live births resulting from contraceptive failure rose from 7.8 to 10.0%, with higher risks among younger, parous and socially disadvantaged mothers. The risk ratio of contraceptive failure in 2016 compared to 2010 remained higher after sociodemographic adjustments (aRR = 1.34; 95% CI; 1.23-1.47) and after adjusting for pre-pregnancy contraceptive method mix (aRR = 1.35; 95% CI; 1.25-1.49). Increases in contraceptive failures were concentrated among pill and condom users. Conclusions: Recent shifts in contraceptive behaviors in France following the 2012 pill scare may be associated with a subsequent increase in births resulting from short acting contraceptives failures
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