86 research outputs found

    Jóvenes de barrios populares y compromisos en Île de France. : Una mirada a partir de la crisis sanitaria

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    Aquest article es basa en els resultats d'una investigació participativa amb joves de barris populars, realitzada entre 2018 i 2021 a deu barris de la regió parisenca. La pandèmia del covid-19 i el confinament de la primavera del 2020, tal com ho van viure els joves, van augmentar la rellevància d'algunes dimensions ja destacades per la nostra investigació en el passat immediat. En particular, la crisi sanitària ha multiplicat i visibilitzat les situacions de desigualtat social als estudis i al treball, la importància de les xarxes de solidaritat que es van activar per fer front a les dificultats i la diversitat de les modalitats de participació de les i els joves, majoritàriament d'origen immigrant.This article is based on the results of a participatory research with young people from popular neighbourhoods, carried out between 2018 and 2021 in ten neighbourhoods of the Parisian region. The covid-19 pandemic and the confinement of spring 2020, as experienced by young people, increased the relevance of some dimensions already highlighted by our research in the immediate past. The health crisis has multiplied and made visible particularly situations of social inequality in education and at work, the importance of the solidarity networks that were set up to deal with the difficulties and the diversity of the forms of participation of young people, the vast majority of whom are of immigrant origins. Este artículo se basa en los resultados de una investigación participativa con jóvenes de barrios populares, realizada entre 2018 y 2021 en diez barrios de la región parisina. La pandemia del covid-19 y el confinamiento de la primavera de 2020, tal y como lo vivieron los jóvenes, aumentaron la relevancia de algunas dimensiones ya destacadas por nuestra investigación en el pasado inmediato. En particular, la crisis sanitaria ha multiplicado y visibilizado las situaciones de desigualdad social en los estudios y en el trabajo, la importancia de las redes de solidaridad que se activaron para hacer frente a las dificultades y la diversidad de las modalidades de participación de las y los jóvenes, en su gran mayoría de origen inmigrante

    INTRODUCTION

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    International audienceMalmené par des discours contemporains qui érigent la mobilité en norme et valeur dominante, le quartier a probablement perdu, du moins en apparence, bon nombre des vertus qui lui étaient attachées lorsque, dans les années 1960, les sociologues l’analysaient comme un village et un nœud structurant des sociabilités [Gans, 1962 ; Coing, 1966 ; Willmott et Young, 1953]. Au début des années 1980, la politique de la ville naissante le considérait encore comme un lieu d’ancrage et d’intégration, support de développement social et urbain, et de nombreux travaux s’attachaient à appréhender les rapports sociaux à cette échelle. Les représentations contemporaines du quartier sont pour le moins contrastées. D’un côté, une vision romantique des rapports sociaux de voisinage dans un quartier-village ; de l’autre, l’image médiatisée des quartiers populaires, ceux dont « on parle », lieux de concentration de la pauvreté, où les habitants n’auraient d’autres choix que le repli sur les maigres ressources offertes localement. D’autres travaux annoncent la mort du quartier qui, à l’heure de la mondialisation, ne constituerait plus une échelle pertinente d’analyse de la vie urbaine. Ces représentations tendent ainsi à opposer ancrages et mobilités, l’ancrage étant selon les cas considéré comme une valeur positive ou négative. Elles ne sont pas sans incidences sur la nature des politiques urbaines. En effet, selon que l’on privilégie la dimension de l’ancrage au quartier ou celle de la mobilité, les options politiques se définissent différemment, en faveur du développement endogène ou, au contraire, de la déségrégation et de la mixité sociale

    Social Mix Policies in Paris: Discourses, Policies and Social Effects

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    International audienceSince the 1980s, the issue of social mix has become a public policy category in France. Enshrined in legislation, yet remaining controversial, it represents a major premise on which housing policies have been reconfigured. The concept of social mix is essentially based on who lives where, but it is also evoked in the context of urban renewal schemes for social housing estates, as well as in relation to new-build developments. A study of the bases of social mix policies conducted in Paris since 2001 in the context of the embourgeoisement of the capital shows the fundamental role of social housing stock. The City Council has become involved in policy decisions about both the location and the allocation of social housing. Particular attention has been paid to the middle classes in the name of the principle of 'balancing the population'. In order to measure the effects of the policy, this article relies on an analysis of two City of Paris schemes that have the stated intent of creating social mix. One of these schemes consists of redeveloping a working-class neighbourhood, Goutte d'Or, while the other involves the new acquisition of social housing in various more affluent neighbourhoods in the capital. This comparative study of the population shows that, whether in a neighbourhood poised for gentrification or in a more affluent neighbourhood, this policy has major effects on forms of local social cohesion, setting in motion individual trajectories and reshaping social and/or ethnic identities

    INTRODUCTION

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    International audienceMalmené par des discours contemporains qui érigent la mobilité en norme et valeur dominante, le quartier a probablement perdu, du moins en apparence, bon nombre des vertus qui lui étaient attachées lorsque, dans les années 1960, les sociologues l’analysaient comme un village et un nœud structurant des sociabilités [Gans, 1962 ; Coing, 1966 ; Willmott et Young, 1953]. Au début des années 1980, la politique de la ville naissante le considérait encore comme un lieu d’ancrage et d’intégration, support de développement social et urbain, et de nombreux travaux s’attachaient à appréhender les rapports sociaux à cette échelle. Les représentations contemporaines du quartier sont pour le moins contrastées. D’un côté, une vision romantique des rapports sociaux de voisinage dans un quartier-village ; de l’autre, l’image médiatisée des quartiers populaires, ceux dont « on parle », lieux de concentration de la pauvreté, où les habitants n’auraient d’autres choix que le repli sur les maigres ressources offertes localement. D’autres travaux annoncent la mort du quartier qui, à l’heure de la mondialisation, ne constituerait plus une échelle pertinente d’analyse de la vie urbaine. Ces représentations tendent ainsi à opposer ancrages et mobilités, l’ancrage étant selon les cas considéré comme une valeur positive ou négative. Elles ne sont pas sans incidences sur la nature des politiques urbaines. En effet, selon que l’on privilégie la dimension de l’ancrage au quartier ou celle de la mobilité, les options politiques se définissent différemment, en faveur du développement endogène ou, au contraire, de la déségrégation et de la mixité sociale

    Educação, empoderamento e lutas pelo reconhecimento: a questão dos direitos de cidadania

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    A revisão em baixa de certos direitos de cidadania, como os sociais e os laborais, em contextos de ajustamento estrutural e de crise econômica, está a reacender as lutas pelo reconhecimento, já não propriamente em termos de reconhecimento cultural ou identitário, como de fato se verificou, com intensidade, nas duas últimas décadas, mas em termos de reconhecimento jurídico, ou seja, de respeito por expectativas que podem ser satisfeitas porque estão legalmente protegidas. A educação, sendo fiel à sua vocação de defesa da integridade da pessoa humana, pelo menos desde a afirmação iluminista desse valor, não se pode alhear dessas brigas pelo reconhecimento jurídico. Tem seguramente um papel a desempenhar nessas contendas, mas qual, e de que modo? Esta é a questão de investigação que leva a demandar três objetivos: o primeiro consiste em associar a educação às brigas pelo reconhecimento, convocando, para o efeito, a “gramática moral dos conflitos sociais” de Honneth; o segundo, vinculando educação e empoderamento, procura mostrar que este último, não obstante dissensos interpretativos, pode ser interessante para definir o envolvimento da educação nas lutas pelo reconhecimento jurídico; o terceiro, por fim, consiste em delimitar as principais articulações desse papel em termos de empoderamento. A investigação, conjugando o quadro analítico honnethiano com a revisão de literatura sobre diagnósticos da “recessão jurídica” que hoje se vive em diversos contextos, nomeadamente nos países europeus mais fortemente atingidos pelas políticas de austeridade como modelo ou paradigma de resposta à crise do euro, das dívidas públicas e do Estado de bem-estar social, leva a concluir que a “era dos direitos” está sob ameaça e que a educação, mediante práticas de empoderamento bem delineadas, pode ser estratégica na potenciação de reações individuais e sociais ao ressurgimento desse tipo de ameaça.(undefined

    La participation: laboratoire de la politique de la ville?

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    Préface

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    Démolitions

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    Dictionnaire des inégalités"Les inégalités n'ont cessé de s'accroître ces dernières années dans nos sociétés contemporaines. Perçue par une large part du public, cette tendance est confirmée par de nombreuses études scientifiques, si bien que la question des inégalités est devenue un objet de préoccupation majeure. Loin de se limiter à dresser un état des lieux, l'ambition de cet ouvrage est de fournir les clefs indispensables à la compréhension de cette dynamique. Riche de plus de cinq cents entrées, ce dictionnaire couvre l'ensemble des dimensions des inégalités sociales : inégalités entre classes, entre sexes, entre âges et générations, entre nationalités et groupes ethniques, ou encore entre différents espaces (centres et périphéries, villes et campagnes ...). Afin de dépasser le seul cadre hexagonal, plusieurs entrées sont consacrées à des pays ou à des comparaisons internationales. Pour autant, ne sont négligés ni les débats et controverses ni les aspects méthodologiques relatifs à l'étude des inégalités et à leur mesure. Enfin, l'aspect systémique des inégalités est mis en évidence, en analysant comment celles-ci s'engendrent bien souvent conjointement. Fruit de la collaboration de sociologues, ethnologues, historiens, géographes, économistes, statisticiens, philosophes, médecins et juristes, ce dictionnaire pluridisciplinaire, premier du genre, apporte un éclairage inédit sur le fonctionnement de nos sociétés."―Page 4 of cove

    L'immobilité, facteur d'injustice spatiale ?

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